Mortifier. Toshiro était mortifié devant son professeur de métamorphose. Ses yeux sortirent littéralement de leurs orbites quand il réalisa. Il venait de très mal s’adresser à un professeur. Bien qu’il connût bien le professeur Knightley et que celui-ci était toujours en troublant jeux de mots et plaisanterie, Toshiro se retrouva comme un idiot. Il fallait aussi dire que l’anglais n’étant pas sa langue maternelle, il avait du mal à tout comprendre, et sur tout à comprendre les logiques de blague étrange des Européens, voir encore plus des Britanniques. Le choque des cultures était totale. Il avait du mal à suivre le joyeux professeur dans ses divagations, mais il comprenait qu’il n’était pas totalement dans de sale draps, ce qui était positif, vu qu’il venait déjà de ce faire rappeler a l’ordre par un professeur. Le professeur Knightley avait quand même sa cravate sur la tête, Toshiro ne savait jamais si son professeur s’amuser où était un peu fou. Blême, il se courba automatiquement en ce fondant d’excuse.

« Professeur ! Je suis désolé, je n’ai pas… » Mais l’homme lui rendit sa cravate sans plus d’histoire. Simplement un jeu de mots qui, pour le shinobi, fut compliqué à comprendre. Cela-lui suffis pour se redresser et sourire aux rires du Britannique. C’était vraiment un étrange sorcier, mais Toshiro adoré son professeur de métamorphose. Bien différent des tortionnaires qu’il avait eux aux Japon, mais ça, c’était une autre histoire.

« Oh, et sachez que votre performance de danseur est comme votre don pour la Métamorphose : excellent. » Le Poufsouffle bomba alors le torse avec le plus grand des sourires, plus que fière du double compliment du professeur. Il ne comprenait pas toujours les subtilités des doubles sens, mais cette fois-ci étrangement, cela n’échappa pas au garçon.

« Merci Professeur ! » Il serait bien resté avec lui, mais il avait une veste a retrouvé où sa majesté Miyoung lui ferait payer d’une façon ou d’une autre.

« A plus tard Professeur Knightley, amusez-vous bien. » Dit-il avant de s’éloigner encore le sourire aux lèvres. Le garçon chercha des yeux sa veste dans la foule, cravate en mains, la chemise toujours ouverte. Il n’avait pas pris sa baguette, cela aurait étais bien utile, c’était une erreur, mais il n’avait pas pensé en avoir besoin, puis ce pantalon était un peu trop serré pour y cacher un objet en bois, long et pointu…
 Enfin, il aperçu la veste sur les épaules d’une jeune fille. Voilas qui aller être encore gênant. Cela dit Toshiro connaissait que très peu l’embarras, seulement quand il s’agissait d’autorité supérieur. Pour le reste Toshiro n’avait pas conscience réelle du bien ou du mal, d’où le fait qu’il était encore à moitié torse nue au milieu des autres danseurs. Approchant de la fille il fini par la reconnaitre et son sourire ne fit que grandir.

« Où l’avais vous trouvez ? » Miyoung leva les yeux au ciel et montra sa baguette à son cher animal de compagnie.

« Accio, tu connais ? Un sort plutôt pratique. » Elle se moquait de lui, mais il ne fit que rire en récupérant sa veste et l’enfilant.

« Merci majesté. » Dit-il dans une révérence. À son tour de se moquer. Bien sur Miyoung n’en perdit pas une miette, le sourire en coin.

« Vraiment ? Est-ce une façon de se tenir devant une princesse ? Les tétons à l’air ? Je ne suis pas certaine. » Elle jouait le même jeu que lui et ça l'amuse beaucoup. Il ria, avant d’essayer de boutonner ça chemise. Que fut sa surprise quand il s’aperçut que ses boutons avait mystérieusement disparu. Perplexe et sur tout navré de n’avoir vraiment pas pris soin du beau costume que son éminence lui avait fait faire tailler, il fit la moue.

« Les boutons on sautée. » La princesse, s’en rendit compte par elle-même et soupira devenant légèrement agacer par cette avalanche de pitrerie. Ni l’un, ni l’autre ne savaient que ce n’était pas totalement de la faute du Poufsouffle. Tout penaud il se fit trainer par Miyoung loin de la piste. Elle les plaça proche d’une table, et puis sous les yeux de son soi-disant, shinobi, elle se mit à faire Accio, sur Accio, pour récupérer les boutons. Une fois fait-elle les donna au garçon, qui ne faisait plu que cligner des yeux, acteur de sa propre vie. Il n’osait sur tout pas pousser la patience de sa cavalière.

« Tu recoudra tes boutons toi-même, sans enchanter une aiguille, ça t’apprendra à prendre soin de tes affaires. Toshiro-shi aaah… qu’est-ce que je vais faire de toi. » Elle lui avait mis les boutons dans la poche intérieure de sa veste, puis elle c’était mise a fermé celle-ci, qui elle, avait toujours ses boutons. Toshiro n’osa pas dire qu’il allait avoir chaud s’il resté comme ça, visiblement il avait atteint le maximum de son cota de plaisanterie avec sa maitresse.

« Il vaut mieux que tu reste loin de la piste de danse, ça te met dans tout tes états. Je reviens, tâche de ne plu perdre tes vêtements, où la prochaine fois les professeurs nous retirerons des points pour indécence en publique. 아, 그리고 흥분으로 뷔페에서 과자를 피하십시오. 설탕으로 당신은 모든 사람 앞에서 변형되어 조금 진정 될 것입니다. » (Oh et, évite aussi les sucreries du buffet, vu ton excitation, avec du sucre tu vas finir par te transformer devant tout le monde, calme toi un peut.)

Tapotant son torse gentiment, elle fini par lui sourire, puis lui embrassa la joue avant de le quitter pour retourner avec ses amis.

Le garçon se passa une main dans ses cheveux transpirant. Il chercha du regard sa seconde maitresse. Il ne l’aperçus pas sur sa chaise, mais au buffet, et visiblement dans une bien délicate situation. Alors il s’avancent a traversé la foule pour la rejoindre. Dans sa hâte Toshiro rentra dans quelqu’un. Encore une fois. Quand il s'aperçut que c’était June il souri comme un fou.

« Oh, June ! Je suis désolé, c'est difficile de circuler ici. Je ne tes pas fait mal au moins ? » Il leva les yeux vers le garçon qui l’accompagner et fut surpris de reconnaitre le champion Français.

« Vous êtes amis ? Enchanter, je m'appelle Toshiro Shintake. » dit-il poliment en saluant le garçon.

« Je ne vous serre pas la main, j’ai dansé comme un fou, je suis trempé. » ri a-t-il. Ses yeux se posèrent à nouveau sur la jeune fille, qui avait l’air beaucoup moins joyeuse que dans son souvenir.

« Vous passez une bonne soirée ? Je n’avais jamais danser comme ça avant, c’est très amusant. » Il était si naïf sur sa découverte du monde, cela pouvait être étrange pour les autres, mais pour lui c’était extraordinaire.

Résumé HRP : Toto re-merci le professeur Kenny, bien qu'il ne comprennent pas toute les subtilités de ses jeux de mots. Puis si au début Miyoung trouvé son strip-tease amusant elle fini par en avoir assez vu qu'il a carrément abimer sa chemise (bien que ça ne soi pas lui le coupable fufufu) et lui interdit de dansé. Il part donc en direction de Maze, mais en chemin, rentre dans June, il s'arrête alors pour faire la conversation, heureux d'avoir trouvé une amie, et ce présente a Camille.

June avait noué ses doigts aux plis de sa robe. Elle tentait de contenir sa nervosité en fixant le sol. Elle avait peur d'avoir été trop loin dans ses propos avec Joshua, et peut-être même que cela avait ennuyé le français.
Qui s'intéressait aux histoires de coeur d'une idiote?

En d'autres circonstances, elle se serait surement montrée plus chaleureuse envers son interlocuteur, mais là, face à l'inédit de la situation, la jeune sorcière avait juste envie de rentrer se coucher.
Son regard balayait à présent le sol à la recherche d'un point ou s'y accrocher. Il n'y avait rien, mis à part quelques pétales de fleurs, des miettes de petits fours et une pair de chaussures rouges.
C'était étranges de les avoir abandonnées ainsi et peut-être l'aurait-elle fait elle-même, si elle avait dansé comme ses camarades. Ils semblaient tous bien s'amuser, même O'brien...
Le coeur légèrement lourd, June soupira.
Elle se demandait si elle n'allait pas tout simplement s'excuser auprès de Camille et regagner le dortoir de gryffondor, lorsqu'elle vit Azael assis tout seul à une table.
Elle s'étonnait que le serpentard ne soit pas accompagné.
Il avait un certain style, une présence, pour sûr qu'il avait dû recevoir des invitations. Alors pourquoi était-il seul?

Plus pâle que d'habitude, il éveilla sa curiosité qui la motiva à chercher une raison à son mal être.
Peut-être était-ce encore une de ces substances moldu qu'il ingurgitait?
Elle ne l'avait jamais vu faire personnellement, mais au club des glandeurs c'était ce qu'il s'était discrètement dit. Ou bien était-ce autres choses?
Après tout, Joshua aussi était malade.
Elle pensait détourner son regard vers le gryffondor, quand elle remarqua la main d'Azael. instinctivement ses doigts s'étaient posés sur sa cuisse, cherchant alors sa baguette qui n'y était pas.
June s'était renfrognée après avoir soupiré.
Un simple sort de soin aurait suffi mais sans baguette, il fallait trouver autre chose.
Interrompue dans ses pensées, elle vit débouler O'brien qui, la bouche pleine, venait de salir sa réputation.

« Toujours » s'était-elle contentée de grincer des dents, avant de frapper son estomac du dos de la main et de tourner les talons.

Elle avait saisi au passage une serviette sur la table du buffet, avant de se diriger droit vers Azael, en abandonnant sans regret derrière elle Camille et O'brien.
Les yeux perdus dans le vide, le serpentard ne la remarqua qu'au dernier moment, celui où elle attrapa sa main pour lui fourrer la serviette de-dans.
Dans un regard noir, elle sondait maintenant ce regard vitreux qui lui faisait face, constatant d'étrange similitudes avec ceux de Joshua. Elle n'avait pas peur de lui, bien au contraire... Mais elle ne comptait pas non plus lui faire la morale. Pas ce soir en tout cas.
Elle finit par se reculer, sans un mot et elle se retourna pour gagner la table de son petit ami.
Le poing enfoncé dans la hanche, elle l'observa un moment avant de lui annoncer froidement.

« J'en ai marre, je vais me coucher. »

résumé:

Maze était mortifié. La personne qu’elle avait aspergé était enfaîte, les personnes. Quand elle réalisa qui elle venait de couvrir de punch à la cerise, son visage devin rouge de honte. La bouche bloquai dans un parfait rond, les yeux grands ouverts. Si Merlin pouvais l’entendre elle voulait bien qu’il la fasse disparaitre maintenant, une mort subite, ou même une combustion spontanée, ça lui était égale comment, mais le plus vite possible serait bienvenue.

« Pro… professeur Kama, Professeur Kim, je… Je suis navré. » parvint-elle à dire, s’excusant à nouveau.

Comme la vie n’étais jamais simple, elle n’avait pas arrosé un, mais deux professeurs en un seul coup. Très belle performance, il fallait le reconnaitre. Cependant pour l’heure, Maze n’avait nul envi de réalisé son exploit. Bien-sur elle n’avait pas pris sa baguette, ne trouvant pas utile pour un bal de s’en encombré. Elle qui avait évité Sunhee comme Merlin, Morgan, elle se retrouvait dans la pire des situations. Quelque part dans son malheur il y avait une part de chance, si on pouvait dire. En ayant craché également sur le professeur de vol, sa soudaine perte totale de motricité et de fonction mental pouvais être justifié par le fait que c’étaient deux professeurs. Non simplement par ce qu’elle ce retrouvé devant Sunhee, la robe tachée d’un mélange de cracher, d’alcool et de cerise.

Les yeux de l’héritière glissèrent un peu plus longtemps que nécessaire sur le professeur d’étude des moldus. Plus de temps qu’il en fallait pour inspecter les dommages, c’était certain. Avalant difficilement la salive qui venait en abondance, elle se força a détourné les yeux et regarda le Professeur de vol. « Je… je… » C’était rare de voir la jeune étudiante perdre ses mots, et pourtant à cet instant elle était incapable d’en aligner plusieurs. « Je dois y aller. » Dit-elle soudain avant de fuir. Son plan de retraite n’était pas le plus excellent par ce que malgré tout ses efforts elle ne pouvait pas aller bien vite, mais au moins elle ne se retourna pas avant d’être certaine d’être en sécurité. Loin des yeux, du parfum et de la robe de Sunhee. Même avec l’odeur du punch et du Whisky il lui aurait était impossible de ne pas le sentir. Malédiction, son cœur en battait à en sortir de sa poitrine. Elle avait soudain si chaud que ces mains étaient devenue moites.

La championne se rendit compte qu’elle avait toujours son verre de punch à moitié plein dans la main, bien qu’une grande partie soit tomber en chemin. Elle jura entre ses dents en se rendant compte que sa main coller à cause du liquide sucré qui avait débordé durant ça traversé de salle. Elle fini d’une traite son verre, étant préparé cette fois, elle pu apprécier la brulure de l’alcool a sa juste valeur. Elle posa son verre sur une table, essuyant au passage sa main sur la nappe, ayant que faire du genre que cela lui donner. Sa main collait toujours, quel misérable vie elle vivait. Avec l’affreuse chaleur elle décida de retirer sa cape, elle n’en pouvait plu de tenir ici. Enfaite elle ne savait même pas pourquoi elle restait. Après tout elle était venue seule, elle ne froisserait personne si elle disparaissait. Personne sauf peu être, le professeur Londubat qu’elle vit du coin de l'œil lui sourire. Maze soupira profondément, défaisant également sa veste. Il faisait vraiment chaleur a crevé. Collante en plus maintenant, elle se sentait incroyablement sale, elle avait envie de prendre une douche, le plus vite possible.

Finalement elle s’assit sur la chaise a coté de celle où elle avait mis ses affaires, elle chercha des yeux sa petite sœur puis se ravisa, n’ayant aucune envie de croisé à nouveau la présence de son professeur « favoris ». D'un autre coter, au plus profond d'elle, elle avait envie de la retrouvé dans la foule, juste pour savoir. Il lui semblait que Sunhee avait passer toute sa soirée avec le professeur Kama et Maze ressentait cette drôle de chose. La colère, la détresse, elle était furieusement jalouse. Ne vous méprenez pas, l'héritière savait qu'elle n'avait aucun droit de l'être, probablement aucune raison non plu. Sunhee avait des amis, Maze était heureuse qu'elle ne soit plu seule comme à Mahoutokoro, mais elle avait peur. Une peur irrationnel, par ce que finalement elle l'avait déjà perdu et tans que la née-moldu était heureuse c'était tout ce qui compter, n'est-ce pas ? N'est-ce pas ? De plus Maze apprécier énormément le professeur de vol, alors, elle ressentait d'autant plus une certaine trahison. Quand quelqu’un s’assit sur la place libre à sa droite, elle leva les yeux au plafond et supplia Merlin d’abrégé ses souffrances. « Achevez-moi. »

Résumé HRP : Donc Maze à cracher son punch sur le prof de vol, Keyah et le prof d'étude des moldus, Sunhee. Mortifier elle reste planter avant de fuir à l'autre bout de la salle. Elle est assise en ruminant sa vie et ce posant beaucoup trop de question jusqu'à ce que quelqu'un prenne la place a coté d'elle.... fufufu /o

Bal du Printemps

ft. everyone

« Le buffet avant tout !  »

Un petit déhanché à droite, un autre à gauche, un petit bond, les bras remuant dans tous les sens, la petite rousse donnait son meilleur show. Elle éclatait de rire en voyant O’brien danser, lui au moins savait s’amuser ! Personne à part eux n’osait se lâcher comme ça, pourtant ils devraient essayer, ça les décoincerait, surtout le garçon qui était venu les juger en passant, Sacha n’avait pas trop compris ce qu’il avait dit mais elle n’avait pas pu s’empêcher de remarquer qu’il avait l’air constipé, surtout avec son teint de cadavre.

Elle l’avait regardé s’éloigner, sans pour autant arrêter sa magnifique danse, cependant en tournant la tête elle manqua de perdre l’équilibre en tombant nez à nez avec O’brien, depuis quand c’était-il autant rapproché ? Il semblait autant surpris qu’elle, mais elle lui rendu son sourire et remua le nez par reflex quand il lui pinça. Elle éclata de rire quand il commença à lui tourner autour en remuant les bras et dû se reprendre un peu quand la main de son camarade se présenta devant elle. Voyant qu’il jouait au prince, elle rentra dans le délire et attrapa un coin de sa robe pour faire une petite révérence. Elle éclata de rire quand il attrapa sa main et la fit tourner sur elle-même, elle manqua de perdre l’équilibre, n’étant pas une très bonne danseuse. Elle put cependant se rattraper à William quand il la réceptionna pour l’attirer dans un autre type de danse, qu’elle ne connaissait pas mais elle se contenta de recopier son camarade, toujours aussi amusée.

Elle suivait ses pas, se laissait guider dans la foule, elle n’avait aucune difficulté à passer sous les bras des autres danseurs, arrivant en général naturellement à cette hauteur, en revanche voir O’brien se baisser pour passer la faisait rire. Son sourire pourtant disparu le temps d’un instant quand elle aperçu au loin la proximité de Kenneth avec la championne de Poudlard, elle sentit son cœur se serrer mais fut entraînée par O’brien de nouveau.

Elle avait le regard un peu perdu, mais forçait un sourire pour ne pas blesser son partenaire de danse, quand il se pencha vers elle pour lui parler d’avenir, elle cligna des yeux et afficha une expression d’incompréhension.

« Il fait parti du club de divination lui ? » Pensa-t-elle, n’étant pas une grande fan de la divination, elle préférait vivre le présent sans connaître le futur.

Elle plissa des yeux quand O’brien la dévisagea, il avait un regard bizarre et se la jouait grand sage, qu’est-ce qu’il lui prenait d’un coup ? Sacha n’eut pas vraiment le temps de plus réfléchir, le Gryffondor la fit de nouveau tourner, ce qui la fit sourire sur le coup, cependant elle le perdu rapidement quand elle sentit qu’il l’avait lâché et qu’elle venait de rentrer dans quelqu’un.

Elle commença à ouvrir la bouche dans le but de s’excuser auprès de la personne, relevant un peu la tête, mais elle reconnu le rire de la personne et releva d’un coup le regard pour croiser celui de son professeur de métamorphose. Elle ne bougea plus, comme si quelqu’un venait de lui lancer un Pétrificus. Elle se sentait rougir violemment, son cœur remuait plus qu’elle précédemment et quand elle aperçu un papillon apparaître devant son nez, elle profita du fait que Knightley venait de lever les yeux pour l’attraper dans sa main, l’air de rien. Elle ne comprenait pas pourquoi son corps et sa magie réagissait comme ça à chaque fois, elle imaginait même qu’elle subissait un mauvais sort de la part de quelqu’un. Quelle gêne, elle aurait aimé juste disparaître à ce moment, même si au fond d’elle, elle appréciait être près de Kenneth.

« Je..Euh.. Excusez-moi professeur… » Arriva-t-elle à baragouiner, fuyant son regard, afin d’éviter une autre apparition non voulue. Elle comptait fuir, mais à la place le professeur lui proposa de l’emmener à l’écart prendre l’air et elle n’eut pas le temps de prendre la fuite, car celui-ci déposa sa main sur son épaule pour l’attirer vers la sortie.

SA MAIN. SUR SON ÉPAULE. C’était clairement un Pétrificus Totalus cette fois, la jeune fille se tendue en rougissant d’autant plus, elle pensait à ne pas macher bizarrement, ne pas paraître bizarre tout court mais elle avait l’impression d’être tout le contraire ! Elle osa tout de même un regard vers Kenneth et quand elle vit qu’il la regardait en souriant, elle retourna la tête tellement vite qu’elle pensa sur le coup s’être déboité le cou. Le pire, c’était qu’un nouveau papillon était devant ses yeux et jamais elle n’avait été autant rapide pour attraper quelque chose. Si elle avait ce talent pendant les tournois de Quidditch, les Poufsouffle seraient toujours vainqueurs ! Ne sachant où cacher le papillon, elle le mit dans sa bouche, se disant qu’il disparaîtrait.

Elle retira la main de devant sa bouche, ne sachant pas que ses bouches luisaient à cause de la lueur du papillon, elle croisa du regard l’amuse-bouche que Kenneth lui tendait, elle releva les yeux vers lui, visiblement touchée du geste. Son odorat de loutre lui avait fait savoir que c’était ceux aux thons, ses préférés, alors il n’en fallait pas plus pour faire fondre le cœur de l’animagus. Elle allait le prendre, délicatement, la main tendue mais… CRAAAAAC.

Elle cligna des yeux, sentant un courant d’air sur sa jambe droite, elle baissa le regard vers la zone qui avait produit ce bruit. Du dessous de la fesse à ses chevilles, sa jupe venait d’être arrachée, découpée, peu importe, sa jambe se dévoilait aux yeux de tous et sous la surprise, Sacha laissa le papillon s’échapper de sa bouche. Elle grimaça, relevant les yeux d’un coup vers Kenneth. Qui avait pu faire ça ? Comme si ce n’était pas déjà la honte… Ses yeux s’emplir de larmes, elle était tellement gênée d’offrir cette vue d’elle, qu’elle sortit rapidement de la salle. Le bal ce n’était pas si amusant finalement.

(c) DΛNDELION

Résumé ::

« Professeur. » Maze baissa les yeux sur son professeur de métamorphose, qu’elle considéré personnellement, comme un fou. Encore une fois, il ne fit rien pour la dissuader de cette idée. Honnêtement, elle était dans un tel état, son cœur battant encore violemment dans sa poitrine qu’elle avait du mal à suivre toutes ses divagations. À tout moment elle demandait au premier venu de vraiment lui envoyé un sort de la mort pour en finir. Les professeurs de cette écoles avait un don pour rendre dingue leur étudiants. Certains plus que d’autres, et pas toujours de la façon dont on pouvait l’imaginer. Comme le décolleté de Miss Kim par exemple… Maze s’étouffa toute seule avec sa propre salive. Venir a ce bal fut une erreur, une des plus grosses de sa vie. Seulement le professeur Londubat l’y avait obligé, voilas une autre torture. Même le professeur de botanique était un tortionnaire sous-jacent. Poudlard était peuplé d’enseignants fourbe, il n’y avait aucun doute.

 Le mot destin la fit étrangement revenir dans la conversation. Croyait-elle au destin ? Peut-être, quelque par certaine chose ne pouvait qu’être du qu’au hasard. N’était-ce pas le principe même des prophéties ? Maze n’était pas très bonne dans ce genre de matière, alors elle ne pouvait pas vraiment dire. Son destin était écrit depuis sa naissance, par son père aussi cruel qu’il était manipulateur. Elle aurait du être a son image, une statue de glaise façonné de ses mains. Pourtant elle n’avait rien fait comme il le souhaitait. Était-ce de la rébellion ou sa nature qui ne correspondais pas à ce que son père voulait d’elle ? Nos choix, nos choix changer notre chemin. Maze écouter son professeur en acquiesçant lentement, ses yeux avait déjà retrouvé la tête blonde qui briser son cœur toujours un peu plus. Nos choix qui nous définissent. Elle l’entendait et ça résonné en elle comme une évidence. La championne en avait marre que l’on prenne des décisions pour elle. De sa naissance jusqu’à sa participation au tournoi, rien n’avait vraiment était son choix. On la pousser, lui suggéré, la manipuler pour qu’elle aie l’impression de maitrisé sa vie, et quand elle faisait un choix par elle-même, ça finissait toujours mal. Elle avait perdu son cœur, son amie d’enfance, sa jambe… sa dignité.

Maze pris une grande bouffer d’air pour éviter les larmes de lui monté aux yeux. En quelque seconde le professeur qu’elle pensé fou avait mieux lu en elle que sa propre mère en toute une vie. Il n’était peut-être pas fou, il était peut-être comme elle, mais ses mécanismes de défense était bien différent des siens. Comme transporté par les paroles de Monsieur Knightley les yeux de la jeune femme se glisser sur la foule à mesure qu’il lui parlait de rôles. Et si c’était ça le problème. Si elle n’avait plu envie de jouer ? Si c’était trop dure ? Se mettre en accord avec ses sentiments ? « Je ne peu pas. » Murmura-t-elle faiblement, il n’avait probablement pas entendu. Si elle écoutait son cœur, toute sa vie et celle de son entourage exploserait. Sur ses choix reposer le poids de vies. Sunhee, Miyoung, Toshiro, et son peuple. Finalement elle aurait bien voulu ravoir du punch, l’alcool avait au moins l’amabilité de faire oublier ses problèmes.

Quand elle senti la baguette de son professeur contre son front elle se tendit. Avoir une arme pointée sur soi n’était jamais agréable, sur tout quand on ne pouvait avoir confiance en personne. Le regard soudain assombris, river sur son professeur, elle ne se détendit que l’ors ce que de sa bouille inoffensive il lui demanda ce qu’elle voulait être. « Libre. » pensa-t-elle si fort qu’elle n’était même pas certaine de ne pas l’avoir dit à haute voix. Elle ne comprenait nullement où il voulait en venir, jusqu’à ce qu’il transforme une serviette en carte. Confuse comme n’importe qui le serait, elle regarda à nouveau l’homme, complètement perdu. Elle fini avec la carte dans les mains, regardant le professeur partir dans un clin d'œil. Maze resta sans bouger la bouche ouverte, sans voix, les joues rougie rien cas l’évocation du professeur d’étude des moldus.

Tournant la carte elle l’observa sans comprendre de quoi il s’agissait. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Qu’est-ce qu’elle devait faire de ce vieil homme penché sur sa canne et sa lumière. « L’Hermite » Maze pris légèrement ça pour une insulte, n’aimant pas l’insinuation péjorative associé à ce mot. Après que le professeur ait disparu, elle resta un long moment a contemplé ce bout de carton, sans savoir quoi en faire. Si elle avait vraiment le choix, elle traverserait cette pièce et embrasserai son professeur d’étude des moldus. Sauf qu’elle n’avait pas de choix. Déjà par ce que, se faire gifler n’était pas une option, ensuite par ce qu’elle avait déjà réussi à détruire la carrière de Sunhee dans une école, elle n’allait pas le faire dans toute celle où elle avait un poste. Puis son père saurait se venger de son indignité en « détruisant ses faiblesses une bonne fois pour toute. » comme il disait si bien. Maze rangea la carte à l’intérieur de sa veste. Il était temps de faire des choix, oui, celui de protéger les gens qui compté pour elle. Elle se mit debout, puis pris sa cape d’une main avant de prendre sa canne de l’autre et sortir lentement de la grande salle. Elle laissait derrière elle ses « rôles » car elle n’en voulait aucun. Elle voulait être elle, seulement elle, mais elle ne pouvait pas ce le permettre, pas ici, pas maintenant.

Devant l’entré, ou la sortie, c’était un peu comme on le voulait, elle se retrouva nez à nez avec un garçon, elle pensait l’avoir déjà vu dans la salle commune. Il avait l’air plus malade que si on lui avait jeté trois crache limace d’affiler. Elle aurait voulu l’aider, par principe, mais elle n’avait toujours pas sa baguette, et n’était pas non plu en état physique de le soutenir. Maze aurait pu lui demander comment il allait, mais c’était stupide. Elle détestait déjà elle-même quand les gens lui posé ce genre de question alors qu’il était évidant que non ça n’allait pas. Il ne semblait pas non plu vouloir de l’aide. Alors Maze pris la décision de retourné a sa salle commune sans rien dire. Il ne serrait de toute façon pas plus rapide qu’elle vu sa situation, si elle ne le voyait s'effondrait devant elle, elle demanderait de l’aide pour lui, ou irait récupérer sa baguette pour elle-même lui offrir un levicorpus pour le ramener dans leur salle commune. C’était la moindre des choses.

Résumé HRP : Maze se retrouve avec Kenny qu'elle écoute même si pour elle c'est un sage / fou. Elle est en pleine pensé existentiel, et prend la décision de quitter le bal. Elle croise Azaël elle veux pas le soulé donc elle lui demande rien, mais comme il von dans la même direction si il s'évanouie, elle reviendra le cherché avec sa baguette ou demandera à un autre Serpentard de le faire pour pas qu'il crève dans les couloirs comme un shlag /o

Toshiro fit la moue. June était tellement dans son monde qu’elle ne le remarqua même pas, elle ne l’avait même pas senti lui déboiter l’épaule ce qui était quand même un peu inquiétant. Toshiro avait de quoi être inquiet pour la jeune fille. Entre temps, un garçon qu’il reconnu comme le trouble-fête de Gryffondor fit son apparition, ce qui là, de façon surprenante sorti June de sa torpeur, mais elle se contenta de partir. Le shinobi était perplexe et si le français ne c’était pas adresser à lui il se serait demandé s’il n’était pas simplement transparent. Ce ne serait pas la première fois qu’on lui joue un mauvais tour. Le champion semblait tout aussi perdu et mal à l’aise que lui. Toshiro cligna plusieurs fois des yeux avant de se mettre à rire. Il ne se moquait pas du garçon, loin de là, mais la situation était si improbable qu’il trouvait ça très drôle.


« Woah, je m’excuse, c’est juste que… » Il repris sa respiration, essuya ses larmes aux bords des yeux et continua. « Je ne suis pas anglais. C’est la première fois que je viens à ce genre de soirée. » Il aurait cru que si son nom ne le trahissait pas, son accent l’aurait probablement fait, mais certaine personne était tout simplement d’une pure naïveté et c’était charmant. « Enfaite c’est la première fois que j’ai dansé, et j’ai un peu perdu le contrôle. » Toshiro souri de toutes ses dents. La soirée fut un délice pour lui. Il ne c’était jamais autant amuser. En regardant derrière lui la foule se mouvoir, il haussa les épaules. « Je pense que les britanniques son comme tout le monde, ils aiment s’amuser, oublier leur problème et prendre du bon temps. » C’était un nouveau concept pour le coréen, mais il adhéré complètement à cet idéaux. À bien y réfléchir il n’avait pas rencontré beaucoup un seul anglais avec ce fameux « flegme britannique ». Tous les gens qu’ils avaient observé étaient étrange, avec des éducations bien différentes, des égos mal placer et une étrange tendances à s'attiré des problèmes. Des adolescents en mal de trouvé leur place dans la société, des adultes confus devant leurs étudiants aux hormones en ébullitions. Pourdlard devait être une école à part pour que Camille soit autant choqué. Finalement Toshiro n’était pas le seul a les trouvé excessif. Bon, clairement le champion le rencontré à un moment où lui-même avait décidé de lâcher prise, alors il ne pouvait pas revendiquer de le comprendre.


« Peut-être que vous devriez un peu plus vous détendre, profité de la fête. » Il parlait pour tout les françai. C’étaient le moment où jamais d’extériorisé et s’amuser. Cela dit quand il jeta des regards ici et là, il voyait bien une partie de la délégation française tout à fait dans leurs éléments. Les petites robes légères de ces demoiselles étaient d’ailleurs un régal pour les yeux, mais Toshiro ce re-concentras sur le champion. Du coin de l'œil il aperçu horrifier sa maitresse cracher sur deux professeurs, il retint un rire quand il l’a vis fuir rouge de honte. Malheureusement il ne pouvait rien pour elle. « Tu sais quoi ? Tu devrait boire un coup et aller danser. On ne sait pas ce que la prochaine tâche vous réserve, c’est peut être le dernier bal de ta vie. » Dit-il très sérieux, un sourire au bord des lèvres, cachant à peine qu’il plaisanté.


Décident de prendre les choses en mains pour lui. Il plaça une main dans son dos et le poussa vers le buffet. Il pris un verre de Punch et lui en servit non sans être stoppé par le professeur Kim « Attend, Toshiro, non ! Ce Punch est piqué avec de l’alcool, nous allons le jeté. » Non sans montrer un fau choque à cette nouvelle, il passa quand même le verre au français. « Allons professeur, un peu de piment ça ne nous fera pas de mal, puis nous somme majeur. Et, comme promis je suis rhabiller. » De son beau sourire, le professeur d’étude des moldus détourna les yeux faisant mine de ne pas voir le garçon servir un deuxième verre. Il trinqua son verre avec celui du français puis bu d’une traire son punch. L’alcool était effectivement très fort dans cette boisson. Ensuite, il reposa son verre puis pris repris le Champion sous le bras pour se diriger vers des demoiselles dansant entre elle. « C’est le moment de profiter de la vie mon ami. » Il lui tapa amicalement l’épaule puis lui fit un clin d'œil allant les présenter a ces gentes demoiselles. « Bonsoir, vous connaissez le champion de Poudlard ? Il est tout seul et tout triste, ça vous direz une petite danse ? » Bien sur comme Camille avait déjà abattu son charme sur tout Poudlard, alors elles furent surprise mais ravis de les accueillir. Toshiro était pleinement satisfait, se remettant à dansé et en bonne companie, il souri a son nouveau camarade, curieux de savoir si ce qu'on disait sur les français et les femmes était vrai.

Résumé HRP : Toshi ce fait royalement ignoré par June, alors il est triste. Il est perplexe devant l'intervention d'O'brien, puis il se re-concentre sur Camille qui le fait beaucoup rire. Il décide de prendre la soirée en main pour le français, vas lui faire boire un peut de punch, ps les introduit dans un groupe de fille pour dansé /o

O’brien avait regardé June s’en aller en enfournant un petit four dans sa bouche. Il n’avait pas bien compris les raisons de son agacement. Elle était pourtant habituée à sa répartie douteuse et peut-être devait-il y voir là, une preuve flagrante que June était touchée plus profondément que d’habitude.
Il fut étonné même de la voir s’arrêter à la table du petit serpentard et encore plus, de la voir panser sa bêtise. Puis elle avait filé, encore, pour cette fois, retrouver Joshua. Là au moins pas de surprise, c’était on ne peut plus attendu.
Dans un bref haussement d’épaules et face aux regards de Joshua légèrement perplexe, il avait reporté son attention sur le buffet tout en ignorant les échanges du champion français et son nouvel ami.
Les dramas, O’brien préférait s’en tenir éloigné.

L’Irlandais avait en tête une toute autre distraction qu’il cherchait encore du regard parmi tous les plats et récipients disposés sur la table; ce fameux punch dont on lui avait tant fait miroiter les effets, était introuvable.
Se pouvait-il que les elfes de maison aient déjà fait main basse sur cette promesse d’ivresse? Rien n’était moins sûr.
Non sans une pointe de regret, O’brien s’était retourné vers la salle encore pleine. Tout le monde avait l’air de bien s’amuser, remplissant son coeur d'une profonde satisfaction. William était bien évidemment ravi lorsqu’il était acteur et faisait partie intégrante du spectacle, mais il lui arrivait aussi d’apprécier le rôle de spectateur. Le gryffondor contemplait l’ensemble de la toile d’un oeil de profane tout en soupirant d’aise.

Tandis qu’il levait sa main en guise de toast improvisé, il sentit les doigts de quelqu’un s’enrouler autour de son poignet.
D’un bref regard, il avait analysé cette soudaine opportunité et c’était décidé à y répondre avec un grand intérêt. Son sourire outrageusement grand ne faisait que donner plus de relief aux idées qui avaient traversé son esprit lorsqu’il avait croisé le regard de l’affriolante et impromptue invitée.
Elle ne manquait pas de charmes, ni d’aplomb, car dans son infinie bonté à vouloir le soustraire à son rôle passif, elle venait de brusquement le ramener dans l’action en lui indiquant d’un mouvement de tête la sortie.
Sans un mot de plus, dans une demi-hilarité, O’brien se laissa emporter par la main qui l’avait substituée au buffet, dans l’alléchante promesse qu’elle l’amènerait à festoyer de tout autres mets.

FIN du rp pour moi o/: