La fête de la renaissance

Les amoureux sont à l'honneur
Timeline : 1er février à partir de 18h00

Cette fois-ci, pas de rendez-vous tonitruant dans la grande salle du banquet, mis à part pour le succin repas du soir. Les quelques activités qui attendaient les élèves étaient, sans nul doute, aussi reposantes qu'enrichissantes. Les fantômes du château, à cette époque de l'année, aimaient parfois se remémorer leurs vie passée, à faire la court à leurs amis et amants, pour marquer progressivement la sortie de l'hiver. Les cœurs se réchauffent tout comme la terre, et le soleil revient timidement nourrir quelques fiers bourgeons. Ils rient, ils dansent, ils chantonnent, avant de filer pour une balade nocturne dès qu'ils avaient trouvé compagnie pour la soirée.

Du côté un peu plus tangible de la barrière, une suite de salles de classe avaient été disposées et ouvertes au rez-de-chaussée avec, à l'intérieur, différentes activités. L'ambiance était feutrée avec un peu de musique douce, beaucoup de bougies au sol, sur les murs et dans les airs et des professeurs à l'affût.

La première salle était aménagée avec des chaudrons et quelques paillasse commune, car on y étudiait la fabrication parfaite de l'Amortencia. La seconde salle était tapissée de canapés, tapis épais, coussins moelleux et un fantôme à la voix tranquille, récitait à voix haute et sans discontinuer des poèmes romantiques. Il y avait un feu dans la cheminée et tout un chacun pouvait se reposer. Des petites tables avaient également été disposées pour permettre à chaque étudiant de rédiger une petite lettre, déclarant leurs sentiments, quels qu'ils soient, tout comme les fantômes à leur époque.
La troisième et dernière salle était celle qui était la plus dynamique. En effet, outre inviter un camarade et danser quelques peu, on pouvait discuter, chanter à tue-tête, courir dans tous les sens bref, se défouler. Il y avait de la musique entraînante, une commode avec quelques verres de jus de citrouille et de quoi avoir une ambiance un peu plus festive. La décoration était également chargée : tantôt fleurie, tantôt illuminée, il y avait du rouge et du rose en couleurs dominantes, entrecoupé de vert pour le végétal qui rampait sur les murs. Les éclairages étaient donc plus orangés voir rougeâtres que d'habitude, donnant une atmosphère complètement différente. Peut être que ça permettra à chaque élève de découvrir l'autre sous un autre angle, qui sait ?

HRP

› Explications

Bienvenue dans cet event Saint-Valentin. Alors comme monsieur Valentin le sublime n'existe pas chez les sorciers j'ai couplé avec quelques traditions celtes et des trucs de mon imagination.
On est quand même porté sur l'amour, la renaissance, la découverte de l'autre, et le romantisme.
L'événement est annoncé et préparé depuis le 15 janvier, donc même si il n'y a pas les activités exactes sur les affichettes et messages, les élèves sont au courant qu'il y aura quelque chose de fait pour "la fête de la renaissance".

Première salle : La pratique. @Elisabeth McGraham si jamais tu ne souhaites pas être leader de l'activité, tu peux dire que c'est le président du club de potions qui s'en occupe et que Elisabeth n'est pas loin, mais qu'en arrière ligne. Vous l'aurez compris : on y fabrique l'Amortencia.

Seconde salle : Le romantisme. C'est celle où on écrit des lettres en écoutant un fantôme récité de très jolis poèmes et où on récupère sa ou ses lettres de Saint-Valentin. Elles ont pu être soit écrites ce soir là, soit en amont. Il y a des tout petits casiers avec des noms et les lettres sont là. Pour les plus populaires, c'est dans des caisses au sol. Depuis le 15 janvier, n'importe qui peut écrire des lettres et, grâce à une formule magique, les envoyer directement dans le casier de la personne désirée. Cette formule magique ne fonctionne qu'aux fins de l'événement et, surtout, que jusqu'à la fin de cette nuit là. Après, elle sera inutilisable (désactivée en somme).

Troisième salle : Let's party o/. C'est la boum ! #JPP #oldies
C'est l'ambiance, y a de la musique, on peut danser, chanter, boire du jus de citrouille, sauter depuis les tables, courir partout, bref dépensez vous et faites en sorte de séduire votre crush en faisant n'importe quoi /sbaff

L'événement est surveillé par : le concierge, l'infirmière, le garde chasse et quelques professeurs (qui veut vient).

RAPPEL : aucune vocation à ce que ce RP soit ouvert à toutes les dérives. C'est une fête un peu mignonne, sympa, si vous voulez que ça chauffe entre vos personnages et que il y ait dézippage de braguette, vous ouvrez un RP privé à côté. Les RP de groupe sont tous public.

Date de fin : 15 mars 2022.

La Saint Valentin… Elisabeth avait toujours détestée cette fête… elle ne comprenait pas le principe. Comme si les amants avaient besoin d’un jour particulier pour se montrer leur amour… Un peu comme ces célébrations du premier mois, puis du deuxième… N’était-ce pas le principe même d’être en couple, passer tous les jours aux côté de la personne que l’on chéri ?
La triste réalité était que la rousse était frustrée… Elle ne supportait pas son ascendance qui lui avait gâchée sa vie. Quelle était l’intérêt de maîtriser la magie si il était interdit de s’en servir ?
Par conséquent, elle n’avait jamais pût rester avec une même personne trop longtemps, fuyant lorsque l’autre s’attachait… Elle avait toujours chercher mais jamais réellement trouvée malgré les quelques personnes qu’elle ai jamais fréquentée. Trop sorcière et pas assez normale et inversement. Coincée entre les deux. Ni l’une, ni l’autre.
Il n’y avait eu qu’une seule personne avec laquelle elle s’était sentit complète, vivante… Mais cette passion était unilatéral, et après avoir été usée, Elisabeth c’était retrouvée vide et abandonnée… Et depuis, elle n’avais jamais pu retrouver cette personne si… unique…

Lorsqu’on lui proposa de s’occuper d’un stand de philtres d’amour, elle explosa intérieurement. D’une part car elle n’avait nullement envie de participer à cette événement rose, et d’une autre car l’existence même de cette potion était contre nature. Si bien que pour la potioniste, elle était classée parmi les poisons, ceux qui attaquaient l’esprit et emmenait vers la folie.
Lorsque la passion était au rendez vous, il n’y avait pas besoin de tels artifices, on ne pouvait forcer une personne à l’amour… Et elle ne le savait que trop bien…

Elle avait finis par accepter de s’occuper de l’atelier uniquement pour des raison de santé et de professionnalise. Ce genre de potion n’était pas à traiter à la légère, quelque erreurs dans le dosage et elle allait passer la journée de demain à l’infirmerie à s’occuper de cas de démence ou de forte dépression, si ce ne saurait être pire.
Oui ce devait être à un professeur de s’occuper de la chose. Le suivant sur la liste était le président du club de potions, et bien qu’il soit capable de produire ce genre de décoction, il restait néanmoins un élève, influençable par ces petits collègue souhaitant une dose personnelle pour usage ultérieur ou autre idiotie…
De plus la potion demandée n’était autre que l’Amortentia… rien que ça... Que disait Slughorn déjà ? La plus dangereuse des potions ? Bien que comme d’autres du même gabarit, elle était préparée en pair avec leurs antidotes en 6ème année, celle-ci ne finissait généralement pas entre les mains des élèves à la fin du cours.
Par conséquent, la prévoyante professeur avait également commencée à travailler sur quelque antidotes… juste qu cas où…
Au moins, elle pourrait toujours sur rabattre sur un cours pratique pour ceux en mal d’amour...

Il avait également fallu qu’elle prépare quelque éléments en amont étant donnée les longueurs heures de macération… Il ne restait plus qu’à rajouter les onces de gelées de Serpentcendre et l’ingrédient ultime, la goutte de sueur. Bien qu’en réalité du sang faisait aussi bien l’affaire mais était beaucoup moins glamour et discret à récupérer… Et puis, les intéressés allait quand même devoir mettre la main à la patte et finir la potion eux même...
Déjà, Elisabeth pouvait sentir bien distinctement les effluves de tabac mentholé froid, de solution hydroalcoolique et d’eucalyptus alors qu’elle remuait la préparation…

Sa table était recouverte d’une nappe pastelle pour rester dans le thème, et de composants parmi lesquels principalement les pétales de rose qui traînait en vrac sur le plan de travail. Ils n’avaient plus leur utilité à ce stade de la préparation, mais c’était pour l’ambiance. Tout comme les perles à réduire en poudre. De toute façon, elle préférait les lys...
La salle elle était à l’écart, dans un endroit plus calme, plus propice à la concertation et moins aux déchaînements de foule furieuse.
Et pour paraître plus joviale, Elisabeth proposait également les petits chocolats ou pommes bien rouge à empoisonner avec la décoction d’amour...
Elle avait même fait l’effort de porter un châle rouge sur son manteau noir de passioniste.
Finalement, c’était pas si différent de son métier d’apothicaire. Elle en avait vendu des potions pour des clients peu scrupuleux… mais la maison ne posait pas de question et offrait de la qualité, tel était la recette de son succès. Et discrétion bien évidement. Malheureusement, ici elle devait être un peu plus assidue et garder à l’œil tous ces mômes pour éviter que la soirée tourne au drame...

Résumé:

Lieu : Première salle

Sean désapprouvait totalement. Lui qui détestait quand la magie se faisait au détriment des autres, il devait reconnaître qu'il était servi avec le concept même de filtre d'amour... Pourtant il avait suivi Ophelya, qu'est-ce qu'il ne ferait pas pour elle ? (outre accorder leurs tenues ? Le violet leur allait si bien) C'était sa meilleure amie et il voulait juste lui faire plaisir en cette fête des amoureux où elle ne ferait que parler d'Oscar et où ce dernier, toujours aussi gay, lui présenterait surement un énième refus. Evidemment, c'est Sean qui la consolerait et il préférait que la jeune Gryffondor passe une excellente fête pour prévenir le chagrin qu'elle aurait surement d'ici la fin de la journée... Il l'avait donc suivi jusqu'à la démonstration de potion et l'activité filtre d'amour, bien qu'il désapprouvât totalement.. Mais elle avait fortement insisté et il avait fini par craquer jugeant tout de même bon de tenter de la faire changer d'avis :

"Tu sais, les filtres d'amours devraient être interdits, cela obstrue le jugement" avait-il commencé par dire "Je trouve vraiment que moralement, ce n'est pas très acceptable" avait-il poursuivi "Puis tu n'en as pas besoin, tu es merveilleuse, tout le monde le voit" sauf Oscar mais Oscar ne voyait pas les individus de sexe féminin.

Mais elle était étrangement têtue et une lueur brillait dans son regard ce qui laissa penser à Sean qu'Oscar n'était peut être pas le seul but d'Ophelya dans son envie d'aller à la démonstration des potions.
Quand ils arrivèrent, la professeure était déjà présente avec l'air morose d'une femme qui aurait préféré se trouver chez elle à cette heure ci.

"Bonjour Mme MacGraham" dit-il poliment avant de se tourner vers Ophelya et de lui chuchoter "On peut encore faire demi tour... Tu n'as vraiment pas besoin de filtre d'amour je t'assure tu es fantastique... En plus il doit y avoir la recette dans au moins dix livres différents à la bibliothèque"

Mais il sentait qu'Ophelya était décidée à participer à l'atelier et qu'ils allaient tous les deux devoir mettre la main à la pâte, confectionnant leur propre filtre... Sean sentit un profond malaise monter en lui et ce n'est pas les petits gâteaux de Mme MacGraham qui changeraient ça.

Résumé :
- Sean arrive avec Ophelya dans la première salle
- Il salut Elisabeth
- Il tente de convaincre Ophelya de changer d'avis

Sa tenue (accordée avec celle d'Ophelya):

I love you

La fête de la Renaissance

Lieu Poudlard salle 3
Avec Pleins de monde
Libre

Bon, il avait passé la journée en salle de musique et il avait appris qu’il y avait une fête de la renaissance. Pour fêter la saint valentin. Et il s’amusait d’y faire un tour au milieu de toutes ses hormones. Et puis comme cela il pourrait garder un oeil sur sa fille. Et surtout sur les mains qui se baladeraient trop proche d’elle. Elle n’avait que douze ans, c’était encore un petit bébé qu’il fallait protéger des méchants mâles. Il fit les trois salles, mais l'amortentia il n’en avait pas besoin et il n’aimait pas trop la magie qui pouvait annihiler le libre arbitre d’une personne. Les lettres d’amour il n’en avait pas à écrire et il préférait ne pas lire toutes celles qu’il recevait par son agent, ne lui restait donc que la troisième salle. La meilleure, puisqu' il était question de musique.

Vêtue d’un costume rouge vif et d’une chemise noir, il c’était mit dans le théme de la soirée il cherchait à se faire discret, même s’il était moins connue sur le sol britannique qu’au USA, il ne voudrait pas causer de soucis, une emmeute ou des éffondrements. Alors il se glissa près d’une table pour se servir un jus de citrouille, assez amusé par le contenu de son verre qu’il sirota puis se mit en quête de sa fille. Mais il n’arrivait pas à voir, avec cette foule. Il espérait que personne n’avait profité de cette soirée pour poser ses sales pattes sur sa petite fille ! Etre papa ce n’était pas facile.

Il chantonna le morceau qui passait puis étant quelqu’un de plutôt simple à approcher il chercha quelqu’un avec qui faire la conversation, il devait bien y avoir un adulte ici qui pourrait lui tenir la conversation un moment, il n’avait pas croisé de professeurs encore ce serait l’occasion de faire connaissance. Et de savoir si sa fille arrivait à se faire à sa nouvelle école.

Emme

Résumé:

La fête de la saint Valentin était faite en avance ici. Beaucoup trop en avance. Deux semaine avant. Une horreur pour tous ceux qui risquaient de manger des gâteaux avec de l’amortencia dedans. Si le risque ne m’atteignait pas, je n’avais jamais trouvé ca cool dans le principe. Cette potion elle-même aurait dû être interdite, c’était au même niveau qu’un Impero si on regardait bien. La magie n’était bonne ou mauvaise qu’a cause de l’usage qu’on lui donnait…. Mes parents me le répétaient souvent, mais jamais une potion qui forçaient des sentiments ne pouvait faire naitre quelque chose de bien.. Du coup, mon passage à la soirée organisée était prévu pour être rapide, un coup de vent. J’avais juste une prof à trouver. A cause d’un pari. Un pari reçu par hibou.

Igorr et moi continuions à correspondre toutes les semaines, il était venu à Londres à Noel, et sa dernière missive me donnait une mission bien particulière. J’avais grimacé en le lisant mais après lui avoir envoyé la sienne par emplumé interposé, je m’attelais à mon « devoir ». Car c’était presque question d’honneur que d’arriver à réussir tous les défis que nous nous donnions depuis des années. Décidant que Miss Wellington était la cible parfaite pour ce genre de pari, j'avais fait venir des chocolats au lait, assez bon, il fallait l'avouer. Mais avant de le lui donner j'avais accepté d'aider Mister Lupin avec son stand. j'avais cru que le club photo aurait fait quelque chose, mais en fait non. Et hors de question de faire tout seul comme à halloween, ce n'était pas moi le président. Ce manquement ne m'empechait pas de mettre du coeur à l'ouvrage et de faire en sorte que le stand de l'enseignant soit debout. Si nous avions eu une discussion très rapide sur ses créations, j'étais quand même assez partagé, intéressé de voir si ce qu'il fournissait fonctionnait vraiment et un peu offusqué de voir ce genre de chose. Lupin s'avérait de bonne humeur, et suffisamment enjoué et empli de bonnes intention pour que je me laisse convaincre. Une fois le stand mis en place, je lui souhaitais une belle soirée et m'excusais de ne pas pouvoir rester : j'avais un cadeau à faire et un chien à sortir.

Une petite boite rectangulaire noire rehaussée d’un énorme ruban de satin rouge coincé dans les mains après un retour rapide dans mes dortoirs, je cherchais une tête blonde ne pénétrant dans la première salle. « Bonsoir ! » Coup d’œil circulaire aux personnes présentes. Une jolie brunette avec une robe très osée, un garçon avec elle, et …. La marraine… Mauvaise pioche « Ah mauvaise salle pardon ! Bonne soirée Babeth » Disparition dans la seconde pièce sans demander mon reste.

En ouvrant la seconde porte, je tombais nez à nez avec des enveloppes de toutes les couleurs, roses, rouges, dorées, blanches avec des cœurs. Un fantome posait les yeux sur moi alors qu’il récitait des vers mielleux et sucré. Ce genre de choses m’avaient toujours laissé de marbre. Je m’éclipsais sous la pointe des pieds pour ne pas déranger ce qui écoutaient attentivement et me rendait dans la dernière salle. C’était déjà plus intéressant. Y’avait à manger, et à boire, passage obligé vers les tables pour prendre un jus de citrouille et des machin non identifié à grignoter. En parlant de non identifié, y’avait un adulte que je ne connaissais absolument pas, et aucune trace de la prof de balais. «Hum » Bouche pleine pas pratique pour parler.

Une gorgée de jus pour faire glisser ma bouchée je penchais la tête vers le monsieur en costume rouge et chemise noire. « Bonsoir monsieur ! Vous êtes un nouveau prof ? » Après tout pourquoi pas ? Et si c’était le concierge, Rusar serait mort de jalousie sur la prestance du gars. Mais je n’étais pas là pour lui conter fleurette –malgré le thème du soir- ni pour lui faire visiter le chaeau, alors partant de l’idée acquise qu’il faisait parti du corps enseignant, je lui tendais ma boite au gros nœud. « Vous pouvez donner ca au prof qui à les cheveux qui change de couleur ? On m’attend ailleurs et j’ai rien à faire ici. » C’était surtout la seconde excuse la véritable, mais ça il n’en savait rien. Lui laissant mon colis de chocolat en forme de balais et de plantes carnivores je lui adressais un large sourire surement trop rayonnant et fuyais en lui adressant un signe de la main. « Merciiiiiiiii m’sieur, vous êtes le meilleurs des profs ! » Rangées de dents découvertes malicieusement alors que je disparaissais dans les couloirs direction le parc.

résumé:

Je me sens tellement… sur un petit nuage. Bien que les professeurs de Poudlard - mais les sorciers en règle générale - préfèrent appeler cet événement du premier février la “Fête de la renaissance", tout le monde sait que c’est en réalité pour fêter la Saint Valentin. La fête des amoureux, ainsi que le meilleur moment de l’année pour faire la déclaration d’amour la plus romantique du monde - je connais un Serpentard qui se ferait un malin plaisir de me contredire à ce sujet d’ailleurs. C’est mon événement préféré, on célèbre l’amour et ses merveilles ! Ce que je fais déjà chaque jour de l’année, mais plus discrètement. Avec mes musiques, mes écrits, mes romans, mes bandes dessinées… C’est ce qui m’inspire le plus !

Cependant, comme chaque année, je n’ai pas le Roméo que je désire à mes bras, mais mon meilleur ami. Heureusement pour moi, il fait toujours un excellent Valentin. Nos tenues sont assorties, de noir et d’un violet pâle et il a longuement attendu que je choisisse ma robe. Le choix était important puisque j’espère croiser Oscar et lui plaire enfin. Tu es parfait ! Je m’observe une dernière fois dans le miroir, prie pour que mes cheveux et mes pupilles ne me jouent pas trop de tour ce soir et suit mon meilleur ami jusque dans les couloirs du château. "Cela obstrue le jugement", je répète en riant, avant de le faire taire d’un bla-bla-bla Sean, je te connais par coeur ! Je sautille à ses côtés puis le pousse parmi les élèves afin qu’il avance jusqu’à la salle qui m’intéresse le plus pour le moment. Je veux juste m’amuser, détends-toi !

Bonsoir madame ! Je chuchote à Sean, elle est jolie la prof’ aujourd’hui, bien qu’elle n'ait pas le sourire aux lèvres, le rouge lui va bien. J’observe tous les chocolats ainsi que les pommes écarlates et demande, tu crois qu’elles sont empoisonnées ? Comme la pomme dans laquelle croque Blanche-Neige avant de s’endormir jusqu’à recevoir le baiser du prince. Je préfère ne pas tenter le coup, Sean se retrouverait obligé de me sauver puisque Oscar ne fait pas attention à moi et je ne veux pas nous infliger ça.

Allez viens ! Je lui prends la main en pouffant et l’attire jusqu’à l’un des chaudrons où se trouve une potion d’Amortencia déjà terminée. La fumée remonte jusqu’à nous et je ne suis bien évidemment pas surprise de sentir le parfum d’Oscar qui me fait toujours rougir légèrement. Elle est trop forte ! La professeure, mais ça non plus ce n’est pas tellement étonnant. Bien, maintenant Sean, je le regarde droit dans les yeux et croise les bras contre ma poitrine. Sourire malicieux aux lèvres et pupilles dorées, je pointe du menton le chaudron. On ne part pas d’ici, tant que tu ne m’auras pas dit ce que tu sens dans cette potion.

Tenue d'Ophelya (assortie avec celle de Sean):

La rousse continuait de finaliser son Amortencia seule dans son coin. En réalité elle espérait ne croiser personne de cette soirée, aucune personne désespérée. Que depuis ces études, les mentalités avait évoluées, que l’utilisation de cette tricherie était désormais signe de honteuse, aveux d’impuissance, parmi les jeunes à défaut d’être interdite... Mais apparemment l’amour propre n’avait pas sa place ce soir si on voulait voler celui d’un/une autre… Apparemment, une seule petite utilisation de cette potion était jugée ‘inoffensive’ et Elisabeth avait quand même délibérément alléger la dose pour que les effets ne dure qu’une poignée d’heure, de quoi se réveiller avec toute ça tête…

Et les premiers client arrivèrent : en couple… Comme si ceux s’y avait vraiment besoin de cette élixir. Ce qu’ils cherchaient devait certainement être un peu de courage ou d’exotisme.
Tous deux de violet… Un inconnu et… Lawson… ce devait être ça oui… Dans une tenue assortie mais… peut-être un peu trop osée pour l’événement. Le garçon était resté sage, sa compagne un peu moins... Mais Elisabeth n’était pas en droit de juger, ce n’était parce qu’elle ne s’était jamais autorisée ces petits plaisirs, adoptant les robes de soirée que passée ses 30 ans que les autres jeunes demoiselles n’avait pas le droit de s’amuser. De plus, c’était la fête des amoureux, si la miss voulait séduire, elle devait jouer de tout les charmes et atouts à sa disposition… Tant que ceux-ci restait naturelle, et qu’elle n’avait pas recours en plus à quelque artifices magiques de type philtre d’amour…

« L’amour tue à ce qu’on dit… donc oui, ces pommes sont empoisonnées... » salutation remplacée par cette tirade assassine. Mais elle hocha quand même la tête, agitant la main, faisant mine d’être trop occupée par sa préparation. Elle n’aurait désirée voire que la personne à qui cette senteur entêtante appartenait. Cela faisait si longtemps...

Le commentaire du jeune homme fit relever la tête à la potioniste « Pas dans vos manuels scolaires en tout cas. C’est un philtre de niveau avancé, il est certes facile de se procurer la recette… » La professeure marqua une pause, comptant soigneusement le nombre tour qu’elle opérait, faisant varier la couleur du rose au nacré « … pour ce qui est de la réaliser proprement et sans risque... » elle accentuait chacun des mots pour bien faire comprendre que même si c’était à la portée de quelque élèves talentueux, comme toute potion, mal dosée les effets pouvaient se révéler plus que néfastes.

Ces yeux sont plus haut jeune homme… songea Elisabeth observant le couple s’extasier devant un chaudron attendant la fameuse goutte de sueur « Vous devriez écouter votre cavalier, vous ne voulez de cet amour unilatérale… ce serai égoïste et insipide, de l’obsession pas de la passion... » Parler de ça devant des gosses dérangeait la rousse, elle projetait bien trop son échec sur les autres, non pas pour conseiller mais pour ventiler sa propre frustration. La potioniste dirigea la louche dans la direction des deux jeunes, les pointant tours à tours « Vous savez, vous - » Elle ne finis pas sa phrase trop pleine de bon sens, interrompue par un blondinet familier qui passa en coup de vent dans la salle, cherchant elle ne savait quoi… Pardon en effet… Juste de quoi l’irriter un peu, le passage aurait put être comique si elle n’était pas si fatiguée mentalement. Elle n’avait vraiment pas envie de jouer les cupidons : si les deux n’arrivaient pas à se parler ce n’était pas son problème… « Qu’importe, je suppose qu’il est inutile de vous rappeler comme ça fonctionne... » Quelle ironie que pour voler un amour, il fallait l’ingrédient le moins sensuel de l’individu « Allé au boulot, hop hop hop ! » La professeur claqua des doigts pour motiver les deux autres. Déjà qu’elle avait quasi finis la potion d’elle même...

Ho la la

Une fête de la renaissance organisée à Poudlard. Le directeur fait vraiment des folies. J'aurais adoré participer à tout ca étant ado. Les danses, les poèmes, les petits messages à l'eau de rose. C'est formidable. Ces moments de relâches sont vraiment bienvenus pour contrebalancer l'absence de sorties et l'ambiance morose causée par le brouillard.

Même si forcément, ca redouble le travail des professeurs et des surveillants. Il allait y avoir des débordements et des petits entorses aux règlements par-ci par là, c'était évident. En professeure responsable, je me devais de prendre les devants et d'empêcher les débordements. Que les petits couples se forment et trouvent un coin discret dans l'enceinte du château ne me dérange pas. C'est anodin, gentillet. Pas plus grave que les "petits crimes" sans victimes que je surprend la nuit quand j'effectue mes rondes nocturnes.

En revanche il y a quelque chose qui me perturbe grandement : la distribution annoncée d'Amortentia. Est-ce que vraiment on va laisser les élèves jouer avec cette potion ? Combien de cœurs vont se faire abuser et briser ce soir ?
C'est mue par cette inquiétude que j'entre dans la salle réservée à la "préparation de potions" après avoir fait un tour rapide des deux autres salles et jugé que l'ambiance y était calme.

Je suis habillée aujourd'hui de manière très sobre (selon mes standards), avec ma grande robe à capuche rouge qui recouvre un pantalon long noir. Mes yeux sont à leur état "naturel", c'est à dire teintés de mauve. Mes cheveux sont le reflet des sentiments mièvres qui m'agitent aujourd'hui après avoir passé quelques minutes à écouter les complaintes romantiques du fantôme poète.

Je cherche du regard ma collègue, Miss Graham avant de la trouver. Elle semble faire grise mine aujourd'hui. Oui, la fête des amoureux, c'est le jour où certains coeurs solitaires dépriment ...Je compatis plus qu'elle ne pourra jamais l'imaginer.

Des élèves sont aussi présents. Je leur adresse un vague salut de la main accompagné d'un sourire. Je ne suis pas très surprise (mais un peu déçue) de reconnaître une petite métamorphomage qui s'est déjà livré à des actes d'empoisonnement par le passé. Mais si c'est autorisé voire encouragé par la direction, qu'y puis-je ?

Je m'approche de l'enseignante, affichant un sourire que j'espère jovial dans l'espoir de dérider un peu la Rousse.

- Hey.

Une salutation fort peu protocolaire. J'espère qu'elle me pardonnera.

- Comment allez vous Elisabeth ? Joli châle.

Ah oui je pourrais me laisser aller à bavarder. Mais ma visite est pour une fois animée par un motif tangible. Je jette un petit coup d'oeil circulaire pour m'assurer qu'aucune oreille indiscrète d'élève ne nous entende. Je me penche et parle à voix plus réduite.

- Dites ... je me posais une question. Nous allons vraiment laisser des enfants jouer avec de l'amortentia ... ? Est-ce que c'est ... hmm ...

Je cherche mes mots. Je ne voudrais pas vexer la professeure de potion en remettant en cause son jugement mais tout de même ... J'essaye de trouver la manière la moins inadéquate de formuler les choses. Mon regard tombe sur les chocolats et les pommes d'amour. Leur utilisation possible en tant que piège me parait évidente ...

- ... prudent ... ? Nous leur faisons utiliser des doses réduites ? Ou nous avons prévu de l'antidote à distribuer peut être ... ?

J'adresse à mon austère collègue un sourire navré, m'excusant d'avance pour la perturbation que viennent apporter mes questions morales, surtout qu'elles paraissent tardives maintenant qu'il y avait des chaudrons sur le feu.

I love you

La fête de la Renaissance

Lieu Poudlard salle 3 puis 2
Avec Pleins de monde
Libre

La rencontre fut aussi rapide qu’elle fût étrange, un petit bonhomme qui lui tendit une boite en parlant vite, d’une personne aux cheveux qui étranges et qu’il devait la lui donner . Et il voulait aussi dissiper l’erreur sur le fait qu’il n’était pas professeur mais la boule d'énergie avait déjà filer avant même que Darragh n’est pu sortir une syllabe. Il regarde la boîte à chocolat et l’ouvrit pour en observer l'intérieur avant de la refermer soigneusement. Il ne connaissait pas le corps enseignants… Mais sûrement qu’un professeur avec des cheveux qui changent de couleur il n’y en avait pas des centaines. Mais de la part de qui étaient les chocolats, il tenta bien de retrouver la tête blonde qui lui avait déposé le colis dans les bras mais il s'était évanouie, avaler par la foule.

Il avale son jus de citrouille et se met donc en quête de ce fameux professeur. Homme ou femme ? Il n’en savait buigurement rien c’était comme chercher un œuf dans un nid d'hippogriffe… Il se faufile dans la foule de la troisième salle sans jamais trouver de correspondant. Il espérait vite trouver avant que les chocolats ne fondent. Quoi qu’ils pourraient les manger, mais ce n’était pas son genre. Ce qui l'inquiète plus c’était qu’un étudiant offre des chocolats à un professeur… C’était peut-être pour cela qu’il passait par lui. Il crut voir quelqu’un avec des cheveux étranges mais non, c’était juste une couleur très mal faite, milles excuses et le voilà repartie avec son colis sous le bras. Il soupira, bon clairement la personne n’était pas dans la troisième salle. Alors il se décide à tout fouiller, direction la salle des déclarations enflammée.

En arrivant dans la salle numéro deux, il voyait des filles se pâmer devant des lettres écrites par leurs prétendants, des garçons faisant mine de rien et il se prit même au jeu d’écouter un peu les fantômes.

Emme

Résumé:

C’était la fête de la Renaissance ! Maxwell aimait bien cet événement. Il constait avec un certain amusement qu’il y avait une égalité presque parfaite entre le nombre de fêtes de la renaissance qu’il avait passé avec des cavaliers et cavalières romantiques, et le nombre de fêtes simplement partagées avec un groupe d’amis… et très honnêtement, il appréciait autant les deux manières de célébrer cet événement ! Cette année, James et lui allaient à la fête ensemble, en tant que BFF, et Maxwell était super contents de passer ce moment ensemble. James avait des blessures de cœur à réparer en plus…

Enfin, tout cela allait être amusant, James avait l’air d’avoir un petit crush sur une fille de Poufsouffle (Maxwell ne la connaissait pas vraiment, mais il devait avouer qu’elle était mignonne, il était certain que son BFF arriverait à la séduire), et quand à Max… Il n’avait pas d’attentes particulières vis-à-vis de cette soirée. Mais il réalisait qu’il espérait bien croiser Sean pendant cette soirée. Il s’était senti extrêmement coupable de l’avoir blessé involontairement, et il était allé le voir littéralement tous les jours lorsqu’il était en convalescence… et finalement, ça se passait plutôt bien entre eux, Sean n’avait pas l’air de le détester après ça, alors qu’il aurait eu bien des raisons de le faire. Il l’avait même gentiment couvert. Et plus il allait le voir, plus Max appréciait le jeune homme…

Max s’était bien habillé pour l’occasion : toujours avec son style soigné, il avait mis un jean noir déchiré, des grosses baskets blanches parfaitement nettoyée mais avec jusqu’il faut d’usure, et il avait repris son veste noire avec des lions dorés animés, qu’il aimait beaucoup. Mais surtout, il s’était fièrement entouré de son drapeau bi, en le posant sur ses épaules comme une cape (de super-héros). Franchement, il n’y avait pas de Pride à Poudlard, c’était honteux, mais il pouvait bien utiliser cette occasion ! C’était quoi une fête de le renaissance si on ne revendiquait pas tous les amours ? Être queer dans le monde sorcier… ça s’améliorait, mais c’était toujours compliqué.

Son meilleur ami n’était pas en reste, d’ailleurs Max avait lancé un « James, t’es trop beau le sang ! » dès qu’il l’avait vu changé, dans le dortoir des Gryffondors.

« Hey, ça te dit on commence par aller voir la salle des lettres ? Si ça se peut on en a plein ! Et puis au pire, on en a forcément de Teddy, pas de risque avec ça… Tu vas en écrire une à ta Poufsouffle ? lui demanda Max avec curiosité.

Il trouvait le principe des lettres de la saint-valentin un peu ringard, genre, qui faisait encore ça pour déclarer un amour ? Mais par contre, sur un mode non romantique… ouais, franchement ça pouvait être cool. Ça faisait toujours plaisir de recevoir des lettres positives et de dire aux autres qu’ils comptaient pour nous. D’ailleurs… Il n’avait rien dit, mais il avait envoyé des lettres. Il en avait fait une pour Teddy, puisqu’il leur en envoyait chaque année et qu’il voulait lui rendre la pareille. Une pour Obibi, le bro. Evidemment… James en avait reçu une (parce que son BFF devait FORCEMENT avoir plein de lettres dans son casier et il n’allait certainement pas laisser passer une occasion pareille de lui offrir « par erreur » une série de romans à l’eau de rose pour l’aider à caler son bureau bancal, avec du choix parce que évidemment c’était dur de trouver l’épaisseur prafaite Bon ils étaient bien emballés dans une pochette pour ne pas l’embarrasser publiquement héhé. Saga en avait reçu une aussi - les deux jeunes étaient bien loin d’entretenir de relation romantique et ils gravitaient nettement plus autour d’une forme d’amitié, mais elle était une personne à qui il tenait, et il voulait lui envoyer une lettre pour lui dire qu’il trouvait que c’était une fille super.

Et il avait hésité, parce qu’il ne savait pas du tout comment il allait le prendre.

Mais il avait écrit une lettre pour Sean. Et il avait senti en écrivant que c’était la plus importante de toutes.

Il avait recommencé plusieurs fois, mais il était allé au bout de cette lettre, une lettre pourtant plutôt anodine, enfin, il n’y avait pas de sous-entendus romantiques, vous voyez, Max ne l’avait pas écrit pour ça. (Dans tous les cas c’était ringard de déclarer un amour comme ça). C’était plutôt une manière de lui de lui présenter encore des excuses pour la blessure, mais aussi pour lui dire qu’il était vraiment heureux que cet année, leur relation ait connu une vraie renaissance, que leur amitié lui avait manqué, et qu’il espérait qu’ils puissent se voir et parler davantage…

~~Tout cela ne ressemblait absolument pas à une invitation~~

Ils entrèrent dans la salle des lettres, mais avant de se diriger vers les casiers, Max découvrit… L’UN DE SES CHANTEURS ET INCÔNE QUEER PREFEREE JUSTE A L’ENTREE ET ~~DAMN IL ETAIT ULTRA SEXY~~. Mais oui, en plus, il était au courant qu’il travaillait à Poudlard maintenant (Max avait des oreilles partout, il faisait partie du club de journalisme) mais il ne s’était absolument pas attendu à le voir à cette fête !

« James, c’est P!nk Dementor ! » signala Max en chuchotant en lui donnant une petite tape sur le bras. James savait bien que Max adorait ce chanteur, il avait entonné bien trop de fois I Kiss a Dementor au petit matin pour se donner de l’énergie… Il échangea un regard avec lui. Il ne pouvait pas perdre une occasion de parler avec son idole. Avec une grande spontanéité et rassemblant son courage (il ne manquait pas de confiance en lui et avait l’habitude de parler à des personnes importantes mais là c’était si imprévu que c’était un petit peu intimidant…).

« Monsieur P!nk Dementor ! Whaooou c’est trop classe que vous soyez ici ! Vous allez bien ? Je m’appelle Maxwell, et c’est James – d’ailleurs il chante hyper bien, il a une voix extraordinaire… Vous pouvez pas savoir à quel point je suis grave ravi que vous veniez enseigner ici ! Euh, vous voulez bien signer mon drapeau s’il vous plait ? … et dites… si vous êtes ici ce soir… est-ce que ce serait pas vous qui allez vous occuper de la musique ? » demanda-t-il plein d’espoir ?

S’il s’attendait à voir P!nk Dementor !

Sentimentalement, James venait de passer deux longs mois à se remettre de ce qu'il avait vécu. Il avait du passer outre sa sensation d'avoir été berné et du sentiment de jalousie qu'il ressentait dès qu'il voyait celui qui lui avait brisé le cœur surréagir à d'autres garçons. C'était devenu un fardeau que de trop vite saisir la moindre nuance dans ce visage de marbre et c'était juste devenu un moyen d'aggraver la plaie.
Mais finalement, au bout de deux longs mois, James avait réussi à avancer. Il avait laissé tout cela derrière lui, ce premier amour qui était aussi son premier cœur brisé n'étaient qu'une anecdote dans son histoire. C'était surement pour le mieux, c'était plus sain ainsi. James n'aurait pas à contenir en permanence cet élan de domination qu'on avait tenté de lui imposer et il trouverait juste quelqu'un d'autre, avec qui il serait lui-même. A l'inverse, l'autre n'aurait pas à faire semblant de l'aimer, juste pour satisfaire les besoins de James. Tout ça maintenant, c'était le passé.

Aussi, c'est avec un état d'esprit tout à fait serein que James avait décidé de se rendre à la fête de la Renaissance en compagnie de Maxwell. Il était et il restait un grand romantique qui adorait ~~lire des livres d'amour en cachette~~ caler les meubles de son dortoir avec des livres d'amour. Et puis, il devait reconnaître que récemment, il avait tenté de passer à autre chose et qu'il s'était rapproché d'une Poufsouffle. Il ne ressentait pas encore d'amour, rien d'aussi fort que ce qu'il avait pu et ce qu'il ressentait parfois encore (parce qu'il lui fallait le temps d'effacer les dernières traces) pour celui qui lui avait brisé le cœur mais il y avait de la sympathie, un certain confort et une attirance physique qu'il ne pouvait pas nier. James pourrait surement tomber amoureux d'elle, car s'il y avait beaucoup d'irrationnel dans ce sentiment c'était aussi une question de choix. Le choix de s'ouvrir, de se confier et de se laisser aller. Il voulait d'abord apprendre à la connaître, dépasser ce crush physique et découvrir sa personnalité, ses petits défauts et ses manies. Et ensuite, quand il trouverait la confiance et le confort : James se laisserait de nouveau aller.

Le Gryffondor espérait bien l'y voir, elle avait dit qu'elle serait présente.

Se regardant dans le miroir il se donna un dernier coup de peigne mais impossible de lisser ces cheveux rebelles. Préférant abandonner il se les ébouriffa et entendit une des pièces d'échecs qui cohabitaient dorénavant avec les garçons de septième année commenter : "C'est ridicule"
Avec un rictus, James l'envoya voler de l'autre côté de la pièce comme s'il tirait sur une bille et se retourna pour entendre le commentaire de Maxwell.. Bon, dire qu'il était bien habillé revenait à mentir : James avait juste enfilé son pull de Quidditch et un jean car il ferait froid... Mais il était beau en toute circonstance donc bon : "C'est vrai et t'es carrément canon aussi. Tu vas briser des cœurs ce soir !"
Ca par contre, ce n'était pas mentir. Quand James avait toujours préféré le confortable au style, Maxwell était bien plus doué pour lier les couleurs. Il était bien habillé et avait même jugé bon de se balader avec un drapeau moldu aux couleurs de sa bisexualité. C'était admirable de tout assumer comme cela, même si Potter n'était pas sûr que la moitié des sorciers comprennent.
Enfilant une écharpe toujours aux couleurs de l'équipe de Gryffondor (le match contre Poufsouffle était dans quelques jours et James comptait bien le gagner !), il se tourna vers son meilleur ami pour réagir à sa proposition :
"Bonne idée, tu verras la longue lettre d'amour que je t'ai écrite comme ça !" dit-il avec un clin d'œil amusé "Je t'y ai même demander en mariage, j'espère que tu vas accepter !" C'était véritablement une longue lettre d'amour que lui avait écrit James, mais un amour fraternel. Maxwell ne l'avait jamais lâché, il avait été là depuis la rentrée. Et ça, c'était déjà tout. Maxwell était tout. Quand sa famille et ses sentiments lui avaient fait défaut, Maxwell avait été là. James l'aimait, il l'aimait vraiment et n'imaginait pas une seconde vivre sa vie sans que le satellite Shacklebolt ne gravite autour. Sur cette planète et en cet instant, Maxwell était surement l'être qu'il aimait le plus au monde et comme la fête de la renaissance fêtait l'amour dans un sens large, James ne pouvait pas ne dire à son meilleur ami qu'il comptait autant voir plus qu'un frère pour lui. On avait toujours tendance à galvauder l'amour romantique, mais lui et Maxwell vivaient une vraie histoire d'amour amical depuis leur plus tendre enfance. "En attendant... Que dirais tu d'un petit pari ? Qui en aura le plus ? Toi, moi... Ou Obibi ?" O'brien n'était pas dans le coin, mais étant donné qu'ils avaient été élus trois plus beaux garçons de Poudlard (d'après un sondage très sérieux) l'idée avait une part de véritable curiosité.

James paria sur Max (c'était le plus beau après tout) et il se rendirent tous les deux dans la salle qui accueillait les lettres et là.. Tels deux fanboys qu'ils étaient ils surréagirent en voyant P!nk Dementor ! Bon, Max plus que lui parce qu'il était clairement fou d'amour pour le chanteur (James le savait, ne ment pas Max !) mais Potter n'était pas en reste en cherchant frénétiquement dans ses poches s'il n'avait pas une plume pour signer un autographe :

"On était à votre concert de Londres !! On était dans les premiers rangs ! Et oui je chante super bien mais Maxwell aussi !!"

Ce n'était pas un mensonge. James chantait réellement très bien et la musique raisonnait souvent dans le dortoir des septième année où le duo chantait à tue tête ces paroles qu'ils connaissaient par cœur ! Aussi, c'est sans difficulté que James commença à chanter, a capella !

"I kissed a dementor and I love it
The taste of the dead on his lips
I kissed a Dementor just for fun juste for fun.
I hope the witches don't mind it
It felt so wrong
It felt i lose my soul "

Et à peine venait-il de reprendre son souffle qu'il demanda : "Max, j'ai rien pour faire signer un autographe, tu as quelque chose toi ?"

La Fête de la Renaissance

Après quelques mois à éviter les fêtes et les attroupements, Teddy sort enfin de sa caverne et revient sur le milieu de la scène pour participer à la célébration de l'amour et de l'amitié ! Il a même fait un stand et différentes petites animations dans sa classe, c'est pour dire à quel point il adore cette fête! Viendez!

Depuis quelques semaines, Teddy Lupin s’était fait discret dans les couloirs du château. Une petite baisse de morale, quelques affaires familiales à gérer (du moins, pour lui, mentalement), quelques couacs dans sa vie qui n’aidaient pas son équilibre mentale et certaines réactions de sa part, incontrôlables, qui lui faisaient peur et l’entrainaient à rester en retrait... Bref, de quoi lui faire rapidement quitter Poudlard dès la fin de ses cours, priant pour ne croiser personne et retrouver au plus vite le confort de sa maison à Pré-au-Lard. Et si les derniers temps avaient été compliqués au point ou il avait même esquivé bons nombres d’evenements scolaires ou familiaux (le peu qu’il lui restait, du moins), il s’avérait que la journée préparée en l’honneur de la Renaissance avait offert un certain regain à son coeur. Grand bisounours et romantique qu’il était -malgré son célibat-, et ayant envie de rappeler que, malgré la rareté de sa présence dans la vie de son entourage en ce moment, il continuait à les aimer et à les porter fort dans son cœur, Teddy ne pouvait pas rater l’evenement de la Renaissance !

Il avait soigneusement préparé des lettres à son entourage. Après tout, il n’y avait pas que l’amour qui était à fêter, l’amitié et les liens fraternels à célébrer avaient tout autant leur place en ce jour, que cela soit dans la version moldue comme dans la version sorcière. Alors il ne s’était pas gêné. Ainsi, chaque Potter, Weasley et Malfoy avait pu recevoir un mot, personnalisé selon la proximité qu’il avait avec la dite personne. @Gillian B. Humphrey avait également une lettre écrite pour remercier leur si belle amitié et sa présence dans sa vie, tout comme @Victoire Weasley. Et @Tadhg O'Callaghan, aussi. Bien sûr, il y en avait également une pour @Hari L. Arun mais n’étant à priori pas concerné par la fête, il l’avait envoyé par hibou au petit matin. Avant celle de Tadhg. Le Lupin imaginait déjà la crise de jalousie dans le cas contraire. Du moins, l’imaginer fit rire le cadet de leur trio… Les lettres terminées, le Professeur Lupin avait donc pu s’afférer à son stand ou plutôt, à la préparation de sa salle de classe.

Rien de bien original en soi. Sa plus grosse idée n’était qu’un stand de créations de peluches, avec des patrons (à suivre à la main ou avec la magie !), des tissus (beaucoup de tissus, avec différents effets possibles !), des rubans et tout ce qu’il fallait pour coudre tout ça de la manière moldue si l’étudiant le souhaitait! Et tout ceci, avec la précieuse aide apportée par @Hélios D. Ellis, l’un de ses élèves à qui il avait demandé un coup de main ! Sa motivation avait même donné du baume au cœur de son professeur malgré la tonne de matériaux nécessaire ainsi que les nombreux sortilèges à lancer pour offrir des tissus magiques. Sortilèges appris… Il y a peu. Une discussion avait également animée la préparation de tout ce joli bordel au sujet du stand de confection d’Amortensia. Si leurs avis se rejoignaient en général, il s’avérait que Teddy défendit tout de même l’utilisation de la potion dans certains cas : pour le sien, afin d’ajouter une touche magique supplémentaire -il n’y en avait jamais assez !- aux futures peluches, il s’avérait qu’il avait demandé une de ses fioles au Professeur @Elisabeth McGraham, afin d’en pulvériser sur les peluches terminées. Exit l’effet potion d’amour, seule l’odeur favorite de la personne serrant la boule de ouate était alors présente, sans retourner aucun cerveau ! C’était idéal pour offrir à l’être aimé ! Et en plus, les mornilles en échange d’une confection de peluche étaient destinées à un orphelinat moldu, selon la petite pancarte accrochée ! De quoi mêler l’utile à l’agréable ! … Et c’était aussi parfait pour éloigner les anti-moldus de sa salle au passage…

Ce fut long et laborieux, mais bientôt, Teddy et Hélios arrivèrent à un résultat final assez plaisant. En guise de remerciement, l’une des créations du Lupin (de base créée pour décorer le stand) fut mise de côté pour le Poufsouffle. Sans lui, il ne serait pas arrivé à grand-chose après tout et surtout, il aurait senti passé très lentement les préparations… Déjà qu’il avait perdu un temps précieux en devant déménager toutes ses affaires de la salle de potion à sa propre salle… Car, oui, il s’avérait qu’au départ, il devait occuper une partie de la salle de classe de potions avec sa collègue qui le lui avait proposé ! S’il avait adoré et accepté l’idée avec grand plaisir… la légendaire étourderie de Teddy lui avait fait oublié de parler de ses cupidons. Qui auraient tournoyés autour d’eux. Toute. La. Journée. En s’apercevant de sa bourde ainsi que de la fumée qui semblait d’ores-et-déjà sortir des oreilles de l’autre professeure alors que les têtes blondes venaient à peine d’être crées -… attendez, y en avait pas un nombre pair au début… ?- Teddy avait préféré déménager dans sa propre salle. Ca l'avait mis sacrément en retard et c'était bien suite à ça qu'il avait demandé à Hélios de l'aider, le pauvre! Sur une courte période avant que tout ne commence... Mais bon, le plus important dans l’histoire, au final, était qu’il avait le vaporisateur d’Amortensia dans sa poche et que tout était prêt à temps grâce à son étudiant!... Et qu’aucun chaudron e lui avait atterri en pleine poire malgré toutes ses préparations. De la part du professeure McGraham ou du professeur O’Callaghan ! Car il s’avérait, que, peut-être… plus de 50% des sortilèges nécessaires à la préparation de la fête, provenaient de ce brave Tadhg, pauvre professeur ayant été dérangé de -trop- nombreuses fois ces derniers jours par son jeune ami. Teddy semblait avoir pris une assez grande confiance en cet homme qu’il avait fui durant toute une année entière, au départ… ! Peut-être que Tadhg regrettait amèrement cette époque, désormais. Du moins, ses yeux qui avaient roulés X fois étaient peut-être une indice.

C’était donc grâce à Tadhg que Teddy avait également pu installer un gui dans un coin de la pièce. Une branche, du moins, qui avait été enchantée (par vous savez qui) afin que seuls les baisers consentis puissent exister en dessous du morceau de verdure. Un autre sortilège avait été lancé pour qu’au rapprochement de chaque paire de lèvres, paillettes et cœurs virevoltent autour du couple. Et pour accompagner ceci, les fameux petits cupidons virevoltaient tout autour pour célébrer le rapprochement ou pour offrir à n’importe qui le souhaitant, des explications sur la Saint Valentin, la version moldue de la Fête de la Renaissance. Ok, en fait, en regardant tout ce qu’il avait fait et apporté à sa salle avec Helios, Teddy n’était au final pas peu fier et ça lui fit du bien. Ce fut un bon boost pour son égo et pour son sourire. A tel point que sa chevelure blonde et rallongée avec des débuts de bouclettes, pour s’assortir aux cupidons volants, prirent une teinte rosée sur les pointes. Merlin, que ça faisait longtemps qu’il ne s’était pas senti si léger. Après, il fallait voir si l’éloignement de sa salle par rapport au rez-de-chaussée n’allait pas causer du tort à la fréquentation de sa classe. Mais non, du nerf Teddy, on y croit ! La 2ème équipe de cupidons postée en bas lui ferait de la bonne pub, il en était sûr! Surtout qu’eux pouvaient être moins barbants que le groupe de sa classe : ils étaient ensorcelés pour attirer les couples ou les duos trop timides ! … Peut-être y aurait-il des défectueux ? Après tout, Tedd’ n’était pas excellent en sortilège et c’était l’un des rares sorts qu’il avait trouvé compliqué quand son ami le lui avait appris… Mais… Non. Il n’y avait pas pensé à ça, trop entrainé par sa propre joie. Tout allait être merveilleux, non ? C’est avec un sourire chaleureux que Teddy souhaita une bonne journée à son jeune accolyte… Et ouvrit enfin la pièce ! Quiconque rentrant pouvait retrouver le style très fleur bleue de Lupin avec une salle au style très... romantique voire kitsch, peut-être. Et coloré. Très. Coloré. Clairement tout le contraire de la salle d'Elisabeth... Au final, ça n'était pas plus mal sa fuite : le contraste aurait été beaucoup trop déroutant et aurait certainement aveuglé sa collègue...

HRP : Teddy a décidé pour son retour mental dans la civilisation étudiante de faire les choses bien et de participer à la fête ! S’il a d’abord accepté la proposition d’Elisabeth pour faire son stand dans sa classe, il a finalement retrouvé le chemin de sa propre salle… Afin d’éviter que ses petits cupidons ne finissent en chair à saucisse par sa collègue qui ne semblait pas apprécier l’idée de voir ces adorables petites créatures éphémères tourner autour d’elle toute la journée ! Il a été aidé par son élève Helios pour la préparation de son stand : Teddy vous attends désormais avec impatience !

HRP / Les stands proposés : la salle d’études des moldus et Teddy vous attendent avec leurs petits cupidons prêts à vous faire un cours sur la saint valentin, ainsi qu’un gui enchanté pour accueillir les baisers consentis entre amoureux ! (Plein de paillettes, de cœur et de cuicui ! Pouf !) Une autre ribambelle de cupidons est de plus, postée au rez-de-chaussée pour faire de la pub dans la salle et… pousser les couples et les duos trop timides vers le 5ème étage ! (Attention, les cupidons peuvent avoir été mal enchantés par le sortilège de Teddy et… se tromper sur les pseudos duos amoureux, créant les pires duos si vous le souhaitez !) Un stand de créations de peluches est également à la disposition des élèves avec beaucoup de tissus magiques, pour quelques mornilles qui seront reversées à un orphelinat moldu ! Un bonus « Pschit d’amortensia » est possible afin d’offrir l’odeur favorite de la personne à qui votre personnage souhaite offrir la peluche ! (Attention, seul Teddy a accès au vaporisateur !)

@everybody Aller, on vient voir tonton Teddy au 5ème étage !

Awful

Paizo Verpey PA de Conrad Stump

Il y avait quelques règles simples à respecter quand on était le “fiancé” de @Magnolia P. Dursley , la première je ne dois jamais mais alors au grand jamais la contredire lui dire non ou même lui couper la parole. Au début elle m’effrayait et je crois que c’est toujours le cas. Mais les bénéfices découlant de cette association sont relativement assez conséquents pour que je m’y fasse sans trop de mal. C’était assez plaisant d’avoir une cours et d’en être le centre, enfin presque parce que le centre c’était Magnio, moi je venais en second, mais second c’était toujours mieux que rien. Et puis je peux me moquer un peu de n’importe qui, Magnolia la terreur empêche toutes représailles. Et pour les professeur j’ai l’autre facette de la pièce celle de l’ange pas forcément doué à l’école, moi je veux devenir joueur de Quidditch, mais gentil et polie.

Bon je me regarde de nouveau dans le miroir et j’arrange le nœud de ma cravate parce que Magno elle va remarquer, elle s’il l’est de travers et elle aimera pas. Alors je l’arrange en plus j’ai assortie cette dernière à la robe de ma cavalière. Il fallait alimenter cette histoire de fiancée. Parce que même s’il n’y avait pas d’amour, c’était quand même grisant de marcher avec Magno au bras et de voir certains trembler de peur. Bien la tenue c’était bon, un coup de gel dans les cheveux, c’était important et hop j’étais prêt. J’avais même mis un peu de l’eau toilette que mon papa m’avait offert pour mes 11 ans, parce que j’étais un grand maintenant et que je pouvais porter de l’eau de toilettes comme lui.

Un dernier regard dans le miroir je me trouve bien et je me sourit avant d’aller me poster en haut des escaliers pour atteindre Magnolia, qui voudrait faire une grande entrée il la connaissait.

Je tire un peu sur mes manches et le bas de mon blazer pour retirer des plis imaginaire et je sourit méchamment à quelques premières années de ma maison qui me passent devant. “Tu as acheté tes chaussures où dans une poubelle Maxwelle ? En tout cas je ne sais pas pour elle mais toi tu en as l’odeur.” Une petite pique bien placé, je vois le visage qui vire au rouge tomate de honte ou de colère et qu’on s’apprête à me répondre mais Magnolia arrive coupant court à l’envie soudaine de s’en prendre à moi. Je souris de plus belle avant de tourner mon regard vers elle. Les filles quand même c’était un truc difficile à comprendre. Même mon père le disait. “Mon garçon ne cherches jamais à comprendre une femme.” Alors je ne cherchais pas à comprendre Magno seulement me laisser porter, ce n’était pas désagréable pour le moment, tant qu’elle ne m’obligé qu’à lui tenir la main hors de question qu’on se fasse des bisous comme les grands burk je refuse..

Hora
Lugar
Clima
Privado

Emme

I love you

La fête de la Renaissance

Lieu Poudlard salle 3 puis 2
Avec Pleins de monde
Libre

Il cherchait toujours ce professeur, ce / cette iel, dont il ne savait rien mise à part qu’il ou qu’elle avait des cheveux étranges quand il se rendit dans la seconde pièce. Là c’était des litres et des litres de mièvreries qui étaient débités à la minute mais il trouvait ça plutôt amusant. Cependant pas de cheveux étranges à l’horizon alors il se décida à partir quand il fût alpagué par deux jeune hommes. Le premier qui lui adressa la parole débita ses mots si vite qu’il eut peur qu’il ne meurt d’asphyxie. Le second se montra un peu plus calme mais guère moins. Il leur sourit à tous les deux pour prendre les choses dans l’ordre. Il avait l’habitude de ce genre de choses. “Vous pouvez m'appeler Darragh si vous le voulez. P!nk Dementor c’est pour la scène. Ici je suis seulement l’adulte référent du club de musique.” Il cala sa boîte de chocolat sous son bras avant de secouer la main. “Je n’enseigne rien, même si je fais mon possible avec le club de musique. Et bien sûr que je vais signer ton drapeau, je suis même ravie de le voir. C’est bien de voir que votre génération s'est emparé du combat pour l’égalité.” Voyant le désarroi de l’autre qui semblait être James de ne rien trouver pour signer il sortit sa baguette de sa poche et fit apparaître un feutre moldu bien plus pratique pour signer le drapeau.

“Donc toi c’est Max, Maxwell c’est cela ?” Il sourit et prit le drapeau qu’il étendit comme il put contre le mur avant d’écrire dessus en gros. “Pour @Maxwell A. Shacklebolt , afin que le combat ne soit ni oublié ni abandonné avec toute mon amitié et mon respect Darragh O’Maley, P!ink Dementor.” Ensuite il prit une feuille qui aurait dû servir à écrire un poème à l’élu de son cœur mais il n’en avait pas à la place il écrivit. “Pour @James S. Potter , merci de ton soutien et pour ta voix magnifique, n’abandonne jamais tes rêves P!nk Dementor, Darragh O”Maley.”

“Tu as une très jolie voix c’est vrai et tu chantes juste, je devais me faire du soucis ! Tu vas bientôt mieux chanter mes chansons que moi !” Darragh n’était pas hautain avec ses fans au contraire même il aimait passer du temps avec eux. “Oui le concert de Londres était épique ! J’ai plus eu de voix pendant une semaine mais ça en valait la peine ! Si vous passez par le club de musique, je serais ravie de discuter encore avec vous. Et dites puisque vous semblez être vif d’esprit, je cherche un professeur aux cheveux étranges… Une petite tête blonde m’a mis ça dans les mains.” Il désigna les chocolats. “Et m’a dit pour le prof aux cheveux étranges… Vous savez de qui il s’agit ?”

Emme

Résumé:

Vous reprendrez bien une petite dose de jugement, une ?

Sean était bien content de ne pas avoir gardé potions en matière pour ses aspics car cette professeure était tout bonnement odieuse à bien des niveaux. Rien n'allait, de la manière dont son regard avait longuement analysé la tenue d'Ophelya à la tendance qu'elle avait d'écouter les conversations privées et chuchotées de ses élèves. Agacé, Sean sentit un sentiment de crispation monter en lui et il se braqua rapidement. Le soucis quand on faisait des remarques à des Gryffondors, c'est qu'il y avait souvent des chances qu'ils répondent.

"Pardonnez moi Madame McGraham, si vous désapprouvez tant que cela l'usage et la fabrication de filtres d'amour, peut-être aurait-il fallut faire un atelier de sensibilisation aux dangers des filtres d'amour plutôt que d'en laisser à la disposition de chacun. J'ai du mal à croire que personne n'aurait écouté vos revendications si vous les aviez mené avec conviction. Il paraît donc malvenu de votre part de faire des remarques à mon amie."

Sean dans toute sa splendeur. Grand défenseur des causes perdues et détestant qu'on lui impose un quelconque rapport de force. Juge fidèle à sa propre éthique, il se fichait pas mal qu'on le punisse tant il était agacé par la manière dont la prof qui avait elle même monté cet atelier leur faisait des remarque. Si tant est qu'elle trouve de quoi le punir, il était resté poli et courtois, il n'avait dit que la vérité et ne comprenait pas : pourquoi était elle là à tenir cet atelier si elle le détestait tant ? Pourquoi n'avait elle proposée aucune alternative ? C'était incompréhensible et même Miss Wellington qui venait d'arriver se posait des questions. Sean préféra se concentrer sur Ophelya qui l'avait emmené jusqu'à l'un des chaudrons.

Il se pencha pour percevoir les fragrances qui se dégageaient de l'amortencia. Naïvement, il se sentit rougir et se tourna vers la sixième année "... Une odeur de cuir de dragon et de cendres... Comme un feu de cheminée éteins ou de la fumée de pétards..." Mal à l'aise et définitivement braqué, il ajouta "On part maintenant ? Je n'aime vraiment pas l'ambiance ici. C'est comme si on te proposait des bonbons et qu'on te tapait sur les doigts si tu les regardais de trop près."

(Ps : Je suis désolée Elisabeth >< Sean peut facilement se braquer dès que quelque chose lui paraît injustifié, il est clairement susceptible ><)

La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

La Fête de la Renaissance

You can be your own ♫ Spotlight ♫

You can be the star, you can shine so bright

Yuhi (2ème) & Jasmin (Civil) & Wyatt (2ème)

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance

Re: La fête de la renaissance