[Poudlard] L'énigme finale

L'énigme finale

Groupe Poudlard
Nous sommes le 05 avril 2022

Le château qu’était le collège Poudlard avait la réputation d’être une forteresse imprenable, depuis l’âge de son édification. Or l’étude honnête de son histoire contemporaine démontrait, sans malice aucune, que ce titre était parfois usurpé. Le château n’avait-il été, notamment, le siège de la grande guerre des sorciers, ayant abouti à la chute de Lord Voldemort ? Bien sûr, Poudlard n’était jamais tombée à proprement parler, et l’œuvre de chaque sorcier la peuplant a toujours été, après les crises, de travailler à la consolidation de ses murs. Si bien qu’en définitive, à regarder sur les quelques années passées, la légende de Poudlard avait bel et bien vu son blason redoré, et briller de nouveau de mille éclats.

Jusqu’à ce que la brume tombe du ciel. Ce brouillard étrange, inconnu, dangereux comme une malédiction, qui s’étendait inéluctablement sur les landes, dans une lenteur sordide. Poudlard tenait, jusqu’à maintenant, Poudlard était cet écrin, ce cocon protecteur des jeunes sorciers qui y étudiaient, et de leurs professeurs, et de tout le personnel qui faisait vivre le château. Mais le brouillard était empreint d’un mal profond, un mal si rude qu’un matin, à leur réveil, tous entendirent ces mots à glacer le sang.

Les barrières ont cédé. Du moins, sur une partie du domaine. Cependant d’aucun qui prêtait une oreille attentive à ce qui se savait de cette brume mortelle ne pouvait que concéder que c’était déjà trop. Là n’était pas le pire. Le Ministère avait été clair : ce brouillard était trop dense, trop puissant. Aucune aide physique ne pourrait être apportée au Château.

L’histoire se répétait. La forteresse impérissable était à nouveau attaquée, et il revenait, encore, à ses jeunes occupants de lui venir en aide. Il fallut se résigner à l’objectif suivant : trouver le moyen de dresser, à nouveau, les barrières magiques de l’école.

Il serait fastidieux d’expliquer jusqu’à quel point fut mobilisée chaque personne qui habitait le collège. L’énigme était immense. Quel secret magique était mieux gardé que celui des sortilèges de protection de Poudlard ? Quelle piste suivre, à quelle source se renseigner, par quel miracle les occupants du château parviendraient-ils à résoudre cette crise ?

A l'appui d'échanges de messages avec le Ministère, orchestrés par le directeur Blackmore lui-même, la bibliothèque fut écumée. Les archives également. Chaque grimoire, chaque écrit, fut méticuleusement étudié, tout comme la structure même du Château. Mais alors que l’engouement effrayé pour les recherches allait laisser place au désespoir, une piste fut trouvée, et ce dans le sens premier du terme. Faite de runes, de symboles, d’écritures magiques qui représentaient, selon son déchiffrage, un chemin secret. Jonché, a priori d’endroits complètement banals du château. Un couloir, une galerie, une salle de classe. Mais en suivant l’ordre précis d’acheminent, il était possible de récolter une lettre, ou un terme, scrupuleusement couché sur parchemin pour n’en rien perdre.

Le bout de la piste menait à la Salle sur demande, qui apparut au milieu d’un mur parfaitement vierge. Si d’ordinaire en entrant le visiteur se trouvait face à un capharnaüm monstre, les portes s’ouvrirent cette fois-ci sur un espace vide au fond duquel se trouvait une porte. Y étaient inscrits des symboles, semblables à la piste, retraçant précisément le chemin qui avait été suivi par les courageux déchiffreurs.
Lesquels étaient, au départ, seulement quelques professeurs, rejoints principalement par des élèves au fur et à mesure. Le plénipotentiaire du groupe lut, à haute et intelligible voix, les mots que formaient les symboles notés sur le parchemin.
- Adiuva nos castrum.

Dans un cliquètement sourd les portes sombres s’ouvrirent lentement, sur une pénombre absolue où tout n’était que silence. Quelques secondes plus tard, un souffle grave, lointain, se fit de plus en plus fort, aspira chacun de ceux qui se trouvaient devant le néant. Tous disparurent, en un clin d’œil, derrière les portes funestes qui se scellèrent derrière eux. Bringuebalés en tous sens dans le noir, tous touchèrent bientôt un sol de pierre glacé, aussi sombre que les murs, éclairés d’une lointaine lumière dont il était impossible de voir la source. De très hautes parois interminables les entouraient tous.

Tous, certes, mais séparément. Ou à tout le moins, drastiquement dispersés dans ce qui s’avérait être un redoutable labyrinthe, qui ne donnait d’autre choix que celui d’avancer, afin de s’extirper au plus vite de son aura sinistre.

Le dédale n’était cependant pas la seule difficulté à laquelle faire face. Tous, au bout de quelques pas, eurent le profond déplaisir de se trouver face à une créature destinée à matérialiser leurs peurs les plus intimes. Tous se retrouvèrent nez à nez avec des Épouvantards, fermement déterminés à les poursuivre, les harceler, les perdre davantage dans le labyrinthe.

Aucun autre choix possible : il leur faudrait, à tous, affronter ces créatures, qui revenaient sans cesse et suivaient sans relâche, pour espérer atteindre, enfin, la sortie. Une grande salle où le calme serait enfin de retour.

Explications

› Participants attendus

Seuls les personnages listés ci-dessous peuvent poster. Il n'y a pas d'ordre pré-établi. Dans le cas où un joueur ne poste pas entre deux post MJ, il est éliminé du groupe c'est à dire qu'il ne fait plus partit de ce groupe, nous n'en parlons ni RP ni HRP et il ne peut plus poster.
Si vous avez des questions ou des remarques, merci de les poster dans le groupe Discord Event prévu à cet effet.

@Rose Weasley
@Andrew Firth
@Fanny Gwin
@Fitzwilliam Bingley
@Gillian B. Humphrey
@Thomas A. Spencer
@David J. Moody

De plus, nul besoin d'attendre que je poste ! Vous pouvez poster autant de fois que vous le souhaiter -sans pour autant faire de double-post- d'ici ma prochaine intervention.

Je ferai une intervention MJ le 10, 17 et 24 avril.

› Résumé

Bonjour à tous et bienvenue dans cet event !

Comme vous avez pu lire dans le premier post il y a eu un soucis avec la barrière de Poudlard. C'est techniquement ça qui a donné l'alerte à littéralement tout le monde. Le Ministère a oeuvré pour mobiliser les professeurs et après un long cheminement d'indices et de recoupements d'informations, vous êtes tous arrivés dans la salle sur demande. De là, après une ultime énigme un passage s'est formé, n'aspirant que certains d'entres vous (avec quelque PNJs) pour vous propulser dans les obstacles finaux. Au bout se trouve la solution du problème de barrière magique ! Ce qui est capitale si le Royaume-Unis ne souhaite pas voir Poudlard complètement ensevelie dans le Brouillard hehe...

Bon jeu !

Prochain post le 10/04/22

Event Poudulard

pleins de gens

Le château avait toujours été une énigme pour Fitzwilliam. Les barrières, les secrets de la bâtisse séculaire. Alors quand le brouillard avait rompu, une partie des barrières Fitz avait été dans les premiers à se mettre au service du Directeur afin de percer les secrets de cette chose. Le brouillard, ce brouillard qui grignotait toujours plus du territoire. Fitz ne pouvait pas laisser passer cette chance d’étudier à la fois les sortilèges qui protégeaient le château et cette brume qui d’après lui était forcément d’origine magique. En même temps, pas besoin d’être sortie d’oxford pour le comprendre. Rien d’origine moldu n’aurait pu percer les barrières de l’école. Le tout était de connaître l’origine du brouillard, naturelle ? C'est-à-dire créer par un événement magique naturel ? D’origine animale ? Est-ce qu’un animal pouvait créer ce genre de chose ? Une plante ? Certaines plantes moldues pouvaient lâcher des spores dans l’air, est-ce qu’une nouvelle race inconnue venait de faire son arrivée sur le sol britannique ? Où bien c’était d’origine humaine et dans ce cas là une sorte de malédiction ou un nouveau type de sort ? Rien que d’y penser Fitz en avait des frissons d'excitation.

Mais attention il ne prenait pas ça à la légère. Il s'inquiétait pour les étudiants et c’était aussi pour cela qu’il s'était porté volontaire pour étudier et trouver un moyen de rétablir les barrières du château. Sauver les étudiants, sauver le château. C’était son rôle en tant que professeur. La chasse aux indices mis à l’épreuve les compétences de chacun et même les étudiants volontaires pour aider purent poser leur pierre à l'édifice.

Et voilà que la piste les menait face à la salle sur demande… Fitz sortit sa baguette et entra dans la salle demandant aux étudiants de faire attention et de rester derrière lui et Miss Humphrey. Dans la salle sur demande une porte sombre… “Adiuva nos castrum” Trois mots qui permirent d’ouvrir la porte. Quand elles s'ouvrirent, ils se retrouvèrent happés par la pénombre.

Et voilà qu’il se retrouvait seul, il se redressa et observa alentour comprenant qu’il était dans ce qui semblait être un labyrinthe. Il garda sa baguette pointée devant lui. Le but premier était de retrouver les étudiants et sa collègue. Il avança un peu avant de se retrouver devant son épouvantard, des livres qu’il ne pouvait pas lire. “Ridiculus.” Les livres se transformèrent en confetti qui retombèrent autour du professeur qui continua son chemin.

Emme

Resumé:

Fanny Gwin rp numéro 79 :

Bon bah la curiosité a beau être souvent un truc pratique permettant de déniché des passages secrets où des cookie cachés dans un recoin de la cuisine. Mais bon là c'était clairement pas une bonne idée de passer une tête dans la salle sur demande en pleine émulsion du château qui cherche a réparer la barrière.

Quoiqu'il en soit à ce moment précis une porte s'était ouverte et l'avait aspirer ainsi que les gens a peine entraperçu, la confusion était totale pour la licorne qui ne savait pas où elle se trouvait

Puis sans que la jeune pouffy puisse comprendre quoique ce soit son regard se posa sur sa droite et elle vie une voiture écrasé contre un obstacle avec deux personnes ... non ce n'était pas possible ! Elle écarta son regard mais la vision d'horreur c'était déporté.

Instinctivement le bretonne s'accroupie et mit ses mains sur ses oreilles tout en fermant les yeux.

"A l'aideeeeee !!!!"

Elle n'avait aucune idée d'où elle était. Et si ... Et si le brouillard était rentrer et que c'était déjà le début de la fin ?

Le Brouillard hantait un coin des pensées de David depuis le début de l'année scolaire. Il s'était rendu compte de sa dangerosité lorsqu'on lui annonça qu'il devait escorter les élèves jusqu'au château. Il avait donc demandé à ses collègues de lui dire ce qu'ils savaient sur ce phénomène mais il n'en apprit pas assez à son goût.

Sans que cela ne devienne une obsession, il arrivait que David s'accorde une demi-journée pour chercher à en apprendre plus sur cette brume mystérieuse. Il avait écumé les livres de la bibliothèque de Poudlard et avait même profité d'une visite à Charles à New York pour visiter la bibliothèque de Ilvermorny. Toutes ses recherches n'avaient mené à rien. Au bout de plusieurs mois de recherche il avait ralenti ses recherches au profit d'autres sujets.

Un matin, alors qu'il travaillait, un son lui glaça le son. Les barrières étaient tombées, il n'y avait plus de protection autour du château. Cette simple phrase suffit à relancer le professeur de Métamorphose à se concentrer sur le Brouillard et les protections de Poudlard. C'est donc tout naturellement qu'il se joint au groupe de recherches missionné par le Ministère et le Directeur.

Leurs recherches avancèrent et David devenait de plus en plus curieux. Il avait dit clairement que la vraie raison de sa présence dans le groupe était la curiosité et la connaissance. Bien sûr qu'il allait protéger ses collègues et élèves s'il les voyait en difficulté mais la protection générale de l'ensemble des élèves n'était pas ce qui l'avait motivé le plus.

Au fil des recherches, le groupe se retrouva à suivre un jeu de piste qui les mena dans la Salle sur Demande qui leur présenta une porte sur laquelle était inscrits trois mots latins que David et d'autres membres du groupe lurent à haute voix.

D'un coup, David se fit happer dans le vide face à eux, il fut violemment projeté contre une paroi de pierre froide. Moody eut à peine le temps de réaliser ce qu'il se passait lorsqu'il entendit les portes derrière lui se fermer. Le professeur se releva engourdi par le choc, et fit un tour sur lui-même pour essayer de comprendre.

De ce qu’il pouvait voir, il en conclut qu’il se trouvait dans un labyrinthe.

David avança, baguette vers l’avant, le #Lumos illuminant faiblement les environs. Il marchait doucement prêt à parer toute attaque surprise possible. Toutefois, c’est en faisant attention à tout qu’il loupa ce qu’il y avait devant lui et lorsqu’il posa les yeux devant lui, son corps se figea.

Il avait devant lui une vision d’horreur, son frère décédé était en train de le fixer. David pointa la baguette vers la scène. Il reprit ses esprits assez rapidement car il était encore légèrement engourdi par le choc contre le sol. Il s’avait donc qu’il ne s’agissait pas de son frère. Il arriva rapidement à la conclusion de l’Épouvantard et lança un #Ridikulus qui transforma le mort en figurine.

David sourit en voyant une figurine de Charles, il était persuadé que son frère aurait apprécié ce genre de goodies à son effigie. Le professeur de métamorphose continua ensuite son avancé jusqu’au premier croisement qu’il rencontra.

Résumé:

[Poudlard] L'énigme finale RmVycmFyby5qcGc

Comment avait-il fait pour ne pas s’en rendre compte?

Les longs doigts de pianistes tambourinant contre la fenêtre, le regard sombre de l’adolescent avait longuement fixé le brouillard qui avait envahi Poudlard. Comment croire que le phénomène avait pu franchir les barrières magiques de la célèbre école? Pire, comment croire que personne ne savait comment les remettre? Après une mobilisation extraordinaire des habitants du château, les indices les avaient conduits au septième étage, une pièce que le Serpentard ne connaissait que beaucoup trop...

Arrivé parmi les curieux et autres professeurs, Spencer ne s’attendait pas à grand-chose, après tout, la salle ne pouvait fonctionner devant autant de gens. Une simple pièce vide devant une porte close. Un nouveau cul-de-sac. Exaspéré, l’étudiant du nord avait retenu un soupir, persuadé de perdre son temps, jusqu’à ce qu’une écriture apparaisse sur le mur. Des mots latins qu’il déchiffra sans difficulté, parlant depuis longtemps cette langue morte. Qui donc les appelait à l’aide?

Mais avant qu’il n’ait pu se poser davantage de questions, l’étudiant sentit un froid lui tordre l’estomac. Il eut l’impression qu’un poids venait de lui tomber dessus comme lors d’un transplanage improvisé. Un sentiment désagréable qui lui comprima les poumons. Les portes s’ouvrirent et avant que qui conte n’ait pu faire le moindre geste, le néant sombre qui se cachait derrière les pans de bois les aspirèrent, les plongeant dans l’obscurité...

Thomas frappa durement le sol, retenant aussitôt un grognement de douleur tandis que l’air quittait brusquement sa respiration. Le dos contre le sol froid, l’adolescent cligna des yeux, cherchant à habituer sa vision à la pénombre ambiante. Se redressant sur un coude, le jeune homme observa rapidement les alentours, sa main gauche allant instinctivement chercher la ténébreuse qui vibrait dans sa poche. Heureusement, la précieuse n’avait rien. Pour ce qui était de l’endroit où il se trouvait... Le regard clair balaya autour de lui. Bien qu’ils avaient été plusieurs à être aspiré par le néant, Spencer se retrouvait seul au milieu de ce qui ressemblait à une sorte de couloirs. Les murs et le sol étaient en pierre inégale, comme s’il avait atterri au sein même des fondations du château. L’endroit était sombre. Impossible de voir le plafond s’il y en avait un. Une faible lueur semblait éclairer les extrémités du corridor où il se trouvait, sans qu’il ne puisse en définir la lueur.

Le Serpentard se redressa, secouant ses vêtements pour en enlever la poussière, retenant un juron. Comment pouvait-il toujours se retrouver dans des situations impossibles? À croire que la poisse lui collait à la peau. Un bref lumos lancé pour être certain de ne pas se faire surprendre, Thomas se mit en route. Le corridor n’avait rien de particulier, si ce n’était qu’il débouchait sur d’autres corridors, et d’autre encore.

Un labyrinthe.

Spencer claqua sa langue. Une difficulté supplémentaire. La ténébreuse s’éteignit un instant, un sortilège traçant une ligne sur l’une des pierres, à défaut d’avoir une craie. Au moins il aurait une idée de l’endroit d’où il venait. Thomas venait à peine de finir son tracé qu’un cri lointain lui fit dresser l’oreille. Il n’était pas seul dans le labyrinthe! L’adolescent se dépêcha de tourner l’un des coins, manquant de peu d’heurter une porte. Une porte? Dans le labyrinthe? L’étudiant du Nord manqua de sourire. Si une porte pouvait le conduire ici, elle devait sans doute l’en sortir! Quoique celle-ci lui semblait étrangement familière. Baguette toujours en l’air, le jeune homme s’approcha, ne comprenant pas pourquoi son cœur battait plus vite, ne comprenant pas pourquoi ses tempes étaient soudainement humides. Ce n’était qu’une simple porte, non? Une porte comme il y en avait plusieurs dans le château, comme il y en avait partout... même chez lui...

La baguette trembla dans sa main. Ce n’était pas une vraie porte. Il en avait la certitude avant même que la lueur verte n’en éclaire le contour. Le sortilège claqua, à la manière d’un coup de fouet, faisant disparaitre la porte dans un tourbillon de couleur qui disparut à l’angle d’un couloir. Thomas poussa un soupir, sa main repoussant ses cheveux blonds.

Mais dans quoi était-il tombé?

Résumé:

Event Poudulard

pleins de gens

L'épouvantard ne lui avait pas posé de soucis. C’était un sort qu’il maîtrisait depuis un long moment. Mais il gardait sa baguette à la main. Prêt à en découdre avec ce qui pourrait arriver sur lui dans ce qui semblait être un labyrinthe. Un lumos informulé plus tard et sa baguette s’éclaira à la pointe lui permettant de voir où il mettait les pieds. Il préférait ne pas faire plus pour le moment, ne sachant pas ce qui pourrait lui tomber dessus. Fitzwilliam observait les murs qui se découpaient à peine dans la pénombre. Il leva sa baguette pour tenter de voir jusqu’où ils montaient mais l’obscurité était très épaisse. Tellement que son petit lumos avait du mal à tout éclairer. Mais il ne voulait pas faire trop de lumière au cas où cela attire quelque chose. Quoi ? Il n’en savait rien mais il se méfiait de tout dans ce dédale sans fin.

Il avait décidé de toujours tourner vers la droite, sa main sur le mur. C’était une technique moldu mais en tant qu’enfant de moldu et de mère cracmole il avait toujours vu du bon dans les techniques des sans-mages. Le silence était lourd, à peine dérangé par le son de ses pas. Enfin ça c’était jusqu’à ce qu’il entende un hurlement percer les ténèbres. Un appel au secours dont il eut du mal à trouver l’origine au début. Il lui fallut avancer encore avant d’enfin tomber sur une pauvre jeune fille recroquevillée sur elle-même devant son épouvantard. Fitz vient se placer entre elle et l’épouventard qui changea de forme dans un brouillard léger. Un nouveau “Riddikulus” et la forme disparut dans une pluie de confettis.

Fitzwilliam se tourna rapidement vers la jeune femme relançant un lumos informulé avant de venir s’agenouiller prés d’elle et de poser sa main sur son épaule. “Mademoiselle. C’est fini. Calmez-vous. Vous ne risquez plus rien je vous le promet.”

Emme

Resumé:

Fanny Gwin rp numéro 81 :

Fanny était là, a genou au sol, à entendre les bruit d'une voiture se crasher en boucle dans un mur, le tout sous les cris combiné des occupants imaginaires du véhicule. Malgré tout ses effort pour se boucher les oreilles et fermer les yeux des bribes sonore et visuels était capté, tourmentant l'esprit de la demoiselle.

Heureusement pour la française son cri de détresse avait été entendu et soudainement tout s'arrêta et un homme qu'elle ne pu d'ailleurs pas reconnaitre tous de suite a cause des larmes qui commençaient a se former dans ses yeux.

Le professeur s'attela à rassurer la pauvre poufsouffle qui en avait bien besoin. dans un élan émotif elle serra l'enseignant dans ses bras en murmurant de manière sincère :

"Merci"

Après quelques instant et une fois calmer la française s'attela a chercher des explications, en effet elle ne savait toujours pas ce qu'il se passait et comment elle était arriver. Et c'est donc en se levant qu'elle posa des question a son sauveur

"Ou somme nous, Comment on est arrivé là ?"

Résumé:

L’énigme finale

ft. les héros de Poudlard

Agrippée à sa baguette comme si sa vie en dépendait, et ce n’était certainement pas tout à fait faux, Gillian évoluait dans le labyrinthe en faisant montre d’une concentration des plus intenses. Elle avançait à pas de loups tandis que les événements de ces derniers jours tournaient en boucle dans son esprit, qui bouillait de résoudre la situation.

Une partie des barrières de Poudlard avait cédé au Brouillard. Le Château que d’aucuns pensaient imprenables, était sur le point de sombrer. Voilà qui lui rappelait une vieille histoire moldue, à propos d’un titanesque bateau que tout le monde pensant insubmersible. Cependant chacun, à Poudlard, était déterminé à ce que l’issue de l’histoire soit meilleure que ce vieux naufrage, et tous, s’étaient mobilisés à leur échelle, selon leurs moyens, pour œuvrer tant à la sauvegarde de l’école qu’à la protection de ses habitants, et enfin, à l’incroyable enquête qui les attendait.

L’arithmancienne, qui elle aussi faisait partie de ceux qui avaient découvert le chemin secret parsemé de runes, avait senti une profonde vague d’optimisme s’emparer d’elle alors qu’enfin cette piste avait été découverte. Malgré tout, et quand bien même elle s’était doutée que les secrets du collège étaient très bien gardés, elle n’avait pas imaginé qu’elle se trouverait dans pareille situation.

Toutes les deux minutes, elle remontait sur son nez l’épaisse paire de lunettes qui lui mangeait une partie du visage, laquelle glissait un peu à cause des sueurs froides que lui causaient les épouvantards. Lorsqu’elle avait vu sa toute première araignée, Gillian avait cru qu’il s’agissait d’une vraie. Son cri de frayeur sembla cependant « nourrir » la créature, qui grossit substantiellement, ce qui lui permit de comprendre qu’il s’agissait, en réalité, du monstre malin qu’un simple riddikulus bien lancé permettait d’anéantir.

La tâche n’était cependant pas si aisée qu’il y paraissait, puisque parfois les épouvantards, sous l’apparence d’araignées toutes plus grosses, poilues et crochues les unes que les autres, venaient à la charge à plusieurs, au-devant ou par derrière, la poursuivaient dans ses détours et contours au cœur du dédale, voire – comble de l’horreur – lui tombaient dessus depuis le haut du labyrinthe. Lors de la première phase de recherche de son chemin, qui lui parut durer des heures, Gillian lança tant de fois le contre-sort qu’elle en avait la voix un peu éraillée. Aussi était-elle essoufflée à force de trotter dans cet endroit lugubre et noir, qui ressemblait aux intestins d’un gigantesque monstre.

A mesure qu’elle avançait, l’arithmancienne notait avec soin dans un coin de son esprit rationnel le chemin qui avait été le sien, afin de pouvoir remarquer si elle tournait en rond, ou si les lieux avaient, magiquement, été modifiés. Poudlard était un endroit où les labyrinthes, lorsqu’ils existaient, semblaient animés d’une volonté propre, à l’image de ses grands escaliers. Comparer ces lieux sinistres à d’autres, familiers qui évoquaient la vie quotidienne et lumineuse de l’école lui donnait du courage.

Suffisamment pour continuer à avancer, et même, Gillian s’en réjouit, à progresser.

La baguette tendue devant elle, elle se demanda où étaient passés les autres. Parfois au loin elle avait l’impression d’entendre une voix s’exclamer, mais chacun de ses appels demeuraient sans réponse. Il était peut-être impossible de croiser quelqu’un ici, peut-être que les lieux étaient terriblement vastes et rendaient peu probables les rencontres. Peut-être était-ce les deux. Un épouvantard choisit ce moment d’angoisse pour surgir d’un seul coup devant Gillian, qui sentit son ventre se glacer.
- Riddikulus ! s’écria-t-elle.
L’araignée bossue aux épaisses pattes noueuses fut aussitôt transformée en une grosse peluche poulpe, souriant et mignon, avant de se dissoudre en une nuée de petites cendres grises. Gillian expira profondément et s’étira longuement la nuque, les épaules et les bras, avant de reprendre sa route.
Elle arriva à un croisement, et sursauta vivement alors qu’une forme indistincte apparaissait sur sa gauche. Gillian pointa sa baguette dans cette direction, prête à anéantir la nouvelle créature sordide qui viendrait la harceler.

Cependant, malgré la pénombre, elle reconnut le visage familier de son estimé collègue et ami, professeur de métamorphose. A l’expression très surprise qu’il lui servit en retour, elle comprit qu’il ne s’agissait pas d’une ruse du labyrinthe, mais qu’il était bel et bien là, en chair et en os.
- David ! s’exclama-t-elle avec soulagement. Par Merlin, j’ai cru que je ne retrouverais jamais personne.
Combien, en tout, avaient été projetés ici ? Tous ceux de la salle sur demande ? Ceux qui passaient, par hasard, à l’extérieur, au moment de l’ouverture des portes à runes ? Fitzwilliam était très certainement en train d’errer dans ce labyrinthe lui aussi, puisqu’il s’était trouvé aux premières loges. Et que dire des étudiants…
- J’espère que nos élèves vont bien, ajouta-t-elle. Oh mais et toi, comment te sens-tu ? Toi aussi tu as dû affronter des épouvantards ?

Pour l’heure il semblait qu’ils furent la seule créature susceptible d’être rencontrée par ici. Mieux valait certainement avancer à deux, puisque les épouvantards, face à deux personnes, ne savaient généralement bien vite plus du tout où donner de la tête. Rapidement, Gillian expliqua à David quel avait été son parcours dans le labyrinthe, et, des déductions qu’elle avait faites, quelles étaient d’après elle les directions à suivre.

Tous deux restèrent ensemble et continuèrent d’évoluer, dans des recoins du labyrinthe qui s’avéraient être des artères soudainement bien plus larges que les précédentes. Était-ce annonciateur d’une prochaine sortie ? Gillian y croyait.

Revelio:

On y était. C'était finalement arrivé. Poudlard était confrontée au danger du brouillard mystérieux. Andrew avait entendu parler de ce mal qui s'abattait sur le pays via les journaux ou par des conversations au détour d'un couloir. Mais il était loin d'imaginer que le château aurait pu être touché ! Ne disait-on pas que "Poudlard était le lieu le plus sûr du monde magique" ? Cela en disait long sur le danger auquel Andrew et ses caramades étaient maintenant confrontés.

Le jeune gryffondor était déterminé à se battre pour sauver son école. Il était hors de question qu'il retourne dans le monde moldu. Il ne le supporterait pas. Depuis qu'il avait reçu sa lettre, sa vie avait changé, comme si il était venu au monde une nouvelle fois, et que la première n'était qu'un faux départ. Il n'a commencé à vivre que lorsqu'il a mit les pieds à Poudlard, avec son chat Kobe, et qu'il a rencontré Lilwenn et tous les autres. Depuis le premier jour il n'eut rien d'autre en tête que de parfaire sa maitrise de la magie et du château. Il avait exploré tous les couloirs des dizaines de fois, connaissait tous les secrets (à sa connaissance) de Poudlard. Il refusait catégoriquement de subir la situation et de risquer de quitter le château sans avoir tout ce qu'il avait dans la "bataille". Hors de question de retourner à la vie normale !

Il s'était tout de suite porté volontaire pour enquêter et avait décidé de mettre ses connaissances à disposition de ses camarades et de ses profs. Ils avaient découvert des inscriptions runiques bizarres, c'était une piste assez mince mais c'était tout ce qu'ils avaient. Ils allaient devoir se plonger dans les secrets les plus anciens et les mieux gardés de Poudlard. Des secrets dont plus personne n'était le gardien... Si l'enjeu n'était pas aussi énorme, Andrew aurait été aux anges, surexcité d'avoir accès à ce genre de connaissances. Mais aujourd'hui il n'en était rien, il était grave. Et marchait d'un pas cadencé en direction de la salle sur Demande au sein d'un groupe d'individus mal assortis.

- Adiuva nos castrum.

Il ne connaissait pas très bien le latin mais castrum ressemblait à "Chateau", il était dans un chateau, jusque là il était sur la bonne voie. Mais elle ne menait nulle part.

Mais il n'eut pas le temps de se pencher sur la question plus longtemps, il fut absorbé comme si il avait pris un portoloin défectueux. L'atterrissage fut rude. Il était étalé sur un sol froid, éclairé seulement par une lueur lointaine. Il se releva, s'époussata et se recoiffa rapidement.

-Lumos Maxima.

Cet endroit n'avait pas grand chose à voir avec la salle sur demande qu'il connaissait si bien. Il n'avait jamais demandé ça... La salle exerçait une magie qui l'avait fasciné depuis le premier jour où il y avait mis les pieds, et il s'était rendu compte que sa magie était aussi puissante qu'incompréhensible. Il était à peu près sur qu'elle avait sa propre volonté, mais ses intentions étaient particulièrement difficiles à lire aujourd'hui. Les parois étaient hautes et sombres, il ne semblait y avoir qu'un seul long couloir.

Andrew n'avait pas trop le choix et commença à l'emprunter lorsque quelque chose d'inattendu se produisit. La texture même de la salle changeait et prenait une forme bien trop familière au goût d'Andrew. Il observait des cadres apparaitre aux murs. Avec ses photos de famille, immobiles, un lit, dans lequel il dormait quand il était enfant. Il pleuvait aussi maintenant.
Il aurait pu mettre ses apparitions sur le compte de la magie de la salle sur demande si il n'avait pas vécu cette situation des dizaines de fois. Il savait très bien ce qu'il se passait. Un épouvantard. Il en avait croisé beaucoup lors de ses explorations du chateau, et aussi dans la salle sur demande quand il allait là où tout les objets perdus se trouvaient.

-Riddikulus ! Lança-t'il avec conviction.

Comme d'habitude, l'épouvantard prenait la forme de sa chambre d'enfance, telle qu'elle était avant qu'il n'apprenne qu'il était un sorcier car sa plus grande peur était de perdre sa magie et de revenir à une vie moldue.

La pièce s'emballa, les photos se mirent à gueuler des chansons paillardes en mode opéra, le lit s'envola et au bout de quelques instants, l'endroit reprit sa forme initiale. Malheureusement il était toujours plongé dans l'obscurité. Il ralluma sa baguette et se remit en chemin.

C'est alors qu'il remarqua que le chemin vers la lumière avait changé. Il était dans une sorte de labyrinthe...

Super... Il manquait plus que ça... Il était séparé des autres, et en plus il devait se sortir d'un labyrinthe magique qui était peuplé d'au moins un épouvantard.
Heureusement, il avait une petite astuce pour éviter de trop se perdre. Un sort qu'il avait développé pour écrire sur les murs sans détériorer le chateau.

-Lumos Pertinax !

Sa baguette continua d'émettre de la lumière mais cette fois elle était rouge vif et non plus blanche. C'était l'inconvénient, ce sort était conçu pour tagger magiquement des murs, pas pour éclairer. Lorsque sa baguette était en contact avec un élément solide, elle laissait une trace indélébile et lumineuse de couleur rouge (pendant quelques heures). Andrew se mit donc en marche, en prenant grand soin de laisser frotter sa baguette au mur à sa droite tout le long de ses déambulations dans le labyrinthe.

Il avançait depuis quelques dizaines de minutes quand il apperçut une ombre au détour d'un virage.

-Qui est là ? Demanda Andrew, essayant de ne pas afficher trop de peur ou d'angoisse dans sa voix.

Résumé:

Event Poudlard

pleins de gens

Fitzwilliam attendit que la jeune femme se soit entièrement calmer avant de se reculer pour lancer de nouveau un lumos informulé et éclairait les trait de la jeune étudiante. Il posa sa main sur son épaule pour la rassurer avant d’éclairer les alentours. “Nous sommes dans ce qui semble être un labyrinthe… Quand à savoir comment nous sommes arrivé ici et bien j’ai beaucoup d'hypothèses mais peu de réponses…" Dit il en regardant autour de lui afin de prévenir l'arrivée d’un autre épouvantard. Ce n’est pas qu’il craignait ce genre de créature mais il n’était jamais agréable de se retrouver devant sa plus grande peur. “ Venez ne restons pas là. Avançons et tentons de trouver les autres.” Il serra doucement son épaule pour lui montrer qu’il était là avec elle puis il reprit sa marche en sa compagnie, la gardant près de lui. Il avait bien compris que pour elle les épouvantard étaient une chose qu’elle avait du mal à gérer. Alors il la gardait près de lui et lançait des Ridikulus dès qu’une de ses entités montrait le bout de son nez. Il se demandait combien d’épouventard il y avait dans ce labyrinthe et s’ils étaient proches ou non de la sortie. Il espérait aussi retrouver les autres étudiants et ses deux collègues. Si Fitz adorait les énigmes, il ne voulait pas que la vie de ses élèves ou de ses collègues soit mise en danger. Et pour le moment il n’y avait guère eut de bonnes nouvelles dans leurs quêtes.

Jusqu’à ces quelques mots en latin. Adiuva nos castrum. Et ces runes qu’il n’avait pas eut le temps d’étudier qu’ils c’étaient tous retrouvés gobé par ce dédale. Il avançait avec la jeune fille et lançait à intervalle régulier des Ridikulus. Se mettant à chaque fois devant l’étudiante afin de la protéger de la vision qui semblait la mettre dans tous ses états. “Regardez, les couloirs sembles s'élargir à partir d’ici… Peut-être sommes-nous sur la bonne voie pour sortir de là. Espérons que nous retrouverons les autres.”

Emme

Resumé:

Rose était cramponnée à sa baguette. Le corps sans vie de son frère gisant à ses pieds.

Que s'était-il passé ? Tout était flou, ce foutu brouillard s'était-il insinué dans son esprit ? Non c'était autre chose. Elle se rappelait avoir escorté ses camarades et des professeurs, conformément à son rôle de préfète. La petite équipe suivait une sorte de jeu de piste magique à base de runes et d'inscriptions qui les avait menés devant la salle sur demande.
Une phrase en latin était visible, alors qu'elle n'était pas là habituellement. Ca lui revenait maintenant, quelqu'un avait lu à haute voix :

- Adiuva nos castrum.

"Aidez-nous au château". Rose maitrisait le latin, pas parfaitement, mais largement assez pour comprendre cette locution assez basique. Et l'instant d'après elle était happée dans un tourbillon sombre et projetée au sol devant cette vision d'horreur.

Elle se mit à crier et à courir vers le corps inanimé. Elle le secoua en priant pour qu'il se réveille mais rien n'y faisait. Il ne réagissait pas.

Elle apperçut une lumière au bout d'un long couloir et se mit à courir frénétiquement en sa direction, sans savoir si elle cherchait de l'aide, ou la personne qui avait attaqué son frère. Elle voyait flou à travers les larmes, elle avait les poings serrés si fort que ses ongles lui lacéraient les paumes. Elle courrait, courrait, toujours tout droit, en fixant la lumière qui ne semblait pas se rapprocher. Et d'un coup elle trébucha et s'étala par terre.

Elle chercha du regard la cause de sa chute et fut horrifiée de voir à nouveau le cadavre de son frère. Mais c'était impossible, elle n'avait jamais changé de direction.

Peut-être que sa chute lui avait remis les idées en place, en tout cas elle avait eu l'utilité de forcer Rose à s'arrêter dans cette fuite en avant. Elle était devant un paradoxe. Il y avait quelque chose de louche. Hugo n'était pas sorti de son dortoir aujourd'hui, Rose s'en était assurée.

-Riddikulus. Dit-elle en pointant sa baguette vers le corps inanimé.

Et d'un coup le corps se redressa et commença à faire des grimaces et à gesticuler bizarrement.

Saleté d'épouvantard, il avait failli duper Rose. Elle s'en voulait de ne pas avoir compris plus tôt... D'ailleurs il devait y en avoir plusieurs dans ce... Où était-elle déjà ?
La lumière était toujours visible mais le couloir n'était plus droit. Une illusion ? Un labyrinthe ?

Elle se retroussa les manches et s'enfonça dans le dédale, toujours aux aguets. Elle ne se laisserait plus surprendre par de faibles créatures. Pour sortir d'un labyrinthe il faut toujours tourner dans la même direction. Ca serait la gauche.

Résumé:

David venait d'arriver au croisement et prit un instant pour reprendre ses esprits. De ce qu'il savait, il se trouvait dans un labyrinthe, qu'il y avait des épouvantards et probablement le reste de l'équipe de Poudlard qui était avec lui dans la Salle sur Demande.
Il était désormais à un croisement et devait choisir vers où aller, il se rappela que dans un labyrinthe, il fallait choisir un mur, poser sa main dessus et suivre le mur en restant toujours en contact avec. Il opta pour le mur de droite car il se considérait plus à l'aise avec sa baguette dans la main gauche. Il commença donc à déambuler dans le labyrinthe.

De nombreux épouvantards croisèrent son chemin lui dévoilant des illusions de ses adelphes décédés. Il dû donc supporter la vision de son frère et sa soeur paisiblement éteints, décapités, brûlé vif, pendus et toujours plus. Il continuait d'avancer lorsqu'il entendit un #Ridikulus quelques mètres plus loin et une silhouette apparaître au détour d'un croisement. Un poids sur le corps disparu et un sourire apparu sur le visage de Moody. Ce visage disparu progressivement lorsqu'il vit que la silhouette le visait, à sa place apparaissait un visage surpris.
L'enseignant continua d'avancer jusqu'à reconnaître son amie Gillian, qui le reconnut et s'exclama qu'elle était heureuse de le retrouver, qu'elle pensait être toute seule abandonnée dans ce dédale.

David lui sourit et l'écouta expliquer son périple dans cet amassement de murs et de croisements. Grâce à leur connaissances et leur partage, les deux enseignants purent éliminer un bon nombre de chemins. Il était désormais temps d'avancer et de trouver cette sortie.

Une idée frappa l'esprit du Professeur de Métamorphose.

- Hey, j'ai une idée, si je lance un patronus pour nous guider et que tu t'occupes des épouvantards, on avancerait plus vite, non ?
- Uhm.. Pourquoi pas, oui, disons que ça peut se tenter.

David sourit à son amie, pointa sa baguette vers le couloir et commença à réfléchir à son souvenir le plus heureux mais les différentes visions d'épouvantards qu'il avait croisées viennent occuper son esprit. Des flashs plus ou moins longs illustrant Charles et Amy sans vie, l'empêchèrent de se concentrer. Sa main trembla de plus en plus et à la place du renard argenté habituel, ce ne fut qu'un filet argenté qui sorti de sa baguette.

- J'y arrives pas, il va falloir trouver une autre technique. Un Quatre Points peut-être.

Gillian opina du chef pour lui indiquer qu'il pouvait essayer.

Moody pointa le chemin devant eux et lança son sortilège de Quatre Points qu'il utilisait pour s'orienter lors de ses balades dans la Forêt Interdite. Un tracé lumineux apparu et sembla leur montrer le chemin vers la sortie.

Les deux collègues suivirent le GPS magique alternant les épouvantard pour ne pas se surcharger mentalement. Ils profitèrent même d'être deux pour discuter et se remémorer les cours de Défense contre les Forces du Mal qu'ils avaient pu avoir lorsqu'ils étaient élèves dans cette même école.

Au bout de quelques minutes qui leur parurent dès heures, David et Gillian atteignirent le bout de la ligne lumineuse au dessus de laquelle se trouvait une arche. David ne voyait pas encore très bien l'arche mais quelque chose, principalement son instinct, lui fit comprendre qu'ils étaient arrivés.

Il se tourna vers son amie.
- S'il te plait fait moi confiance, mets toi contre le mur ici et ne regarde pas en l'air.

Miss Humphrey n'eut pas l'air de comprendre ce que David lui demandait mais s'exécuta.

David pointa donc sa baguette vers le ciel, ou plafond à l'opposé de Gillian et lança un #Periculum. Si le labyrinthe n'était pas couvert, ou s'il y avait un espace entre les parois et le plafond, la luminosité du Periculum serait probablement perceptible pour les autres membres de l'équipe toujours bloqués dans le labyrinthe.

- Comme ça, si on n'est pas les derniers, les gens auront peut-être une idée d'où aller. Bon qu'est ce que c'est que ce truc ? Demanda-t-il en regardant l'arche.

Résumé:

Un nouveau tournant.

Il en était à combien? Thomas avait l’impression de tourner en rond. L’idée de se transformer en chien lui avait bien sûr traversé l’esprit. Avec un museau plus développé, il aurait été facile de trouver son chemin dans le labyrinthe, de suivre les odeurs, même trouver la piste des autres élèves et professeurs. Il ne devait pas être le seul à s’être fait avaler par le vide. Pourtant, autant les avantages étaient lourds dans la balance, autant Spencer sentait qu’il valait mieux ne pas tenter le diable avec une transformation qu’il ne maîtrisait pas encore tout à fait. Il n’aurait plus manqué qu’il se fasse surprendre par un enseignant avec sa forme animale, ou pire, qu’il reste coincé avec ses 4 pattes dans les souterrains de l’école. Et cette espèce d’aura de perturbation dans l’air ne lui disait rien de bon.

Le Serpentard tournait un nouveau coin lorsqu’il manqua de heurter le dos d’un être qui se tenait devant lui. Baguette en main, l’adolescent reconnut le costume d’un des élèves de Serdaigle. Celui-ci semblait figé, le bras tremblant piteusement devant lui. Surpris de ce contacte, l’étudiant se retourna pour dévisager Thomas, avant de prendre la fuite en criant, laissant l’héritier en hébétement.

???

Il avait changé de tête ou quoi? Les pensées du jeune homme n’allèrent pas plus loin puisqu’il se trouvait désormais… devant son double! Un miroir? Ou plus tôt lui en copie conforme, avec un soupçon de plus d’élégance dans un costume non froissée et une tête de quelqu’un qui n’avait pas été avalée par le vide. Mais qu’elle était encore cette nouvelle épreuve? Thomas et son double se dévisagèrent un instant avant que l’apparition ne change de forme pour prendre celle d’une porte désormais bien familière au sang-pur.

Un épouvantard.

Retenant un claquement de langue d’agacement, Spencer fit disparaître la créature d’un claquement de baguette avant de chercher l’étudiant des yeux. Le pauvre avait complètement disparu. Il devait être bien loin maintenant. Le minois du jeune homme se fronça. Il était spécial de se savoir l’épouvantard de quelqu’un. Surtout que Thomas ne se souvenait pas d’avoir jamais parlé avec le Serdaigle en question. Quelque croisement tout au plus.

À moins que ce ne soit une nouvelle illusion?

Peu convaincu, le Serpentard se remis en route. Les couloirs s’agrandissaient, l’écho était moins oppressant. Pourtant, il n’avait pas l’impression d’avoir atteint une sortie. Le regard avisé de l’étudiant du nord tomba bientôt sur une lueur rouge. Une marque qui ornait la pierre d’un des murs. À un autre croisement, une nouvelle flèche.

Tiens, tiens…

Quelqu’un d’autre avait eu l’idée de marquer les murs. Thomas suivit les indications, apercevant bientôt une ombre aux cheveux foncés, une tête que le Serpentard avait déjà vue. L’amateur de farce et attrape des Gryffondor.

-Firth?

Un peu de méfiance. On ne pouvait encore tomber sur un épouvantard. En fait non, c’était le véritable étudiant. Enfin un visage humain dans cet endroit sombre et glauque. Heureux d’avoir trouvé un partenaire, un pâle sourire apparut sur le visage de Spencer. À deux ils allaient pouvoir avancer.

-Avez-vous vu d’autres gens?

Thomas échangea un instant avec le Gryffondor sur leur cheminement, puis ils se remirent en route. Le sortilège d’Andrew étant le plus efficace, le Serpentard le laissa marquer le chemin, éclairant les couloirs avec son Lumos. Les passages dans le labyrinthe devenaient plus grands, plus spacieux. Au détour d’un nouveau corridor, les deux étudiants remarquèrent une lueur rouge qui éclairait non loin.

Avaient-ils trouvé la fin?

Ou n’était-ce que le commencement?

Résumé:

L'énigme finale

Groupe Poudlard
Nous sommes le 02 avril 2022

Affronter le labyrinthe n’eut rien d’une partie de plaisir. Cependant, après ce qui semblait être des heures de pérégrinations, les participants arrivèrent dans des artères larges qui annonçaient une sortie prochaine. Que leur soulagement fut grand, lorsqu’ils virent au loin, droit devant eux, se dessiner de très hautes arches de pierres. Enfin, une ouverture. Enfin, leur délivrance.

Cependant les plus observateurs ne pouvaient que remarquer que, alors qu’ils passaient l’arche de sortie et pénétraient dans un immense hall, très haut, et très éclairé, parsemé de vitraux aux couleurs des quatre grandes Maisons de Poudlard, le nombre de participants avait drastiquement diminué. Le labyrinthe avait perdu une partie d’entre eux. Une grosse partie. Peut-être près de la moitié.

Où étaient-ils passés ? Leur vie avait-elle été mise en danger ? Il n’y eut, malheureusement, pas le temps de s’en préoccuper plus d’une minute.

Dans une grondement profond, le hall à vitraux se mit à trembler. Alors que l’arche scellait à jamais l’issue vers le labyrinthe, en chaque point cardinal apparut une grande porte. Chacune dotée de l’emblème d’une des Maisons de Poudlard, et d’une inscription particulière.

Sur celle ornée d’un griffon rougeâtre impétueux, l’on pouvait lire « Approchez, Gryffondors ». Au-dessus de celle faite de bronze et décorée d’un corbeau très fier, il était inscrit « Serdaigles, par ici ». A côté, brillaient les lettres jaunes « Venez, Poufsouffles » au-dessus d’un blaireau farouche. Et enfin, sur la quatrième porte, aux reflets d’émeraudes et d’argent, il était écrit « Entrez, Serpentards ».

Les participants, en nombre restreints, se regardèrent un moment avec stupeur. Il leur faudrait se séparer pour avancer. Toute tentative d’ouvrir une porte qui ne correspondait pas à sa Maison d’appartenance s’avérait vaine, puisque l’entrée rejetait catégoriquement l’étranger qui osait enfreindre ses règles.

Tous se considérèrent une dernière fois avant de pénétrer par la porte qui les appelait.

PORTE DE GRYFFONDOR
Le retour à l’obscurité totale, et du silence. Cependant, il y a un petit quelque chose de tamisé dans l’air qui fait dire que l’ambiance n’a rien à voir avec ce qui a été vu précédemment. Apparaissent, petit à petit, des lettres magiques qui lévitent et brillent, pour former le message suivant : « Seul un véritable Gryffondor pourra avancer et venir à bout du mur de flammes ».

A peine ces derniers mots sont-ils lus qu’une immense gerbe de flammes jaillit du néant, pour former, du sol au plafond, une épaisse muraille enflammée, qui ne comportait aucune faille. La chaleur qui émanait sur le visage des participants éclairait de sa lumière leur surprise, et leur désarroi. Rien ne permit d’éteindre le feu. Nul aguamenti, nul sortilège de jet de sable, nul vent magique… Inutile de chercher à contourner, à creuser, à passer au-dessus, ou en-dessous.

Pas le choix. Il fallait avancer, et affronter le brasier. Mais que faire, si ce n’était traverser ce feu ?

PORTE DE POUFSOUFFLE
Une grande serre, lumineuse, où vivent et rampent quantité de plantes magiques, accueille chaleureusement les participants. Chacun visite, et fait le tour de cet endroit enchanteur, où tout semble n’être que paradis et bien-être. Petit à petit, le groupe trouve quatre statues à l’effigie de créatures magiques, fières et immobiles, parcourues de lianes et de lichen, chacune disposée dans un coin de la serre.

Soudain, les statues s’animent. Surprises et effrayées, elles émettent toutes des cris stridents, essayent même de donner des coups de patte bien sentis, qui poussent le groupe à reculer. Aucun danger n’est cependant encouru, car les sculptures magiques sont très bien scellées à leur socle.

Cependant, bien vite, chacune s’épuise. Le Phoenix, agressif et vivace, abaisse ses ailes et son cou en une minute. Le Dragonnet à Crète toussote après avoir hurlé, et reprend laborieusement son souffle. Pour ce qui était du Strangulot, qui avait sifflé pour montrer toutes ses rangées de dents, se mit à trembler et se recroquevilla sur lui-même. Enfin, le Bicorne cessa de donner des coups de têtes dans le vide, et revint à un état d’accablement certain.

Une voix, parmi le groupe, s’éleva, pour faire remarquer qu’il n’y avait pas de sortie. Ils étaient donc, à nouveau, tous coincés avec ces statues, qui recommençaient à les invectiver dès qu’elles avaient un regain d’énergie, bien vite perdu. C’est alors qu’apparut sur les socles des statues apparut l’énoncé du défi : « Il n’y a que l’aide d’un Poufsouffle qui soit utile à ces créatures, clef de votre délivrance ».

PORTE DE SERDAIGLE
Ce laboratoire de potions semblait dater de la fin du dix-neuvième siècle, mais il regorgeait d’ingrédients et de solutions qui bouillonnaient dans des fioles, posées au milieu de la pièce, parmi d’autres chaudrons et bocaux renfermant des éléments étranges, disposés sur des étagères.

Certains participants tentèrent d’ouvrir derechef la porte qui se trouvait de l’autre côté de la pièce, mais celle-ci était savamment verrouillée. Aucun artifice magique ne put venir à bout du verrou, absolument déterminé à rester fermé, tant qu’il ne serait pas venu à bout du défi.

Sur des tables, se trouvaient alignés des chaudrons moitié moins nombreux que les participants, qui se réunirent en petits groupes. Au fond de chaque chaudron se trouvait un paquet, ainsi qu’un très vieux parchemin. Le paquet contenait six ingrédients. Et pour ce qui était du parchemin, il comportait des indications pour le moins curieuses :

- Trois gouttes de sirop d’ellébore suivront la pincée de poudre de pierre de lune
- La préparation s’achève avec 5 grammes de poudre de quartz
- Rien ne se fera sans eau
- Mélanger deux fois la poudre de myosotis, qui n’est pas la première poudre à être versée
- La fiole de sève de sureau malicieux est ajoutée directement entre deux poudres

« Cette énigme n’est que menu fretin pour qui a l’esprit d’un authentique Serdaigle »

Un premier groupe, qui se trompa dans la conception du philtre, fit jaillir de son chaudron une épaisse vapeur blanche qui les fit sombrer dans un profond sommeil, avant qu’ils ne se volatilisent complètement. Bien entendu, une potion réussie était une potion faite dans le bon ordre…

PORTE DE SERPENTARD
Quelle était cette curieuse salle du trône ? Et qui était donc ce fantôme, inconnu au bataillon, qui se tenait plus dignement que l’empereur des empereurs, sur son siège d’onyx, surplombant l’assemblée ? Il avait l’air d’être un très ancien roi-sorcier, comme ceux décrits dans les cours d’histoire de la magie les plus barbants.

Toutefois il ne manquait pas de prestance. Il dégageait même une aura particulièrement inquiétante. Son regard perçant avait de quoi glacer jusqu’au plus profond des cœurs les plus sensibles. De son vivant, il avait dû être le genre de souverain à n’avoir besoin que de soulever un sourcil, pour que chacun sache la tâche qu’il avait à immédiatement accomplir.

Après avoir traités d’insolents les participants, qui avaient osé troubler son repos, le fantôme se présenta comme le roi Magnus l’Ancien, et posa les conditions de passage aux importuns. Il ne leur laisserait la voie libre que si, tous autant qu’ils étaient, obéissaient à ses ordres. Même si, à dire vrai, il n’en avait qu’un seul.

« Prosternez-vous devant moi, et je vous laisserai avancer ».

Quelques élèves protestèrent. Magnus n’eut alors qu’à claquer des doigts pour que l’une des colonnes de pierre, à côté d’eux, ne se disloque et tombe en morceaux. S’ils n’avaient eu le réflexe de s’écarter, nul doute qu’ils auraient été très grièvement blessés. Si ce n’était pire. Le vieux fantôme sourit, d’un air malsain, et répéta son ordre. L’on tenta bien de lui lancer des sortilèges, mais c’était évidemment peine perdue.

« Il vous est impossible de sortir d’ici sans m’obéir. Les règles de cet endroit sont miennes. Prosternez-vous devant moi ! ».

Il allait sans dire que seuls des Serpentards dans l'âme parviendraient à déterminer la conduite à suivre.

Explications

› Participants attendus

Seuls les personnages listés ci-dessous peuvent poster. Il n'y a pas d'ordre pré-établi. Dans le cas où un joueur ne poste pas entre deux post MJ, il est éliminé du groupe c'est à dire qu'il ne fait plus partie de ce groupe, nous n'en parlons ni RP ni HRP et il ne peut plus poster. Si vous avez des questions ou des remarques, merci de les poster dans le groupe Discord Event prévu à cet effet.

@Andrew Firth
@Rose Weasley
@Fanny Gwin
@Thomas A. Spencer
@Fitzwilliam Bingley
@David J. Moody
@Gillian B. Humphrey

De plus, nul besoin d'attendre que je poste ! Vous pouvez poster autant de fois que vous le souhaitez -sans pour autant faire de double-post- d'ici ma prochaine intervention.

Je ferai une intervention MJ le 17 et 24 avril.

› Résumé

Vous êtes arrivés à bout du labyrinthe et de ses épouvantards, félicitations. Parviendrez-vous désormais à venir à bout de l’épreuve de votre Maison ? Professeurs, souvenez-vous d’où vous venez.

N’hésitez surtout pas à vous entourer de PNJs si vous vous sentez seul pour cette épreuve, qui scinde un peu le groupe ! Mais promis ça durera pas :heart : Pour le groupe Serdaigle, je vous invite à procéder par binômes.

L'idée est que vous arriviez au terme de votre épreuve d'ici le prochain post MJ. A vos plumes !

Je vous rappelle, à tout hasard, les qualités de chacune des Maisons :
Gryffondor : courage, hardiesse, force, bravoure, détermination
Poufsouffle : loyauté, patience, gentillesse, justice, persévérance
Serdaigle : intelligence, sagesse, érudition, réflexion, curiosité
Serpentard : fierté, ambition, ruse, grandeur, provocation

Indices - Si blocage:

Prochain post le 17/04/22

Event Poudlard

pleins de gens

Toujours avec la jeune étudiante ils se débarrassaient du flots d’épouventard qui venaient les harceler avant que comme il l’avait remarqué les boyaux du labyrinthe s’aggrandisaient. Il continua d’avancer toujours avec la jeune femme avant qu’ils ne fassent leur entrer dans un hall immense. Décoré aux couleurs des quatres légendaires maisons de Poudlard. Il observa les différentes arches. Comprennant vite qu’il lui faudrait respecter les maisons, qu’elles soient actuelles ou anciennes. Il observa la jeune fille avec qui il était avant de s’approcher doucement de l’arche décoré de l’aigle des serdaigles. Après tout, même s’il était professeur, il resterait toujours un bleu et argent.

Il observa l’arche et le vitrail avant d’entrer dans la salle qui était dédiée à ceux de son ancienne maison. Une énigme. Bien évidemment. Cela ne le surprit pas outre mesure et il la lue plusieurs fois avant d’observer les chaudrons. Il lui faudrait donc réussir à percer le secret de cette énigme pour avoir le droit d’avancer. Mais il vit sous ses yeux un groupe de serdaigle se tromper dans la potion et sombrer dans le sommeil avant de disparaître sous ses yeux. Il en fut effrayé mais il ne pû rien faire pour l’empêcher. Fitz savait qu’il n’avait pas le choix et il remonta ses manches défaisant légèrement sa cravate avant de s’approcher d’un des chaudrons. Il observa de nouveau l’énigme et commença pas ajouter de l’eau….

Emme

Resumé:

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