Ophelya et Sean ne se firent pas de vieux os dans la salle de potion. Ils sortirent assez rapidement et le Gryffondor suivit sa meilleure amie tandis qu'il était trop occupé à se torturer l'esprit avec la question qu'elle lui avait posé.

L'odeur lui faisait-elle penser à quelqu'un ?

Oui ! Enfin.. Non. C'était étrange, l'effluve ne lui faisait pas penser à l'odeur corporelle de quelqu'un en particulier mais plus à un moment, ou à une succession de moments. L'arôme qu'il avait senti agissait comme une madeleine de Proust, il avait donc ressenti une myriade d'émotions sans forcément toucher un souvenir précis. Il s'était senti heureux, léger, et avait pensé à...

"Maxwell !"

N'ayant pas prêté attention au trajet qu'Ophelya et lui avaient emprunté, ils se trouvaient donc dans la salle des lettres, face à Maxwell, James et P!nk Dementor.

".... et James"

Evidemment, le duo au cerveau unique se comportait comme deux vrais fans devant P!nk Dementor qui complimentait leurs voix. Objectivement parlant ils chantaient juste, même biens, mais ils chantaient trop souvent et en boucle pour que Sean puisse apprécier leur duet. Il était à peu près sûr que rien ne les ferait taire avant une heure du matin cette nuit tant ils semblaient heureux d'avoir rencontré leur idole. Sean allait devoir lancer un sort d'isolation sur les rideaux qui entouraient son lit... et prévenir les autres de faire de même... Mais tout ça, toute cette histoire de "I kissed a dementor" chanté à tue tête et de sort isolant ne resta pas longtemps dans le crâne de Sean qui sentait monter en lui une profonde sensation de malaise. Il avait l'impression d'être un petit garçon prit en flagrant délie en train de faire une bêtise... Or ce n'était pas le cas ! Il n'était plus un enfant et ne faisait rien de mal ! Cette sensation prenait donc source dans l'odeur sentie lors de leur visite en salle de potion et la présence de Shacklebolt !! Son cerveau liait indéniablement les deux et Sean était à peu près sûr que tout le monde pouvait lire dans sa tête ! Surtout Ophelya qui malgré la remarque (bien trouvée) qu'elle fit à Max entraina Potter plus loin pour qu'il lui signe un énième autographe... Ils n'étaient plus que tous les deux, Max et lui, vu que même l'incroyable P!nk Dementor semblait mettre son charisme de côté sur ce coup là... Bon sang... BON SANG ! PAR MERLIN ! Comment Sean devait-il réagir ?!
Etait-il intéressé par Maxwell ?!!
Non !... Enfin si ! Mais seulement physiquement ! Mentalement ça ne pouvait pas coller ! L'ancien gardien avait toujours affirmé que ça ne collerait jamais ! Alors pourquoi diable son cerveau semblait-il soudain envisager l'inverse ?!
Pourquoi la demande en mariage amicale de Potter semblait soudain la PIRE IDEE que Sean ait jamais entendu ?! Il en avait pourtant entendu des mauvaises idées venant de ces deux là...

"Ah ah.. Je ne dirai rien"

C'était quoi ça, Sean ? Tu n'avais donc pas encore PLUS MECANIQUE en réserve ?! ... Merlin, pourquoi Ophelya l'avait-elle laissé dans cette situation juste après avoir senti cette fichue potion ? L'ancien gardien était tout bonnement retourné et n'arrivait même plus à comprendre ce qu'il se passait dans sa propre tête ! Il avait à la fois envie de sourire, de paraître cool et séduisant et en même temps d'aller s'enterrer dans un des cachots de l'école et n'en ressortir qu'à la fin de l'année scolaire ! Il voulait profiter du moment tout en allant s'isoler pour respirer deux minutes et comprendre ce qu'il se passait ?!!

Et là, le remplaçant arriva.

Gaspard Petrovius.

Il passa son bras autour des épaules de Shacklebolt et Sean eut l'ultime illumination qui lui manquait jusqu'ici.

Maxwell lui plaisait, il lui plaisait beaucoup... ET RETIRE TES SALES PATTES DE LA PETROVIUS !

Enfin... Ca c'est ce qu'il aurait aimé dire :

"Ah... Euh... Salut Petrovius." Sa petite tête de fouine là. Il fallait changer de sujet. Vite. Heureusement, P!nk Dementor avait posé une question. "Miss Wellington anime le club de botanique parfois. Ca doit être elle... Eeet je vais ouvrir mon courrier."

Elisabeth jouait distraitement avec une des perles qui traînait sur la table. En temps normal, c’était ses cheveux qui subissaient ce genre de traitement, une mèche en particulier était souvent malmenée. Mais quand elle était en service, elle se devait d’être irréprochable, la crinière ardente était savamment disciplinée en un chignon ou une queue de cheval désordonnée. Juste ce qu’il fallait de mèches rebelles pour donner le style sans pour autant avoir quoi que ce soit qui tombe dans le champ de vision ou sur le plan de travail. D’ailleurs, la potioniste haussa un sourcil de surprise en voyant la coupe de cheveux de sa consœur changer de forme aussi efficacement. Et dire que elle avait besoin de Polynectar pour un résultat similaire.

La rousse écoutait les senteur énoncées, évoquant un côté botanique, jardin aux parfums d’agrumes… La fin des vacances… Mécaniquement, la curiosité lui faisait chercher à qui la description pouvait bien correspondre. Cependant, trop de temps loin de cette école pour trouver ne serait-ce qu’une infime similitude et cette année c’était à peine si elle fréquentait ses congénères enseignants. Elle préférait s’éclipser à Londres dès son temps libre…

« Nos goûts changent oui... » le regard d’Elisabeth était perdu dans le vide, répétant les derniers paroles de Wellington. C’était vrai pour beaucoup de personnes, l’amour fou était de plus en plus rare. Mais elle, elle n’avait pas changer de saveurs depuis près de 20 ans… parler d’amour était d’ailleurs certainement erroné. Pourtant, renifler les vapeurs depuis plusieurs heures lui massacrait le palpitant comme au premier jours. Le manque ravivait les sentiments et le chagrin lui bouffait les tripes. De nouveau elle était cette jeune femme dont les convictions avaient été brutalisées, celle qui s’était laissée tant nuancée par une d’artiste… un changement mauvais mais pour un bien...

« Agrumes, miel, Alihotsy, colle, cire et sciure de bois… » La potioniste n’avait même pas bougée la tête en direction du chaudron. D’abords par ce que ses sens étaient suffisamment développer pour pouvoir identifier avec une telle précision les goûts et odeur des potions mais surtout car elle baignant dedans…
Elle releva l’intéressant commentaire sur la maîtrise des émotions à quoi elle répondit elle d’un mensonge éhonté, sans rougir mais sans pour autant regarder son interlocutrice... Encore et toujours, Elisabeth aimait jauger les réactions des gens. A voir si Daisy allait relever cette fois-ci la description, y comprendre un refus ou pourquoi pas autre chose...
Il n’y avait rien de honteux à avouer ce qui était reniflé, c’était même ce à quoi les gens étaient invités. La rousse avait surtout répondu ces parfums là pour changer de sujet, ne pas avoir à se confier après. Elle était toujours hantée par cette personne et c’était un fardeau qu’elle savourait… Ces souvenir qui faisaient se déchaîner la tempête dans ses aigues-marines… A cet instant, c’était elle qui avait du mal à dissimuler ce qui la rongeait de l’intérieur.

Enfin et fort heureusement, deux autres élèves s’invitèrent dans la salle, Arundell et Barnes… Deux talents s’il en était. L’un, bien trop discret, avait l’air fasciné par le mélange et tout de suite, voulait son cours particulier. Elisabeth n’avais pas de raison de refusé, elle avait été odieuse avec les deux autres élèves précédent. Mais elle savait qu’avec deux-ci, le risque était moindre. Il devait normalement être responsable. Et puis cela lui permettrait de se changer les idées « Tenez, prenez ça et allez au chaudron à côté, le travail de mijotage est quasi finis, il ne reste plus qu’à finaliser, mais ce n’est pas pour autant que c’est la partie facile » La potioniste tendit un ouvrage de potion avancé au Serdaigle tout en gardant fermement les doigts déçu précisant « Que l’on soit bien clair, vous ne repartez pas avec de l’Amortentia... » puis elle relâcha la pression, coupant le feu sous son propre chaudron qu’elle venait de terminer avant d’aller dispenser son cours particulier...

Résumé:

Curieuse, je croise les bras et prend appui sur la paillasse de la salle. J'écoute les révélations sur les amours secrètes de la si sérieuse et si sage "mademoiselle Graham". Une étincelle malicieuse danse au fond de mon regard. Je répète alors, d'un ton mi-taquin, mi-rêveur à mesure qu'elle énonce.

- Agrumes oui ...  miel je vois .. alihotsy hmmm et ...

Tilt. Les connexions se font dans ma petite cervelle. Je me redresse un peu.

- Han Ciboulette ... vous vous fichez de moi en fait.

Evidemment. Elle n'avait même pas tourné la tête vers le chaudron en prononçant la liste. Je me suis laissée berner par l'attitude sérieuse et pince sans rire de la professeure. J'ai un léger rire puis je plisse le museau.

- Très bien, gardez vos secrets ! En attendant je prend ca comme une invitation à vous apporter du thé la prochaine fois que j'en ferai.

Je prend appui sur mes bras et d'une petite impulsion je me redresse. J'avise une des belles pommes rouges qui traine non loin. J'en attrape une par le bâtonnet et l'agite le fruit sucré un peu devant moi.

- Et je vous vole ça pour la peine.

Avant de mordre dedans. Dans un sens, oser consommer quelque chose provenant de l'atelier d'une potioniste relève soit d'une grande confiance soit d'une inconscience totale. Si je me met à me pâmer comme une adolescente de 15 ans devant le poster de la star du Lycée, je saurai à quoi m'en tenir ... mais non je ne crois pas que ca arrivera.

Résumé:

Les deux jeunes femmes se dévisageaient sans rien dire. Cela faisait un moment que ce petit manège avait débuté. Salem Braxton avait été la première à fixer Billie. Derrière les pages  jaunies de son grimoire, la métisse semblait très intéressée par les pages noircies d’encre de l’attrappeuse des Serdaigle. Non pas qu’elles étaient amies, ni même ennemies, elles ne s’étaient même jamais vraiment parlé. Salem était une solitaire, elle n’avait pas d’amies, pas de binôme préféré et elle passait le plus clair de son temps le nez plongé dans ses bouquins ou à hanter les couloirs du dernier étage. Il n’était pas rare de la voir parler seule, ou de la rencontrer les pieds-nus au détour d’un couloir. Les rumeurs allaient bon train et certains on-dit farfelus racontaient même que son comportement était lié aux expériences que Perigrine faisait sur elle. Salem était étrange, mais pas plus que la plupart des sorciers.

Agacée, par le regard incitant de sa consœur, Billie avait fini par poser sa plume pour aller au-devant d’explications. Elle était prête à se lever et confronter Salem, lorsqu’elle remarqua la présence d’une Serpentard vers les boîtes aux lettres. Elle ne la connaissait pas bien et comme elle n’était pas la première à rôder près de la petite pile bancale d’enveloppes dont elle prévoyait d’alourdir le fardeau, elle se focalisa sur cette prétendue rivale. Billie avait oublié Salem qui s'était empressé d'interpeller la prétendante.

« Si Powell n’a pas pris tous les parchemins et vidé tous les encriers, il y a tout ce qu’il faut ici ! » Piquée au vif, Billie répondit du tac o tac. « Je ne suis pas responsable du succès de ces boîtes aux lettres… » Salem ne l’écoutait déjà plus, elle avait aussitôt replongé son nez dans son bouquin en l'ignorant complètement. Cette sale peste, tentait-elle de la provoquer ? L’attrapeuse des Serdaigles, ne dut pas attendre longtemps sa réponse, qui arriva à point nommé dans un glacial : « Tu as l’air très inspirée en tout cas. » Oui, certes, elle l’était, ce n’était pas la peine de préciser cela avec aussi peu de tact, devant cette… Serpentard. Billie n’aimait pas être prise en faute et encore moins qu’on lui fasse la morale… « Du calme Médor, vous n’avez pas le même prétendant ! » Précisa Salem en tournant innocemment une page de son grimoire. Abasourdie par cette donnée qui ne reposait sur rien de concret la concernant, du moins, il lui semblait, Billie observa la Serpentard sans comprendre d’où venaient les conclusions de Salem. Visiblement, Braxton avait des informations intéressantes, peut-être même dangereuses et mieux valait s'allier à une rivale que de tenter de démêler le vrai du faux seule. Un peu déconcertée, elle laissa de la place sur la petite table en débarrassant ses pages manuscrites et adressa un regard compatissant à l’inconnue. Est-ce qu'elle aussi voulait comprendre ce que Braxton savait ?. Billie pencha sa tête vers la Serpentard tout en chuchotant. « Ne fais pas attention à cet oiseau de malheur, Elle croasse plus qu’elle ne mord. Je suis Billie Powell. »

Résumé:

Magnolia sourit au compliment que lui fit le beau Paizo. Elle était vraiment ravis que le petit garçon soit son fiancé. Il présentait vraiment bien et elle était sûre que ses parents valideraient son choix. Il était aussi charmant que son père et aimait autant le quidditch que sa mère. Le mélange parfait. Il venait, en plus de cela, lui aussi d'une famille de sportif et c'est surement ce qui ravirait le plus le couple Dursley.
Comme le petit couple de futur roi et reine de la promo 2028 qu'ils étaient, c'est avec beaucoup de prestance qu'ils se dirigèrent vers la salle où ce tenait la fête (ou plutôt la boom, n'ayons pas peur d'employer les vrais termes). Ravis de se retrouver dans cette ambiance festive (sans se retrouver déguisée en mandragore contre son grès comme à Halloween) Magnolia acquiesça vivement quand Paizo proposa gentiment de se charger des boissons ! Quel gentleman ! Il savait décidément comme se comporter avec les filles et c'était aussi pour ça que Magnolia l'avait choisi ! Les autres garçons de première année passaient leur temps à jouer à des jeux d'enfants ou à courir partout quand Paizo lui, était déjà très mûr ! pour son âge ! Il était réellement le plus parfait de tous les premières années.

Ajustant son diadème et époussetant sa robe, Magnolia attendit que Paizo revienne avec leurs verres de jus de citrouille. Elle sourit en le prenant :

"Merci beaucoup"

Elle but plusieurs gorgées en regardant partout autour d'elle. Tout le monde dansait et semblait s'amuser. Une piste de danse avait été aménagée et la musique était plutôt actuelle (ouf, Magnolia en avait marre d'entendre du BizarSister ! C'était clairement de la musique de vieux !).

"On va danser avec les autres ?"


Résumé :
Magnolia accepte le jus de citrouille de Paizo et lui propose d'aller danser.

James était à la fois euphorique et scandalisé. Euphorique parce que P!nk Dementor lui demandait un autographe (qu'il signa rapidement) et scandalisé parce que tout le monde (du moins Lawson) semblait croire qu'il y avait un truc entre son meilleur ami et leur camarade de dortoir.

Mais... Pourquoi Maxwell répondait-il à ce type ? Pourquoi Maxwell semblait-il aussi aimable avec Sean le relou de service ?! POURQUOI ?! James ne comprenait pas, c'était le genre de chose qu'il était sensé savoir et sentir en temps que meilleur ami alors pourquoi diable avait-il l'impression d'être pris par surprise face à tout cela ?!
Heureusement,  Petrovius vint casser ce petit tableau idyllique que semblait s'être peint Lawson. James adorait ce gars. Il était franc et brut de décoffrage. L'aîné des Potter devait reconnaître qu'il était bien ravi qu'il ait pris la place de Sean le relou... Bon sang... Sean et Max ? IMPOSSIBLE ! C'était IMPOSSIBLE !! La métamorphomage se trompait forcément !!

"Ouais ! On prends le pari ! Je le savais si y avait un truc, Lawson ! Tout le monde dit qu'on a qu'un seul cerveau ! Il sait avant moi quand je crush sur quelqu'un et tu vois c'est pareil dans l'autre sens !" Du moins, ça l'était forcément ! James ne pouvait pas croire que Maxwell le connaissait mieux que lui ne connaissait Maxwell. Il avait un sentiment d'injustice à cette simple idée... "Maxwell a des remords pour Abbot, tu comprends ? Rien de plus. Tu vas tomber de haut."

C'est à ce moment là qu'un nouveau protagoniste montra le bout de son nez.. Ou du moins, une nouvelle protagoniste. Billie Powell, harpie en cheffe et némésis attitrée de James. Elle était passée dans le champs de vision du Gryffondor, l'ignorant superbement et le poussant à dévier le regard de son meilleurs ami. Elle se dirigeait vers les boites au lettres et semblait comme d'habitude se prendre la tête avec tout être capable de respirer. James la regarda quelques longues secondes et une idée germa alors dans son esprit :

"Si je gagne, tu prends l'apparence de Powell et tu vas dans le hall pour crier "Je suis une trollesse" en pleine heure de pointe ! Je m'en fiche que tu sois à mon service je veux juste ça. Et à l'inverse si je perds, je suis à ton service pendant une semaine comme tu as dis."

Powell semblait espérer qu'il y ait quelque chose dans sa boîte et James (qui était sur deux fronts entre ça et les NON AMOURS de son meilleur ami) sortit de sa poche une petite lettre qu'il avait préparé en avance.

"Je vais pas m'éloigner alors que je veux voir la réaction de Max à ma lettre ça va pas la tête ! Mais on va se planquer et les espionner... Attends juste un peu, j'ai un truc à faire"

L'air malicieux, il s'approcha des boites et passa ostensiblement devant Powell pour mettre sa lettre dans sa boite à elle. Il eut un rictus moqueur et croisa son regard avant de retourner vers Lawson.

Résumé :
- Max et Sean : IMPOSSIBLE ! James le saurait !
- Il accepte le pari d'Ophelya
- Signe un autographe à Darr (insérer ici un cri de fanboy)
- Vient déposer une lettre dans le casier de Billie

Contenu de la lettre en question:

Sûrs qu'ils étaient les plus beaux de la soirée, les Gryffondors ! Le jeune sorcier arborait un sourire rayonnant. Gaspy répondit à Max par une tentative ratée de clin d'œil, content qu'il ait souligné qu'en effet, il était tout beau -en même temps, avec le mal qu'il s'était donné..., ce qu'Ophelya confirma. En revanche, il se contenta d'ignorer Sean. Depuis qu'il le remplaçait dans l'équipe au poste de Gardien, Gaspard était assez mal à l'aise en sa présence ; et ne sachant pas comment gérer cela, il préférait tout bêtement faire fi de... Nope captain, j'suis juste passé devant, mais j'ai pas été voir ce qui été proposé comme activité. Non, il avait juste cherché à voir si Ethan se trouvait éventuellement dans l'une de ces salles. Rien de plus. Pour ne pas se spoiler. Le sorcier n'était pas venu ce soir pour être solo -autant aller déprimer dans le Parc dans ce cas-là..., et avait bien l'intention de profiter de tout ça avec son date ! Mais clair que la salle de concert a l'air d'envoyer du lourd !

Ca avait l'air de magouiller du côté d'Ophelya et James. Toujours la première pour les potins celle-là ! La tenue de James avait de quoi laisser perplexe... Et il y a un autre type aussi avec qui Max et Sean-le-pas-drôle semblait discuter. Inconnu au bataillon celui-là. Il avait l'air de chercher quelqu'un, et le capitaine rouge lui proposait un coup de main.Humm... J'crois que j'ai vu Wellington oui, mais je sais plus dans quelle salle... Elle était avec MacGaham-la-terrible ! Mais euh... Le sorcier demanda plus ou moins discrètement à Max : C'est qui ce mec du coup ? Gaspard n'était pas tellement dans le mood de jouer les guides ou les entremetteurs, mais ce n'était pas non plus comme si il avait autre chose à faire dans l'immédiat...

Sean, lui, semblait prendre la poudre d'escampette. Et voilà... C'était vraiment le mec qui cassait l'ambiance. Gaspard eu le sentiment que sa présence, une fois de plus, dérangeait l'ancien Gardien, d'où cette échappée. Le Gryffondor leva les yeux au ciel, exaspéré et quelque peu froissé, et en profita pour s'acquérir de la présence éventuelle d'Ethan dans la salle. Peut-être était-il arrivé entre-temps ? Peut-être le cherchait-il en ce moment même ? Humm non, toujours pas là... Dans ce cas... Le garçon fit volteface. Mais j'peux vous montrer où elle est du coup ! Si ça pouvait l'occuper le temps que son date ramena ses petites fesses à la fête, why not ? En plus, le Gryffondor avait saisi une bride de ce que racontait Ophelya à James, ayant simplement perçu qu'il était question de lui à un moment donné. Ca sentait le plan douteux tout ça, et même si Gaspy était curieux d'en savoir plus, il ne souhaitait se faire entrainer dans un truc qui lui ferait perdre de vue pourquoi il était là ce soir... Alors autant rester avec Maxwell pour le moment.

Résumé ::