Sur les premières notes de musique ronde d’une mélodie douce et enjouée, les lumières s’étaient éteintes puis rallumées pour signifier qu’il était temps pour les champions de s’avancer avec leur partenaire pour ouvrir le bal. Dans la vaste salle à manger de Poudlard, redécorée pour l’occasion, tous les regards s’étaient portés vers ces trois couples qui entamaient ce début de soirée. Pour des raisons évidentes imparties au temps et à l’organisation, ce grand moment avait été exceptionnellement repoussé au printemps, rompant inévitablement avec la tradition.
Malgré cela, il ne perdait en rien de sa magie.

Dans les jeux de clair obscur des flammes vacillantes des chandelles flottantes, il suffisait de lever son regard pour y voir un ciel parsemé d’étoiles scintillantes et ainsi se perdre dans l’immensité du dôme ouvert sur l’extérieur. Tout autour, d’innombrables cascades de lierres et de fleurs s’étendaient sur les murs de pierre dans une tentaculaire profusion bucolique donnant cette saisissante impression à tout un chacun, d’avoir été transporté loin du château, dans un magnifique jardin.

Ce ne fut qu’au deuxième couplet que les étudiants élégamment vêtus et les invités se permirent d’envahir la piste de danse à leur tour, achevant cette traditionnelle ouverture en se joignant à leur champion.

Si certains avaient préféré jouir de l’opulent buffet, d’autres hésitaient encore à se lancer en repoussant ce moment en espérant que tôt ou tard la musique serait moins traditionnelle.

À l'écart de l’estrade professorale transformée en scène pour les musiciens, la délégation d’illustres mages, invités pour l’occasion, profitaient de ce calme pour parler entre eux.
Bien que l’heure n’était plus à la politique et aux pronostics sur le dénouement du tournoi, ces figures connues argumentaient encore sur divers sujets, profitant à leur manière de cette soirée pour se divertir.

Lorsque s’acheva la dernière note de la première danse, des accords plus rythmés s’élevèrent enfin en ricochant dans des tons plus graves entre les murs de la vaste salle à manger.

Survoltés, les fans des Rock Unicorns, le groupe rock le plus écouté de Grande-Bretagne, prirent d’assaut les devants de la scène pour mieux se déhancher sur leurs plus grands hits, tandis que d’autres se contentaient des lumières tamisées pour s’approprier ce moment.

Tous profitaient de l’instant, car de ce moment résulterait, à n’en point douter, d’inoubliables souvenirs.

Ceci est un RP événement, RP de Groupe sans ordre de passage.
Seuls les élèves de quatrième année (ou au dessus) peuvent venir à cet événement. Les élèves plus jeunes peuvent participer seulement s'ils ont été invités par des élèves plus âgés. !!!

Déroulement :
RP de Groupe sans ordre de passage, ce qui implique que tout étudiant suffisamment âgé, ainsi que professeur ou invité peut répondre dans l'ordre qu'il le souhaite et à la vitesse qu'ils souhaitent. Seul les doubles posts sont interdits, à l'exception des joueurs possédant des Champions PNJ, ceux-là pourront, de façon exceptionnelle, faire un double post, pour jouer une fois leur personnage puis une fois leur PNJ s'ils en ont le besoin.

Pour les Champions :
Comme suggéré par le Choixpeau vous avez inauguré le bal par la première danse traditionnelle. Il vous incombe de l'expliquer dans votre premier post de façon plus ou moins décrite, comme bon vous semble.

Pour le public :
La danse bat son plein, le buffet est foisonnant, les chaises libres pour les plus timides et la musique est bonne, alors amusez vous ! 8D

L'événement se termine le 30/05 à 12H00 (heure française).

Enjoy !

« Bonsoir, Professeur. » « Ah Miss Park, puisse que vous n’êtes pas accompagnez, vous rentrerez après les champions de Beauxbâtons et Durmstrang. Je vous ferez signe et vous irez vous assoir. » Maze accepta son sort, retenant un soupir face au regard désolé que lui offrait le sous directeur de Poudlard. Ils avaient longtemps discuté de cette situation et avaient conclu que la solution la plus simple serait celle-ci. Enfaite Maze avait passé plusieurs heures dans l’infirmerie à écouter le professeur Londubat, son directeur de maison, le responsable médical de l’école, ainsi que le Médicomage charger de sa rééducation, débattent de si oui ou non elle pourrait participer à l’ouverture du bal comme le voulait la coutume. Il n’y avait rien d’amusant à ce que l’on parle de vous comme si vous n’étiez pas là, et très clairement l’héritière n’avait aucun avis à donner. Il lui arrivait très rarement qu’on la remette a sa place d’adolescente devant obéir a l’autorité des adultes autour d’elle, et ça ne fut pas un moment agréable. Assise sur un lit de l’infirmerie elle avait attendu que le moment passe en fixant ses pieds. Les médicaux refuser catégoriquement de lui imposé quelconque activité physique non nécessaire a sa rééducation en attendant la prochaine épreuve. Le risque d’aggraver sa situation et reculer ses progrès pour une simple histoire de protocole n’étais pas un argument suffisant pour les deux médicaux. Son directeur de maison semblait ne même pas savoir ce qu’il faisait là. Quant au professeur Londubat c’était celui qui était le plus embarrasser par cette situation. Visiblement particulièrement attaché à la valse du bal d’ouverture. S’il voulait l’avis de Maze, elle aussi était déçu, outre le fait qu’elle était caché de ne même pas pouvoir se tenir debout plus d’une heure sans ressentir des tiraillements insupportable, elle aimait danser. Après des heures de discussion qui ne menèrent a rien, il fut décidé qu’il était inutile qu’elle essaye de danser. Le professeur Londubat fini la conversation en suggérant que vu la situation elle n’était pas obliger de venir accompagné, ne souhaitant gâcher l’opportunité de dansé à qui que ce soit d’autre. Maze ravala sa fierté mais acquiesça, visiblement la danse était un sujet très important pour le sous directeur de Poudlard.

C’est donc de cette façon qu’elle rentra à la suite des deux couples devant elle, seule. La tête haute, la main serrée sur la tête de sa canne en argent, marchant avec toute la grâce qu’elle pouvait. Portant avec fierté son uniforme d'héritière de l'empire magique de Corée. Son état ne l’empêcherait pas d’embrasser son rôle et supporté les regards des invités du bal. Suivant le cortège jusqu’au centre de la piste, Maze aperçu Toshiro avec sa sœur, le garçon lui faisant un clin d'œil alors que sa sœur lui montré ses pouces avec un grand sourire. L’héritière retint un ricanement le cœur soudain réchauffer. Alors que la musique commencée et les deux couples ce placer pour débuter les festivités, la championne de Serpentard aperçu le professeur Londubat lui faire de grand signe pour qu’elle s’éclipse. Elle le fit au plus vite de ses capacités, s’amusant peut-être un peu trop de l’air inquiet du sous-directeur, très stressé par le bon déroulement de l’ouverture. Arrivant proche de sa petite sœur elle s’assit sur la chaise que sa chère animale domestique venait de sortir des tables pour elle. Maze se contenta d’observer les danses sans dire un mot. C’était une réussite malgré le petit changement de protocole. Quand tout le monde put participer a la valse, Miyoung traina Toshiro avec elle au milieu de la piste.

L’héritière laissa son regard trainer dans la salle du banquet transformé pour l’occasion en salle de réception. Une très belle décoration, chaleureuse et raffiné. Alors qu’elle continuée à laisser ses yeux trainer ici et là, elle aperçu le buffet. Forcément, de l’autre côté de là où elle ce trouvé. Alors qu’elle essayé d’analyser où se trouvez les meilleurs mets pour n’avoir a ce déplacé qu’une unique fois, elle vit son pire cauchemar. Sunhee, en robe de soirée, rire a une plaisanterie gorge déployé, un verre à la main. Heureuse, pure, elle rayonné comme un soleil brulant, magnifique. Maze eu sincèrement du mal a détourné ses yeux, comme hypnotisé. Ce ne fut que lors ce qu’elle vit le professeur d’étude des Moldu ce tourné vers elle, que son cœur bondi dans sa poitrine pour et qu’elle s’éveilla de sa torpeur pour regarder le plafond. Très discret. Finalement mourir de faim n’étais pas une mauvaise option…

Résumé HRP : Maze n'as pas dansé, mais est rentré avec le cortège des champions. Elle est maintenant assise a l'opposé du buffet a fixer le plafond /o

Toshiro fixait son reflet dans le miroir depuis une vingtaine de minutes, un grand sourire gravé sur le visage. Pas qu’il se trouvait particulièrement beau, non, il était sur tout très fière de son costume trois pièces qu’on avait fait tailler pour lui. C’était la première fois qu’il allait participer a un événement tel que celui-ci. C’était un grand honneur de pouvoir le faire, il était comme un enfant, ses yeux pétiller quand il regardé sa veste parfaitement coupée, sa chemise cintrée, son pantalon tombant comme s’il avait était fait sur lui. C’était simplement incroyable, il traité ses nouveaux vêtements comme son plus grand trésor. C’était probablement la chose la plus précieuse et couteuse qu’il possédé maintenant. Il n’avait pas idée du prix, et n’osait pas le savoir. Il était simplement le plus heureux des hommes. Passant une dernière fois un chiffon propre sur ses chaussures de cuire, il descendit avec hâtes, dans la salle commune des Poufsouffle. Mieux ne valait pas faire attendre son altesse Miyoung. Il aurait l’infini honneur d’être son cavalier et n’avait aucun souhait de ne pas être à la hauteur. Le garçon était ravi de voir chacun et chacune de ses camarades de maisons dans sa plus belle tenu. C’était une soirée excitante, il était comme un fou, ne tenant pratiquement plu sur place. Miyoung apparut dans sa robe simple mais d’une qualité élégante des plus particulié.

« Oh, alors le costume a fini par arrivé. Tu es très élégant comme ça. » Dit-elle en s’approchant pour centrer sa cravate. Le cœur de l’animgie était gonflé de fierté. « Merci infiniment pour ce cadeau. » répondit-il humblement. Elle lui tapa gentiment le bras en riant avant de lui prendre la main. « Allons-y avant de raté le début de la cérémonie. » Les deux Poufsouffles étaient loin d’être en retard. Quand ils arrivèrent dans la Grande salle ils furent tout d’eux très impressionné par le changement de décor féérique. Miyoung alla saluet toutes ses amies avec excitation, laissant Toshiro la suivre les mains derrière le dos, le plus discret possible. Il chercha des yeux la championne de Poudlard à l’entré de la grande salle, mais il ne vit personne avant le début des festivités. Au loin il pu repérer la table des professeurs d’où une certaine née-moldu n’était pas aller de main morte sur sa tenu de soirée. Il connaissait quelqu’un qui aller probablement s’évanouir. Alors que le shinobi s’étouffer dans son rire et que Miyoung inquiète c’était mise a lui tapoter le dos, tout en continuant sa conversation avec ses amis, le bal débuta.
Les champions firent leur rentrés avec leurs compagnons de soirée, suivit de leur chère héritière seule. Le visage fermait, mais fière, portant son belle uniforme, elle faisait bien passer le message qu’elle restait féroce. Quand il croisa son regard, il ne put s’empêcher de lui faire un clin d'œil pour l’encourager, voyant du coin de sa vision Miyoung également faire des signes en support. Il fallait la connaitre pour le voir, mais le visage de Maze tressailli manquant de faire apparaitre un sourire. Toshiro était satisfait de leur petit effet sur l’inébranlable championne de Poudlard. Quand la danse commença, il fut très amusant de voir le professeur Londubat gigoter pour faire comprendre à son altesse qu’il était temps dégager la piste. Le Poufsouffle se hâta d’aller prendre une chaise, poussant sans regret les étudiants autour de lui avec des petits « Excusez-moi » et des sourires. La chaise installait, il ne put pas voir son altesse en profiter car Miyoung le tiré déjà sur la piste de danse.

L’excitation revint telle un tsunami, et une légère anxiété de se tromper dans ses pas. Seulement il avait bien suivi tous les cours de danse procuré par l’école, n’en déplaises à ceux que cela faisait rire. Toshiro n’aurait peut-être plu jamais la chance de participé à une soirée dansante, alors il fallait en profiter, de plus il devait faire honneur a la princesse qu’il avait dans les bras. À son plus grand bonheur cela se passa bien pour lui. C’était amusant de valser, tourné, sauter. Soudain un groupe fut annoncé, puis la musique changea complètement et un autre genre de danse débuta. Complètement confus, ne sachant pas ce qui était en train de se passer Toshiro lâcha Miyoung, ne sachant étrangement plu quoi faire de son corps. Celle-ci en profita pour se moquer de lui et le titré plus vers la scène a musique, entre les corps qui se déchainer sur le son rock du groupe. La jeune cinquième année l’incita à ce déhanché, et très peu timide Toshiro se mit à rire en l’imitant.

C’était peut-être la première fois de sa vie qu’il s’amusait autant sans penser a autre chose que le simple instant présent, simplement insouciant.

Résumé HRP : Donc tout fière dans son petit costume, Toshiro a bousculer un peut des gens pour attraper une chaise pour Maze, puis a valsé avec Miyoung (petit soeur de Maze en cinquième année a Pousfsouffle).  Maintenant ils dansent comme jamais sur la piste 8D

Tradition et honneur, des mots bien ancrés en la sorcière duelliste. Elle se reposait de son combat contre le Selma, une heure ou deux par jour en révisant des sorts et autres moyens possiblement utiles pour la prochaine épreuve. Un bal était une perte de temps pur et simple pour la sorcière finlandaise. Son directeur par contre n’était pas de cet avis.

« La direction de Poudlard met un point à respecter cette coutume du Tournoi des Trois Sorciers. Je m’attends à ce vous faites de même, mademoiselle Kiimamaa. » s’exprima-t-il dans un excellent finnois. Malgré son avis, Tatiana devra se plier : ce serait aller à l’encontre de son éducation et personne ne disait non au dirigeant de l’école de magie Drumstrang. Ce n’était plus le régime de peur comme dans les années 1990, mais l’éducation stricte et militaire était restée, puissant motivateur à l’excellence. Avec un sourire, la championne s’empressa d’écrire une lettre à l’intention de sa mère.

La veille du bal, sa chouette laponne accompagnée d’un harfang des neiges, était arrivée avec un colis : sa robe pour le bal. Depuis quelques jours, elle avait été visitée par plusieurs élèves de sa promotion, mais à chaque fois, Tatiana les avait retournés de bord par manque de temps et de patience : si elle devait perdre une soirée complète en festivité, elle devait combler ce futur temps perdu. Surtout qu’elle devait placer dans son agenda des cours de danse. Joie.

C’était maintenant le jour J et alors qu’elle se préparait en faisant les dernières touches, une de ses collègues sorcières de sa promotion vint à sa rencontre.
« Qui est ton cavalier ? J’ai cru comprendre que tu as eu beaucoup de prétendants ses derniers jours ! » dit-elle, curieuse de savoir qui la duelliste avait choisi comme partenaire de danse. La femme concernée s’arrêta dans ses préparatifs et comprit sur le coup pourquoi elle avait autant eu de visiteurs. * Perkele ! * jura-t-elle intérieurement la jeune sorcière : il était de tradition que les champions ouvrent le bal avec la première danse. Ce n’était qu’un léger contretemps. Elle finissait les derniers préparatifs lorsque son directeur était arrivé avec un autre élève. Elle le reconnaissait de vu, mais ne se rappelait pas de son prénom. Ni de son nom en fait. Elle arqua un sourcil en signe d’interrogation du dirigeant de Drumstrang. « Votre cavalier. » dit-il en lui faisant signe de la suivre : il était l’heure. Elle ajusta sa couronne sur ses cheveux platine de partir en direction de Poudlard.

Son cavalier et elle arrivèrent en même temps que le champion de Beauxbâtons, le sang de bourbe. L’opinion de la finlandaise était neutre sur monsieur Dorimein : à Drumstrang, il était impensable d’appeler un sorcier aux origines du français autre que sang de bourbe. Son regard se tourna vers mademoiselle Park, sans cavalier.

En même temps que l’autre couple, Tatiana s’élança sur la piste de danse dans une valse, élégante dans sa robe de bal ébène et sa couronne agencée à la couleur de son vêtement.  Au deuxième couplet, plusieurs autres couples vinrent les rejoindre et tous continuèrent de danser jusqu’à la dernière note.

Ses obligations pour l’ouverture de l’événement étaient maintenant accomplies, elle sortit de la piste avec son cavalier pour se diriger vers le buffet. Elle n’avait pas du tout envie de danser toute la soirée, ayant préféré ne pas venir, mais elle devait respecter les traditions. Elle prit une assiette et commença à y placer de la nourriture. Son partenaire de danse n’agissait pas, ne semblant pas comment agir. « Ne reste pas à mes côtés comme un piquet. » dit-elle, d’un ton froid. « Va danser. Ce n’est pas ce qui manque des femmes avec qui danser. » dit-elle, faisant un signe de tête vers des groupes d’étudiantes de Poudlard qui semblaient sans cavaliers. « Ne me fait pas répéter. » rajouta-t-elle, sec. Le jeune sorcier ne se fit pas prier et s’éloigna de Tatiana.

Après avoir rempli son plat de ce qui lui plaisait le plus dans le buffet, la Finlandaise se retourna, cherchant une place où s’asseoir. Son regard tomba sur la championne de Poudlard, assis sur une chaise. Cette dernière fixait le plafond, sa canne en argent à ses côtés. La championne de Drumstrang avait remarqué que la Coréenne marchait avec difficulté. Malgré sa jambe blessée, son adversaire au tournoi affrontait les regards des étudiants la tête haute.

Kiimamaa attrapa le premier élève de son école et lui demanda fermement de tenir son assiette. Elle prit le temps de mettre un peu de tout de ce qui avait de disponible dans la nourriture sans surcharger le plat. Lorsqu’elle fut satisfaite, elle se dirigea en direction de Mi-Gung, suivi de son nouveau valet.

C’était une fois en face de Maze qu’elle lui avait tendu l’assiette de nourriture à cette dernière : « Il faut manger pour guérir. Je veux deux adversaires à la deuxième épreuve, pas un seul. » dit-elle d’un ton neutre.

C’était le Tournoi des Trois Sorciers. Une personne pourrait dire qu’un adversaire amoindri lui donnerait plus de chance de gagner, mais Tatiana n’était pas de cet avis : si elle était pour gagner, elle voulait battre ses adversaires à pleine capacité et par ses propres moyens. Elle se retourna, lançant un regard agacé vers l’étudiant qui l’accompagnait, montrant qu’il manquait une chaise. Ce dernier, sous le choc de l’attitude cavalière de la sorcière, prit quelques secondes avant d’aller lui chercher un siège.

*Perkele : équivalent à pu**** en finlandais.

Image de la robe de Tatiana

Le plafond était magique, rien d’étonnant d’y voir des pétales virevolté dans les hauteurs comme des papillons. C’était très beau, et d’une certaine façon cela tranquillisa le coeur de l’héritière. Peut-être que si elle resté là, a regardé le plafond, personne ne viendrait l’ennuyer. Malheureusement, ce ne fut pas le cas. Tout ce qu’elle gagna avec son petit plan imparfait, c’était un début de torticolis, une visite non souhaitée et la sensation qu’on l’observait plus que d’ordinaire. Dans une grimace de douleur, la Serpentard baissa le regard sur l’intrus de sa contemplation. Seulement avec l’accent elle aurait pu deviner qui c’était, alors elle ne fut pas surprise de voir la championne de Durmstrang face à elle. Une assiette sous le nez qu’elle l’avait vu prendre au garçon derrière elle, qui bien que d’apparence féroce comme tous les étudiants de l’institut, semblait complètement terrorisé par la blonde. Si Maze ne s’y tromper pas on pouvait dire que la championne était une fille tyrannique. Elle ne s’était jamais intéresser a ses adversaires depuis le début du tournoi, car elle le savait, le vrai adversaire c’était elle-même, maintenant plus que jamais. Pour autant la jeune femme devant elle semblait compétitrice et ne pas voir les choses de la même façon. Maze s’en méfia. Bien que son geste ne soit pas mauvais, peut-être même venait-il d’une bonne intention, l’héritière Park resta quelque secondes a douté de la nature du comportement de la blonde. Elle fini par prendre l’assiette, de son éducation il était impensable de créer une esclandre en refusant une courtoisie. Son rang et les années de gala de convenance lui avait appris à bien se tenir en société.

« Merci. » Dit-elle dans une politesse contrôlée. Cela dit-elle n’avait pas faim et ne se forcerait pas à manger par gentillesse pour cette inconnue. Elle posa l’assiette sur la table derrière elle, ce fichant de l’insulte que cela pouvait être pour la championne de Durmstrang. Vu comme elle traitait son laqué avec peu de respect, Maze n’eux aucun regret. Un profond mépris l’envahis. S’il y avait une indignité qui l’excédais c’était bien l’humiliation. Quel qu’elle soit, sur tout venant d’un pouvoir au sommet d’une hiérarchie. Peut-être était-ce sont passé au près de son père qui usé d’humiliation, de terreur et de manipulation pour assoir son pouvoir. Quand bien même, la championne de Durmstrang tomba au plus bas de l’estime qu’elle aurait pu lui offrir. L’héritière n‘en avait peut-être pas l’air, mais elle n’aimait pas que l’ont traite ses gens sans le respect qu’ils méritaient. Le rang du garçon était peut-être plus bas que le sien, mais elle n’avait aucune raison de l’humilier ainsi, que pour son propre plaisir. Maze garda sa colère pour elle, le cachant derrière une mâchoire crispée, seul signe de sa profonde irritation. Ce n’était pas la première fois qu’elle côtoyait ce genre de personnage. Bien au contraire, les cours royal en Asie en étaient gorgé. C’était d’une tristesse pathétique pour la Serpentard, mais pour le moment elle ne pouvait rien faire d’autre que s’en accommoder et rester courtoise.

Les yeux de l’héritière allèrent sur la piste de danse où les étudiants se déchaînaient, voire même certain professeur, ce qui était plutôt amusant. Tout le monde était heureux de bouger sous la musique rock. Une nouvelle fois l’humeur de la championne s’allégea. C’était difficile de rester totalement imperméable aux piètres mouvements de danse de certains étudiants. Elle aurait aimée connaitre la même naïveté, profiter des heures d’une innocente jeunesse, sans trouble ni devoir. Malheureusement, non seulement elle était maintenant handicapée, mais en plus elle n’était pas comme tous ces adolescents sans charges sur leurs épaules. Du coin de l'œil elle essaya de voir a nouveau son professeur préféré, dont, ironiquement, elle n’était pas inscrite au cour. Son cœur ne l’aurait pas supporté. Elle l’aperçut au bord de la piste de danse gigoté en riant avec le professeur Kama. Elles devaient être amies, Maze était heureuse que Sunhee est trouvé des gens pour l’entouré, elle-même appréciait beaucoup le professeur de vol. À ce moment si quelqu’un lui avait dit n’importe quoi elle ne l’aurait pas entendu. Reprenant ses esprits l’héritière décida qu’il était tans d’aller s’hydrater, sa gorge était aussi sèche que les fond des enfers.

« Veuillez m'excusez très chère. » s’adressa-t-elle poliment à la championne de Durmstrange, avant de se lever à l’aide de sa canne. Elle n’attendit aucune réponse de la blonde, traversant la salle, non sans boiter avec dignité. Esprit fort, elle n’allait pas se laisser démolir par ses nouvelles faiblesses.

Arriver devant le buffet, elle croisa une jeune demoiselle à la robe blanche et aux cheveux incroyablement coloré. Elle lui dit quelque chose, c’était certainement la gentille Gryffondor dont Toshi n’avait pu s’empêcher de faire l’éloge durant plusieurs heures après son retour des serres il y a quelque temps. Elle l’avait déjà croisé dans les couloirs sans réellement s’y intéresser, bien que cette étrange chevelure était difficile à oublier. Maze trouvais ça surprenant mais pas désagréable a regardé. Dans d’autre circonstance, l’héritière aurait peut-être fait la conversation, mais quand elle aperçu deux grands bonhommes venir a sa rencontre, dont l’un d’eux était le champion de Beauxbâtons, elle se ravisa. Elle venait déjà de se débarrasser d’un de ses concurrent elle n’allait pas risquer une autre non-conversation gênante. Son chemin s’arrêta alors seulement une fois devant la table qui disposé de toutes les boissons. Elle n’eut pas besoin de ce faire un passage, les étudiant, par pitié surement, lui donnèrent facilement accès. Quelque part sa jambe atrophier lui donner quelques avantages. Ne disposant que d’une seule main, elle se servit tans bien que mal un verre de ce qui semblait être un punch aux cerises. Elle en but une gorgée, mais quel ne fut pas sa surprise lors ce que derrière le gout de cerise se cacha un exécrable parfum brulant de whisky pur feu. Sous la surprise l’héritière cracha le contenu de ça gorgé sur son voisin. Celui qui avait piqué ce chaudron de punch y avait vidé une bouteille entière, si bien qu’il y avait plus d’alcool que de diluant. Les yeux ronds le verre à la main, gelé sur place, Maze fixa la personne qu’elle venait purement et simplement d’aspergé de son cracha. Entre profond embarras et envie de rire Maze posa son verre sur le buffet en ce mordant la lèvre, avant de se cacher la bouche avec sa main dans un geste gêner, mais quand même amusé.

« 멀린 ! Je suis profondément navré. Je ne m’attendais pas à ce que le punch soit alcoolisé. »
La personne aller sentir la cerise et le whisky pur feu maintenant.

Résumé HRP : 멀린 = Merlin
Maze n'aime pas beaucoup le comportement de Tatiana en vers son camarade de Durmstrang. Elle regarde les gens dansé perdu dans ses pensées. Elle aperçoit Sunhee dansé avec Keyah avant de quitter la championne. En allant au buffet pour boire elle croise June, puis vois Josh et Camille, mais continue son chemin aux tables. Elle se sert a boire, mais le punch est remplit d'alcool et sur la surprise elle crache sur quelqu'un. Cette personne est libre /o

Jamais Toshiro ne c’était autant amuser. Il regardé les autres étudiants autour de lui, rires, chanter et danser sous la musique du groupe de rock. C’était absolument génial comme ambiance. Tans bien que mal il essayé de copier les mouvements que lui montré Miyoung. Elle riait avec ses amis devant ses maladresses, mais il s’en fichait, il n’avait pas honte et continuer par ce que ça l’amuser autant que les autres autour de lui. Chacun donner son meilleur sur la piste de danse. Tournoyant, se déhanchant au rythme des musiques aux tempos vibrant. Il y avait quelque chose d’exaltant, comme un défouloir où l’on vidait son esprit. Le chanteur su scène était en transe, il chantait à s’en détruire les cordes vocales, mais les fans étaient au rendez-vous sautant en criant sous la musique. Au moins c’était une réussite. Alors qu’il essayait un mouvement de vague que lui montré un ami de Miyoung, le grand Coréen fut bousculé par un type de bien sa carrure. Il se retourna en riant, le sourire tellement grand que l’on pouvait probablement voir ses trois seuls dents de sagesses.

« Pas de problème, l’ami ! » Hurlât-Il pour couvrir la musique, il se retourna vers sa cavalière qui se moquer maintenant de lui. Il préféra répondre en sautant plus haut comme un fou, faisant rire le petit groupe. Déchainer par l’excitation comme un enfant lâcher pour la première fois dans un magasin de bonbon. Il avait déjà perdu sa veste de costume dans le combat, son veston était ouvert, sa cravate également disparut. Dans la folie du moment il avait oublié toute ses bonnes résolutions à propos de la préciosité de ces vêtements et qu’il devrait en prendre soin. Non coller avec les autres étudiants, sous la chaleure de l’environnement, il avait petit à petit disséminer ses habits, les premiers boutons de sa chemise déjà ouverte. Miyoung essaye tans bien que mal de lui faire remarquer, mais trop absorbé par la musique, le Poufsouffle n’entendait rien. La seconde fille Park décida que c’était de toute façon un combat perdu, il finirait surement torse nue à un moment ou un autre et réprimandé par un professeur, c’était son problème. Elle se contenta de lever les yeux au ciel et continuer de tourner et sauter avec ses amies.


Tournant encore et encore ils se déplacèrent dans la foule sans le vouloir. Toshiro claquer des mains, tout en tapant du pied, les hanches allant de droite à gauche au rythme de la chanson sur des dragons et des bodrucs, toujours débrailler mais plus heureux que jamais.

« Monsieur Shintake, essayez de garder un peu de décence, c’est un bal, pas une rêve party. » A la tape sur l’épaule, le jeune homme commença par sourire au professeur d’études des moldu qui le regardé maintenant d’un air sévère mais non sans amusement. Le Poufsouffle fus troubler, ne comprenant pas tout ce que venait de lui dire la jeune femme, il s’arrêta de danser, interloqué. Elle pointa alors son torse clairement à l’air, qu’il commença a couvrir en fermants a chemise dès qu’il réalisa.

« Faites honneur à votre maison, et tenez-vous bien. » Elle était sérieuse, mais souriait toujours alors le garçon se passa une main dans les cheveux embarrasser, mais aussi soulager. A coté de Sunhee il vit le professeur Kama, et lui souri également, gêner.

« Je suis navré professeur. » Un coup dans les cotes attira son attention sur Miyoung qui l’avait retrouvé.

« Je te l’ai crié au moins trois fois ! Tu as dispersé tes vêtements en dansant, 바카. » Ses yeux de chiens battus lui valurent un rire du professeur d’étude des moldus et une énième tape de la jeune Poufsouffle.

« Allez-donc les récupéré avant qu’ils ne soit détruit par la foule en délire, je tiendrais compagnie à votre cavalière son éminence. » La moquerie en vers les deux adolescents n’était pas dissimuler. Toshiro acquiesça en riant, se tournant vers la foule, essayant d’apercevoir sa veste et sa cravate quelque par. Il eut juste le temps d’entendre Miyoung s’excuser au près de Sunhee et du professeur de vol, préférant ne pas danser avec les professeurs, ce qui à quinze ans était compréhensible.


Alors que du coin de l'œil Toshiro vis Miyoug retourné au près de ses copines devant la scène, le Poufsouffle aperçu quelqu’un avec sa cravate autour de la tête. Alors le garçon alla tranquillement taper sur l’épaule du pitre, et tout en souriant, amuser par le garçon, il lui demanda gentiment, bien qu’un peut fort à cause de la musique.

« Hey l’ami ! Tu peux me rendre ma cravate s’il te plait ? »

Résumé HRP : 바카 = idiot
Toshiro danse comme un fou sur la piste. Il ce fait bousculer par O'brien, mais en ris et continue de faire le fou avec les autres. A force de faire n'importe quoi il perd ses vêtements. Il arrive proche des professeurs Sunhee et Keyah. Sunhee lui donne l'ordre de retourné retrouvé ses vêtements, donc a moitié débrailler il vois un étudiant dansé avec sa cravate autour de la tête et vas lui demandé gentiment.

June attendait sagement devant le buffet que les gens se poussent un peu.
Elle grignotait nerveusement les petites peaux entourant ses ongles, comme une enfant impatiente et nerveuse.
De temps à autre elle regardait par-dessus son épaule que Joshua allait bien. C’était une situation bien inédite pour la jeune femme qu’elle était, ne faisant que rajouter à la tension qu’elle avait déjà la veille à l'idée d'assister à ce genre de soirée "accompagnée".

Personne ne lui avait appris cela, elle ignorait tout bonnement comment se comporter avec le sorcier vu que les rares fois où ils s’étaient rapprochés cela avait vite basculé vers une toute autre dimension. C’était donc la première fois qu’elle était officiellement "la personne" ne quelqu’un.

Non loin d’elle O’brien se trémoussait dans une danse grotesque qui avait fini par lui arracher un sourire. Elle aurait bien aimé aller le rejoindre, mais sa raison lui dictait de se montrer sage vis-à-vis de Joshua.

Tandis qu’elle se retournait en jouant de ses doigts dans les pans de sa robe, elle remarqua la championne de Poudlard à côté d’elle. Bien qu’elle lui avait souri dans le désir de souligner sa sympathie, elle s'était vite interrompue à la brusque apparition de la silhouette de Joshua dans son champs de vision.

Dans un hoquet de surprise, elle s'était sentie rougir en découvrant la présence  de « Camille » de Beauxbatons.
Elle n’avait pas eu le temps de se poser de question que Joshua lui présentait son « cadeau » d’une façon qu'elle avait bien du mal à comprendre.

Estomaquée, tant par l’initiative, que par la nature du présent, June fronça ses sourcils tandis que le sorcier lui glissait à l’oreille ses dernieres recommandations.

Dans un excès de colère, June avait senti son corps prendre brusquement en température. Les poings serrés, elle s'était pourtant laissée embrasser sans broncher.
L'oeil noir, c'était dans une certaine irritation qu'elle l'avait observait regagner sa table.
Si ça n’avait tenu qu’à elle, il se serait pris une magistrale droite, un uppercut bien placé qui l’aurait sans nul doute collé au tapis et ce sans une once de pitié envers son état.

Les lèvres pincées dans une moue boudeuse, la sorcière n’avait pas bougé depuis son départ, bien au contraire elle s’était tendue.
Elle s'était retourné instinctivement vers la table et cherchait maintenant des yeux quelque chose pour lui balancer dessus. Tandis que son regard balayait l’étendue des possibilités qui s'offrait à elle et que les insultes se succédaient dans son esprit, elle repensa subitement au français à ses côtés.
L’espace d’un instant elle avait oublié où elle se trouvait et ce que représenterait un tel esclandre si elle s’exécutait.

Résignée, c'était dans un profond soupir, qu'elle avait relâché l’immense plat en argent recouvert de petits fours et qu'elle s'était retournée vers son cavalier dans un sourire gené. Lui n'y était pour rien, non le coupable la surveillait en sirotant sa petite boisson tranquillement. Au bord de la rupture, June lui avait adressé une grimace couplé d'un geste irrévérencieux à la hauteur de son mécontentement.
Loin d’aspirer à se montrer polie ou bien sous son meilleur jour, la sorcière n'avait que faire de plaire au français, mais puisqu'ils étaient là...

Ses yeux cherchèrent sur le sol de quoi s’y rattacher, tandis qu’elle passait nerveusement sa main sur l’un de ses bras.

« Je suis désolée… Il… Il n’aurait pas dû… Je trouve ça… Non pas que je n’apprécierai pas de danser… » Se rattrapa-t-elle en s’excusant du regard avant de soupirer lascivement.

Son regard était triste, semblable à cette sensation qui venait de remplir son coeur dans une menace imminente d’une larmoyante démonstration.

« Ce n'est pas à lui de m’imposer comme ça… Comme si j’étais un objet inanimé… »

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