Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Daisy WellingtonEn manque d'inspiration
Singularité : Métamorphomage
Orientation :
Statut civil : C'est compliqué !
Activités : Référente du club de Botanique
Ancienne Joueuse de Quidditch amatrice devenue arbitre
Créatrice de cosmétiques (Sous la marque Daisyllusions)
Membre de la société des sorcières en détresse
© : Elio
- Hey mais ... vous m'avez léché le visage !
J'essaye de retenir ma grimace mais la couleur pétrole de mes cheveux est éloquente. Le contraste entre l'animal joueur et joyeux et l'austérité affichée par l'homme retransformé est saisissante et me pousse à ne pas insister. Je me frotte une fois de plus la joue avec la manche de mon peignoir et fais un effort pour passer à autre chose. Heureusement la perspective de la fin de journée à venir est plutôt réjouissante.
Je laisse Marcus se diriger vers l'entrée et protéger notre domaine et me tourne d'une volte enthousiaste vers les autres.
- Oui la température de l'eau est parfaite ! Je vais y retourner dès que possible !
Même si je n'y ai que vaguement trempé les pieds pour l'heure. Je m'adresse à la future maman avec un sourire rayonnant, choisissant de ne pas rebondir sur les questions (légitimes) de Elisabeth sur les changements de couleurs de notre amie.
- Le voyage s'est bien passé ? Vous avez envie qu'on vous aide à faire le tour du propriétaire ?
Je ne suis pas certaine de pouvoir retranscrire fidèlement tout ce que nous a dit la propriétaire mais je ferais de mon mieux.
- Il y a des appareils non sorciers pour faire du thé ou du café. Je vous en prépare un ?
J'ai lancé la dernière question à la cantonade, levant la voix pour que Marcus puisse éventuellement me répondre de là où il est. Selon leurs réponses, je me tiens prête à endosser le rôle de guide ou de barista.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Léto P. CarrowMinistère (administratif)
III - Employé de bureau
Singularité : Animagus déclaré
Orientation :
Statut civil : Fiancée sous contrainte, maman
6 mai 17h20 cottage |
Etre en colère pour un changement de forme imposé relevait de la puérilité équivalente à celle de courir partout et lécher les gens en forme de canidé. Les épaules se haussèrent, peu sensible à l’égo meurtri du jeune homme boudeur, soupirant dans un sourire en coin. « Oh oui pardon, peux-tu cesser, je te pris mon Amour, de te comporter comme un cabot ? » Pointe malicieuse glissant sur la langue ourlant les lèvres d’amusement visible. A savoir ce que le divertissement embrassait le plus était complexe à définir, la tête de Daisy outrée d’être couverte de bave, celle de la rouquine s’interrogeant sur les nuances capillaires ou l’affront plissant le museau de l’amoureux, Léto n’aurait su dire.
Dodelinant de la tête pendant les instants de confusion générale, la demoiselle arborait un large sourire lumineux à la rousse dubitative. « Ho oui, le sortilège n’était pas destiné à durer toute la journée. » L’ébène de ses mèches lui plaisait bien plus que l’or trop voyant dont elle avait affublé sa crinière ondulée. « Et puis ca aurait négligé dans l’eau si la couleur s’évaporait en plein milieu » aucune possibilité que cela ne puisse arriver. La frimousse malicieuse se retourner en direction de l’amant ronchon une fois de plus. « Tu as entendu ça ? L’eau est à température parfaite ! Allons y tant qu’on peut profiter du soleil » Si l’invitation était fortement tendue, la jeune maman ne comptait absolument pas faire l’impasse sur le luxurieux jardin qui l’attendait. Après tout, l’aménagement avait motivé sa sélection.
« Un jus de citrouille ? Hum.. Nan… fraise si y’a ? » S’occuper de ce genre de détail ne l’intéressait absolument pas, et dévoilant une esquisse poli, la brunette prenait la route vers l’extérieur, adressant un dernier coup d’œil au jeune Auror «En tout cas moi j’y vais, il parrait que les remous chatouillent » Petite provocation quant à l’interdiction d’utilisation de jacuzzi pour les femmes enceinte. « Vous venez Miss ? » Œillade à Elisabeth, tendant l’oreille pour voir si la proposition nourrissait une pointe de jalousie chez Daisy qui jusqu’à présent avait toujours été très discrète sur cette relation.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Elisabeth McGrahamEn manque d'inspiration
- Singularité : Sorcier / Sorcière
Orientation :
DC : Charlotte Laurent
« Oh ? » les bras se croisaient sous la poitrine alors que l’épaule venait nonchalamment s’appuyer contre le pan de mur du salon. Quel était donc cette répartie puéril de Matthew ? Typique des sang-purs… Elisabeth avait eu le malheur de côtoyer certains spécimens de qualité durant sa jeunesse, gonflant les joues, bombant le torse, se pavanant derrière leur titre, ne jurant que par la baguette, refusant d’assumer les fautes et les échecs et cherchant systématiquement à rabaisser les ‘sang de bourbe’ comme elle… Mais la rousse avait vieillit, pris en maturité et en expérience. Tout ce que la réaction offusqué de Matthew pour son manque de talent provoquait chez elle était un simple rictus hautain et amusé. Nul doute que la parenté aurait vite fait de le faire grandir et assumer ses responsabilité. La jeune Caroline aussi se chargerait de le faire rentrer dans le rang avec autorité mérité.
Un hochement de tête affirmatif répondait à l’explication du sortilège de coloration comme soupçonné.
Air bougon bien vite effacée par le pouvoir magique émotionnel et coloré de la pétillante Wellington, qui accaparait de nouveau rapidement toute la concentration d’Elisabeth.
Proposition de thé égaillant les tâches de rousseur. Après avoir laissée la jeune maman faire sa sélection, la chafouine passait de près de sa blonde changeante, laissant une main baladeuse lui frôler la hanche, cherchant à ajouter quelque nuance à sa crinière de façon provocatrice, se penchant à son oreille pour lui susurrer les mots doux « Tu sais quel thé je préfère... » deux réponse était possible, l’une devrait attendre la soirée, l’autre avait des flagrance de placard à balais…
Et la proposition de Caroline tombait à pique, il ne fallut qu’une brève seconde à la rousse pour accepter, percevant l’attention derrière « Donnez moi une seconde, que je me change » Elisabeth était d’humeur joueuse cette après midi et après avoir refusée dans un premier temps la baignade avec sa dulcinée cela ne rendrait que plus intéressante les choses.
Jeu de hanche volontaire en allant récupérer les achats dans l’entée prenant soin de dissimuler le choix du maillot (le plus sage bien entendu). Rapidement changement à l’abri des regards avant de rejoindre la jeune maman dehors.
Mains tendu avec attention lui proposant son aide pour se glisser dans le bain à remouds « Je vous aide ? Dite moi si vous désirez moins de bulles » bénédiction de la technologie faisant partie des attributs de la née-moldu et attention protée au bien être du bébé « Votre chère Matthew doit être entrain de fulminer » sourire narquois à la provocation tissée pour les deux compagnons, elle qui n’avait absolument aucun intérêt pour la brune et appréciait simplement ce petit jeu.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Marcus GraystoneMinistère (terrain)
III - Auror
Singularité : Animagus déclaré
Orientation :
Statut civil : Papa
DC : Malicia Addams
Si elle pensait s’en sortir comme ça.
Traversant le petit domaine pour observer les hautes haies, les grilles de fers, les sécurités moldus sur les portes et fenêtres, l’apprenti auror ruminait en lançant ses sortilèges. Qu’on se le tienne pour dit, il n’y avait rien de plus humiliant et douloureux que de se faire forcer à reprendre sa forme humaine. Et voilà que sa douce osait lui faire un tel traitement. Devant témoins qui plus est. Si elle n’avait pas été si enceinte, il lui aurait probablement couvert le visage de bave canine pour se venger. Lui et son orgueuil bafoué avaient préféré tirer sa révérence, refusant poliment le thé proposé par Miss Wellington et laissant les filles à leur bain de bulle.
Le bain de bulle. Il l’avait presqu’oublié celui-là. Voilà que l’image de Léto disparaissant sous une épaisse couche de bulle bouillonnante s’imposait à son esprit. Et cette image était loin de lui plaire. Abandonnant ses sortilèges, il contourna la haie de son petit pas de jogging, donnant l’impression d’être un moldus en pleine séance de sport, arrivant juste au moment où la sorcière posait la question sur le sujet de l’heure.
-Pas trop de bulle!
Et voilà qu’il arrivait avec sa tête de briseur de party. Sourire jovial pour essayer de mieux faire passer le refus, il s’approcha de la chose bouillonnante, plongeant le bout des doigts dans l’eau qu’il trouva aussitôt trop chaude.
-C’est très chaud tout ça.
Plus chaud ou moins chaud que les bains de la salle des préfets? Tiens, il ne s’en rappelait plus. Seul moyen de tester, enlevant ses souliers, il entreprit de rouler le bas des jeans, histoire de dégager ses mollets comme il faut avant de prendre place sur le bord de la chose à bulle.
-Vous ne trouvez pas que ça ressemble à un gros chaudron? Pour peu on pourrait vous prendre pour des petites racines qui mijotent.
Dans le cas de la méchante professeur de potion, c’était plutôt un crapaud venimeux, mais il n’allait pas jeter de l’huile sur le feu. Trop de risque de se bruler. Rigolant mentalement sur ses jeux de mots douteux, la main remonta les bracelets qui ornaient son poignet, essayant de ne pas faire mouiller les bandes de cuirs.
-L’endroit est tranquille, le premier voisin est assez loin pour ne pas poser problème et l’endroit n’est pas envahi de truc de moldus.
Moins de sortilège à lancé.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Daisy WellingtonEn manque d'inspiration
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Statut civil : C'est compliqué !
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Membre de la société des sorcières en détresse
© : Elio
Le déguisement de "Caroline" avait effectivement fini par disparaitre, causant un questionnement bien légitime chez ma Rousse. Consciente d'avoir été complice d'une petite supercherie, j'ai pour Elisabeth une petite moue désolée suivie d'un haussement d'épaule qui veut dire "je t'expliquerai !". Au moins dans les grandes lignes. Tout pourra se résumer très rapidement en une histoire d'ex jaloux toxique et dangereux.
Un mouvement général s'amorce en direction du Jaccuzi. Une décision qui me réjouit.
- Tout le monde en maillot alors ?
Si Leto avait imaginé jouer sur ma fibre jalouse en proposant à ELisabeth de la rejoindre, elle ne pourra qu'être déçue. La vérité c'est que l'idée ne me traverse pas l'esprit ! Ma chère Elisabeth s'approche de moi pour me glisser à l'oreille ce que je m'attendais à être un mot doux ... mais qui s'avère finalement être une préconisation pour le thé.
- Bien sûr !
Lui dis-je avec un sourire lumineux, ne pouvant que me souvenir du jour de notre si improbable rencontre.
- Pas d'Alihotsy ni de miel de grinchebourdon aujourd'hui. Mais pour le reste je devrais me débrouiller.
Elisabeth s'éloigne déjà avec l'air joueur que je lui connais bien alors que je prend conscience, avec une seconde de retard, du double sens possible et du jeu de provocation auquel elle joue.
- Oh, je ... !
Mais elle est déjà partie. Amusée, je la regarde disparaitre vers les chambres. Le fait que nous ne soyons pas seules m'aide à résister à l'envie de lui courir après. Sourire aux lèvres, chevelure dorée, je me concentre sur la tâche que je me suis assignée. Il me faut quelques minutes, le temps de faire chauffer l'eau, rassembler le nécessaire sur un plateau et porter le tout dehors.
Je sors alors que les deux filles ont eu le temps d'entrer dans le bouillon et que Matthew / Marcus intervient pour couvrir sa femme d'attentions protectrices et possiblement un tantinet exagérées.
- De bien belles racines alors ! Ou des belles plantes peut être ...
Le futur papa inquiet va jusqu'à rouler le bas de son pantalon pour y tremper le pied. Le geste me fait avoir un rire joyeux.
- A ce compte là, mettez donc un maillot et rejoignez nous !
Je viens poser le plateau de thé sur un rebord où il sera suffisamment stable. Une théière ventrue et quatre mugs n'attendent ainsi que quelqu'un se serve ! Thé noir aux agrumes, légèrement sucré. Loin d'être aussi bon que le mélange que j'aurais fait moi même, mais ca conviendra ainsi. Sans crier gare, j'ôte le peignoir et saute d'un geste vif dans l'eau venant naturellement occuper une place aux côtés de ma belle.
Je la regarde de coin pendant un instant, me refreinant très fort de me rapprocher encore pour trouver une petite place entre ses bras. Même s'il s'agit d'un secret de polichinelle, les règles de la relation n'ont pas changées à ma connaissance ! J'ai accepté de faire preuve de discretion en public et donc ... je reste sage !
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Léto P. CarrowMinistère (administratif)
III - Employé de bureau
Singularité : Animagus déclaré
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Statut civil : Fiancée sous contrainte, maman
6 mai 17h20 cottage |
Au moins la rouquine répondait à l’affirmative pour la baignade, son manque de tenue adéquat était bien plus surprenant qu’autre chose. Le pas léger sautillait gaiement vers le bassin où l’eau frémissait doucement, appelant les doigts à se plonger dedans. Nul doute que l’Amant surprotecteur ne tarderait pas à faire son apparition, ne manquant pas de signifier sa réprobation à cette activité que la brunette avait espéré partagé qu’avec lui. Le bout de nez se levait, cherchant de droite te de gauche où il avait pu bien disparaitre, faisant naitre à ses lèvres un sourire espiègle. La forme canine avait peut-être été reprise discrètement. S’amusant de la possibilité, les petits pieds aux ongles vernis se glissaient délicatement dans l’eau à la température parfaite. Ni trop chaude, ni trop froide, comme si Mila avait pris soin de régler le bassin bouillonnant juste avant.
A la vue des faible remous la supposition se devait être affirmation, l’elfette comme le futur papa avait mainte fois exprimer leurs résistances face aux effets des jacuzzis. Léto avait toujours ri à leurs frimousses bien trop sérieuse, promettant de n’user que de la puissance minimale. « Oui je veux bien très chère » Peu de chance que la rouquine puisse augmenter ou baisser quoi que ce soit dans cet engin moldu, que la magie avait dû brider avant même que son postérieur ne touche l’assise prévue pour une détente optimal. La précision restait discrète attendant de voir si elle avait tort, mais un sursaut né d’une voix connue parfaitement lui arracha un gloussement d’adolescente et chasse de l’esprit toute réflexion sur les sortilèges déjà mis en place.
Glissant des ambres pétillant de malice sur la bouille du jeune auror, un nouveau pouffement ne put se contraindre alors que des doigts masculins venaient jauger l’acceptabilité de recevoir sa royale présence. « Non c’est parfait, plus chaud serait encore mieux » à la limite des flammes caressantes des enfers s’amusait à penser des idées volages. « Des racines ? Que c’est saugrenu… » Petit froncement de sourcils bien trop divertis de la situation pour se bloquer en un grognement silencieux. « Ainsi tu te décides à nous rejoindre ? Ne serait-il pas plus convenable de récupérer ce qu’il faut au lieu de t’occuper du voisinage inexistant ? » Moue taquine fièrement dressée, les mirettes passant de ses mollets découvert à la fenêtre de la chambre où les vêtements de change patientaient.
Point trop de possibilité de ruminer désormais que le groupe se retrouvait au complet avec une Daisy de bonne humeur rebondissant sur le mijotage des plantes dans le bouillon et l’encourageant à passer en tenue de plage à son tour. Un nouveau petit rire amusé se laissait entendre, Daisy ne craignait pas Marcus et ne lui parlait pas avec révérence comme il avait l’habitude que son petit s’adresse à lui. Plaisante journée qui n’avait pas l’air de vouloir diverger sous les caprices du jeune homme. « Peux tu me faire passer une de ces tasse de thé qui sent délicieusement bon Matthew-chou avant de partir revêtir ce qu’il faut ? » Minois solaire redressé avec toute sa splendeur, ne lui laissant pas le choix. Faire des esclandres ici serait aussi mal venu qu’en pleine soirée mondaine.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Elisabeth McGrahamEn manque d'inspiration
- Singularité : Sorcier / Sorcière
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DC : Charlotte Laurent
Ce genre de taquinerie facile amusait sans cesse Elisabeth, et quelque part, elle se demandait si elle n’était pas devenu temporairement enseignante pour se petit plaisir sadique de torturer gentiment le petit monde… cependant, elle n’en restait pas moins consciencieuse et professionnelle. Et puis, le fait que Daisy ne laissait transparaître aucun changement capillaire indiquait certainement que la tentative de de jalousie avait lamentablement échouée...
La rouquine remarquait les coups d’œil répétés de la jeune maman, sans doute voulait-elle enfin profiter d’un moment de détente hors de la surprotection de son mari, mais d’un autre côté, cela valait certainement mieux qu’un parent moins présent ? Elle n’avait que des a priori, elle qui n’avait aucune expérience de la parentalité.
Pour l’instant, elle s’occupait surtout du confort de la jeune demoiselle, prenant toute les précautions nécessaire pour respecter le cadre de sécurité imposé et jouait de l’index sur le pavé numérique pour augmenter doucement de 2 petits degrés la température dans une succession de bip sonore, lui accordant sa simple requête.
Les aigues-marines jonglaient entre un Matthew dont les paroles inquiétés semblaient contredire son calme apparent et sa chère et tendre au caractère tout aussi, voir plus, affirmé qui lui renvoyait un regard entre tendresse et effronterie. Le minois hochait à l’affirmative, indiquant que les instructions était parfaitement comprises « Ne vous inquiétez pas, la température maximale est bridée, pour éviter les accidents » paroles sans doute sans le moindre effet pour une personne qui voyait le monde au travers un prisme médiéval, et l’occasion d’une explication technique était toute proposée alors que le jeune homme prenait timidement place sur le bord de l’appareil « Il n’y a pas de flamme la dessous, rien que des résistances et un thermostat et- » soufflement amusé alors que les mirettes se fermaient en mimant une négation : bien évidement que la née-moldue était en train de perdre son auditoire voir même le faire paniquer à l’idée qu’une machinerie infernale alimentait ce ‘chaudron’. Mais la comparaison était valable. Quand on a pas de magie, on a des méninges après tout…
Sourcil relevé à la remarque bien martial du jeune homme prêt à liquider un témoins un peu trop gênant. Elisabeth aurait certainement pu enchaîner avec un trait d’humour tout aussi noir mais préférait répondrait à Daisy qui revenait avec son plateau de thé, avec un sourire affectueux. Ce genre de petit compliments de botanique était facile mais atteignait tout de même la potioniste.
Elisabeth eu un moment de flottement alors que Daisy prenait place, elle cru apercevoir quelque chose dans son regard, une sorte de retenu qui la renvoyait directement à la soi-disant liberté qu’elle voulait laisser à la métamorphomage… Il semblait que la blonde changeante ne savait réellement sur quel pied danser alors que quelque heures au par avant, les deux demoiselles partageait une crevette du bout des lèvres. Finalement ce fut la rousse qui se rapprochait de sa belle, l’incitant à se laisser aller dans ses bras, lui glissant de quoi lui remonter le moral.
« Je me ferais pardonner ce soir... » sourire malicieux et fausse culpabilité d’avoir raté un petit moment d’intimité avec la sirène quelque minutes plus tôt, maintenant que le groupe était au complet dans le ‘chaudron’.
« Avez-vous prévu quelque chose de particulier ce soir ? Souhaitez vous que je me glisse derrière les fourneaux pour un repas léger après le déjeuner de ce midi ? » Potions et cuisine étaient assez similaire et Elisabeth savait parfaitement se débrouiller dans les deux domaines. Et puis, elle ne résistait pas à l’occasion d’imaginer le jeune mari se crisper, certainement entrain d’imaginer un empoisonnement quelconque. Il fallait néanmoins regarder ce que contenait le frigo pour cuisiner une petite salade irlandaise. Enfin si les serviteur invisible n’était pas commis d’office...
« Rappelez moi également de vous montre comment fonctionne la télévision » la née-moldu savourait ce petit moment de supériorité, où elle régnait en maîtresse de la technologie. « Ou peut-être un jeu de société, enfin si les placard en contiennent » Elle n’avait par contre pas eu le temps de regarder si le salon en contenait, mais l’idée semblait plus conviviale.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Marcus GraystoneMinistère (terrain)
III - Auror
Singularité : Animagus déclaré
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DC : Malicia Addams
À croire qu’il devenait criminel d’oser se présenter sur le bord du spa sans maillot de bain. Yeux levés au ciel comme un gamin récalcitrant, l’invitation fut refusée une nouvelle fois, retenant la grimace évidente que la situation lui inspirait.
-Non merci, le trempage des pieds est suffisant.
Comme s’il allait accepter de jouer les mâles mannequins en exhibant ses muscles devant des yeux trop gourmands, en particulier celle de sa petite lutine qui n’avait rien perdu de son flegme malgré le ventre proéminent. Il fallait quand même que quelqu’un reste en tenue si jamais une situation arrivait, comme un voisin curieux qui viendrait leur emprunter du sucre au mauvais moment, ou encore un animal perdu qui déciderait de les attaquer. Le futur papa de par son travail de tout repos avait mille et un exemples de situation catastrophique qui pouvait surgir à tout moment. Qu’on se le tienne dit, un homme averti…valait un homme averti.
Les pieds trempant dans l’eau chaude, le regard d’émeraude s’attardait sur les visages rougissant des vapeurs salées, heureux que la mousse des remous cache les tenues osées des demoiselles. Non pas qu’il n’avait jamais vu de fille en maillot de bain, attention, il n’était pas de ces hommes soumis à leurs pulsions qui bavaient devant le moindre bout de chair dévoilé. Non c’était plutôt le malaise d’être coincé en présence de Miss Wellington, la dame qu’il avait toujours vue comme une grand-mère un peu loufoque qui parle à ses plantes et qui fait des courses en balais. La sortir de sa catégorie de vieille dame pas vieille était étrange. Tout comme l’espèce de folle rousse et DANGEREUSE qui avait failli l’achever dans les sous-sols de l’hôtel de ville et qui avait torturé le pauvre Petrovius à lui en faire perdre la raison. Sympathique la prof de potion. Marcus n’en revenait toujours pas qu’elle ait réussi à s’en sortir aussi facilement. Peut-être n’était-ce que les affres du brouillard, mais les paroles d’auror, la rouquine en savait déjà beaucoup l’infestation, le sang noir n’avait fait qu’utiliser un savoir déjà présent. Alors, autant être heureux que ce ne soit pas elle qui ait préparé le thé! Le Matthew-Chou lui silla les oreilles. La marque d’affection grotesque associée à ce prénom sonnait comme un non-sens. Mais puisqu’il fallait garder les apparences...Minois moqueur devant la mine de la future maman qui bouillonnait dans sa soupe.
-Ne serait-il pas plus simple de demander à Mila de faire le service?
Il ne s’était pas trimbalé une elfe de maison têtue et qui prenait beaucoup trop de place dans les voitures moldus pour la laisser se la couler douce dans la maison pendant que lui jouait les serviteurs. Au fond il s’en moquait bien, mais il lui faudrait mettre au pas cet elfe récalcitrant un jour ou l’autre. Sortant sa baguette magique, il l’agita paresseusement en direction de la table, laissant les tasses s’enchanter tandis que le liquide coulait doucement. L’odeur sucrée de l’orange lui monta au nez. Un bon choix pour Miss Wellington.
-Quelqu’un d’autre en veut? Histoire d’être aussi chaud de l’intérieur que de l’extérieur?
Autant se prendre pour un p’tit légume qui bouillonnait doucement dans sa marmite. Parlant de Marmite, voilà que la professeure se proposait pour le souper, arrachant aussitôt un
-NON! Offusqué, comme si elle venait de lancer la pire des insanités.
Cherchant une excuse bidon pour se rattraper, Marcus souria avec politesse.
-Faire tout ce chemin pour se reposer si c’est pour se mettre devant les fourneaux... Pourquoi ne pas en profiter pour vous faire gâter? Nous avons une cuisinière hors paires dans nos bagages!
Barnaby faisait définitivement de meilleurs repas, mais il n’allait pas taper sur la nourriture qu’on leur offrait. M’enfin n’importe quoi sauf la folle aux fioles qui pouvait les empoissonnés d’un simple geste. Tiens, il n’avait pas vérifié les produits présents dans la cuisine. Peut-être y avait-il herbes qui tue même chez les moldus? De quoi devenir paranoïaque!
-Sinon on peut toujours commander une pizza, si quelqu’un sait utilisé un téléphone… Et utiliser de la monnaie moldus.
Il avait passé son cours sur le monde moldus de justesse, qu’on ne lui confie pas cette tâche. Agitant doucement les pieds dans l’eau, il jugea que le thé avait assez infusé et la baguette fit voleter jusqu’à ceux qui en avaient demandé. En ce qui concernait les plans de ce soir, lui avait songé se la couler douce à Ravenplace, restait à savoir si la lutine avait préparé d’autres surprises de taille pour répondre à cette question!
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Daisy WellingtonEn manque d'inspiration
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Membre de la société des sorcières en détresse
© : Elio
Je me laisse aller contre elle avec une satisfaction évidente, receuillant d'une oreille tout à fait attentive la promesse qu'elle me fait. Au vu de mon air adorablement canaille et de la mèche vert presque fluo que je laisse volontairement pousser, le message est bien passé !
En dépit de notre insistance, Marcus fait le difficile et ne souhaite pas se mettre à l'eau. Tant pis. Il ne semble pas emballé non plus à l'idée que Elisabeth s'occupe du repas. (Une idée que j'avais pourtant accueillie avec une exclamation joyeuse ! De même que la promesse d'une soirée télévision)
- Ah dommage !
Il essaye de nous convaincre de laisser la pauvre Mila s'occuper des fourneaux. Je sais que les elfes travaillent pour nous avec joie mais ... je peine encore à accepter de me faire servir ainsi ! Aussi, quand il propose l'idée de la pizza, je me hâte d'approuver.
- Quelle bonne idée ! Une soirée non-sorcière véritable et authentique, devant un film !
Peu de choses pourraient me faire plus plaisir. J'ai immédiatement été convertie par le fameux "streamingue" dont Elizabeth m'a très vite parlé. J'ai rapidement été convertie par le concept de soirée cocooning devant un écran. Même si, en tant que sorcière, j'ai aprfois du mal à saisir les codes et les références de ce que je regarde.
- Il suffit de commander alors.
Et comme le fait si bien remarquer Marcus, ca presuppose qu'on se serve d'un téléphone et que nous sachions payer la commande.
- J'ai suivi des cours d'étude des moldus jusqu'à la fin de ma 7e année !
Dis-je non sans une once de fierté dans l'attitude. Je suis donc plus que qualifiée pour me servir d'un téléphone ou utiliser leurs moyens de paiement. A l'instar d'un étudiant en langue étrangère qui demandera son chemin dans le pays de la langue étudiée, ca manquera peut être un peu de naturel mais j'arriverais à me débrouiller ! Ca s'est très bien passé tout au long de la journée après tout. Je coule un regard en direction d'Elizabeth, de nous quatre la véritable professionnelle du domaine.
- Tu me laisses m'en charger ... ?
Ce qui n'est qu'un banal coup de fil pour elle revêt des allures d'aventure et de jeu pour moi ! J'ai envie de tenter le coups, même si on risque fort de se retrouver avec un repas tout à fait saugrenu au bout du compte si je m'emmêle les pinceaux.
Mais l'heure du repas est encore lointaine. Je ne commencerai à m'en préocupper qu'après la trempette ... et après la tasse de thé dûment méritée !
Marcus fait le service avec un coup de baguette expert et je le remercie d'un sourire reconnaissant.
- Merci !
J'ai presque envie de lever ma tasse et de trinquer en disant "aux gens bizarres qui se sont passer pour des gens normaux" mais je me retiens. Ma bonne humeur me fait parfois dire des sottises. Du shopping, un thé, un jaccusi, de la bonne compagnie, la promesse d'une soirée moldue et les bras de l'être aimé. Que faut il de plus pour se sentir comblée ? Je me contiens mais la joie trouve toujours une manière de se manifester chez moi, la magie faisant palpiter quelques mèches qui se colorent d'un beau doré et crépitent parfois de couleurs vives et trop diffuses pour s'arrêter sur une seule d'entre elle.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Léto P. CarrowMinistère (administratif)
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6 mai 17h20 cottage |
Une température maximale bridée. Les sourcils s’étaient redressés hauts sur la tête, ne sachant si l’admiration de la technologie moldue était de mise, ou si le duo de sorcière avait fait en sorte de mettre quelques sortilèges sur ce bac bouillonnant d’eau. Au questionnement dérisoire, l’attention s’amusait des réactions de l’Amant, toujours de plus en plus protecteur et bien trop apte à mordre n’importe quelle créature osant déranger le déroulement des évènements. Un petit pouffement s’extirpait hors de la barrière de ses lèvres cerises, éclaboussant le trop sérieux de quelques pichenettes d’eau chaude, articulant silencieusement un « tu ne t’en tireras pas comme ca » mutin. Mimiques espiègles glissés à ses moues moqueuse et dodelinement négatif des boucles brunes. Mila n’était pas là pour le service, elle aussi avait le droit à une soirée de repos. Une posibilité que l’auror n’avait certainement pas envisageait, pourtant, sous le regard de sa Douce, il s’excécutait, proposant même aux deux autres femmes une tasse de thé « Merci très cher, c’est fort aimable de te part » Amusée, Léto n’arrivait à détourner le regard de l’Amant qui continuait à prendre des airs princiers. Si les deux autres n’avaient pas compris qu’il faisait partie de la bourgeoisie magique, alors leur esprit de déduction avait dû fondre dans les vapeurs de ce bain délassant.
Un petit ricanement aigu s’échappait de la main délicatement posé sur la bouche incapable de réprimer son envie de rire. Telle un diable dans sa boite, Marcus avait abruptement refusé la proposition de la cuisine. « Effectivement, il serait dommage de venir prendre un week end de repos pour se retrouver aux fourneaux ! Une pizza ce serait tellement .. Rustique ! » Et puis Daisy validait aussi, assurant que c’était même authentique, quoi de mieux pour se dépayser. L’enthousiasme parlait de lui-même, illuminant encore plus le minois de la demoiselle qui tapotait doucement dans ses mains. « Commander ? On peut commander tout ce qu’on veut ? » Estomac gourmand à nouveau soudainement réveillé, se demandant s’il était possible d’avoir une liste interminable de garniture.
L’esprit ailleurs, c’était presque machinalement que les petits doigts fins récupéraient la tasse en porcelaine soufflant dessus par mécanisme. Les notes d’agrumes chatouillaient doucement le nez donnant l’impression que les effluves venaient directement des remous. Impression interessante lui donnant une envie soudaine « On peut mettre des feuilles séchées de quelques plantes utilisés pour les huiles essentielles dans ce Jack-Uzy vous pensez ? » Et ainsi profiter de leurs bien-être. Mais en songeant à profiter, Lato avait d’autres idées en tête et en premier lieu, profiter de cette baignade seule avec le brun ronchon. Bidon ou non, ne pas profiter de sa présence alors que ses missions l’amenaient toujours un peu n’importe où pendant des durées incertaines, était parfaitement impensable. Avoir deux chaperons ne dérangeait nullement, devoir faire une croix sur son week-end en amoureux était parfaitement impensable.
Les mirettes se redressaient, glissant du jeune homme aux dames qui les accompagnaient. « Ce sera une question à étudier je suppose, mais après ce thé, je crains que Matthew et moi n’ayant à vous abandonner. La voiture et le trains c’est assez rafraichissant comme transport mais c’est fatiguant » Exaltant et excitant auraient les bon therme,mais pour s’éclipser, autant user de son état de future maman « On se retrouvera ce soir ? » Question rhétorique, sourit poli glissé et tasse bue à petite gorgée en observant la nature qui les entourait. L’endroit était enchanteur, avec quelque touche rappelant la tente aux fleurs de la Saint Valentin Le souvenir accrocha à la bouche de la sorcière un sourire un peu trop doux pour paraitre concentré sur sa boisson chaude. Qu’importait, barboter dans l’eau lui suffisait pour le moment –plus à cause du nombre de participants qu’a cause de la température-, se redressant avec ce qui se voulait de la grâce, Léto adressa un signe de tête aux deux femmes et s’extirpa du bassin. « Profitez-bien de ces remous, c’est vraiment agréable. Daisy, je te laisse commander pour moi une pizza pleine de poulet s’il te plait. Elisabeth... » Signe de tête malicieux lourd de sous-entendu et doigts de l’Amoureux attrapé pour l’entrainer avec elle vers leur chambre qu’il avait boudé depuis son arrivé. « A plus tard » gloussait elle comme une gamine en les faisant re rentrer dans la demeure chaleureuse
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Elisabeth McGrahamEn manque d'inspiration
- Singularité : Sorcier / Sorcière
Orientation :
DC : Charlotte Laurent
Attendrissement clairement visible sur les tâches de rousseur et mirette brillant à la vue de cette délicieuse mèche verte. Oh combien Elisabeth aimait voir Daisy si bien porter cette couleur.
Dans un même temps, une sorte de duel invisible semblait attirer Elisabeth vers le futur papa. Il avait quelque chose dans le regard qui incitait à la taquinerie et malgré elle, la rousse se retrouvait trop aisément à faire des aller-retour entre lui et sa douce métamorphomage. Sans contexte, cela pourrait presque s’apparenter à une curiosité plus… intime… chose bien évidement peu probable.
L’index se relevait néanmoins pour accepter un thé venant du plateau enchanté. Il fallait le reconnaître, Matthew mettait un point d’honneur à l’Étiquette. Mais à peine la pulpe des doigts reposant au bord de la tasse après la suggestion de mettre le gril en application qu’un ‘Non’ vigoureux d’interdiction fit immédiatement se figer la rouquine, ranger le bras d’une façon quasi martial bien que cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas reçu d’ordre.
Hochement des boucles affirmative et sourire d’excuse fut néanmoins rendu avec politesse, avant de récupérer une tasser et le prétexte bancale accepté : après tout, certains elfes de maison était offusqué lorsque leur rôle était sapé.
Elisabeth souhaitait simplement se rendre utile, se sentant leur obligée pour cette escapade. Et c’était tout naturellement qu’une solution alternative était proposée par le jeune homme : la pizza.
« Pour ça, je serais aider » Et comme pour répondre à la curiosité de la future maman « Une brève recherche internet devrait pouvoir trouver un numéro de téléphone et une carte » ton presque amusé employé, comme il était toujours amusant de voir les mages autant embêté face à telle trivialité. Mais c’était Daisy qui était parfaitement enchantée par cette idée et Elisabeth était bien forcée de s’incliner devant tant de ferveur « Bien entendu ma chère. Je peux même te donner rapidement un cours de rappel si tu n’as pas fais tes devoirs. Teddy pardonne moi si je marche j’empiète un peu sur ton domaine » la rousse accompagnait sa remarque d’un regard au loin, comme une prière silencieuse à son collègue de jadis qui devait certainement être en train d’éternuer à cet instant. Les aigues-marines revenaient sur le jeune couple « C’est valable aussi pour vous deux, si vous avez quelconque question je serais ravi d’y répondre » Elisabeth, lèvres à la tasse, n’était plus enseignante mais elle appréciait toujours étaler sa science surtout pour l’univers dans lequel elle était née surtout à ceux qui en était à des lieux.
La question sur l’utilisation d’huile et quelques pétales faisait s’esquisser un sourire malicieux sur les traits de la rouquine qui déjà prévisualisait l’utilisation romantique avant qu’elle ne réfléchisse sérieusement à la réponse « Normalement oui, reste à savoir si une boite est à disposition » Et quand bien même rien qu’un coup de baguette ne serait arranger.
Mais déjà le temps filait et le couple de tourteaux s’eclispait sous un motif en réalité tout a fait innocent et valable, contrastant avec la malice de Caroline « Milady... » la main venait délicatement effleurer le bord de se lèvre, détourant délicatement le regard dans un faux geste de coquetterie et battement de cils simplement car la perche lui était tendue.
Puis juste après, les aigues-marines retrouvaient les cercles d’or, restait à savoir si cette fois-ci la tentative de jalousie avait portée ses fruits « Je vais chercher mon téléphone... » rapide baisé puis le regard fouillait la table de jardin sans y trouver aucun signe du rectangle de technologie ni même d’une baguette pour l’invoquer. La née-moldu, n’y était pas greffée, contraiement à certains, et après avoir enfilée une serviette, fit rapidement l’aller-retour jusque à son pantalon dans la chambre sans même croiser le reste de la maisonnée tant celle-ci était vaste.
La rousse retourna dans les bulles non sans se blottir avec bien plus d’engouement cette fois-ci de sa belle, l’étreignant plus que de raison sous prétexte de lui montrer comment manipuler l’écran tactile avec délicatesse, autant éviter de le faire tomber dans l’eau… « Doigts secs… voilà… tu écris comme ça... » paroles susurrée à l’oreille sur un ton bien trop éloigné d’un cours. Tant d’idée délicieusement cruelles traversaient cet esprit un soupons sadique pour déconcentrer la métamorphomage dans son cours et tester son attention « Tu veux essayer avec du gingembre ? » Mais Elisabeth savait se tenir...
La pratique menait à la perfection disait-on et la tutrice improvisée était du genre exigente, même s’il s’agissait là d’une petite leçon de rattrapage, rien de bien exceptionnel… Mais ce qui pour une vétéran prenait une poignée de secondes se changeait en processus plus laborieux pour une profane et la commande mis un certains à être réalisée entre maladresse et argumentation passionnée pour savoir si l’ananas avait sa place sur une pizza ou quel degré d’épice était toléré pour la future maman « Poulet Tendoori ? Tu penses que c’est acceptable ? » bien entendue les elfes de maison étaient introuvables pour ces question existentielles…
Le reste de la leçon finit par diverger sur l’album photo puis les minutes se changeaient lentement en heure et la commande finit par arriver avec le crépuscule, dans un bruit de scooter pétaradant. Elisabeth qui avait auparavant troquée le maillot de bain pour la tenue plus habillée sortait avec hâte du salon de jardin pour se précipiter à la rencontre du livreur, un bref signe du menton à la métamorphomage si elle voulait en savoir plus sur le terrible pourboire et SURTOUT pour éviter qu’un Matthew trop sur le qui-vive saucissonne magiquement le pauvre bougre casqué et transforme la machine à deux roues infernale en simple tellière.
« Room service ! » la rousse lança mélodieusement l’appel depuis la cage d’escalier et déposa les cartons pour débuter le découpage.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Daisy WellingtonEn manque d'inspiration
Singularité : Métamorphomage
Orientation :
Statut civil : C'est compliqué !
Activités : Référente du club de Botanique
Ancienne Joueuse de Quidditch amatrice devenue arbitre
Créatrice de cosmétiques (Sous la marque Daisyllusions)
Membre de la société des sorcières en détresse
© : Elio
Pas de jalousie dans mon regard non. Seulement de la joie donc. Dire que je suis aux anges devant la soirée qui se prépare est un euphémisme. Le cours particulier que ma belle me donne est l'ultime cerise sur un gâteau qui achève de me ravir.
- On s'en occupe !
Avais-je dit avec à Léto pour lui confirmer que sa commande allait être gérée. Blottie dans les bras de ma rousse, hypnotisée par le miroir magique qu'on me laissait manipuler sous contrôle bienveillant, j'ai aidé à choisir et à passer commande pour tout le monde. Et parmi les différentes suggestions, j'ai ponctuellement donné mon avis.
- Pizza Reine. Si Mathew ne connait pas, il DOIT goûter ça.
Un classique incontournable. Et quant à la commande de pizza au poulet ... Poulet Curry ? Poulet Tandoori ? Poulet chaipaquoi avec du fromage ? Laquelle serait à même de combler l'appetit de la future maman ? Par chance, il existe une solution toute prête.
- Oui ! Et puis on prend l'autre aussi au cas où.
Et aucune nourriture ne sera gâchée, vous verrez. Tout terminera dans des doggys bags. Ca fera un petit souvenir de gastronomie moldue amené dans nos petits foyers magiques. Les manœuvres de distractions entamées par ma partenaire fonctionnent bien mieux que les tentatives d'éveil de ma jalousie. La facilité avec laquelle ma douce arrive à me faire verdir a quelque chose de drôle. Loin du regard du couple de futurs parents, je n'ai pas honte de laisser mes émotions s'exprimer et à lancer des regards obliques à la provocatrice. La suggestion à propos du gingembre m'incite à ajouter de la ginger ale à notre commander et à demander sans détour.
- Ca n'est pas supposé ne fonctionner que sur ces messieurs ... ?
Même si je suis métamorphomage et potentiellement dotée de tous les attributs humains possibles, je sais que la suggestion n'avait rien à voir ça. La maîtresse en potions, bien plus calée que moi dans l'effet des substances même les moins magiques, est quitte pour un éclaircissement sur le sujet. Je suis quitte pour un nouvel élargissement de mes horizons culturels aujourd'hui.
Ainsi de fil en aiguille, de trempette en rhabillage , tout nous mène jusqu'au moment où nous nous retrouvons dans le living à attendre les pizzas. Pas du genre à vouloir jouer les formelles, j'ai enfilé une tenue décontractée après notre baignade. Pieds nus, assise en tailleur sur l'accoudoir du grand sofa alors que je bavarde à propos de je ne saurais dire quoi, je redresse soudainement le cou en entendant l'arrivée de notre livraison.
- Ah chouette !
Je suis brièvement allé aider à l'acceuil du livreur, autant pour proposer de régler la note que par pure curiosité de voir un vrai livreur de mes yeux. Nous revenons avec beaucoup trop de boîtes remplies pour nos très humbles estomacs. Je suis incorrigible de ce point de vue.
Alors que nous nous installons, que les boites sont ouvertes et que la distribution commence, je met les pieds dans le plat et lance le sujet capital.
- Si on parlait de ce qu'on voudrait regarder ce soir ?
Evidemment mon regard se porte davantage vers la maîtresse es technologie moldue que sur les deux autres. En tant que détentrice des secrets de la sainte télécommande et des programmations, c'est un peu à son bon vouloir que nous nous soumettons.
- Vous êtes plutôt comédie romantique ? Films d'horreur ? Machins d'action ... ?
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Marcus GraystoneMinistère (terrain)
III - Auror
Singularité : Animagus déclaré
Orientation :
Statut civil : Papa
DC : Malicia Addams
On aurait dit que tout le monde s’était donné le mot pour le convaincre de se tremper dans la soupe bouillonnante. À croire que l’odeur de chien mouillé n’était pas un repoussoir assez efficace pour convaincre les dames que sa présence dans le bain géant n’était que peu désirable. Confortablement installé sur son petit perchoir, les boissons distribuées, la question du repas abordé, il croisa mentalement les doigts pour que son idée soit retenue. Hors de question que sa belle ne soit à la merci de la professeur de potion pour un se sustenter. Il n’avait toujours pas oublié la tête de Petrovius après les événements du brouillard. Même si elle tentait de se montrer aimable, l’absence de confiance était palpable. Heureusement, Daisy semblait se ranger de son avis en ce qui concernait la commande de pizza, annonçant joyeusement qu’elle avait suivi les cours d’étude de moldus. Une perte de temps selon l’auror mais qui s’avérait hautement utile aujourd’hui. (Désolé il n’avait pas prévu quand il était ado de devoir se commander une pizza autrement que par Hibou Express). Une tâche dont il se passait volontiers si les gens voulaient manger avec deux jours. (Le temps de comprendre exactement comment fonctionnait le téléphone et tout et tout, autant mourir de faim tout de suite). Heureusement Miss Wellington semblait enjouée par la tâche ingrate de devoir nourrir la petite armée qu’ils étaient. Le nez dans son thé, Marcus réfléchit à voix haute.
-Il faudrait une pizza avec beaucoup de légumes, c’est important pour une femme enceinte. Vous croyez qu’ils pourraient y ajouter du gingembre?
Ce n’était pas ce qui aidait les nausées? Après avoir mangé autant d’acidité, le bedon de la sublime allait sans doute protester quelque peu. Minois plissé, l’esprit analysait déjà la consistance de la future assiette. Il faudrait faire le tri, car sinon la belle risquait de manger plus que nécessaire. Il imaginait déjà leur futur petit sorcier au gout particulier avec tout ce que la maman mangeait. Idée bien vite envolée alors que la sublime s’extirpait de la soupe. Aussitôt les prunelles s’animèrent. Avait-elle un malaise? La nausée? Il avait dit aussi que le trempage dans l’espèce de chaudron était une mauvaise idée! Attrapant la main glissante de la belle pour l’aider à sortir sans qu’elle ne glisse sur les marches traitres, la tasse de thé abandonné sur le rebord, l’Amant suivit sa douce, glissant à son tour vers la chargée de pizza :
-Si tu es capable de me trouver une pizza canadienne, ça serait super!
Clin d’œil plein d’espoir pétillant glissé à la demoiselle. Avec un accompagnement de poutine c’était trop demander, mais niveau pizza, le Canada était difficile à battre. Le museau suivant sa belle a la démarche de canard, il se dépêcha de l’enrouler dans une serviette pour éviter que le vent frais ne la fasse frissonner.
-Tu veux te reposer? Je peux te masser si tu veux. Avec toute cette bouillasse et cette route, il faudrait surélever tes jambes pour éviter qu’elles n’enflent. Je peux demander à Mila de préparer une tisane si tu préfères, le thé c’était peut-être trop chaud.
Pizza et estomac relayé au deuxième plan, la mère de l’héritier avait besoin de lui!
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Léto P. CarrowMinistère (administratif)
III - Employé de bureau
Singularité : Animagus déclaré
Orientation :
Statut civil : Fiancée sous contrainte, maman
6 mai 21h00 cottage |
Beaucoup de légumes ? A quel moment ce mélange devenait valable dans le mot pizza ? « Et n’oublie pas l’ananas aussi.. » L’espièglerie dans la voix se volatilisait dans un petit gloussement jusqu’à leur chambre du week end. Aussi lumineuse que sur les photos, seuls les gazouillis des oiseaux transperçaient le voilage faisant barrage au soleil. C’était aussi agréable qu’elle l’avait pensé, la présence des deux autres se faisait oublier en un papillonnement de cils, en une serviette l’enroulant délicatement. La bouche cerise se rehaussait délicatement, attendrit du geste et de la proposition, enfin Marcus prenait se permettait d’occulter les deux jeunes femmes en charge de la pitance. « Le thé était vraiment très bon, nul besoin d’infusion. Mais… » Le minois se tournait, pour lui faire face, battant des cils dans jeu inutile aux airs innocents, un petit crocs mordillant sa lèvres inférieure. « Mais comment dire non à un massage, surtout… avec ces mains.. » Les petites doigts allaient jouer avec les siens, l’entrainant à elle, à l’intérieur de leur cocon éphémère, se laissant tomber en arrière lentement sur le sommier moelleux en gloussant comme une jeune fille.
Le temps passait si vite à ses côtés, sous ses doigts, dans ses bras, ou juste les ongles dans sa tignasse sombre, que la future maman ne pouvait dire si elle s’était assoupie à un moment, sous la chaleur de sa main posée sur son ventre rebondi. Mais l’appel à table s’élevait de derrière la porte au bas des escaliers. « Déjà ? » La moue boudeuse baillait sans aucune discrétion, envoyant la réprobation aux mines de fatigue. Si cela avait été possible, la sorcière serait restée ici, dans ce confort idéal à regarder le soleil mourir et déployer ses couleurs chatoyantes dans le ciel si bleu. « Elles ont trouvé ce que tu as commandé tu crois ? Et la mienne au poulet… ?» Au petit nez frémissant l’interrogation cessait, invitant la jeune femme à se redresser et suivre les effluves délicates de viande blanche roti qui chatouillaient ses narines. « Owi ! Il y’a du poulet ! » Si l’enfant à venir ne ralentissait pas autant les mouvements, les petits petons nus frapperaient dores et déjà le carrelage pour débiter une part de pizza.
La patience avait cependant appris à ne jamais faillir, prenant appui sur ses avant bras, glissant les ambres sur l’Amoureux, lui adressant un sourire en coin malicieux. « Pourrais-tu me faire parvenir la robe de soir afin d’apparaitre de manière décente ? » Pas que les deux femmes à l’étage en dessous s’offusqueraient de supporter sa compagnie en maillot de bain, juste qu’il était bien plus correct de se montrer habillée pour diner. D’autant que la robe avait été choisi avec soin pour les derniers mois de grossesse. Fluide et vaporeuse, elle rappelait à Léto celles portées lors de soirées plus pompeuses auxquelles elle ne pouvait se rendre. L’ennui incommensurable à ces galas de la haute bourgeoisie ne surpassait que rarement le plaisir de pavaner avec une nouvelle toilette mettant en valeur sa grâce et son élégance. Un petit péché coupable qu’elle embrassait en récupérant la mousseline.
Point de magie pour vêtir les atours du moment, la jeune femme aimait onduler contre le tissus, le remontant délicatement à ses épaules avant dévoiler la nuque gracile cachée par ses boucles désordonnées. « Tu veux bien remonter la fermeture ? » Les longs cils battaient lentement, provocateurs et joueurs, attendant que l’agilité du futur papa n’œuvrent. La requête exaucée, un baiser gourmand remerciait l’Amant tout en glissant ses petits doigts dans une de ses mains. « Il ne faudrait pas que cela refroidisse… » Quand bien même il était possible de réchauffer le tout d’un simple coup de baguette. Et puis, la température de la nourriture ne semblait pas etre l’enjeu le plus compliqué de cette soirée. Un fois le salon regagné, il était question de regarder quelque chose dans fameuse boite à image aperçue en étude de cours des moldus. Une matière ô combien inutile pour la matriarche Carrow, dont la petite Leto avait forcement pris l’option à Poudlard. [color)mediumorchid] « Avons-nous tous les choix en meme temps ? » [/color] A curiosité grandissante, le séant posé confortablement sur le sofa, la sorcière se demandait comment autant de choix était possible, machinalement le bout de nez se levait vers Marcus cherchant un semblant de réponse convaincante de son coté. Pas dit que lui ai eu le droit d’étudier l’univers non sorcier de son côté. Les lèvres se pinçaient en un petit sourire confus avant d’émettre un choix. « Je dirais horreur, mais je peux avoir mon poulet avant ? » Car il y avait des priorité dans la vie.
Re: Grenouilles et barbottages [pv]
- Elisabeth McGrahamEn manque d'inspiration
- Singularité : Sorcier / Sorcière
Orientation :
DC : Charlotte Laurent
Un sourire satisfait et approbateur apparaissait en coin des lèvres alors que Daisy remettait le pourboire, cette fascination dans le regard, cette étincelle de merveille devant le monde moderne et la technologie… De la même façon que les jeunes élève découvraient le monde sorcier pour la première fois, les adultes avait cet air ahurit et il valait mieux cet expérience, plus que celle de Matthew prêt à mordre. Et il avait fallu batailler pour trouver cette pizza canadienne, ou du moins ce qu’il s’en approchait le plus, et l’aide de la toute puissante bibliothèque d’Internet avait même été requise. Pour ce qui avait été de la pizza à l’ananas, cette horreur trônait fièrement en tête de toute les cartes et menu… mais on ne disait pas non à une maman enceinte.
Les cartons tout frais et paradoxalement tout chaud venaient prendre place sur le plan de travail et après avoir déchiffré les gribouillons de bic sur les côtés pour savoir qui avait commandé quoi, une certaine contrariété s’installait chez la rouquine : les parts n’étaient pas tranché, banalité s’il en était.
Les mimines, refusant l’usage du bois magique, parcouraient les tiroir sous le plan de travail, cherchant l’ustensile idéal de la même façon qu’elle fouillerait un atelier à la recherche d’ingrédient. Si la cuisine du Spooky Manor contenait tout et bien plus encore, ici, bien que rangé et organisé, la roulette à pizza était absente. Soit, le couteau se serait… Elisabeth, s’attelait à la tâche, découpant avec précision chirurgical, chacun des diamètres de garnitures en part égales sans le moindre écart, trahissant la maîtrise du scalpel à discipliner les fèves magiques les plus récalcitrantes : Il fallait une certaine dextérité pour récupérer les racine de mandragore sans tuer la plante alors que celle-ci menacait de vous faire perdre conscience en même temps. Et puis, un petit peu de frime d’herboriste devant la métamorphomage n’était pas non plus à exclure…
Tel un chat à l’appel de la gamelle, Caroline émergeait avec élégance en descendait les escaliers et Elisabeth pouvait presque l’imaginer s’étirer à la dernière marche alors que le museau reniflait déjà au dessus de la pitance. Les boucles rousses indiquaient la pizza ananas pré-découpée alors que le couteau finissait d’être nettoyé dans l’évier.
Mais l’humaine chat était emplie de grâce dans cette splendide robe la rendait particulièrement superbe même avec ce ventre rond « Matthew à bien de la chance d’avoir une femme aussi ravissante que vous » le compliment était facile mais il était vrai : la jeune maman était belle, malicieuse et d’ascendance apparemment noble. Et une nouvelle pique de jalousie taquine et certainement inefficace pour Daisy était toujours tendue. Maintenant que la rousse y repensait, elle aussi aurait dû prendre une tenue plus habillée que cette chemise aux manches remontées.
Elisabeth jouait les serveuse, laissant sa belle le soin de l’assister « Carton (pour l’expérience authentique) ou assiette ? » et lui remettre la toute puissante et sainte télécommande entre les mains une fois le home cinéma et l’énorme écran plat sous tension et la plate-forme de streaming lancée « Il faut naviguer avec les flèche au centre de la télécommande pour choisir le cadre correspondant au film qui vous ferait plaisir... » Les paupière se refermaient une nouvelle fois sur cette évidence pourtant complexe « Un film d’horreur hein ? » l’index indiquait la barre de recherche et le clavier virtuelle qui se dépliait pour écrire le thème à défaut d’un nom bien précis étant donné que ceux-ci devaient être inconnu et la née-moldue de piètre conseil « C’est comme un catalogue, vous n’avez plus qu’à choisir ce qu’il vous plaît, trier par popularité ou date si vous préférer un classique, peut-être plus proche des journaux que vous connaissez… Ou si le nom vous plait bien aussi » Elisabeth prenait place aux côté de sa blonde changeante, laissant un espace entre les deux couples, ramenant ses parts à elle et invitant au partage après avoir généreusement assaisonnée une part à la sauce piquante en dosette. Les méninges s’agitaient pour essayer de deviner qu’elle genre de film elle choisirait : un nanar ? Un vintage ? Certainement qu’il y aurait une pointe de déception quand il s’agissait de franchir la cour de l’école pour entrer dans la forêt interdite et être confronté à des horreurs bien vivantes ou bien ouvrir la porte du mauvais étage. Et même au cours de l’année dernière, une entité maléfique sortie des plus improbables fiction cosmique avait plongée la Grande-Bretagne dans le chaos… Oh oui, un simple petit film innocent ne serait qu’une bonne distraction... Peut-être qu'un Twilight serait une bonne entrée pour le cinéma moldu et comment ceux-ci percevaient le romantisme surnaturelle ? Un sourire malicieux se dessinait entre les tâches de rousseurs : surement que Daisy allait adorer...