L'Auror était partit calmement du bureau. Tournant le dos à un sorcier qui reprenait rapidement ses positions, il avait rejoins le hall de l'école en quelques minutes. L'air froid et neigeux ne l'empêcha pas de transplaner dans un endroit dissimulé de Pré-au-Lard. La place du marché s'étendait devant lui, belle et complètement détruite. Des cris, des pleurs, du sang, de la fumée, des feux et autres joyeusetés du genre participaient à semer la pagaille chez les habitants. Des citoyens altruistes en sauvaient d'autres alors que les casseurs eux, prenaient très à coeur leur mission en empêchant les sorciers de sortir de là. Les barricades tenaient assez bien et il était inutile d'essayer de vouloir les défaire. Déjà car il fallait passer sur le corps des révolutionnaires mais, en plus, parce que ça aurait prit plusieurs minutes d'un précieux temps que personne n'avait vraiment.

S'agitaient des étudiants, pleuraient des bonnes femmes, piétinaient des hommes paniqués... Alors que le prédateur rôdait. Il avait fait des ravages, bien assez pour assommer la population d'une nouvelle inquiétante. Et d'ailleurs, le loup-garou qui s'était fait exclure de Poudlard avait disparut du stand de bières au beurre. Heureusement pour lui, pensa l'Auror.
Sortant sa baguette du revers de sa grande veste bleue qu'il affectionnait particulièrement, l'homme formula un sort de localisation dirigé vers la créature en cavale. Elle n'était pas très loin, tapis dans l'ombre, en train de dévorer un malheureux. Personne ne pouvait la voir pour le moment. Il leva alors la tête vers le ciel nuageux, lourd et particulièrement sombre. Elle avait de la chance. Beaucoup de chance.

Il laissa le directeur faire son entrée tonitruante. Merrick était venu avec un lot de professeurs et, ensemble, ils explosèrent de manière contrôlée, la barricade sud, celle menant au château. Dès qu'il fut sur la place, l'Auror transplana à ses côtés.

- Je suis venu dès qu'on m'a prévenu. L'information est longue à arriver jusqu'au Ministère. lâcha-t-il nonchalamment.
- Et vous êtes... ? demanda un professeur.
- Auror Carter, du département de la justice magique. Je suis là pour l'attentat. Ils n'ont pas l'air d'être venu seuls.

Merrick était silencieux. Il scrutait la foule à la recherche de quelqu'un en particuliers. Silas, lui, fit le ménage autour d'eux d'un grand coup de baguette magique avant de se diriger vers les stands pour faussement inspecter les premiers dégâts. Le directeur, en le voyant bouger, regarda ses employés.

- Allez-y, je vais chercher le sous-directeur.

Les consignes étaient claires : rapatrier tous les élèves. Une liste avait été dressées de tous ceux étant sortis et chaque professeur en avait un exemplaire. Alors que le blond passa à côté de l'Auror, il lâcha froidement :

- J'espère que ton zèle ne coûtera la vie d'aucun de mes élèves.

Implacable, distant et particulièrement menaçant, il s'éloigna rapidement. Silas savait ce que ça voulait dire : si jamais il y avait eu plus de dégâts que ça, et que ça noircissait le tableau de Merrick, alors il perdrait son précieux poste d'Auror et il pouvait dire adieu à son business. Le directeur avait quelques charges contre lui et il ne manquerait pas de s'en servir.

Un geste attira son regard qui se porta derrière un talus de pierres et de débris. Il distingua une rouquine peu habillée se vêtir d'une cape dorée qui changea de couleur pour arborer un noir profond, évidence qui ne manqua pas de le faire lever un sourcil. Quelques secondes plus tard elle avait prit la fuite sans l'avoir vu. Elle se dirigea vers un groupe composé de trois élèves qu'il ne reconnu pas spécialement et à qui il ne prêta pas plus attention que ça de prime abord. Non, ce qui retint son regard d'acier fut la crinière impeccable qui se tenait, il n'y avait pas trois secondes, un peu trop colée à cette impétueuse septième année. Merrick contourna alors la pierre, se retrouvant à son tour à l'abri mais devant son cher sous-directeur.

- Si ton attention était aussi aiguisée que ton attrait pour la joliesse jeunesse, des élèves seraient déjà en ta compagnie dans un lieu sûr, Ezekiel. C'était loin d'être un compliment. Et je n'ai pas intérêt d'apprendre que tout cela est un plan inefficacement rôdé sortit de ta tête, de celle de Silas ou encore de celle de Declan. Tu avais une seule mission, je me déplace en personne et je te retrouve à dorloter une septième année à moitié dévêtue. J'ai pris certains de tes collègues avec moi pour ramener tout le monde au château. Je veux que tu fasses de même et que dans moins de quinze minutes, tout le monde soit sur le chemin de Poudlard.

Merrick se détourna.

- Et je ne veux rien entendre de tes gémissements.

Merrick s'en alla.

Entretemps, Silas avait miraculeusement réussit à mettre la main sur le prédateur des lieux. Couvert d'une cape et d'une capuche intégralement noire, l'inconnu se tortillait sous le sort qui sortait inlassablement de la baguette de l'Auror. Ce dernier se rapprocha du directeur qui était revenu en visibilité.

- J'ai trouvé le coupable des morsures, j'ai appelé un collègue du département des créatures magiques pour qu'il règle ça. D'autres agents de l'ordre vont arriver et vont t'aider à retrouver ta marmaille. J'ai dégager quelques décombres au passage, mais certains des petits sont dessous et... Il se tourna un peu plus vers lui avec un franc sourire Prépare ton plus beau discours, la presse arrive.

Il ne manquait plus qu'elle.

Merci à tous pour votre participation, on ne savait plus où donner de la tête, c'était beaucoup trop génial  

Alors comme dit dans le RP, entre le moment de l'explosion et le moment où l'Auror arrive, il se passe même pas une dizaine de minutes. Donc vraiment c'est allé très vite et nous avons convenu que la plupart de vos actions se passaient si ce n'est en même temps, à peu de secondes d'écart pour garder une cohérence globale.

Au niveau des élèves : on essaye de rapatrier les derniers vers Merrick. Les professeurs accompagnants sont chargés d'aller retrouver les ouailles rapidement et Merrick a passé un savon personnel à @Ezekiel B. Blackmore en privé    

@Flora R. Carrow et @Lionel E. Leroy vous pouvez tout à fait participer !!! Vous avez le choix : soit vous étiez là dès le départ comme professeurs accompagnants, soit vous faites partit du petit pelotons que Merrick a emporté avec lui pour gérer la situation (on pense à tout   ).

Pour le reste donc vous pouvez apercevoir Silas sans problème en compagnie de Merrick et un bonhomme un peu dans le mal, intégralement caché par une cape à capuche. @Anthony Valentyne si tu veux que Silas et toi vous connaissez, c'est possible je n'y vois pas d'inconvénient. La police magique arrive également pour aider les étudiants et les adultes bien sûr et, pour parfaire le tout, la presse également.  Vous pouvez donc faire intervenir des PNJs dans vos posts. La presse peut-être un peu oppressante, comme particulièrement respectueuse mais, dans tous les cas, ce sont des gens qui prennent des photos de partout et essaye d'interviewer des citoyens qui passent.

Pour les gens qui souhaiteraient participer en cour de route, vous pouvez vous greffer sans soucis au sujet, il n'y a pas besoin d'être là depuis le départ !

Mais surtout : amusez-vous

Flora était dans ses quartiers lorsque le Directeur la prévint d’une attaque venant d’avoir lieu à Pré-au-Lard, là où bon nombre d’élèves était aujourd’hui pour profiter de la sortie hebdomadaire autorisée. Pourtant plongée dans ses corrections d’interrogations jusqu’alors, le professeur de Métamorphose quitta aussitôt cette occupation avant de se vêtir de son manteau fourrure en quelques secondes avec en tête, l’inquiétude qu’il puisse être arrivé quelque chose à sa fille. Elle savait que cette dernière se rendait à Pré-au-Lard avec ses amis aujourd’hui et, ignorant la nature des commanditaires de l’attaque en question, elle se doutait que tout élève pouvait être une cible.


Suivant au pas le directeur de l’école en compagnie d’autres professeurs qui l’avaient déjà rejoint, ils dirigèrent leurs pas vers le hall d’entrée puis vers l’extérieur. Il ne manquait plus que l’enseignant des soins aux créatures magiques et celui de la botanique afin que l’équipe ne soit au complet. Au loin, à une dizaine de kilomètres d’ici, plusieurs sources de fumée s’échappait du fameux village. C’était terriblement inquiétant. La dernière fois que Flora avait vu ce village en flammes remontait à son adolescence lorsque les amis de sa famille traquaient Potter et ses amis. Mais là, il ne s’agissait pas de cela mais d’autre chose. Il ne restait plus qu’à en déterminer la cause.  Un sorcier dégénéré aux passions pyromanes ? Ce ne serait pas la première fois que l’un d’eux ne s’échappe de Ste-Mangouste. Conservant son calme face à cet événement, Flora s’efforçait de se convaincre que son enfant était sain et sauf. Elle était suffisamment intelligente pour se cacher du danger en attendant l’arrivée des secours. Ce n’était pas une fille qui fonçait tête baissée en répondant à des besoins héroïques. Non, elle n’avait pas été élevée de cette façon.


Après avoir pris connaissance d’un maximum d’informations, l’équipe transplana hors de l’enceinte de l’école, faisant soudainement apparition sur les lieux de l’explosion. Celle-ci avait fait d’innombrables dégâts et Pré-au-Lard était en partie devenu un champ de désolation. Du verre brisé se retrouvait tout autour d’eux et certaines bâtisses, bien trop endommagées, menaçaient de s’effondrer à proximité de celles qui l’étaient déjà. Le visage de marbre, Flora observa le reste du décor, à la recherche de potentiels élèves restés sous les débris. Leur mission était simple : à l’aide de la liste des élèves fournie, il devait les regrouper afin qu’ils regagnent au plus vite le château.


Ensemble, ils levèrent leurs baguettes et de manière parfaitement synchronisée, réduisirent la barricade sud en poussières, libérant ainsi le passage vers l’école. Flora et ses collègues s’engouffrèrent ensuite dans les différentes rues de Pré-au-Lard à la recherche des étudiants. Ce n’était pas chose aisée avec toute cette foule qui s’attardait encore sur les lieux à la recherche de réconfort et de questions. Non-loin de là, un groupe pullulait près  de ce qui semblait être le cadavre d’une femme. Quelqu’un était mort et certains parlaient de morsures. Visiblement, tout ceci était peut-être l’oeuvre d’une créature accompagnée d’un ou plusieurs complices sorciers.


L’avancée parmi les différents stands et boutiques était ardue avec tous ces débris au sol qui formaient parfois des piles d’obstacles que l’on devait contourner avec attention. De temps à autres, Flora se servait d’un Wingardium Leviosa afin de déblayer le chemin et gagner du temps. Elle rencontra un groupe de troisième année plutôt sonné par les évènements dont elle ordonna de rester près d’elle. Et, dans un élan d’espoir, elle leur demanda s’ils avaient aperçu sa fille. Malheureusement, la réponse fut négative. Le coeur battant, Flora sut tout de même conserver son calme. Il ne servait à rien de céder à la panique et avec un peu de chance, son enfant avait sûrement déjà rejoint un autre professeur.


En métamorphosant certains morceaux de toiture en sable fin, la grande femme parvint à extirper deux jeunes victimes bloquées dont l’une qui souffrait atrocement d’une blessure à la jambe. Elle se pencha là-dessus en versant un peu d’essence de dictame par-dessus. Puis, elle leur expliqua à leur tour le protocole à suivre.


Bientôt, Flora et son groupe d’élèves qui s’agrandissait furent néanmoins interrompus par deux sorciers qui tenaient fermement des objectifs photos entre les mains ainsi qu’un bloc-note. Il ne lui fallut pas plus longtemps pour deviner qu’ils étaient employés pour la presse magique. Il ne manquait plus qu’eux… Ils ne louperaient en rien l’occasion de relater les faits en premier pour faire sensation dans le pays et même à l’étranger. A coups sûrs, il remettrait en cause la sécurité du personnel de Poudlard dans cette histoire.


— Quelques questions, Madame, s’il vous plaît. Vous êtes professeur à Poudlard, c’est exact ?


Ils enjambèrent quelques débris afin de s’approcher du groupe qu’ils formaient tous. Hélas, Flora n’avait guère de temps à perdre avec eux.


— Oui et je suis occupée au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, répondit-elle avec froideur avant de se tourner vers les élèves qu’elle surveillait et ceux qui venaient de les rejoindre. En rang, vous tous !


— Ce sera très rapide, je vous le promets. Selon vous, qui serait coupable de cette explosion ? Ne craignez-vous pas que Poudlard ne subisse les retombées lorsque les parents d’élèves apprendront ce qu’il s’est passé ?


C’était exactement ce que Flora craignait : des questions fourbes dont ils détourneraient certainement les réponses pour tourner l’académie en ridicule. Dans ces moments-là, le mieux était de ne rien dire. Le directeur établirait sûrement un discours parfaitement adapté pour mieux faire passer la pilule aux sorciers anglais.


— Je ne suis pas en mesure de répondre à ces questions, dit-elle dans une maîtrise parfaite alors que l’envie de les transformer en cafards bouillonnait en elle. Vous en apprendrez certainement plus de la part de notre directeur. Maintenant, merci de bien vouloir nous épargner de votre présence.


D’un regard autoritaire et qui ne laissait nullement place à la discussion, le professeur de Métamorphose se remit en marche avec son groupe d’élèves parfaitement aligné derrière elle et prit la direction du lieu de regroupement, au niveau de la barricade qu’ils avaient fait exploser dès leur arrivée.




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Résumé : Flora arrive sur les lieux en compagnie des autres professeurs. Elle arrive au secours de plusieurs élèves qu'elle réunit autour d'elle avant de faire face à la presse qui lui pose quelques questions. Elle leur répond sèchement qu'elle ne souhaite pas s'exprimer sur le sujet et emmène son groupe d'élèves sur le lieu de rassemblement.

La scène était irréelle. La magie utilisée avait entamé passablement l’énergie d’Arwin qui s’appliquait à ne rien laisser paraître. Droit, altier dans un port de tête presque hautain, il dévisageait chacun des acteurs présents. Maze était apparue de nulle part, alors qu’il s’était décidé à aller aux devant de Mi-gung. Elle l’avait devancé et la horde de journalistes qui les encerclaient maintenant n’était pas vraiment une bonne chose. Sans attendre, Arwin avait tendu son bras pour les faire reculer. Les plus persistants avaient bien sûr envisagé de le contourner, mais un sortilège les en avait empêchés. Son regard noir ne quittait plus cette assemblée de fouille-m*rde, les intimant silencieusement à garder leur distance. Cela avait eu le mérite de laisser à Maze le temps de prendre les choses en mains et de disparaître avec sa sœur.

Arwin s’enquerrait de leurs états lorsqu’il faudrait. Pour le moment, l’urgence était ailleurs. « Merci. » Cette simple et brève clarification était destinée à l’adolescente qui l’avait soutenue dans ses démarches. Il ne comptait pas perdre plus de temps que cela en bavardages futiles, ce n’était clairement pas son genre. Interrompu dans son élan, alors qu’il tentait de quitter les lieux discrètement, il se retrouva en face du Professeur de potions. Il ignorait depuis quand il était là et ce qu’il entendait par rapport, mais il hocha la tête et releva son regard sombre vers lui. « Bien. Ici, maintenant ? » Ses yeux dévièrent involontairement sur la gauche, accrochant par inadvertance la silhouette de Valentyne. « Une élève a été visiblement mordue et blessée. Il s’agit de Miss Park. Mi-gung. Je pense qu’il faudrait chercher ce qui a pu la blesser, cela pourrait aider les mages de St Mangouste à établir un protocole de soins adéquat. Je n’ai malheureusement rien vu… » Confessa t-il à regret, avant de conclure. « Peut-être faudrait-il interroger les élèves présents durant l’attaque ? Je vous laisse seule juge de cela. Je dois rejoindre Miss Perigrine. C’est avec elle que je suis venu. » Arwin inclina sa tête en guise de salutation et s’en alla tandis qu’un éboulement attirait tous les regards.

Sans vraiment se soucier de la folie ambiante, Arwin progressait sa baguette à la main, dans sa longue robe d’étudiant de Poudlard. Son sang-froid dénoté avec le comportement de ses pairs. Arwin ne semblait pas vraiment impressionné et quoiqu'il entrait dans son champ de vision, il restait parfaitement de marbre. « Arwin ? » La voix de Salem le fit sourciller. Elle était recouverte de poussière, ce qui eut le mérite de lui extirper un semblant d’inquiétude. « Perigrine ? » « Elle va bien. Valentyne l’a rejointe. Ils parlent à un Auror. Elle m’a dit de trouver June et de rentrer. »

June, cette maudite groupie de Loup-garou. Évidemment qu’il fallait la trouver. Arwin soupira en grommelant d’inaudibles jurons. « Trouvons Ash. Elle doit être avec lui. » Et dans un semblant de nuage brumeux, ils transplanèrent.

Résumé:

Silas… Silas… Son nom sort pas de mon cerveau. Je ne vois que lui dans la foule. J’ai rien contre le bonhomme, mais ça veut dire qu’il na va pas falloir que je traîne plus que ça. Je suis pas vraiment venu pour une mission officielle. Nop. Faut que je me dépêche à longer les murs et retrouver Cruella d’enfer avant qu’il voie ma tronche. Je me faufile parmi les quidams, me planque discretos derrière leurs silhouettes prostrées. Je jette parfois un œil par-dessus leur épaule pour voir s’il m’a repéré et j’arrive tant bien que mal dans la ruelle dans laquelle Perigrinne s’est enfoncée. Maudite vielle-fille. Elle m’attend déjà, baguette à la main avec son sourire de côté qui me fout clairement les boules. « Miss.  » J’entame les hostilités avec classe et détachement, tout en faisant rouler ma baguette entre mes doigts. Je ne la regarde pas, au cas où cette Méduse me pétrifierait sur place avec son regard de vipère, non, je préfère parader, m’installer à mon rythme au centre de la ruelle prêt pour le duel. « Valentyne. » Son nom dans sa bouche me fait sourire. Elle l’a dit avec une pointe de sadisme, ce qui a fait tressaillir certaine partie de mon corps. Je n’ai jamais su rester à des suppliques aussi bien éventées. J’aimerais bien qu’elle le redise, juste pour le plaisir, mais elle poursuit avec toute l’arrogance que je lui connais. « J’ai l’impression que nous sommes dans une impasse. » Non, mon chou à la crème, y a jamais d’impasse avec moins. Je vais te faire voir une pléthore de possibilités si tu m’en laisses l’occasion. « Elle est où votre petite apprentie ? C’est bien comme ça que l’on dit ? Mouton, ça sonnerait un chouille offensant ! » « Allons Valentyne, depuis quand prenez-vous vos précautions me concernant ? Craignez-vous que je vous fasse payer l’affront ? » Je me marre, je baisse la tête hilare. « Je prends toujours mes précautions » Oh ça oui. Dans n’importe quelles situations. J’espère qu’elle lit entre les lignes et qu’elle s’arrête pas à une première lecture ça serait dommage.« Craignez-vous que je vous fasse payer l’affront ? Visiblement, elle a capté le message. « Qu’est-ce que vous faites là ?  » Faut bien recentrer un peu les esprits vagabonds. Elle semble hésiter, en fait, je me demande si elle joue pas le chrono. L’absence de ses acolytes me rend fébrile. Un coup d’œil à droite et à gauche, pour être bien certains que je ne suis pas en train de creuser ma propre tombe. « Et vous ? » Boum. Elle me retourne la question. Chérie ça peut durer des heures comme ça, faut passer les préliminaires sinon on avancera pas. Je sers fort ma baguette entre les doigts et je tends mon bras. Je suis prêt. « Tu me donnes ta raison, je te donne la mienne.  » Je suis fier de ma repartie, je pense même à faire un pas vers elle, alors qu’elle entame elle aussi un début de mouvement. Les yeux dans les yeux, on danse. On tourne en rond, dans un arc de cercle imprégnait de tension. Je sais pas ce qu’elle a derrière la tête et je ne peux pas m’empêcher de vérifier si elle n’est pas en train de me tendre un piège. « Quelqu’un est derrière tout ça… » Bravo Sherlock. « Bah ça… » Elle poursuit en levant la tête vers le ciel. « Je vais trouver qui sait. » « Très intéressant Perigrine, vous savez qu’on a un service qui s’occupe de ça ? » « Allons Valentyne, vous et moins nous savons ce qu’il en est… On ne peut se fier à personne. » Alors là, elle m’intéresse. Se peut-il qu’elle soit au courant de mon enquête ? Impossible, même moi j’y crois pas. Pourtant, je me surprends à lui répondre. « Et par principe, je me fierai pas à vous, non plus. » « On pourrait collaborer Valentyne ! » « Pourquoi je ferais ça ? » « Parce que vous, je sais pourquoi vous êtes là ! »

une avait filé comme le vent. Sa silhouette défiait l’apesanteur sur les toitures encore indemnes de Prè-au-Lard. June avait que faire des recommandations d’usage concernant l’étalage et l’usage de la magie. Les battements de son cœur raisonnaient suffisamment pour couvrir la voix de la raison. Elle s’était laissée retomber près du stand où devait se tenir Joshua. Le regard empreint de doutes, elle observait l’étendue des dégâts. Du feu, des flammes, des cris et des larmes. Que s'était-il passé ici ? Qui pouvait avoir fermenté pareil plan machiavélique ?

Sa main avait accroché la première silhouette à portée de bras, pour s’enquérir des nouvelles. « Joshua Ash ? » Livide, le pauvre erre avait balbutié et elle l’avait relâché en le repoussant loin d’elle. La petite blonde avait lu sur son visage la peur et le dégoût, traduisant ce qu’elle redoutait le plus. Les gens ne se soucieraient pas du sort d’un hybride. Elle si. La main armée de sa baguette, June renversa les étals. Elle pestait rageusement, dans des vapeurs colériques. C’était plus qu’il n’en fallait pas plus laisser exploser toute la rage qu’elle avait en elle. De sombres idées se dessinaient dans son esprit perdu dans les ténébreuses. Elle était impuissante face au manque, face à son incapacité à trouver l’apaisement dans la destruction de ce qui restait d’un monde sur le déclin.

Alors qu’elle allait s’attaquer à des fuyards, Arwin s’interposa en lui saisissant le bras. « T’as terminé là ? » « Lâche- moi ! » Son ton était sec, à la limite de l’avertissement qui s’était imposé avec force dans un échange de regards noir. « Tu ne me fais pas peur Abernathy ! Dresse-toi sur ma route et je t’explose ! » Estomaqué, le Serdaigle ne perdit pas pour autant son sang-froid en repoussant son bras. « Tu vas faire quoi ? Détruire des ruines ? Passer tes nerfs sur des innocents ? » June se recula en plaquant ses mains sur sa tête. Comme toujours, Monsieur je-sais-tout avait raison. Cette façon de toujours avoir les mots justes était tout simplement agaçante. June finit par s’accroupir, tandis que Salem s’avançait précautionneusement vers elle. « Il faut rentrer ! » « Non… » Grommela June comme une enfant boudeuse. Les deux Serdaigles s’observèrent un instant. Raisonner la furie serait difficile. Arwin finit par se retourner vers un groupe de personnes agglutiné près de décombres fumants. « Je suis sûr qu’il n’a rien… Trouvons d’abord Joshua… June ? Debout. » Après une brève hésitation, elle s’était redressée en soupirant. « On va utiliser un sortilège de localisation. Salem ? » L’interpellé, c’était avancé, prête à mettre en avant son talent, lorsque June la poussa de son chemin. « Jo !!! » Non loin Joshua était là. Elle avait hâte ses pas vers lui, pour mieux enlacer son corps tout entier. La main collée au visage du jeune sorcier, June reprit avec des tremolos dans la voix. « Est-ce que tu vas bien ? Tu es blessé ? »

Résumé:

Je suis furieux Sofia. Et moi éprise, Ezekiel. Mais je n'avais pas le droit de répondre ça, car je savais que j'allais m'attirer quelques foudres. Pas un gros orage, mais une averse dont il avait le secret et que je préférai ne pas tendre à provoquer.
Je me mordis la lèvre, fuyant son regard un instant. Il avait ces allures de professeurs et l'un dans l'autre, je ne savais pas qui me faisait le reproche : l'homme ou l'enseignant ? Peut-être un peu les deux.

« Ce ne serait pas vraiment moi si je restais tranquille. » fis-je en relevant le regard vers le sien, sombre.

J'aimais tellement ses yeux noirs. Il avait une profondeur d'iris magnifique, donnant du relief à toutes ses expressions faciales. Je trouvais les miennes pâles et sans grand intérêt mais tout chez lui avait du cachet. Cependant, je me gardais de le lui dire de but en blanc, préférant ne pas flatter cet homme vaniteux pour rien, même si c'était une partie de lui que j'aimais, comme le reste. Et cet incident m'avait fait comprendre que oui, j'aimais Ezekiel Blackmore, mon professeur de potions. D'habitude, je m'offusquais peu de mon attachement non rendu mais je ne savais pas pourquoi, ici c'était différent. J'en voulais plus, j'espérais plus et me dire que dans quelques mois nous serons séparer me...
Je ne voulais pas y penser. Il était en un seul morceau et c'était tant mieux.

« Tu n'es pas obligé d'être aussi piquant. J'avais juste besoin de toi. »

De lui et surtout, de son contact. Je me laissais aller contre lui et j'appréciais la chaleur de ses bras. Oui, on s'était vu un peu avant la sortie, mais c'était en coup de vent et plus les semaines s'égrainaient, plus j'avais le blues de mon futur départ de Poudlard. Ce n'était pas dans mes habitude de penser au futur pourtant. Je devais simplement bien admettre que oui, ici, je voulais passer mes jours et mes nuits avec lui, qu'importait l'activité, je n'étais pas très difficile là-dessus.

Lorsque sa cape couvrit mes épaules je failli simplement m'y enfouir dedans. Elle portait tout de lui : son odeur, sa marque et même son caractère exubérant qu'il calma d'un coup de baguette magique. Sofia, comment pouvais-tu être autant à lui après si peu de temps ? Enfin... Depuis l'année dernière... et en ayant passé l'été chez lui... et en le retrouvant à la rentrée encore plus complice que jamais... et... Stop.
Je levais ma tête, le visage muet de tout sauf de l'admiration que j'avais pour lui. Oui j'aimais être revêche, belliqueuse, un peu provocante, mais lui j'avais aussi envie de l'avoir à mes côtés. Alors je l'écoutais avec une attention toute particulière. Sauf que je compris parfaitement sa fin de phrase : oui, nous n'étions que des élèves. Moi y compris. Tout était voué à mourir le quinze juin. Je ne supportais pas cette idée, mais lui oui. Pourquoi était-ce si difficile bon sang ? Je savais que je n'aurais jamais pu être sur un même pied d'égalité, que d'une quelconque manière ce serait à moi de me sentir honorer de tout ce qu'il me partageait et encore une fois, je ne pouvais m'y résoudre. J'étais pleine de ressentiment. Pas par rapport à lui, mais par rapport à moi. Je m'en voulais d'avoir plongé la tête la première dans ce piège à con. Car c'en était un !

Il ne m'embrassa même pas.
D'accord, j'en attendais trop de lui. Ce n'était pas bon. Car nous n'étions plus dans ce genre de relation. Et en même temps, rien n'était vraiment officiel. Rien ne pouvait l'être en fait.

Je reparti avec ses ordres en tête, concentrée sur ma tâche. Je ne devais pas faillir. Comme je ne souhaitais pas le voir écroulé sur le sol. Puis-je espérer des moments simples de bonheur avec cet homme, par Merlin ?! Ou c'était peut-être trop demandé !

C'était le chaos autour de nous. Un vampire. Est-ce que ça aurait pu être pire ? Certainement.
Je ne lui avais pas posé plus de question mais il me semblait quand même préoccupé. Préoccupé par autre chose, j'entends. Cependant je devais agir de mon côté et si au moins je pouvais l'aider, alors je ferai le maximum.

En partant vers la place, je contourne plusieurs obstacles avant de me retrouver nez-à-nez avec ma soeur. Sianyde était évanouie dans les bras de son prétendant chez qui elle s'était enfuie à deux reprises courant de l'année dernière. Mes yeux s'écarquillèrent, laissant transparaître toute ma stupeur.

« Si... Sianyde ! »

Je m'approchai d'elle et lui caressai les joues, la voyant émerger de ses absences. Mon regard se porta alors sur Bastien et son pote.

« On est en train de tous se réunir au stand de bijoux ou à la porte sud. Les professeurs renforts sont arrivés et je crois que madame Carrow balaye la place. » Je regardai ma petite soeur avant de fixer les deux garçons. « Mettez là en sécurité. Blackmore est du côté des éboulis là-bas, il te cherche m'sieur le Préfet-jamais-là. » fis-je dans un sourire sardonique mais sans méchanceté.
« ...fia ? »
« Si', t'es entre de bonnes mains. Je dois rejoindre Summer et Thomas. Repose-toi, on se retrouve au château. »

Je la vis porter une main à son front, me regarder sans peut-être trop comprendre avant que sa tête ne retombe contre son aimé. Je m'inquiétais, j'avais peur, mais je devais à tout prix faire en sorte que nous nous en sortions tous.

« Je viens avec toi. Je dois retrouver ma capitaine que j'ai laissé toute seule en plus. A plus Barnes. »

Alors avec conviction, je filai vers le point de ralliement en compagnie d'Achille, le français avec qui ma soeur avait la côte. Décidément, ces frenchis se jetaient tous à ses pieds...

Je compris que j'étais au bon endroit lorsque je vis Summer s'agiter quelques mètres plus loin. Elle essayait de retenir un pan de mur le temps que quelques gamins passent dessous, avant de le laisser s'écrouler. Je la voyais, elle était à bout de force.

« Summer ! » criai-je
« Sofia ! » fit-elle en tournant la tête « J'ai cru que l'autre hurluberlu nous avait oublié ! Je suis à bout de force. »
« Où sont-ils ? »
« Un groupe de neuf est partit avec Tom vers la barricade sud. Elle a explosé non ? »
« Oui, le dirlo l'a faite sauter. »
« J'ai du faire bouger les élèves et les rendre à nouveau visible pour qu'ils puissent se suivre. Ils sont là-bas, les plus âgés d'entre eux maintiennent le toit au-dessus de leur tête. »

Summer me montra une sorte de cagibi d'une quinzaine de mètre carré, un peu engoncé dans un bâtiment. En effet, je pouvais distinguer, en me concentrant, les lumières s'échappant de quelques baguettes et également quatre murs et un toit encore présents.

« Ok ! Achille et moi on va les escorter, si t'as encore un peu de pêche, cherches les autres. »
« On va échanger, je vois Ellie là-bas. Summer prend ma place, escorte les gamins, je vais rapatrier ceux qu'il reste. T'as l'air morte, rejoins juste le chemin sud. »
« Ok, ça m'arrange. »

Alors que nous partions vers la cachette, Achille couru dans la direction opposée. Il posa la main sur l'épaule d'Ellie pour lui signaler sa présence et, je crois, tenter de la rassurer.

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Résumé : Au début elle fini sa conversation avec Ezekiel Pasgentil Blackmore ( @Ezekiel B. Blackmore ) puis elle croise @Bastien Barnes avec Sianyde et Achille (le PA de Sianyde). Elle emporte Achille avec elle pour rejoindre Summer (le PA de Sianyde) et Thomas (le PA de Bastien). Summer a du trouver une autre cachette pour les élèves et Thomas est partit vers la barricade Sud avec un premier contingent. Pendant que les filles se mettent en route pour escorter le reste des élèves de la cachette, Achille va rejoindre @Ellie Torstein qui a l'air au bout de sa vie.

Les Aurors avaient été plutôt efficaces. Merrick n'eut le temps de discuter que quelques minutes avec Silas, non sans lui rappeler que s'il avait de quelconques informations sur le vampire il aimerait les connaître, avant de voir un homme apparaître un peu plus loin. Il accusa la vision du marché mais rejoignit rapidement le binôme. Des salutations brèves, quelques échanges et la créature disparut en même temps que les Aurors. Une bonne chose de faite pensa le directeur.

Maintenant, il fallait qu'il affronte la presse.
Heureusement pour lui et pour ses petits louveteaux qui évoluaient dans ce chaos, les professeurs étaient assez efficaces. Bien qu'il n'ait pas sourcillé devant son neveu, il était évident que la morsure d'Ezekiel lui donnait quelques désagrément méningés. C'était un bon élément et, plus que ça, il était la seule partie de famille viable. Merrick n'avait pas d'instinct paternel et se fichait d'autant plus du sang mais il devait avouer que ce serait vraiment du gâchis de le voir périr si bêtement. Nul ne doute que s'il avait tenu entre ses mains le troisième larron, il n'aurait pas hésité à lui tordre le cou instantanément.

Au moment du départ de Silas, la presse arriva précipitamment vers lui. Remettant sa cravate un peu plus droite, il resserra le col de sa veste pour se donner un peu plus d'allure. Immédiatement, les questions fusèrent, les plumes écrivirent autant de mots qu'il ne dit pas. Les professeurs ayant réussi à contourner ces journalistes, il fallait que le politicien fasse son travail de façade. Il donna ainsi un discours bref, rassurant et profita de l'arriver de la police magique pour clôturer cet entretien qui, il n'en doutait pas, serait déformé par les plus extrémistes. Mais qu'importait, il avait l'habitude et savait louvoyer entre les filets de ces requins affamés. Aucun d'entre eux ne lui porterait du tort.

Merrick flanqua l'agent gradé responsable de cet escadron d'aide bienvenue. Ils échangèrent sur la situation qui, clairement, dépassait le policier et ennuyait le blond.

- Mes professeurs sont en train de revenir avec les élèves pour rentrer au plus vite au château. Les élèves en cas critique ont été envoyés à Sainte-Mangouste alors que les autres sont rapatriés pour être soignés.

L'euphorie avait commencé à redescendre. L'arrivée des forces de l'ordre avait eu quelque chose de rassurant, surtout qu'ils avaient fait fuir ces espèces de révolutionnaires idiots qui avaient érigé les barricades. Celles-ci étaient démantelées au fur et à mesure, alors que les journalistes étaient boutés hors de la grande place pour laisser le champ libre à tout le monde. Lionel fut immédiatement secondé par deux agents qui sortirent des élèves des décombres et il fallut un peu moins d'un quart d'heure pour regrouper la plupart des gens. Un policier affilié à l'unité de soin vint aidé le jeune Joshua et sa jambe dans tous les sens, rassurant ainsi les deux enfants. June, de toutes manières, fut ramenée par le préfet de sa maison, qui ne lui laissa que peu le choix de faire ce qu'elle souhaitait. Ce n'était pas pour la contraindre, mais il fallait absolument mettre tout le monde à l'abri et rentrer maintenant.

Alors que les premiers secours étaient entreprit sur la plupart des victimes, les médicomages ne tardèrent pas pour prendre le relais et emmener les blessés graves. Merrick regardait les visages décomposés de ses élèves, qui prenaient douloureusement le chemin de l'école. Il était furieux. Ezekiel et Flora étaient dans le lot, suivit de près par Neville qui soutenait une jeune adolescente. La professeur de défense n'était pas visible et Lionel, celui aux soins des créatures magiques, venait de sortir d'une ruine de bâtiment avec de jeunes gens aux couleurs de Poudlard. Prenant à part le sous-directeur il lui dit doucement :

- Silas prépare quelque chose, son oeuvre a faillit nous couter cher et je doute qu'il s'en tienne à ce coup d'éclat. Il faut impérativement que nous ayons connaissance de ses ambitions. Essaye de contacter Declan d'ici demain ou après-demain, il doit très certainement en savoir un peu plus que nous. Si tu peux, fais le venir, que nous soyons trois à en discuter dans mon bureau.

Il n'aimait pas trop avoir sa famille dans les parages et principalement au château -hormis Ezekiel qui était professeur, bien entendu- mais un cas de force majeure s'imposait et ce serait une erreur de négliger chaque maillon de la chaîne.
Les deux Blackmore restaient en vue, attendant de fermer la marche pour être sûrs de ne laisser personne derrière eux, vérifiant les noms de la liste qui se rayaient au fur et à mesure. Les préfets et préfets-en-chef étaient les seuls à pouvoir encore parcourir la place et les ruelles d'ailleurs, finissant les inspections et appelant les derniers survivants pour les localiser.

C'était gé-nial    Merci à tous pour votre participation  

C'était mon dernier post MJ dans ce sujet, mais celui-ci ne se clôture définitivement que le 20 mars. Vous pouvez donc encore poster comme des ptits fous !!!

@Flora R. Carrow et @Lionel E. Leroy merci infiniement pour votre intervention respective    Nous savons que c'est toujours un peu délicat d'arriver sur un forum et direct se mettre dans le bain d'un event et pourtant, vous l'avez fait avec brio !! J'ai donc rebondi sur vos posts (plus ou moins, je ne voulais pas que mon RP fasse 3000 mots   ) en vous incluant dans les professeurs qui font attention au bon déroulé des choses.

@Joshua Ash tu es secouru par d'abord une personne, puis ensuite une médicomage alors que @June Rosier t'ait enlevé par le préfet de sa maison pour la mettre en lieu sûr.

@Ezekiel B. Blackmore est présent au côté du @Directeur. Votre illustre professeur de potions a une vilaine morsure au cou que personne ne peut distinguer/voir/deviner.

@Les élèves : vous sortez des cachettes, des ruelles, des décombres, d'où vous voulez. Le but est de rejoindre Poudlard donc comme il y a quand même beaucoup de groupes, vous pouvez encore traîner un peu sur la place mais les préfets veillent.

Je crois que j'ai à peu prés fait le tour.
Dès le lendemain, la presse et notamment le Daily Prophet aura tenté, plus mal que bien, de retranscrire la débandade. Personne n'a su qu'il y avait un prédateur, les journalistes ont tout mis sur les révolutionnaires facho à mort (ils ont bon dos les pauvres /sbaff). De votre côté vous pouvez vous en douter, peut-être même avoir entraperçu la créature difforme quand Silas la maintenait immobile, ou pas comme vous souhaitez. Ceux qui se sont fait mordre ou ont souhaité que leur personnage se fasse mordre, vous êtes libres de garder des séquelles ou non, c'est à vous de voir.

Sur ce, la suite au prochain épisode    (le prochain event de trame sera certainement au moi de mai IRL)
Merci à tous encore une fois  

N'hésitez pas à continuer de poster jusqu'au 20 mars (c'est gratuit et vous avez 2 points de RP en plus par post alors...   )