Elle ruminait toujours sur le bal du printemps. Un des comparses lui avait fait remarqué qu’un s’il vous plaît et un merci ne faisait jamais trop de mal. Elle était maintenant d’une humeur maussade et les élèves de son école l’évitaient encore plus qu’à l’habitude, si c’était qu’au lieu de son attitude glaciale invitante à la solitude, c’était maintenant une aura colérique qui les tenait à distance. Elle n’avait pas de temps à se soucier ces idioties alors que la seconde épreuve approchait à grands pas et qu’elle n’avait toujours pas ouvert ce cylindre. Plusieurs avaient offert de l'aide et même son directeur avait fait mention que deux têtes vallaient mieux qu'une seule, mais solitaire comme elle l'était, la sorcière préférait travailler seul et s'entraîner seul. Orgueuil mal placé ou pas, ce n'était pas du jour au lendemain qu'elle allait changé la façon dont elle procédait dans la vie de tous les jours.

C’est amusant comme quand on est enfant, on rêve de vivre de grandes épopées. Chasser des vampires, combattre des dragons, chevaucher cheveux ailes, alors que finalement en grandissant on aimerait juste rester dans son lit jusqu’à la fin de sa vie. Maze se souvenait de son enfances, des légendaires lectures qui rythmer ses heures solitaires. Rêvant d’aventures et d’acte héroïque. Quand elle aperçu une acromantule sonnet le retour des immondes dames, Maze réalisa à quel point un enfant est stupide. Innocent, naïf mais sur tout stupide. Sa vie n’était pas assez compliquer, elle en était arrivé là, dans cette forêt, une nouvelle fois encerclé par les immenses bêtes à nuits pattes. Le sentiment de déjà-vu lui provoqua un nouveau haut-le-cœur.

« Trahison. » La monstrueuse voix la fit vibrer, l’angoisse faisant rapidement son retour. Pourtant elle était étrangement plus calme, peut être à cause de l’épuisement, ou du fait que finalement elle ne faisait que retrouver de vieille amies. « J’ai seulement eu le temps de me faire courir après ces.... choses » ce défendit-elle, terroriser mais tout de même irriter. « Les créatures d’Hagrid. » « Qui ? » « Il était un ami. » Les réponses étaient courte, sans appel. Pas vraiment de quoi faire une conversation et très franchement Maze ne savait pas ce qu’elle essayé de faire. Gagner du temps pour ne pas mourir tout de suite peut être, dans le doute il valait mieux suivre son instinct. « Ce sont des amis à vous ? C’est vous qui les avait envoyé ? » « NON ! » Le frisson qui traversa la championne nut rien à voire avec la fraîcheur du matin. Elle avait visiblement toucher une corde sensible. « Ce sont de basse vermine. Ils les ont laissées envahir notre maison, mais leur gout est putride. Ils ce sont jouer de nous. » Du coin de l’œil Maze voyait bien qu’encore une fois ses chances de fuite étaient nul. La grosse, peut être la reine mais elle n’en savait rien, parlant toujours pour les autre. « Ils... les organisateurs du tournoi ? » « Oui, ils nous ont promis de la nourriture. Beaucoup de nourriture. Nous n’avons eux que les parasites d’Hagrid et toi. » A cette dernière affirmation les pinces des araignées tout autour se mirent à clapoter d’excitation, rendant Maze plus que nerveuse. La sueur coulant le long de son front pour venir faire bruler ses petites plaies. « Ils on mentis, les humains mentent TOUJOURS. » La championne ressentis bien la critique diriger à son encontre et elle avait envie de lui crier à quel point elles étaient stupide de l’avoir crue, c’était si évidant qu’elle ne le ferait pas, seulement elle imaginait que ce qui l’avait sauvée c’était cette incapacité des créatures a discerné le bien du mal. Quelque part elle comprenait pourquoi elles en avaient contre les humains et sur tous les organisateurs du tournoi, seulement elle ne pourrait jamais leur faire comprendre qu’elle était elle aussi une victime. De toute façon ça ne changerait rien pour elle, Maze n’imaginer pas qu’une acromantule puisse ressentir de la compassion ou quelconque autre sentiment que celui du plaisir de la chaire, de la colère et la trahison.

Quand elles se rapprochèrent d’elle, l’héritière leva les mains en signe de rédissions, sa baguette en main, mais diriger vers le ciel, coincer entre son pouce et son index. « Att... attendez ! » Son accent étranger était de plus en plus difficile à maîtriser, sa salive se coinçant dans sa gorge. Au moins elles se stoppèrent, bien qu’au bruit elles étaient plus que contrarier. « Je peux... je peux vous en débarrasser. » À l’intérieur elle pleurait, elle n’avait aucune idée de ce qu’elle faisait. Quand elle est arrivée a Poudlard en début d’année scolaire, Maze fut éclairé sur le système des maisons, leurs fondateurs et leur représentation. Les Gryffondor étaient brave, les Poufsouffle fidèle, les Serdaigle brillant et les Serpentard audacieux, rusé même. Elle avait joué le jeu du choixpeau, il avait lu en elle et choisie la maison verte et argent. À cette instan précis Maze trouvait qu’elle aurait aussi pu faire partie des Gryffondor, stupide et courageux. Elle mourrait dans cette forêt, dévoré par de monstrueuse créatures, quelle honte, son père dirait. « Les choses putrides d’Hagrid, elles sont proches, je peux... je peux vous en débarrasser. » « Pas besoin de toi. » Oui, ça elle s’en doutait. Elle aurait au moins essayé.

Tout se joua en quelque secondes. Quand la colonie qui l’entouré se referma en étaux, l’instinct de survie de Maze pris le dessus. Puise que cela avait marché plus tôt elle lança son fameux « 세프 센서 ! » faisant jaillir un serpent magique de sa baguette. Contrairement à la diversion qu’elle avait imaginé avoir, le serpent ridiculement petit face aux immondes araignées géantes provoqua la panique au sein de leurs rangs. La championne ne perdit pas son temps a observé cette étrange fais et se mit à courir par le premier espace repéré entre les acromentule. « RATTRAPEZ-LA ! » Elle fuit, prenant les jambes a son cou, et bien qu’elle n’était pas sur un sol couvert de toiles collante, elle avait l’impression d’aller au ralenti. Peut-être à cause de sa jambe qui faisait des siennes, peut être à cause de l’épuisement ou par ce que les acromentule qui la poursuivait aller à une allure dangereusement rapide. Maze enchainer les sorts derrière elle sans regarder, elle ne cherchait pas vraiment à les supprimer mais gagner du temps comme pour les « créatures d’Hagrid » mais cette fois sa malchance c’était que les acromentules sont loin d’être stupide. Alors entre deux incendio et serpensortia l’héritières eu un flash de souvenir. Louis Weasley, ce jour là au parc, il leur avait compté comment sa mère et son oncle avait vécu leur épreuves. Maze ne fut jamais aussi reconnaissante en vers sa petite sœur pour être amis avec la moitié de l’école. Tout en courant, et contournant des sauts d’acromentules, elle dirigea sa baguette vers le ciel « Accio balai de l’école ! » Sur le moment rien ne se passa, laissant Maze incertaine de si ces vieux balais n’était finalement pas protéger par Poudlard, ce qui serait bien sa veine. Si elle seulement elle avait eu son balai ici, mais il était chez elle en Corée, c’était si stupide. C’était fini pour elle. Trébuchant, ce prenant le pied dans une racine, elle tomba lourdement a terre. Les cliquetis tellement fort dans ses oreilles qu’elle n’avait pas besoin d’ouvrir les yeux pour savoir à quel point les acromentules étaient proches. Elle n'était pas franchement prête à mourir dévoré de la sorte, mais visiblement contrairement a ce que disait son professeur de métamorphose, son destin était déjà écrit

Ouvrant les yeux, elle cru bien que la dernière chose qu’elle verrait fut cette pattes d’acromentule qui aller la transpercer. Le coup n'arriva jamais jusqu’à son crâne, enfaite l’acromentule fut bousculé par une de ses sœurs, elle-même échappant à la frappe d’un vieux balai arrivant à toute vitesse. Pris par l’adrénaline, Maze attrapa au vol le manche du balai qui continua sa route sans relâche. Au début elle mangea de la terre avant d’arriver a monté sur le Brossdur à la force de ses bras, et s’y mettre à califourchon. À toute vitesse elle fut reconnaissante de toutes les heures de vol qu’elle avait eu au Japon. Un Brossdur, sur tout dans cette étas n’allait pas à une vitesse supersonique mais son maniement n’était pas simple, sur tout dans le piteux état dont la sorcière était. Slalomant entre les arbres de la forêt au maximum de la vitesse que ce balai le lui permit, la championne finie par ne plus entendre les cliquetis qu‘en bruit de fond. Regardant par-dessus son épaule elle n’aperçut plu l’ombre d’une acromentule. Cependant cette perte d’attention d’une seconde lui suffit pour se prendre un arbre à pleine vitesse. Le manche du balai explosa contre le tronc de l’arbre, expulsant la jeune sorcière à plusieurs mètres. Elle roula sur le sol caillouteux ne pouvant se stopper jusqu’à finir à plat sur le dos, la sensation que tout ses os étaient brisé, la peu en feu, et ne sentant même plu sa jambe droite. 
Un soupir lui échappa, suivit de plusieurs gémissements de douleur quand elle essaya de bouger un membre de son corps. Quelque secondes passèrent avant qu’elle ne retrouve vraiment la notion des choses. Elle c’était fortement cogner la tête, lors ce qu’elle tenta de se redresser elle se rallongea sans forcer, la vision brouillée, son crâne la lancent affreusement. Hors d’atteinte des acromentules, elle aurait pu rester là, dans la tranquillité, simplement ce vidé de son sang lentement. Cela lui paru être une bonne option sur le moment. Surement un contre coup du mélange de terreur, adrénaline et épuisement.

Dans sa situation la sorcière aurait pu croire à une illusion quand elle entendit proche d’elle des bruits. Comme des coups dans la terres. Comme un martèllement. Peut-être même des... sabots ? De plus en plus répétés et fort, comme si on s'acharnait sur quelque chose. Avec effort Maze tourna la tête vers le bruit. Au début avec le brouillard devant ses yeux elle n’aperçut qu’une masse grisâtre, légèrement beige. Puis forcent son regard elle fini par distingué un gros animal, quatre pattes, des ailes, un bec. Retenant sa respiration elle observa l’hippogriffe continuer de creusé la terre en quête d’insecte pour se nourrir. S’il c’était rendu compte de sa présence, il avait l’air de pas s’en soucier, s’occupant de ses propres affaires. Maze ne savait pas grand-chose sur ces créatures. Elle ne savait que ce que tout le monde en disait. C’était des créatures fières, dangereuse si on leur manquer de respect. Dans sa position difficile de prouvé le moindre signe de politesse. En regardant l’animal fantastique continuer sa quête, l’héritière aperçue avec effroi sa baguette derrière ses sabots. Par réflexe stupide elle regarda sa main, vide par l’absence de son outil le plus précieux. Non seulement elle était maintenant sans défense, mais en plus si l’hippogriffe reculer et marché dessus il la briserait en un seul coup.

Il fallait prendre une décision. La créature était à plusieurs mètres, si elle avait eu sa baguette, au pire elle aurait trouvé un moyen de faire diversion et aurait rampé quelque part pour éviter toute confrontation, mais là… ça devenait épineux. Elle n’avait pas survécu à une colonie d’acromentule par deux fois pour finir achever par un hippogriffe. Quoi que, quelque part son épopée aurait était si épique qu’il n’y avait vraiment plu de honte à mourir dans cette forêt. Elle ignoré comment s’en sortait les autres champions, mais elle cette balade en forêt commencée à devenir de plus en plus hasardeux, lui demandant un héroïsme qu’elle ne c’était jamais imaginer avoir.

Bien sur quand elle fini par se redresser l’hippogriffe se dressa lui aussi, l’observant droit comme un piquer. Maze s’assit en s’aidant d’une main, levant l’autre en signe amicale. « Je… je ne te veux aucun mal. » Il ne fallait vraiment ni qu’il panique et fui, sinon s’en était fini pour sa baguette, ni qu’il charge parce que s’en était fini pour elle. Enfaite, elle n’avait aucune autre option que… non, enfaite, elle ne connaissait pas ses autres options. Maintenant à genoux, retenant ses gémissements de souffrance elle levait les deux bras pour lui montré qu’elle n’était pas hostile. De toute façon vu son état physique, couverte de sang et de plaie en tout genre, c’était dure de le croire, mais Maze n’avait pas idée du degré d’intelligence d’un hippogriffe. Plutôt élever à ce qu’on dit, comme un cheval, mais fière comme un paon. « Je ne te ferais pas de mal. C’est promis. » D’abord il tapa du sabot, les ailes en arrière et Maze cru que son heur était une nouvelle fois venu. Sur le moment elle se pencha alors, comme pour prier, les deux mains sur le sol. Enfaite ce fut plus dans une veine tentative de se protéger d’une éventuelle attaque qu’autre chose.

Maze imagina qu’elle allait finir par voir la lumière. Sa tête baissait lui donnant la sensation d’être du un bateau en pleine houle. Elle entendait les coups de sabots se rapprocher, les mouvements de plumes, mais pas de fracas. Respiré lui paru impossible quand elle senti la massive présence du fier animal au-dessus d’elle. C’est là qu’elle senti son haut de maillot aux couleurs de Poudlard, ou ce qu’il en reste, ce faire tirer. Maze n’essaya pas de résisté et obéi au clair ordre de l’animal de se redresser. Lentement, elle se retrouva face à la tête baisser de l’hippogriffe. Quand leur regard se croisèrent elle ne le quitta plu des yeux en se levant. Elle fit tout son possible pour ne pas grimacer alors qu’elle se dépliait douloureusement et se tenait maintenant sur ses jambes, dont une complètement foutue. Ils étaient maintenant face à face et Maze ne savait nullement quoi faire, si c’était positif ou simplement il lui laissait une chance de se battre dignement. Vraiment, elle n’avait plu le cerveau assez irrigué pour penser.

Cela avait été un drôle de réveil. Extirpé de son sommeil, par un jeune sorcier de sa maison, Arwin avait dû se lever tôt, pour constater qu’un vase avait été brisé durant la nuit.
Être préfet, avait de nombreux avantages, mais aussi les pires inconvénients. La plupart du temps on le sollicitait pour des commérages, des petites disputes et surtout pour panser de petits bobos ridicules. Materner les premières années était un travail éreintant.
Après s’être assuré que personne ne se couperait les pieds et qu’aucun autre dégât n’était à déplorer, Arwin avait regagné son lit, en se glissant de nouveau dedans avec délice. Malheureusement pour lui, cette quiétude ne fut que de courte durée, alors que toute la chambre s’animait avec exaltation à l’idée d’assister à la deuxième épreuve.
Le nez sous ses draps, Arwin songeait à l’héritière des royaumes d’Asie. Il n’avait toujours pas vraiment d’avis la concernant, si ce n’était qu’il espérait au fond de lui, qu’elle ne serait pas de nouveau victime de malchance. « Malchance », ce simple mot le fit grimacer, avant qu’il ne s’empresse de regagner la salle de bain pour y laver ses pensées.

Peu efficace pour chasser ses inquiétudes, la longue douche qu’il avait prise, l’avait mis suffisamment en retard, pour arriver une fois la deuxième épreuve commencée.
Non sans une certaine lassitude, Arwin avait commencé à monter les escaliers. Il n’espérait pas vraiment trouver une place assise, tout ce qu’il souhaitait été de se placer suffisamment assez haut pour avoir une vue d’ensemble sur les écrans de fumée qui retranscrivaient l’action.
Pour le moment, tous les regards étaient rivés sur la championne de Poudlard et sans grande surprise, elle jouait encore de malchance.

« À ce niveau-là… S’en était presque de l’acharnement» s’était contenté de verbaliser tout ça mentalement le serdaigle. Les mains dans les poches, il s’était appuyé contre la rambarde. Sans grande conviction concernant le dénouement de tout ceci, son regard s’était porté vaguement vers le public et c’est là, à cet instant précis qu’il remarqua enfin sa présence; Sianyde Llansawell et son insolante beauté.
Cela faisait un moment qu’ils ne s’étaient pas parlé, vus, tout au plus, croisés, pour être au plus près de la vérité. Ses nouvelles responsabilités aux côtés du professeur de défense contre les forces du mal, l’avaient écarté, à grands regrets, d’un chemin qu’il se serait bien plu à cheminer en sa compagnie.

Dans une profonde inspiration, il s’était donné la force d’aller vers elle. Une simple impulsion du pied sur la rambarde, avait amorcé l’élan nécessaire, sans pour autant lui donner la force d’élaborer une stratégie pour aborder les deniers événements. Comme toujours, elle le poussait dans ses retranchements, en le mettant au pied du mur.
Dans une reprise d’air difficile, il avait passé finalement sa main sur son visage, pour tenter d’effacer le masque d’incertitudes qui avait déformé ses traits. C’était, à proprement parler, effrayant de voir cette place qu’elle avait su ravir, cette importance qu’elle avait prise si naturellement et s’il s’en était rendu compte tardivement, il ne pouvait s’en plaindre qu’à lui-même.

Les yeux dans le vague, il avançait. Il tâtonnait sans savoir par quel angle attaquer le douloureux sujet de cette journée où tout avait basculé pour lui.
Les souvenirs refaisaient surface, dans la désagréable impression de revivre cet instant où il l’avait vu elle, sortir de cet aparté avec Barnes.
Bien sur, ils avaient parlé, rapidement, entre deux cours, furtivement, pour ne pas attirer l’attention, juste assez, pour annoncer que leurs plans étaient changés, maintenant qu’il avait la boîte en sa possession.
Avait-il formulé cela de façon si rapide et confuse, qu’elle avait cru bon après de devoir l’éviter. « Éviter » ce mot raisonnait étrangement, dans une sensation qui avait finit par lui nouer la gorge.

Sans un mot, Arwin avait enjambé le banc sur lequel la serpentard était assise et sans même enlever les mains de ses poches, il s’était lourdement laissé tomber à ses côtés.
Le nez, dans le col d’un sweat-shirt gris, il cherchait encore à agencer ses pensées. Elles volaient en tout sens, dans un joyeux chaos qui avait finit par le faire renoncer à y trouver de la logique.

La tête basse, à peine visible sous sa capuche, les yeux rivés vers ses baskets, Arwin avait fini par se résigner à formuler les seuls mots qu’il avait envie de prononcer;

« Tu me manques… »

Les hippogriffes étaient des créatures originaire d’Europe, cependant Maze avait déjà visité l'élevage d’hippogriffe domestique de l'empereur de Chine, avec son père quand elle était petite. Elle ne se souvenait de pas grand-chose. Uniquement qu’elle ne pouvait pas lui tournée le dos, sinon c’était fini. Il fixait la sorcière de ses grands yeux comme s’il attendait quelque chose, bougeant la tête comme un oiseau le ferait. L’héritière décida de prendre son courage a deux mains et de faire un pas vers la créature. Qui se mit a s’agiter. Ce n’étais probablement ça qu’elle attendait. Maze se stoppa, s’inclinant en levant les mains, gardant les yeux sur l’hippogriffe. Cela le calma, alors elle s’inclina plus encore lui faisant une révérence totale. Contre ce qu’elle avait pu imaginer, il répondit positivement à ses avance et s’inclina a son tour. « Tu es gentil n’est-ce pas ? » Bien sûr il ne répondit pas, mais la laissa s’approcher. Son but étais de pouvoir le contourné pour récupérer sa fichue baguette. Elle aurait pu essayer la magie sans baguette, bien meilleur maintenant grâce au soutient du professeur Kama et aux nuits blanches à s’entraîner, mais le risque de faire paniquer la créature était trop grande. « Tout doux. Tout doux. » Quand elle fut assez près, elle leva les mains, puis fit un pas sur le coter pour tourner en cercle autour de lui, espérant qu’il continuerait a la suivre du regard et lui permette d’atteindre l’objet tant convoité. L’hippogriffe tout à fait détendus lui donna alors un coup de tête amicale sur l’épaule, pensant certainement qu’elle jouait. Maze se crispa d’abord, bien qu’elle fît un pas en arrière sous le coup. Puis elle ce repris en riant, prenant conscience qu’elle avait peut-être réussi a gagné sa confiance. « Hé, doucement. » Elle se risqua même a le caresser et quand il fut réceptif, elle soupira soulager. « T’es un gentil toi hein ? Tu es bien le premier. » Jusqu’ici on ne pouvait pas dire que son expérience avec les créatures de cette forêt furent positive. Doucement elle continua de bouger vers sa baguette, prenant soin de ne pas se détourner de l’hippogriffe trop longtemps, croupie et la repris. Elle se sentit quand même beaucoup plus sereine une fois le bâton au creux de sa main. Il fallait qu’elle stop son hémorragie au niveau de sa tempe, alors elle jeta un Episkey qui ferma partiellement la plaie.

« J’ai besoin de boire. » Dit-elle à son nouvel ami. Qu’importe qu’il comprenne ou non, cela lui faisait du bien de parler à autre chose que des créatures voulant sa mort. Il vint à nouveau la bousculer gentiment avant de lui présenter son dos. Elle avait un vague souvenir de son enfance, et resta incrédule. « Vraiment ? » L’animal insista en tapant du sabot, et Maze n’allait pas prendre le risque de le vexer. Il était immense par rapport a son gabarit, elle du grimper sur lui avec tout le peu de force qu’elle avait. Elle avait peur de lui faire mal avec son attelé, mais finalement elle fini à califourchon sur son dos, ou plutôt à moutier étaler quand il se mit à galoper à travers les arbres. « Attend ! » Mais rien n’y fit, elle du s’accrocher à ce qu’elle pu, sur tout quand il décolla. Ils passèrent à travers les branches avant de survoler la forêt et voir enfin les couleurs du jour. La chaleur des rayon du soleil passant entre les nuages lui semblèrent irréelles, c'était agréable. Maze n’avait pas le vertige mais elle n’était sincèrement pas à son aise sur le gros animal. De là où elle était elle pouvait voir qu’elle avait déjà parcouru plusieurs kilomètres, le château étais loin, elle ne pouvait même pas apercevoir les gradins. Soudain l’hippogriffe piqua vers la forêt, laissant le crie de surprise de la sorcière se coincer dans sa gorge alors qu’ils atterrissaient à grande vitesse au bord d’un point d’eau. Probablement là où il venait lui-même ce désaltéré.

Maze défendit du dos de la créature, désarçonner, mais reconnaissante. « Merci. » Sans attendre il s’envola, la laissant dans un nouvel endroit totalement inconnu, encore plus loin que prévu. La championne décida de faire ce pourquoi l’hippogriffe l’avait mené ici et alla au bord de l’eau s’agenouiller. Posant sa baguette, elle y plongea les mains, nettoyant la boue et le sang, puis fit de même avec son visage, et finalement bu un peu. Cela lui fit le plus grand bien, l’effet de l’eau sur sa peau fut une vraie renaissance pour elle. Absorbé par son rafraîchissement, elle entendit à peine le bruit d’en face d’elle. Ce ne fut que quand elle entendit quelque chose tomber dans l’Eau quelle réalisa vraiment et leva la tête si vite qu’elle sentit ses vertèbres craquer. « C’est. Une. Blague. » Sifflât-elle entre ses dents, exaspéré. Des « créature d’Hagrid » se battaient de l’autre coter du cour d’eau. Comme la première fois ils ne c’étaient pas rendu compte qu’elle était là et elle n’avait aucune envie que cela change. Elle avait cette fois la chance d’avoir un élément naturel qui la protéger et vu l’état de la chose qui avait chutée dans l’eau, ces bêtes là ne savaient pas nager.

Lentement, avec le calme d’un jeune fille qui venait déjà de traversé l’enfer, elle reprit sa baguette, puis se redressa doucement. Si elle avait compris une chose c’était que ces créatures magiques étaient aussi stupide qu’on pouvait l’être. Maze essayer de la jouer la plus finement possible, prenant le temps d’analyser ses options et porte de sortie tans qu’elle le pouvait. Physiquement elle ne pouvait plu se permettre de se battre, pas tans qu’elle ne récupérait pas un peu. Maze fit un pas en arriéré, puis deux puis encore, s’éloignant petit à petit. Les choses se battaient toujours entre elles, comme les stupides choses qu’elles étaient. C’était sa chance, mais elle n’était pas prêtres à ne pas assuré ses arrières. Alors d’un « confundus » envoyer sur la plus grosse de ces choses, elle s’assura de pouvoir complètement les faire s’entre tuer et lui laisser le temps de disparaître. Assez loin maintenant, elle se retourna et s’introduit de nouveau dans la forêt.

D’une façon ou d’une autre Maze avait un profond désir de meurtre à l’encontre des organisateurs de ce jeu. Un jeu c’était supposer être un minimum amusant, là elle avait du mal à rire.

Marchant lentement entre les arbres, elle se pensait en sécurité, assez loin des créatures les plus stupides qu’elle n’aurait jamais pensé croiser de sa vie. Pourtant elle avait rencontré les trolls des monts Taebaek, autant dire un sacré niveau de bêtise. Soupirant soulager elle pris quelque seconde pour enfin essayé de respirer. Une seconde de trop, elle c’était crue hors de porté des « créatures d’Hagrid » mais voilas qu’elle les entendait lui courir après. Elles avaient donc belle et bien réussit a traversé et l’avait vu, ou en tout cas, elles arrivaient. Prononcent plusieurs insultes bien salée dans sa langue maternelle, Maze pris ses jambes a son cou. Plutôt, sa jambe valide, boitant comme si elle n’avait plu d’attelle, le mécanisme obsolète maintenant que la douleur était revenu. Sa vitesse était probablement égale à cette d’un escargot en pleine effort, autant dire ridicule. Les insectes géants a ses trousses quatre à cinq fois plus rapide, et cela même s’il perdait leur temps à se battre entre eux. Leur bon et explosion les aider étrangement à gagner en vitesse. Quand elle commença à en voir autour d’elle, la jeune sorcière se remit à tiré les sortilèges d’attaque, puis de défense, un protègo bien placer fit rebondir une de ses choses sur ses sœurs. 
Un vrai champ de bataille. D’autant plus quand entre les explosions, cliquetis et bruit de sort, la sorcière pu distinguer un énorme fracas. Comme une horde de cheval au galop. Le sol en tremblait, alors que des cris se firent entendre avant de voir des flèches fuser dans tout les sens. Les insectes furent transpercés de toute les coter, Maze se jeta à terre dans une veine tentative de se protéger, mais ne pu dévier la flèche qui se planta en plein dans son épaule. Le crie de douleur qui lui échappa fut étouffé par la bataille qui se dérouler autour d’elle.

Rampant sur le coter contre un arbre, elle regarda autour d’elle impuissante les nombreux centaures venir se battre. Elle eu de la chance de ne pas ce faire piétiner, ou prendre une autre flèche perdu. Si tant est que la première ne soit pas tout à fait délibéré. « Repoussez-les ! » Pouvait-on entendre les hybrides crier. Clairement peut impressionner par ces choses, ils finirent par reprendre leur territoire, ne laissant sur le champ de bataille que des cadavres de ces créatures immondes, et elle.
Maze regarda la flèche plantée dans son corps, elle n’osa pas la toucher, le sang couler déjà assez, mais elle ne pouvait pas garder ça. Fébrile, elle mit sa main dessus, puis serrant les dents, brisa le bois. Son gémissement ne fut pas étouffer comme elle l’aurait voulu, et elle s’attira l’attention de la horde de centaures, se présentant alors à elle, haut et fière. « Toi ! Ce son nos terres que tu foules. Nos terres que tu souilles. » L’héritière se sentait toute petite à la merci des créatures armées, bléser, dans un état pitoyable. « Je… je suis désolé. » Elle avait la sensation d’avoir passé son temps à s’excuser, perdre son sang et courir pendant cette épreuve. « Désoler, ne suffis pas ! » La voix grave était sans appel, mais la sorcière n’était pas en état de tenir une meilleure conversation. Entre sa tête, sa jambe et maintenant son épaule transpercée d’une flèche, elle était à bout. « Je n’ai pas cherché à venir ici, j’ai juste besoin… » elle essaya de trouver son souffle. « J’ai besoin de trouvé quelque chose. Je ne faisais que me défendre. » « Les astres nous ont prévenu, les sorciers viendrais détruire notre sanctuaire. » « Je voulais... juste... je... je... » Maze s'évanouit, incapable de pouvoir continuer.


L’épuisement, la perte de sang et son coup à la tête avaient finalement eu raison d’elle. Ce que firent les centaures fut une énigme pour la sorcière. Tout ce dont elle se souvint ce fut d’avoir ouvert les yeux au bord de l’eau qu’elle avait quitté avant la poursuite des insectoïdes. Son épaule sans plus une trace de la flèches, mais embaumer d’une sorte de pattes gluante sur la plaie, ainsi que sur sa tête là où elle avait frappé le sol de son crâne. Est-ce que les Centaures avaient eux pitié et choisie de lui venir en aide ? Eux qui lisaient l’avenir et les astres avaient peut-être décidé qu’elle était autant une victime que le reste d’entre eux dans cette histoire. Maze fut soulagé de ne pas être morte, et soigner, même si ça n’était que partiellement et sa santé étrangement fort. « Merci. » Dit-elle au vent, s’adressant à la nature qui, elle commencé à s’en douter, avait des oreilles. Elle ignoré comment elle allait trouver ce qu'elle cherché, mais à ce niveau de la compétition, elle voulait juste s'en sortir vivante.