Cette fois ils y étaient. La troisième tâche, la tâche finale. La dernière épreuve fus rude aussi bien physiquement et mentalement pour la championne de Poudlard. Une épreuve qui l’avait profondément marquer. On ne pouvait pas sortir indemne du tournoi des trois sorciers, ou alors il fallait avoir perdu son âme bien avant. Bien qu’il fasse déjà nuit il faisait un peu frais, mais pas froid. Dans sa tenu aux couleurs de sa maison, vert et argent, l’écusson de l’école sur sa poitrine, Maze fixer l’ouverture par la quelle elle devrait rentrer. Un labyrinthe, quel ironie pour quelqu’un dont c'était le prénom dans sa langue maternelle. Mi-Gung, simplifier en Maze pour aider les Anglais incapables de dire correctement son nom coréen. Alors se retrouver devant cet immense labyrinthe donner un gout amer de jeu du destin. Elle repensait encore et toujours au sort du bal et à la carte que lui avait donner son professeur de métamorphose, il ne croyait pas au destin, mais très franchement depuis la dernière épreuve, elle avait du mal à le suivre sur cette idée.

Nerveusement la championne de Poudlard jouai avec sa gourmette, durement retrouver durant la seconde épreuve. Elle se sentait moins nue, comme si elle avait retrouvé une partie d’elle-même, un morceau de sa petite sœur qui l’accompagnait partout. Elle avait trouvé sur sa gourmette un indice pour l’épreuve finale, une énigme plutôt, cette fois nullement cacher. L’objet fut si dur a trouvé qu’il aurait étais encore plus cruel d’une nouvelle fois rendre fou les champions à fouiller leurs méninges.

Maze ne savait pas si c’était par ce que c’était la troisième épreuve ou par ce que c’était la plus proche de la fin d’année, mais le public semblait plus enthousiaste cas la dernière. Cela donner un certain souffle qui faisait du bien, mais en même temps l’héritière n’étais pas plus heureuse de rentré dans le couloir sombre qui s’offrait à elle. La seule chose évidente qu’elle avait compris c’était qu’elle rentrée dans un labyrinthe, impossible de savoir, cependant, ce qui l’attendait à l’intérieur. L’énigme prendrais certainement plus de sens quand elle y serait. Quoi que, rien n'était moins sur.

La jeune Serpentard jeta un regard derrière son épaule, elle croisa le regard de sa petite sœur et son serviteur. Depuis le Selma elle ne faisait plu ça pour elle, elle ne le faisait même plu pour rendre furieux l’empereur son père, elle le faisait pour eux, ceux pour qui elle comptait et qui comptaient pour elle. Survivre aussi, c’était un concept important a ne pas négliger. Le Selma, puis la forêt interdite l’avait profondément chambouler. Affronter la mort aussi crûment vous modifie brutalement. Des gens attendaient après elle, si elle devait vivre et gagner, c’était pour eux et rien d'autre.

Quand le coup de départ fut envoyé, Maze pris une grande bouffer d’air avant d’avancer et d’entré dans le couloir obscur. L’aura inquiétante qui s’en dégager ne l’enchantait que très peu, mais avait-elle le choix ?

S’enfonçant dans les profondeurs sombre du premier couloir Maze sortie sa baguette pour essayer d’y voir quelque chose. « Lumos » dit-elle doucement. D’habitude ce sort des plus simples fonctionner sans faire des siennes, mais ici pour aucune raison sa baguette ne réagit pas. Peut-être qu’elle était bien plus nerveuse qu’elle ne le pensait. Prenant une autre bouffer d’air, elle recommença avec plus d’autorité. « Lumos ! » Encore une fois rien ne se passa, pas même une étincelle de lumière ou un petit halo, rien. Non seulement cela était un gros problème, mais en plus pour une sorcière comme elle l’embarras commencer à se faire sentir. Était-ce une plaisanterie ? Une sorcière de son âge, de son rang, incapable de faire un pauvre sortilège de lumière ?


Serrant sa baguette entre ses doigts elle serra les dents commencent à perdre patience. Si elle ne fonctionnait pas, elle n’était plu qu’un stupide bout de bois, jolie certe, mais un bout de bois. Sans son aide il lui serait impossible d’avancer. Elle avait déjà touché deux parois glacer autour d’elle, autant dire que sans rien y voir pour se retrouver dans un labyrinthe ses chances devenais médiocre, voir nul. « S’il te plaît, pas maintenant. » Puise que son sort ne fonctionner pas, peut-être s’agissait-il d’un blocage ou autre, elle n’en savait rien, elle ne s’y connaissait pas en baguette. Est-ce que ça l’aurait aidé autrement ? Rien n’était moins sûr. Quoi qu’il en soit jouant le tout pour le tout Maze jeta un incendio droit devant elle. Entre nous heureusement qu’il ne fonctionna pas, ou elle aurait vécu un drôle de retour de flemme du a sa proximité avec un miroir magique, mais cela resterait pour toujours un secret entre vous et moi.


Forcé de constater que sa baguette refuser de fonctionner, Maze jura entre ses dents en coréen, cette fois profondément agacer. Elle n’allait quand même pas avancer a l’aveugle ? Enfin si, elle le pouvait, ça n’était pas un problème, un handicap de plus, comme si elle n’en avait pas assez avec sa jambe, mais pas un problème. Enfaite ça ne serait pas un souci si elle ne se savait pas dans une épreuve meurtrière d’un concours organiser par des gens cruellement pervers. Elle ne savait pas encore ce qui se cacher dans cette prison, et la profonde obscurité rendais la situation encore plus terrifiante.


Maze décida de mettre en pratique l’année de dure apprentissage au près du professeur Kama. Si sa baguette ne fonctionner pas ça ne restait qu’un problème technique, elle restait capable de magie. Elle était une foutu sorcière impériale après tout, ça ne serait pas un bout de bois qui ferait la loi. « Aller Mi-Gung, tu peu le faire. » Se murmura-t-elle dans le silence du corridor. Sa main libre devant elle, elle ferma les yeux pour se concentrer sur le mouvement de ses doigts, les contractions de ses muscles. Le sort étais basique, elle devrait pouvoir y arriver. Formulent le Lumos après un instant de pure concentration, elle sentit la sensation de chaleur dans sa main, la magie faisant son œuvre, puis l’instant d’après la lumière bleue apparus.


Ouvrant les yeux sur la petite boule de halo dans sa paume Maze souri émerveillé, plus par ce qu’elle venait de produit que par le halo lui-même. C’était bien plus faible qu’un Lumos avec baguette, probablement par ce que c’était son premier, mais c’était mieux que le noir total. La lumière même de la taille d’une flemme de bougie était réconfortante.

Quand la lumière fit son entré dans son espaces, Maze pu enfin comprendre pourquoi au toucher les murs étaient si froid et lise. Des miroirs, c’était un labyrinthe de miroir. De tout les coter Maze ne voyait que son reflet, puis les reflets de son reflet, autant dire qu’il était très compliqué de voir où aller, et pire encore, de voir d’où on venait. Cela dit cela parus moins dangereux que la promenade dans la forêt interdite de la dernière fois, mais l’héritière n’allait pas se reposer sur les apparences. Très mauvaise idée si elle se baser sur ses expériences passer. De sa main elle illumina le miroir le plus proche et le longea lentement, suivant sa courbe de ses doigts, effrayé par l’obscurité et le silence du lieu.


« Regardez qui voilas ? » La voix la fit sursauter, elle se retourna, baguette en garde par reflex. « Tu agite ton bout de bâton mais je ne vois pas grand-chose arriver. » Ce rire stupide, cette voix insupportable, Maze baissa la baguette dépiter. « Peeves, qu’est-ce que tu fais ici ? » très franchement elle n’avait pas la force mentale de supporté les pitreries du farceur. Le fantôme tournoya sur lui-même avant de se rapprocher plus proche d’elle comme pour lui dire un secret. « Je suis ici pour t’aider. » « M’aider ? » La surprise était réelle, et elle se mit à rire, par ce que c’était sincèrement risible d’entendre ça de lui. Il se renfrogna soudain croisant ses bras spectrales en lui tirant la langue, plus puéril qu’un enfant de cinq ans. « Tu as de la chance on m’ai interdit de plaisanter, mais je m’en souviendrais votre seigneurie. » Il railla, mais Maze décida de l’ignoré, ce tournant à nouveau vers le couloir, elle n’avait pas de temps à perdre. « Et depuis quand tu obéis aux ordres Peeves ? » dit-elle sans se retourner, cherchant désespérément la suite du couloir. Le fantôme la suivis, elle était tout de même la première qu’il croiser, puis au moins elle, elle savait qui il était. « C’est vrais ça ! Mais... ils m'ont obliger ! »


Maze trouva ça amusant, finalement dans son malheur avoir une présence, même celle de Peeves, étais réconfortante. « Comment peut-on forcer Peeves à faire quoi à une ce soit ? » « C’est exactement ce que je leur ai dit ! Mais ils ont dit « Peeves, si tu n’es pas gentil tu sera punis » et blah blah blah. » Bien que la sorcière soit concentré sur sa tâche, elle écoutait toujours d’une oreille le fantôme se plaindre et divaguer sur ses problèmes. « Soi-disant le professeur Firenze n’est pas un cheval ? Pff, je suis désolé mais vu les bouses de scroutt dans les couloirs je ne vois pas comment... » « Peeves tout le monde sait que c’est toi. » « Non, n’importe quoi ! Tu n’as aucune preuve ! » Et une fois de plus il était repartie sur une autre histoire improbable, lui cassant les oreilles. Il devait l’aider n’est-ce pas ? Enfin c’était pour ça qu’il était là non ? Enfin, Maze était eu moins reconnaissante qu’il ne fasse que déblatérer ses idioties qu’il ne lui en fasse. Elle n’avait pas besoin d’un fantôme farceur en plus de tout dans ses pattes. Cela dit elle aurait aimée avoir l’aide de n’importe quel autre fantôme, comme le Baron Sanglant par exemple, le fantôme de sa maison ça n’était pas trop demander.


Dans sa chance Maze avait toujours du malheur, certaine culture appeler ça le karma, elle simplement une malédiction. Se qu'elle ne savait pas c'est que rien de tout cela n'était réel, elle voyait et entendais quelque chose qui ne l'étais pas, seulement la sorcière n'aurait jamais aucun moyen de le savoir.Elle resterait toujours persuadé que les fantômes de Poudlard étaient supposé les aider.

C’était étrange, soudain elle eu la sensation d’être aspiré d’un rêve. La voix de Peeves avait disparu, elle ne se souvenait même pas du moment où c’est arriver. Soudain elle c’est retourner en se demandant ce qui avait pu lui arriver et il n’était plu là, volatiliser. Après tout c’était un fantôme, un malicieux en plus donc rien de surprenant. Maze resta tout de même incertaine avant de se reprendre et continuer son chemin, elle n’allait pas perdre son temps à se demander ce qui avait pu arriver au fantôme, c’était stupide.


« Hey doucement chérie ! » Maze retira sa main du miroir aussi vite qu’elle l’avait posé. Est-ce que le miroir venait de... perler ? « Fait attention avec ta baguette, tu vas finir par me rayer. » Oui et il avait l’air vraiment agacer. Ne sachant pas quoi faire de cette situation, la sorcière resta la bouche en cœur devant la glace. « Hey alors ? On a perdu sa langue ? » « C’est que... » « Tu n’as jamais vu de miroir qui parle, ne t’inquiète pas chérie c’est toujours comme ça la première fois. » Vraiment l’héritière étais sans voix. Clignant plusieurs fois des yeux, elle ne bougeait plu. Devait-elle se présenter ? Faire la conversation ? Y avait-il un lien avec l’énigme ? « Ne te torture pas l’esprit, je ne suis qu’un objet ensorceler créer pour te venir en aide. » « Vraiment ? » Elle se méfiait, elle n’avait pas confiance et encore moins en un objet.


« Commence déjà par allumer ta baguette tu avanceras plus vite. » « Elle refuse de fonctionner. » « Ô, hey la défaitiste, tu as ré-essayé avant de me sortir ça ? » Voilas qu’un miroir lui faisait des remontrances. Maze avait la sensation d’être rentré dans un monde parallèle, Y avait-il des chances que cette endroits rende fou ? Souhaitant fuir e plus vite possible cet insupportable objet, elle lança un Lumos pour prouver a cette chose qu’elle n’était pas complètement stupide, et a sa grande surprise elle passa quand même pour une idiote. Sa baguette s’alluma au quart de tour quand elle lança son lumos. « Alors ? On y voit quand même bien mieux, non ? »


Maze n’allait pas le remercier, bien trop fière pour ça et heurté dans son égo. Elle serra les dents en acquiesçant car effectivement malgré tout, maintenant elle y voyait bien mieux et beaucoup plus loin. Les corridors étaient plus grands qu’elle pensait. Bien qu’elle y voyait mieux, elle provoquait des reflets bien plus fort sur les miroirs ce qui n’aider pas forcément plus à savoir où elle était, et encore moins où elle devait aller. « Tout droit. » « Pardon ? » Elle se tourna vers le miroir parlant. « D’ici, c’est tout droit jusqu’à la prochaine, tourne à droite, après c’est ton problème mon chou. » Maze ne savait vraiment pas comment s’adresser a un objet parlant, choque par une telle familiarité de sa part, alors elle prit cette opportunité pour vite quitter cette étrange compagnie. Tout droit, puis à droite et ensuite elle serait encore livré a elle-même. Fallait-il encore que le conseil soit bon, s’il fallait s’était un piège, aller savoir.