Chère Gillian,

Ce parchemin va certainement paraitre étrange mais je vous demande de bien le lire jusque là fin. J'espère que la curiosité vous guidera tout du long et que vous ne me verrez pas comme quelqu'un de présomptueux. Si ma maison à Poudlard n'a pas été celle du courage, j'en ai suffisamment visiblement tout de même pour écrire cette lettre. Quoi que, peut-être est-ce mon ambition à vous connaitre qui me pousse à remplir ce parchemin de lignes (inutiles pour l'instant), un trait de caractère qui pour le coup, caractérise bien les membres de mon ancienne maison.

Je m'excuse de cette divagation et je ne tournerai plus autour du pot. Mon prénom ne te dira rien pour l'instant. Mais je me rappelle avoir voulu l'écrire plus d'une fois sur un bureau d'arithmancie lors de ma 7ème année, après de nombreuses gravures que l'on échangeait dessus. [Je m'excuse pour ce passage au tutoiement soudain mais la fougue de ma jeunesse semble revenir à l'idée d'écrire ces lignes et je préfère rester sur ça plutôt que de corriger une erreur qui venait semble-t-il d'une lointaine affection. J'avoue que l'idée de retourner à mes 17ans, à l'époque ou nous échangions à travers des messages familiers, me plait, le temps d'un parchemin. Ou plus d'un si Merlin est de mon côté.]

Je me rappelle avoir écrit distraitement sur le bureau mon ennui sans vraiment le vouloir. Je l'ai caché, mal, et tu l'as vu. Et tu m'as répondu. Et la suite, à moins que tu aies été victime un sortilège d'oubliette, tu la connais. (Dans le doute, on a gravé en long, en large et en travers ce pauvre bureau durant plusieurs semaines!) Ce souvenir me fait sourire, je dois l'avouer. Tu avais piqué ma curiosité si fortement quand je me suis aperçu de ta réponse. Et par la suite,  j'aimais le culot que je lisais dans tes codes, j'avais hate de retrouver notre place pour découvrir si tu avais déchiffré ma réponse (je n'ai plus douté de tes capacités après ton 2ème message, si ça peut te rassurer) et si tu avais à ton tour répondu. Il m'était arrivé même plus d'une fois de ne pas pouvoir attendre le prochain cours dans cette salle et de passer durant une pause pour voir si tu avais d'ores-et-déjà répondu à ma curiosité. (J'ai été plusieurs fois déçu mais c'était mon impatience la coupable.)Sache que plus d'une fois, je me retenais de te demander ton identité ou me retenais de prier Merlin pour que tu me demandes la mienne. Je cherchais à esquiver ce moment comme si ça effacerait la magie que je trouvais dans notre échange. Passons, je divague et je terminerai cette remontée de souvenirs en t'avouant que, ce que je ressentais était génial et est devenu un souvenir inestimable et je t'en remercie. Mais ce message n'est pas là pour te remercier de quoi que ce soit, mais bien pour m'excuser d'avoir arrêté de répondre.

Je n'ai plus eu l'occasion et ai dû quitter Poudlard pour les vacances de noël de cette année là. 2008, si je ne m'abuse. Et je n'ai jamais pu te répondre. Ni revenir. Dire que cela m'a attristé à cette époque serait un mensonge. Je n'ai pas eu le temps de m'en inquiéter, ayant eu quelques moments de vie compliqués à ce moment-là. Mais maintenant que tout ça est derrière, que j'ai pu visiter à nouveau notre ancienne salle de classe et voir ton prénom qui avait été gravé sans retour de ma part, j'ai ressenti beaucoup de nostalgie. De la déception pour toi, et, certes, une pointe de tristesse. De ne pas t'avoir répondu. De ne jamais avoir eu l'occasion de poursuivre tout ceci, avec toute l'innocence que j'avais. Alors même si tout ça n'a pas été de mon ressort, je m'excuse de ne jamais t'avoir offert  mon prénom en retour. Ou plutôt, je m'excuse de ne pas m'être octroyé le temps pour venir vérifier plus tôt notre Bureau.

Je dois avouer que ce parchemin n'est pas là que pour de simples excuses. Je pense que j'essaye de rattraper le passé à travers celui-ci aussi. Ca peut sembler stupide. Mais le hasard m'a permis de lire ton prénom il y a quelques jours (au détour d'une visite à Poudlard), ton dernier code que je n'étais jamais censé voir alors je tente ma chance pour continuer un jeu qui m'avait plu. Ou pour rencontrer une ancienne camarade de jeu, avec qui j'ai adoré passer du temps. D'ailleurs, j'ai peut-être été un poil (ou beaucoup) tête à claque voire taquin dans mes messages et je me trouve bien ridicule désormais, en repensant à certains. (Je n'ai pas eu le temps de tout relire. Je dois avouer avoir cherché ta dernière réponse comme un voleur avant de vite m'enfuir sans ressasser plus que ça nos échanges.) J'espère ne pas t'avoir bousculé à travers notre discussion et je prie Merlin pour t'avoir fait ressentir autant de sentiments positifs que ce que j'ai ressenti grâce à tes messages.

Déchiffrer ton prénom n'a pas été une mince affaire. Déchiffrer de simples mots ne l'était pas de base, alors un prénom... Mais un vieux trombinoscope m'a mis sur ta voie et mon cerveau semble être certain de la bonne destination de ce parchemin.

Si cette tentative te semble trop audacieuse, je m'en excuse d'avance. Ce n'est pas ce que je cherche. Mes souhaits ont été expliqués avec la plus grande honnêteté à travers les lignes précédentes et j'espère de tout coeur que tu rejoindras cette nouvelle aire de jeu qui nous tend les bras. Je ne disparaitrai pas cette fois. J'imagine que ces quelques mots ne peuvent pas avoir grand chose de réconfortant (outre le fait que je ne sois qu'un inconnu au final pour toi) mais j'avais besoin de l'écrire.

J'espère que ces années qui ont passé t'ont été prolifiques et que tu as la vie que tu souhaites. Je te souhaite tout le bonheur qui puisse exister et espère de tout coeur lire un futur parchemin de ta part. Si l'envie de me répondre ne te prends pas, ou que ta réponse ne sera que négative face à tout ça, sache que je le comprendrai. Pour ma part, j'avais juste besoin de faire s'envoler un regret, au minimum. Quand au maximum, c'est à toi de me l'offrir si tel est ton choix.

Je sais que je ne t'ai pas encore donné mon prénom au final. Mais je me disais que, te répondre sur notre bureau aurait une plus belle signification. Un gout de défi, d'impatience, à l'idée de découvrir une réponse que tu attendais depuis des années. Comme dit, décoder un prénom est difficile et je ne peux que te conseiller à toi aussi l'usage d'un trombinoscope. Mais je ne doute pas que le petit génie de 5ème année qui arrivait à suivre les délires d'un 7ème année (aussi illuminé que moi), puisse trouver la réponse de cette énigme bien plus facilement que moi. Dans le cas ou le jeu ne t'intéresse plus et que seule la réponse t'est égale, tu la trouveras sur le pied droit de la table.

En ne te souhaitant que de belles choses pour la suite, quoi qu'il arrive,

2.

P.S.: Si l'envie d'une réponse te prends, sache que ce hibou restera quelques jours dans les environs pour me la rapporter. Ça sera plus simple pour nous. En n'espérant ne pas te mettre la pression. Si tu as besoin d'un eu plus de temps, le garder près de toi avec quelques croquettes ne sera pas difficile.

Chère Gillian

Pour répondre à votre post-scriptum, disons que j'ai écrit cette formule de politesse pour la 4ème fois alors que ça n'est que ma 2ème lettre à votre intention. Il semble que les parchemins soient les lieux favoris de déglutis de ce hibou.

Concernant la politesse, je me retourne donc au vouvoiement. Si cela peut vous déplaire au final, vous n'aurez qu'à lancer un Revelio sur ce parchemin pour retourner à une forme plus intime d'écriture.

Étrange est souvent un terme que l'on utilise à mon égard. De manière péjorative ou pas, cela dépend des situations et des personnes. Mais découvrir que c'est ainsi que vous ressentez toute la situation (bien que cela ne me soit pas étonnant) m'attriste pour vous et j'espère que ce sentiment (s'il est dépréciatif) saura vite disparaitre. Je prône moi-même la prudence dans la vie de tous les jours, ce qui me fait penser que la vôtre est tout à fait légitime et que je la comprends également. Je dois bien avouer suite à une relecture de mes lignes de mémoire, après l'envoi de la 1ère lettre, que je me suis trouvé bien audacieux au final et me suis demandé si pareil courriel méritait une réponse. En découvrant cette dernière, je ne peux que me sentir redevable de son existence.

Alors, mon absence de réponse a causé bien plus de dégâts que je ne l'avais imaginé et je découvre un peu plus l'ingratitude de l'adolescence -dont j'ai assez bien échappé je suppose par rapport à certains. Je suis heureux quelque part de pouvoir démentir la version que vous avez vécue même si cela ne doit rien représenter après tant d'années, surtout chez une adolescente qui semble-t-il manquait de confiance de ce que je peux lire.

Pour ma part, je ne sais pas vraiment ce que j'attendais de vous mis à part la poursuite de notre échange à vrai dire. Homme ou femme, vélane ou troll, tant que la plume et la jugeote étaient de mise, j'adhérais volontiers à cet échange particulier sans chercher quoi de plus. Le physique est une banalité pour ma part dont je n'ai jamais tenu compte étant donné que je n'ai jamais pu adhérer au sentiment d'amour, au concept de couple ou à tout code d'attirance physique malgré toutes les bonnes choses que cela semble entrainer. Il est cependant dit que l'amour ne prend pas en compte la beauté ou plutôt qu'il rend magnifique chaque chose chez l'autre. Séduisante ou non, je suis sûr que si mon coeur me l'avait permis, vous auriez su séduire l'adolescent ennuyé que j'étais. Quelque part, je devais l'être, je pense, séduit, pour entretenir un échange aussi longuement sur le temps. Vous m'avez tenu en haleine comme on a rarement su faire. C'est peut-être là ma version d'adolescent -pardonnez moi je reprends cette formule qui m'a faite sourire -qui se rapproche le plus d'un enfant normal au bout de coeur titillé. La seule chose que j'attendais de vous, pour ma part, était de me joindre dans mes évasions. Toute votre beauté était là, présente à travers vos mots. C'est sûrement la seule somptuosité que j'espérais de vous à chaque échange et vous n'y avez jamais manqué. Mais je m'égare. Pour revenir au plus important : je ne vous ai jamais identifié et jamais mon intérêt ne se serait envolé à votre vue. Cela peut sembler facile à annoncer, ainsi, plus d'une décennie plus tard, j'imagine mais je n'ai aucun doute sur cela. Libre à vous bien sûr de croire l'initiale que je suis à vos yeux.
Pour ma part, je ne sais pas vraiment ce que j'attendais de vous mis à part la poursuite de notre échange à vrai dire. Homme ou femme, vélane ou troll, tant que la plume et la jugeote étaient de mise, j'adhérais volontiers à cet échange particulier sans chercher quoi de plus. Le physique est une banalité pour ma part dont je n'ai jamais tenu compte étant donné que je n'ai jamais pu adhérer au sentiment d'amour, au concept de couple ou à tout code d'attirance physique malgré toutes les bonnes choses que cela semble entrainer. Il est cependant dit que l'amour ne prend pas en compte la beauté ou plutôt qu'il rend magnifique chaque chose chez l'autre. Séduisante ou non, je suis sûr que si mon cœur me l'avait permis, vous auriez su séduire l'adolescent ennuyé que j'étais. Quelque part, je devais l'être, je pense, séduit, pour entretenir un échange aussi longuement sur le temps. Vous m'avez tenu en haleine comme on a rarement su faire. C'est peut-être là ma version d'adolescent -pardonnez moi je reprends cette formule qui m'a faite sourire -qui se rapproche le plus d'un enfant normal au bout de cœur titillé. La seule chose que j'attendais de vous, pour ma part, était de me joindre dans mes évasions. Toute votre beauté était là, présente à travers vos mots. C'est sûrement la seule somptuosité que j'espérais de vous à chaque échange et vous n'y avez jamais manqué. Mais je m'égare. Pour revenir au plus important : je ne vous ai jamais identifié et jamais mon intérêt ne se serait envolé à votre vue. Cela peut sembler facile à annoncer, ainsi, plus d'une décennie plus tard, je suppose mais je n'ai aucun doute sur cela. Libre à vous bien sûr de croire l'initiale que je suis à vos yeux.

'Sûr de moi et ténébreux', donc. Je peux valider le premier adjectif -j'ai toujours eu un excès de zêle ce qui n'est pas forcément une bonne chose, surtout si jeune- ... Quant au 2ème... Oui, il est valable. Avec la noirceur de mes cheveux et la longueur qui retombait à cette époque devant mes yeux, cela peut offrir ce fameux air "ténébreux" connu par beaucoup de préadultes. Je décrirai pour ma part cet adolescent comme un "Je-m'en-foutiste" et débraillé. Au final, votre vision comme la mienne peuvent aller au personnage que j'étais je pense mais, tout est une histoire de point de vue ?

Je ne sais pas si j'ai plus ressenti de fierté en découvrant avoir transformé une élève sage en délinquante gravant la chaire du bois ou en découvrant votre entrainement pour cacher vos méfaits. Cela doit dépendre de l'âge mental que j'arbore en lisant ces lignes. J'avoue qu'il m'est difficile de rester stable psychiquement et donc sur ma 30ène à travers la relance de notre échange. Mais je bifurque.

Avec tout ceci, c'est étrange de découvrir l'envers d'un décor que je voyais pourtant tous les jours. Comme si nous étions sur deux plans astraux différents. Pour le coup, j'avoue me sentir dans un 3ème plan à l'heure d'aujourd'hui. D'ailleurs, j'arrête de retourner sur le passé pour l'instant et m'accorde à votre demande sur le présent. Peut-être retrouverez-vous l'adolescente que vous étiez d'ici quelques lettres ? C'est là tout ce que je vous souhaite si tel est votre envie. Elle semble être une personne fabuleuse de mon humble point de vue et la retrouver ne me semble pas une mauvaise rencontre.

Je peux dévoiler mon prénom si vous le souhaitez. Je suis mutin pour le coup mais loin d'être cachotier (tant que cela ne fait pas de moi quelqu'un d'imprudent). Vous n'avez qu'à le demander et ça sera le premier mot que j'inscrirai sur mon futur parchemin. Pour mon visage, il n'y a rien d'intéressant à en tirer. Je me pense plus intéressant à lire qu'à observer. Ca n'est pas vraiment de la timidité, plus une absence d'intérêt à mes yeux. Cela vous dérange-t-il ?

Vous concernant, ce que je sais sur vous... Un ami étant dans le personnel de Poudlard et après avoir fait le lien entre votre prénom et quelques discussions hasardeuses échangées avec lui par le passé, j'ai pu comprendre que vous étiez la nouvelle professeure d'Arithmancie. Je connais donc votre identité complète ainsi que votre âge (après un savant calcul m'ayant demandé un peu de lecture dans les cartes). En savoir plus sur votre identité ne me semble d'aucune utilité, tout comme votre nom au final même si ça peut vous être effrayant. Je n'en ferai rien si cela peut vous aider à vous rassurer même si ça n'est là qu'une tentative d'apaisement de la part d'un inconnu ce qui n'est équivalant à... pas grand-chose. Aussi, que cela soit rassurant ou pas, sachez que pour rien au monde je ne me servirai de mon ami pour en apprendre davantage sur vous. Tout simplement parce que vous découvrir à travers la vision d'un autre ne m'intéresse pas. Car même si je retrouve aisément de la pudeur adolescentesque dans notre échange, ça me plait à la recroiser et à repartir sur cette voie là.

Peut-être parce que j'ai toujours aimé les mystères et les enquêtes en règle générale. Et que votre manière de vous dévoiler -ou non, justement- me pousse à ne pas vouloir enquêter par un autre biais que le vôtre. Je m'avance peurt-être en pensant qu'enquêter est aussi une chose que vous appréciez ? Je pense ce trait immuable pour toute personne aimant l'Arithmancie. Cette soif de savoir, cette envie de décrypter un langage qui ne nous est pas maternel et qui nous permettrait de dialoguer avec une personne ne partageant pas forcément la même langue. Ou la même vision d'adolescence, pour notre cas. Ou la même vision tout court, encore. Je ne nous sens toujours pas sur la même longueur d'onde -et j'imagine nos vies assez différentes, sans apporter un quelconque jugement sur la votre- et certainement ne nous parlerions-nous pas sans Tripoli et son Alphabet. Désirez-vous un exemple sur lequel nous ne sommes pas d'accord ? Votre politesse. Je ne trouve pas triste la forme de courtoisie que vous offrez à votre meilleur ami. Au contraire. C'est la retenue de votre plume et de vos pensées qui -personnellement- m'a donné l'envie de vous écrire et de découvrir ce qu'était devenue la jeune fille d'autrefois. La Retenue, c'est très probablement le genre de beauté qui m'attire chez l'Autre et qui fait naitre de l'intérêt en moi. Rien n'est offert, il faut découvrir, gratter, s'adapter pour avoir des résultats. Vous êtes intrigante comme autre fois, si ça n'est plus et je me plais à lancer encore et encore un sortilège de rallongement à mon parchemin pour espérer augmenter la longueur de votre réponse. Peut-être qu'en vous faisant graver toujours plus de lignes, je pourrais encore lire davantage entre et apprendre toujours plus de nouvelles choses sur vous. Outre ce que vous m'offrez librement à découvrir. J'avoue d'ores-et-déjà mon crime, oui. Bien que ce que vous m'offrez m'aide à imaginer un nez penché et perturbé par des lunettes glissantes de l'arête à vos ailes, ma curiosité me pousse à tenter de vils stratagèmes pour avoir plus que ceci.

Pour finir cette lettre, je dois avouer que si votre prédécesseuse m'a laissée d'agréables souvenirs, j'ai grand hâte de poursuivre la découverte de l'adulte qu'elle est devenue. J'avoue que tout ceci m'a offert un je-ne-sais-quoi d'agréable à ressentir. Il y a longtemps que la chaire de mon index n'avait pas autant fusionné avec le calamus de ma plume et cela a quelque chose d'excitant. Toujours est-il que, malgré tout, chacun de ces mots saura respecter l'absence de réponse si tel est votre choix. Bien que de nature confiante dans la vie, je n'exclus pas la menace d'un arrêt de réponse : je reste réaliste (cela peut être prétentieux quand on se dit sûr de soi je suppose?) face à cette correspondance étrange.

En attendant et quoi qu'il arrive, je ne vous souhaite que le meilleur et à très bientôt j'ose espérer.

P.S.: voici un indice pour reprendre un aspect ludique dans nos échange, au cas ou vous ne souhaitez pas céder à la facilité pour mon prénom : mon initiale est une voisine de lettre de Tripoli.