Marcus n’aimait pas ça.

Cette ambiance, ce silence, cette impression de se jeter tête première dans un guet-apens. Ce qu’il aurait donné pour être avec ses collègues du bureau des aurors en cet instant. Il aurait pu s’appuyer sur Robin ou Adonis pour combattre les contaminés. Eux auraient su quoi faire devant ces manifestations de magie noire. L’hôtel de ville était silencieuse. Trop silencieuse. Graystone s’était attendu à tomber sur une scène de guerre ou du moins une scène de combat. Le message envoyé par Barnabas était pourtant urgent. Mais rien. Aucune trace de l’équipe un ni même de l’équipe deux qui devait pourtant avoir reçu un message également. Seulement un silence imposant. Et surtout, anormal. Baguette serrée dans sa main gauche, l’apprenti auror s’avança, louvoyant le long des murs, cherchant à éviter de se faire prendre à revers comme plutôt. Pourquoi n’y avait-il personne? Allaient-ils devoir jouer longtemps à ce jeu ridicule de cache-cache?

-Barnabas?

Sa voix grave se répercuta contre les murs, échos sinistres à l’endroit plutôt inhospitalier. L’impatience se faisait sentir, cherchant à faire précipiter les choses, ou du moins à les faire bouger. Le temps n’était pas leur allié dans cette mission. Un bruit attira l’attention de Graystone. Des pas? Signe rapide à Wilson pour lui faire comprendre de rester silencieux, le long du mur. S’il s’agissait encore d’un homme-limon, il valait mieux ne pas se faire remarquer. Mais pas de bruit de tentacules, seulement celui d’un pas, lent, régulier, presque trainant. Les sourcils se froncèrent. Pas le pas de Barnabas, pour sûr. La tête d’un jeune homme aux cheveux noir se détacha du corridor, s’avançant, regard vide, cerne violacé, yeux hagards. Un suppôt ou un contaminé, mais certainement pas un des membres de leur équipe. Pas même celui d’un des civils qui les accompagnaient. Lorsque Barnabas leur avait indiqué leur destination et leur mission, Marcus avait réfléchi à ce qu’il ferait en cas de combat. Ce n’était pas le temps de se montrer émotif. Ils ne pouvaient rien pour ceux qui avaient été contaminés. L’apprenti auror savait qu’il pouvait se faire attaquer par toutes sortes de gens; des enfants, des vieillards, des inconnus, des connaissances, des amis, des proches, même la famille pouvait se manifester. Il y avait réfléchi. Longuement. Pour être certain de ne pas figer le moment venu. Pour être certain de s’en tenir à ce qu’il avait choisi comme direction.

Mettre en état de nuire rapidement et efficacement.

Le crin irlandais claqua dans l’air, le sortilège Electrocorpus porteur d’électricité alla s’occuper de l’importun, lui donnant une décharge suffisante pour lui faire perdre conscience. Marcus expira doucement. Il agissait sans réfléchir. Réfléchir c’était donner la possibilité que le doute vous envahisse. Et en cas de doute, l’autre prenait un avantage.

Graystone s’approcha doucement du suspect. Il s’agissait d’un visage connu. Un jeune homme qu’il avait croisé dans les corridors du ministère. L’animagus échangea un regard entendu avec Wilson. La malédiction du brouillard en avait atteint plus d’un. Qui sait ce qu’ils pouvaient croiser d’autre? Marcus attrapa la baguette du contaminé, hésitant un instant. Il pouvait toujours briser la baguette, de cette manière il s’assurait que même s’il reprenait connaissance, le sorcier ne pourrait pas l’utiliser contre eux. Mais il y avait quelque chose de répugnant à briser une orfèvrerie magique. Le jeune homme secoua la tête s’assurant simplement de mettre la baguette en lieu sûr laissant Wilson s’occuper de l’inconscient. Alors qu’il allait lui demander quelque chose, un bruit attira leur attention. Indistinct. Mais qui venait de la porte laissée ouverte qui menait au sous-sol. Était-ce un appel à l’aide de leur coéquipier?

L’équipe trois déboucha dans un long corridor plongé dans l’obscurité d’où semblaient provenir les gémissements. Quelqu’un était blessé, pour sûr. Un guet-apens? Marcus ne pouvait s’empêcher de songer qu’ils se dirigeaient droit vers l’endroit où quelqu’un l’avait décidé à la manière d’insecte attiré par la lumière. Sauf que dans ce cas-ci, ils se lançaient dans la noirceur. Plus pour longtemps.

Les petites flammes bleues sortirent de la baguette et éclairèrent l’espace du corridor. Aux loin deux silhouettes se détachaient de l’autre porte qui devait donner sur les autres escaliers. Marcus identifia rapidement le Pretovius de l’équipe un (difficilement manquable avec ses vêtements criards) de même qu’une grande femme rousse. Aucune trace toutefois du chef de la brigade.

Un instant. Les sourcils du jeune homme se froncèrent. S’ils avaient été appelés en renfort pour sauver la peau du mioche, chef pas chef le Barnabas allait s’en faire coller une. L’arrogant apprenti auror ne supportait pas de gaspiller son temps précieux pour jouer les saints Potter et sauver la cavalerie! La main gauche se serra sur la baguette mordant la langue amère avant qu’elle ne dise tout haut les stupidités colériques qui lui traversait l’esprit. Ce n’était pas le moment de faire du caractère. Pas en pleine mission.

Alors qu'il s'approchait, les dernières paroles de la demoiselle arracha un sourire froid à l'agent du ministère. Des hypocrites occupés à leur petit confort?

-Pas cette fois on dirait!

La baguette claqua de nouveau, le Carpe Retractum forçant la jeune femme rousse à reculer, Marcus la tirant vers son extrémité du corridor, l’envoyant valser dans l’espace qui les séparait. Elle semblait en si grande contemplation de son œuvre que l’apprenti avait l’impression de la déranger. Prise par surprise, il voulait simplement la forcer à s’éloigner du gamin.

Mais où était le chef?

La priorité à la mission songea l’esprit pragmatique de l’agent. Les pensées se firent bien vite éclipsées lorsque les iris claires vinrent tomber sur les blessures sanguinolentes qui ornaient désormais le corps du civil. Un juron lui échappa. Le sang s’était répandu sur le carrelage, créant une flaque pourpre sur les dalles grises. Non d’une gargouille, ce n’était pas un civil ordinaire qui pouvait infliger ce genre de blessure. Le regard se posa de nouveau sur la contaminée, échappant un nouveau juron. La professeure de potion de Poudlard. Marcus n’avait malheureusement jamais eu le plaisir de l’a côtoyer, ayant quitté l’école avant l’arrivée en fonction du nouveau professeur, mais des commentaires qu’il avait entendus de ses anciens camarades, le niveau de classe avait été savamment élevé par l’arrivé de la jeune femme. Ils avaient donc affaire à quelqu’un de compétent et donc… de dangereux.

-Wilson, occupez-vous du gamin, sortez d'ici!

Lança Graystone à son coéquipier. Maintenant qu’il avait eu l’attention du professeur, il devait la conserver. C’était une question de répartition de force : Graystone n’avait aucun talent en medicomagie et la vue du sang témoignait qu’une aide était requise. Son coéquipier serait mieux adéquat pour le sauvetage. Priorité sur le gamin civil. Ce qui était une demi-insulte puisque le jeune homme devait avoir quoi, moins de trois ans que Marcus? Qu’importe. Il était important de le faire soigner et de sortir de ce corridor. Et vite. Lui s’occuperait de la demoiselle. Le crin de Kelpie fut de nouveau levé. Pas de bla-bla inutile ni de provocation. c'était une perte d'énergie inutile. Le but n’était pas de faire un duel, mais plus tôt d’écraser une menace avant qu’elle ne se manifeste. Un nouvel Electrocorpus fut lancé...

Nombre aléatoire (1,3) : 3

Intensité du sort:

Nombre aléatoire (1,3) : 2

L’équipe évacuée, Marcus se retrouva seul, plongé dans la demi-obscurité simplement animée par les flammes bleus que son sortilège avait alignée le long des murs du corridors à la manière d’une arène de duel inquiétante. Les iris claires fixée sur la jeune femme, la baguette serrée dans la main gauche, le sorcier avait étouffé un juron lorsque son sortilège avait manqué sa cible. Les conditions étaient bien loin de ce à quoi il était habitué. Combattre en sport, combattre des collègues, s’entrainer encore et encore, rien pourtant ne préparait à ce moment où les sortilèges étaient lancées pour défendre votre vie. Le flux d’électricité propulsé par la baguette agressive alla se ficher dans le mur, non loin de la victime désignée, mais la manquant tout de même. Quel gâchis.

Les sens aux aguets, l’instinct parant l’attaque, Graystone leva un protego alors que la baguette de l’adversaire claquait son sortilège. Contresort bien inutile puisque le bouclier ne pouvait rien contre la lumière aveuglante. Les pupilles dilatés se brulèrent sous l’éclat vif qui éclaira le corridor, forçant l’apprenti auror a baisser la tête, une main devant les yeux, titubant sous la force de l’éclat. Les points rouges masquèrent sa vue, lui faisant serrée les dents pour retenir un grognement. Sa main droite alla toucher le mur de droite, l’aidant à stabiliser sa position, les paupières clignotant pour chercher à retrouver sa vue et effacer les horribles points lumineux qui masquait sa vue. Quelle diversion habile. Il pouvait lui donner le point de la technique. Mais dans son cas à lui, la position devenait peu enviable. Arrêtant de bouger, Marcus chercha à éveiller ses autres sens pour compenser sa vue brouillée qui lui revenait lentement. Le bruit du verre qui s’entrechoque lui laissa présager le pire, tout comme sa vue qui revenait doucement lui fit apercevoir la fiole qui éclatait au-dessus de lui. Le stage en Europe du Nord l’ayant fait travailler sans magie, le premier réflexe du jeune homme fut de parer en s’abritant derrière son bras droit, relevant le col de son manteau qui reçus en grande majorité le liquide qui coula sur le cuire du vêtement. Aussiôt l’odeur vint chatouiller le museau de l’animagis, les iris brillantes ayant retrouvé leur éclat se posant sur la professeure avec une colère contenue. Elle savait bien jouer la dame, voilà maintenant qu’il était inflammable. Le cerveau analysa rapidement ses options. Enlever son manteau lui ferait perdre du temps, tenter d’enlever le liquide également. Un tremblement au loin lui annonça que les choses bougeaient en surface mais ignorant si c’était par son équipe ou par les contaminés, Graystone préféra ne pas tergiversé. La demoiselle devant lui s’était mis en position de combat, le narguant de sa voix claire. Un sourire arrogant étira les lèvres minces de l’apprenti auror qui choisis de passer à l’attaque, gardant simplement en tête d’éviter les sortilèges de feu.

-Je serais navré de vous décevoir madame!

Voix grave et éclatante dans le petit espace, lui laisser croire qu’il embarquait dans le jeu des provocations. Pas tout de suite, même si l’esprit du jeune ne demandait qu’à faire gonfler son égo, la sagesse lui rappelait que sa vie était en jeu et qu’il était déjà susceptible aux excès de témérité, comme le prouvait sa position dans ce corridor avec une potionniste chevronnée. La baguette claqua sous le sortilège imprononcée de l’[color=darkblue]Aqua Eructo Maxima[/color], envoyant l’eau sur son adversaire, pointant le visage :

Nombre aléatoire (1,10) : 3

La stupeur le laissa sans voix, les iris brillante, mélangeant les couleurs sous les pupilles dilatées. La main gauche serrée sur la baguette lui fit cracher quelques étincelles rougeâtres, le crin de Kelpy manifestant son agressivité qui résonnait dans le cœur du sorcier. Voir ses sortilèges échouer faisait rugir la colère au creux de l’apprenti auror. L’échec n’avait jamais été quelque chose d’acceptable pour lui et en voir autant se succéder le laissait dans un état second. Un mélange d’ahurissement et de grogne contenue. Marcus avala sa salive, impression amère qui glissa sur sa langue. À quoi diable pouvait servir tous ces entrainements, toutes ses formations imposées par le ministère s’il n’était même pas capable de venir à bout d’un simple professeur de potion ?! Que lui valait ses heures à suer sang et eau, a répété les mêmes gestes, encore et encore s’il ne pouvait pas atteindre une simple cible mouvante! La désillusion lui donnait l’impression qu’une enclume sombrait au creux de son estomac. Tout ça pour quoi? Obtenir un brillant petit insigne? Une médaille de pacotille? La vérité éclatait devant leurs yeux. Depuis la disparition de Voldemort, le département avait perdu de ses compétences qui faisaient d’eux des mages de premières ligues.

Tentant de refouler la colère qui menaçait de faire trembler sa main, le regard menaçant se posa sur la sorcière qui avait une fois de plus échappé à son sortilège, paradant efficacement, dans un mouvement qui lui fit penser à son séjour en Europe du Nord quand les poings servaient d’armes lors des combats. Chose tout à fait impensable chez cette dame respectable. La remarque moqueuse qu’elle lui cracha au visage l’atteignit plus que les traits figés du jeune homme ne laissaient exprimer. Dans d’autres circonstances, ils se seraient probablement bien entendus si elle avait été sa professeure et non pas son adversaire. Le regard suivant celui de la Dame, il baisa les yeux sur son reflet, le sortilège surgissant dans son esprit en même temps que la potionniste allait se réfugier les pieds au sec. Elle venait de voir où il avait l’intention de mener son plan et elle allait le retourner contre lui! La tête se tourna, les yeux cherchant une échappatoire alors que résonnait déjà la voix claire de la jeune femme. Un juron lui échappa tandis que le néant envahissait l’apprenti auror, le faisant disparaitre, son transplannage le faisant apparaitre une nouvelle fois derrière son adversaire qui semblait avoir perdu ses réflexes. Cette fois-ci il y alla d’une valeur sure, sa botte allant trouver le bas du dos de la jeune femme, la poussant par en avant d’un bon coup de pied. Elle n’aurait pas le choix de cesser son sortilège avant de toucher l’eau si elle ne voulait être victime elle-même de son piège.

Mais ce n’était pas fini.

La colère faisant ronronner la baguette, le cœur de Kelpy s’emballa, le sorcier posant un genou au sol, la pointe du bois pointant le carrelage entre lui et l’adversaire, son sortilège Deprimo résonna en lui plus fortement que s’il l’avait crié. La magie portée par ses sentiments fusa. Le sortilège aurait dû faire effondrer le plancher, l’apprenti auror n’ayant rien à craindre puisqu’ils se trouvaient au sous-sol. Pourtant, les dalles s’agitèrent, comme si l’explosion avait résonné sous une surface vide. Le corridor en entier trembla avant de s’affaisser brutalement dans une explosion. Alors que le sol se dérobait sous lui, Marcus eut à peine le temps de lever la baguette en direction de la sorcière, un Arresto Momentum lancé avant que le vide ne l’enveloppe.

Arresto Momentum:

Le vacarme de l’effondrement fit trembler le bâtiment, comme si un mini tremblement de terre avait secoué l’endroit. Dans le corridor, les bruits ambiants avaient cessé, laissant un silence de plomb s’abattre, simplement déranger par quelques gravas qui continuaient de tomber et l’eau qui suivait le chemin descendant des dalles restantes, coulant dans le trou creuser. Les deux portes donnaient à présent dans un vide de neuf pieds de haut, dévoilant un passage qui avait été creusé à même la pierre où reposaient les fondations de l’hôtel de ville...

Une main caressait son visage, ombre fugace d’une douceur sucrée, vent frais d’été qui venait chasser le froid du printemps, se perdant dans ses cheveux. Nez enfouis dans cette chaleur qu’il serrait contre lui, plus rien n’avait d’importance que cet instant, que ce rêve, rien que cette ombre et le bruit de l’eau qui tombait sur sa tête...

Les paupières papillonnèrent, lentement, difficilement. Ses oreilles bourdonnaient encore sous le coup de l’explosion, mêlée au bruit de l’eau qui chutait de ce qui avait été autrefois le corridor. Étendu sur le dos, Marcus observait le plafond qui se trouvait à présent bien loin au-dessus de sa tête. L’eau coulait sur son corps meurtri, dernier vaste de son sortilège manqué. Iris aux couleurs des iles du sud s’agitant. Le jeune homme tenta d’inspirer profondément, aussitôt pris d’une violente toux qui l’obligea à rouler sur le côté pour trouver l’air qui lui manquait, un gout de plomb familier envahissant sa bouche, le simple geste le fit gémir de douleur. Aussitôt, la main droite alla se porter à son côté, sentant le liquide carmin qui coulait contre son ventre, les doigts heurtèrent la tige de métal sur laquelle il s’était empalé. Il y avait cette efficacité de ne pas exceller en médicomagie; ne pouvant se fier sur la magie pour le guérir, Graystone avait appris à évaluer la gravité de ses blessures à la manière des moldus. D’un avis rapide, la tige s’était glissée sous ses côtes, ne touchant vraisemblablement aucun organe vital. Mais il ne pouvait la laisser là sous risque de se voir ralentir. Ravalant sa douleur, Marcus tira son poignard de sa poche, taillant une bande de tissus de son manteau. Ne voulant pas prendre de risque d’aggraver sa situation avec un sortilège raté, le jeune homme du se résoudre à enlever la tige avec ses mains. Serrant les dents, il attrapa l’extrémité, respiration agitée puis bloquée alors que les mains tiraient la tige pour la déloger de sa chair, son cri de douleur envahissant l’espace, les larmes montant à ses yeux. Des points dansèrent devant ses yeux et pendant un instant Graystone fut surpris de ne pas perdre conscience. L'adrénaline qui coulait dans ses veines l'empêchait de s'arrêter là. Le souffle chaotique, la tige délogée roula au sol dans un bruit métallique, les mains tremblantes s’affairant à panser sa blessure avec la bande de tissus improvisé, serrant de toutes ses forces pour éviter que le sang ne se répande.

Par tous les démons de l'enfer.

Les iris fouillèrent la pénombre. La chute des dalles avait entrainé celle des flammes bleues qui éclairaient désormais le nouveau passage. Aucune trace de la sorcière rousse, mais l’explosion n’avait fait des montages de débris ici et là. Heureusement, sa baguette avait atterri non loin de lui sans se briser, miracle parmi sa malchance. La seule qu’il pouvait avoir en cet instant vue l’apparence qu’il avait. Ses vêtements noirs étaient recouverts de poudres de plâtres qui avaient également envahi ses cheveux. Une entaille avait fait couler le sang le long de sa tempe. Des coulisses d’eau et de sang avaient assombri ses vêtements dont la couleur foncée les faisait fondre dans la couleur du tissu. Resserrant les pans de son manteau pour masquer sa blessure, Marcus étouffa un gémissement en se redressant, la baguette serrée dans sa main valide, l’autre posée par-dessus son manteau, tenant son côté blessé.

Dans quoi était-il tombé?

Résumé:

Nombre de personnes dans la flaque:

Intensité du coup de jus!: