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'Tâche Classique' :

Maze rampait sur le sol froid du labyrinthe incapable de se lever mais bien trop craintive de resté si proche des tortues cracheuse de feu. Ses articulations la faisait souffrir, enfaite peu de chose ne le faisait pas. Quand la jeune sorcière envisagea être assez loin, elle s’allongea en soupirant satisfaite. Elle serait honnêtement bien restée là à attendre que quelqu’un d’autre gagne et que la tâche finisse. Seulement la passivité était une forme de lâcheté, et l’héritière était tout sauf lâche. Les yeux ouvert il était impossible de ne pas prendre connaissance du vide autour d’elle. L’endroit où elle se trouvait était bien plus grand qu’aucun couloir qu’elle avait traversé jusqu’ici. C’était une salle, plus grande encore que celle de la manticore, c’était si vaste qu’elle n’en voyer pas la fin. Prête à se retrouver nez à nez avec un dragon cette fois, Maze s’hissa sur ses jambes. La baguette droite devant elle, lumos allumer. Lentement mais surement elle avança dans les profondeurs obscures de la salle.

À force d’exploration elle aperçut enfin le reflet de sa lumière, elle cru avoir trouvé le mur du fond quand elle s'aperçut que le miroir était non seulement seul mais bien différent de tous ceux qu’elle avait croisée jusqu’ici. Il était grand, fait de volutes et de décoration. Il était sur tout isoler au milieux de rien. C'était surement encore une épreuve. Maintenant si près elle vit clairement son reflet, elle tenait sa baguette l’éclairant d’une main, son corps et ses vêtements en piteuses états. Ce miroir semblait aussi classique qu’une autre, mais une chose pourtant était différente de la réalité. De sa main libre, Maze se voyait tenir la fameuse coupe. Ce qui dans la réalité n’était pas le cas, elle regarda sa main et la voyait belle et bien vide. « Encore une ruse. » dit-elle amère. Elle commençais a en avoir marre, plus que l’épuisement physique et moral elle était en colère et voulait en finir. C’était supposé quoi ? La rendre folle ? En observant attentivement le miroir elle y lu une inscription « Riséd elrue ocnot... edsi ame...ga siv notsap ert... nomen ej ? » Est-ce que c’était du latin ? Maze était incapable de savoir, elle n’avait que de piètre base dans cette langue morte, le strict minimum en rapport avec certains sortilèges, rien d’autre. Son ignorance ne la mènerait nulle part. Il procurait une sorte d’illusion, et elle ne connaissait pas non plu grand-chose dans ce domaine, encore une fois que ce que l’on sait quand on apprend les sortilèges repousse-moldu. Maze soupira fortement agacer par sa propre médiocrité. Jusqu’ici dans ce Tournoi elle n’avait fait que prouvé à quel point elle était incapable. Elle avait bien faillis mourir aux deux dernières épreuves, elle avait gagné par miracle la dernière, et maintenant ça ?


Maze ferma un instant les yeux pour se replonger dans les souvenirs de l’indice qu’elle avait gagné en récupérant sa gourmette. Elle se souvenait que ça parlé de se plonger dans des illusions ou des charmes, quelque chose en rapport avec l’apparence et la cupidité. Ça des illusions et charmes elle en avait croisé plein, mais elle ne voyait pas bien le rapport avec la cupidité. « C’est stupide. » râllat-elle, vraiment épuiser par cette mascarade. Quand elle était petite, Maze aimait passer du temps dans le bureau de son père. Il y avait quelque chose de merveilleux à propos de son gigantesque bureau en chêne massif et les tableaux de ses ancêtres sur les murs. Elle aimait les odeurs, la chaleur des fauteuils en velours, tout était encré dans sa tête. À quoi bon ? Avec les années ce bureau est devenus le ventre des enfers pour elle. Une zone de non droit, où le plein pouvoir de son père prenez vie. Un jour ce bureau était supposé devenir le sien, et tout ça, toutes les raisons pour lesquels elle participait au Tournoi était dans ce but. Prouvé a son père quel tyran il était et que jamais ni ses mensonges ni ses manigances n’arriverait à la plié à son bon vouloir. Seulement à la seconde où elle avait plongé dans le bassin du Selma elle avait compris son erreur. Son père se ficher qu’elle gagne ou perde, il la voulait vivante et était simplement furieux qu’elle se mette en danger, rien de plus, rien de moins. Il trouverait un autre moyen encore pour l’asservir à son bon vouloir, avec une menace de son crue.
L’empereur se ficher complètement de ce Tournoi et tout ce qu’elle avait gagné c’était de se mettre en danger et de voir dans les yeux de sa petite sœur naitre une peur plus grande encore que celle que leur père procuré. Maze s’en voulait terriblement. Elle avait c’était toujours juré de laisser Miyoung en dehors de ça, et tout ce qu’elle avait provoqué c’était l’inverse. Elle faisait souffrir Miyoung, souffrir Toshiro et même Sunhee. Maze serra les dents, le cœur lourd, remplit de désespoir. Elle ne voulait pas gagner, elle ne voulait ni célébrité, ni or, elle voulait protéger ceux qu’elle aimait. Comme une idiote elle avait suivi ce qu’on attendait d’elle, encore une fois. Si ça n’était pas son père, c’était d’autre. Elle avait eu beau croire qu’elle avait choisi elle-même de participer, tout ça c’était de la faute des politiciens. Maze voulait seulement qu’on la libère de ses fardeaux. Un beau rêve plus qu’une réalité. Si elle pouvait au moins protéger ceux qu’elle aimait, c’était la seule vraie raison de ses combats, la seule chose qui compté pour elle.

Son reflet dans le miroir la montré toujours avec la coupe dans la main et sa seule réaction fut de lâché un profond soupire. Tout ça était ridicule, elle n’avait pas besoin de ça pour gagner ses combats. La victoire qu’elle rechercher n’était pas personnel, elle désirait sauver et protéger les autres et ce n’était pas ça qui aller la mener a son but, bien au contraire la gloire personnelle ne ferait qu’ajouté un obstacle de plus à son chemin déjà complètement obstrué. Si la victoire et la gloire éternel c'était au prix de tout ce qui compté réellement elle n'en voulait pas. « C’est ridicule ! » Maze jeta la coupe imaginaire au sol. C’est quand elle entendit l’écho d’un métal cristallin glisser sur le sol qu’elle se figea. Maze vit le reflet de la coupe a terre quelque mètre derrière elle. N’en revenant pas une seule seconde-t-elle se retourna lentement. Quand elle vit la coupe exactement à la place où elle l’avait jeté elle resta sans voix. C’était encore une ruse stupide pour la rendre folle ça n’avait aucun sens.
« Et merde ! » la championne de Poudlard s’avança vers l’objet, à la fois en colère mais également nerveuse. Maze se pencha pour attraper la coupe, et soudain tout se passa en une fraction de seconde. Elle fit aspirer par le portauloin et se retrouva devant les gradins complètement perdus, des fusé furent lancer, la fanfares explosa en musique, et la seconde suivante elle était par terre Miyoung l’enlacent en pleurant au creux de son cou. Elle… elle avait gagné ? Au creux de sa main elle sentit les courbes de la coupe et sans prévenir les larmes coulèrent sur ses joues alors qu’elle rendait son étreinte a sa sœur. Soulager plus qu’heureuse. « C’est fini maintenant. C’est fini. » Plus rien ne compté d’autre, ni la souffrance physique, ni d’avoir gagnée, mais seulement d’en avoir fini et que sa sœur soit fière d’elle. Nombreuse sont les choses qui nous font peur dans l'obscurité, mais devienne inoffensive dans la lumière. Maze était revenu à la lumière, c’était son unique victoire.

Résumé HRP : Maze se retrouve devant le miroir du Rised, elle ne comprend pas ce qui ce passe, elle veux simplement en finir. Elle ne souhaite pas gagné, pas pour elle, elle veux simplement que ça ce stoppe pour ne plus inquiéter ceux qu'elle aime. A son plus grand étonnement elle fini avec la coupe devant les gradins du publique, victorieuse.