Waclaw Hayden Tuszynski

Mer 15 Sep 2021 - 11:07

Waclaw Tuszynski

feat. Takamasa Ishihara

Carte de Sorcier

Hayden -de son vrai prénom Waclaw- est un sorcier qui nous éclaire de son existence depuis 1990. Cette personne mérite l'Ordre de Merlin parce qu'elle fait partie du Personnel de Poudlard en tant que Garde-Chasse. C'est plutôt quelqu'un de froid, antipathique mais vraiment résilient.

❯ PRÉNOMS & NOMS : Waclaw Hayden Björn TUSZYNSKI
❯ ASCENDANCE : Née-moldu
❯ DATE DE NAISSANCE : 10/12/1990
❯ NATIONALITÉ : d'origine polonaise, il n'est naturalisé anglais que depuis quelques années
❯ CLASSE SOCIALE : Pauvre
❯ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
❯ STATUT CIVIL : Celibâtard
❯ PATRONUS : Un papillon Grand-Monarque
❯ EPOUVANTARD : Des grandes peurs il en a tellement. Que ce soit lui, veiné de noir, reliquat de cette magie sombre lui ayant grignoté jusqu'au dernier centimètre de conscience qu'il pouvait avoir, ou alors l'image de sa mère, image qu'il a d'elle si bonne et si pure, souillée et tuée par ses collègues, son patron... tout ça à cause de lui, finalement.
❯ AMORTENCIA : cannelle, fleurs des champs, bois sec
❯ BAGUETTE : Sureau // ventricule de dragon // 22,5cm rigide et légèrement vrillée

❯ ASPIRATION : NE PAS REMPLIR

Fun factsGains

◊ Il a un très fort accent polonais qui trahit clairement ses origines d’Europe du nord.
◊ Il se fait appeler Hayden -son second prénom- car personne n’arrive à prononcer correctement Waclaw. Dans son organisation, tout le monde l’appelle Tuzy, en rapport avec les deux premières syllabes de son nom de famille. Que, là non plus, personne n’arrive à prononcer. Mais il s’y est fait.
◊ Il maîtrise mal la magie, étant plus dans l’agression et la puissance que dans la technicité des sorts. De ce fait, l’utilisation de la magie noire a rendu certaines veines de ses mains et ses bras plus brunes. Quand il cesse d’user de magie noire pendant un très long moment, cette souillure disparaît. Mais ça, il n’a jamais eu l’occasion de le constater.
◊ Il fume des cigarettes. Peu, mais ça lui arrive.
◊ Il ne boit jamais d’alcool -ou presque disons- car il refuse de se montrer sous une certaine forme de vulnérabilité à qui que ce soit et, ainsi, risquer de perdre le contrôle. Il a un côté autoritaire, un peu control freak, qu’il doit mettre en sourdine dès qu’il met un pied dans l’Organisation.
◊ Il est claustrophobe.

◊ Une parure de lit décorée à l'effigie de Yule qui a l'avantage de toujours sentir de pain d'épice et de se faire tout seul dès qu'on sort du lit
◊ Une boule de Yule qui montre la maison d'un être cher. Une fois secouée, de la neige tombera sur sa maison en flocons (seulement en période hivernale cependant)
◊ PA : Scarlett F. Blackmore
◊ Avent 2022 : Une guirlande à fixer en haut d'une porte et tout autour. Permet de vous retirer l'eau ou la neige et de vous séchez instantanément lorsque vous passez dessous.
◊ PA : Sherilyne C. MacMillan

Me, Myself & I

◊ Mensurations : Waclaw mesure un mètre quatre vingt dix et pèse un peu plus de soixante-quinze kilos.
◊ Morphologie : Il a les membres plutôt longs, presque sveltes mais sa carrure est assez large. Dans les bons vêtements il peut en imposer comme rester discret. Cependant sa grande taille le trahit assez souvent.
◊ Démarche et attitude : Waclaw c’est celui qu’on ne voit pas et lui, il ne voit personne. Il marche, droit, sans détermination, juste comme un automate. Il va là où il doit aller, il fait ce qu’il a à faire. Lui pense qu’il a une démarche et une attitude neutre mais en réalité, il porte sur lui une aura sombre et inquiétante. Ses traits tirés ne présentent rien d’engageant et dès qu’il fronce les sourcils, il ne lui en faut pas plus pour faire comprendre qu’il est plus qu’agacé. Beaucoup diraient qu’il coule sur lui comme une énergie dangereuse, une ambiance qui refroidirait le plus chaud des hammams.
◊ Droitier ou gaucher : Il est gaucher et écrit particulièrement mal.
◊ Manie : Il se passe la main dans les cheveux, il clope comme un fou, il a quasiment tout le temps les sourcils froncés, il peut pas s’empêcher de ne pas baisser la tête quand il regarde les gens d’en bas, il se craque les os des doigts en permanence, il se frotte les mains… bref, autant de choses qui montrent son tempérament nerveux et un peu excessif.

Couleur des cheveux

◊ Longueur et type des cheveux : Waclaw a une coupe undercut lui donnant cet air militaire intransigeant, ne laissant pousser ses cheveux que sur le dessus qu’il rabat en arrière de manière très stricte. Il semblerait que leur nature soit assez raide mais il ne les a jamais trop laissé vivre leur vie pour le savoir.
◊ Couleur des yeux : A l’origine, le polonais a les yeux noirs. Mais un violent coup dans sa jeunesse au niveau de la tempe, lui a fait blanchir son œil droit. Il ne le cache pas, ça fait partit de lui, mais il se retrouve avec deux yeux bicolores, l’un noir et l’autre bleu très pâle à la pupille constamment dilatée.
◊ Forme du nez : Un nez pas, un peu épaté mais à l’arrête très fine, disparaissant entre ses deux yeux.
◊ Particularité : Outre ses yeux involontairement vairons, Waclaw est presque aveugle de son œil bleu. Il a d’ailleurs porté un cache-oeil pendant une bonne partie de sa jeunesse pour préserver le peu de vision. Mais c’était peine perdue.
Également, son corps est marbré autant de cicatrices que de tatouages -ici, par là et là- qui ont, pour lui, tous une signification que ce soit en rapport avec sa mère, sa vie, lui-même ou sa psyché. La plupart sont d’ailleurs rédigés dans une langue qu’il affectionne et qu’il considère comme maternelle, le japonais. Enfin, il est trilingue.

Once upon a time...

-Hayden, Hayden, Hayden… Combien de fois devrais-je te le répéter, hein ?

Le type attrapa les cheveux de jais du polonais pour lui faire redresser la tête. Il aimait qu’on le regarde dans les yeux. Du nez et de ses lèvres, coulaient un liquide carmin dont les éclaboussures se trouvaient encore sur l’arme que tenait le chef. Au bout de quelques secondes à peine, les gros doigts lâchèrent leur prise en repoussant le blessé. Lentement, le grand corps véreux fit volte-face, ses pas foulant nonchalamment le carrelage de la pièce en sous-sol.

-Tu vois dans la vie, il faut toujours avoir une baguette et une barre-à-mine car étrangement, la barre-à-mine laisse moins de traces.

Deux hommes tenaient Hayden pendant que celui-ci était en train de se faire battre par le patron de l’organisation magique secrète. Deux gros gorilles l'empêchaient de se protéger des heurts qu'il recevait de plein fouet.
Fils de troll.
Dire que Hayden détestait cet individu n'était qu'une douce poésie qui ne reflétait en rien la réalité. Chaque jour, il le rêvait mort, gisant sur le sol, à ses pieds.

-A trop penser à mon cadavre, ce sera le tient qui gira par terre.

Les narines d'Hayden s'étaient dilatées une première fois sous la douleur de la Legilimancie de Varga, puis une seconde fois quand une de ses côtes s'est bruyamment brisé, accompagnée par l'étouffement d'un cri sortit de ses lèvres. La sueur qui perlait sur son front et sur ses joues, emmenait la poussière terreuse, faisant s'éclater le tout sur le dallage.
Il fallut que le polonais tombe dans l'inconscience pour que le patron ne cesse de le violenter, après plusieurs minutes, peut-être une heure, s'apparentant à de la torture.

△△△

Je suis né d'un dans une ville polonaise quelconque où le nombre d'habitants chute chaque année. En voyant la misère les étreindre à chaque hiver passer ici bas, mes parents ont du faire un choix : déménager. Ma mère est polonaise, mais toute sa famille est morte de maladies et cancers incurables. Mon père en revanche, japonais et particulièrement entouré, connait beaucoup de monde dans son pays natal. Si à ma naissance elle me parlait polonais et lui japonais, il vivait depuis assez de temps en Pologne pour parler à ma mère dans sa langue maternelle. Mais voilà que l'opportunité de déménager les saisit et que nous partons, quand j'ai eu trois ans, dans le pays du soleil levant.
La vie y est différente, mais elle n'y est pas mauvaise. Je vis entouré et heureux d'être là-bas. Ma mère n'est et n'a jamais été dans son élément, mais elle n'a rien dit. Tant qu'elle pouvait rester aux côtés de mon mon père, c'était tout ce qui comptait. Ce dernier, d'ailleurs, a fini par subir la même affliction finalement que la famille de ma mère : une maladie incurable et violente le fauche à quarante ans, laissant sa femme seule.

Il ne fallut pas un an pour qu'elle fuit le Japon. Sa belle-famille devenant toxique et la rejetant dès qu'elle le pouvait, m'ignorant au passage, n'a pas aidé à la faire rester. Ma mère était de plus en plus malheureuse et la décision de partir vint d'un ami à elle, qu'elle appelait souvent. Si elle allait en Angleterre, il la mettrait en relation avec quelqu'un qui pourrait l'aider.
Destination : Londres.

△△△

Hayden rajusta la fourrure qu'il avait sur le dos et s'enfonça dans la sombre forêt qui bordait Poudlard. Il entama une marche d'abord en lisière, avant de tourner sous la frondaison de quelques arbres et ce, jusqu'à arriver à un petit point d'eau. De là, il sortit sa petite baguette vrillée. Ce bout de bois représentait beaucoup pour lui mais autant dire qu'il ne savait pas le manier. La magie, il ne l'avait pas apprise à l'école, ou dans les cours du soir non.

Varga. Un homme chaleureux, propre sur lui, vraiment avenant, qui saisit la mère d'Hayden dès son arrivée en Angleterre, sous les bons conseils d'Eduard, le fameux ami.
Varga s'était présenté comme un entrepreneur qui voulait étendre son entreprise pour ouvrir une succursale en Ecosse. Hayden avait présenté quelques fébrilités magiques et sa mère, Moldue et pieuse, avait pensé à l'emmener à l'église. Mais rien ne se passait et l'enfant continuait de briser des objets sous la colère où de faire pleuvoir un petit nuage sous la tristesse. Il faisait plus peur que mal et sa mère voyait en lui un objet diabolique. Elle ne cessait de lui répété dans leur langue maternelle Tu es l'ancre dont le Diable se sert pour nous faire du mal, mon fils ! Mais Waclaw, il comprenait peu tout ça. Il courait, il grandissait, il se battait, il essayait de s'en sortir et lorsque Varga fit son entrée dans leur vie, et celle de dizaines d'autres personnes, ce n'était pas par hasard.

Il proposa un compromis à la mère : il leur trouve un toit, de la nourriture et de quoi s'habiller mais en échange, ils devront travailler pour lui, pour lancer cette entreprise. Techniquement ils n'étaient pas en position de négocier car sans papier, ils n'étaient personne. Ca a été si doux d'accepter cette offre alléchante. Une mère Moldue qui travaillait dans un sous-sol dégueulasse pendant que son fils se faisait enseigner la magie.
Quelle comédie, pensa Varga.
Quelle tragédie, pensa Hayden.

Et voilà qu'aujourd'hui il se retrouvait dans la forêt interdite, à se concentrer pour formuler un Patronus en espérant qu'il ne sorte de sa baguette un peu plus que des étincelles similaires à un pétard mouillé.
Et si maman me voyait, que dirait-elle ?
Elle pleurerait. Parce que maman, elle pleure tout le temps.

△△△

La magie, je l'ai apprise à travers un océan de haine et de violence qui s'est traduit par des coups, des jurons, des insultes et ce genre de joyeusetés qui font aujourd'hui de moi un pourri. Je suis un fruit gâté et même pas beau de l'extérieur. J'ai des os fêlés et mal recollés, un œil aveugle, des cicatrices et des brûlures. Je suis similaire à un enfant des rues et je n'aspire à rien d'autre. Varga m'a prit sous son aile, résultat : je n'ai appris que bien plus tard que la magie noire n'est pas une forme de magie légale et totalement courante. Nous défions, encore à l'heure actuelle, le Ministère et tout ses départements. Et moi, je suis un des agents de ce patron si propre sur lui en dehors de l'Organisation, mais si malsain une fois entre ses murs. La seule bonne nouvelle à tout ça, c'est que j'ai réussi, après dix ans de bons et loyaux services de notre part, à sortir ma mère de ce trou à rats. Je lui ai trouvé une maison avec un jardinet et j'ai demandé à rembourser sa dette. Bien sûr, elle s'est bizarrement rallongée mais je m'en fous, tout ce que je veux c'est la sauver, la faire se reposer. Beaucoup pensaient que, pendant un temps, j'étais le grand prodige du patron. Il y avait des coups bas, une jalousie latente, et un jour tout s'est effondré. On a eu un retour de flamme, une taupe dans le terrier qui nous a jeté aux griffes du Ministère. Ca ne s'est passé qu'une fois, on s'est battu comme des chiens et on a fuit en Angletter, du côté de l'allée des Embrumes. Ma mère n'était déjà plus là et tant mieux ! Comme beaucoup d'autres Moldues, elle serait morte dans la rixe. Nous avons perdu des hommes mais Varga était un entrepreneur plein de ressources et retrouver des minots du côté Londonien n'aurait jamais été un problème pour lui.
Et c'est à peu près à cet instant qu'elle est arrivée.

△△△

Hayden avait seize ans. Il rentra comme un furieux dans le bureau de Varga, hurlant comme un forcené, strié de noir sur sa peau blanche. Il criait de rage, de colère, insultant ce bienveillant patron. C'était trop. Ce qu'il faisait subir à sa mère, ce qu'il lui faisait subir à lui, toute la violence et la haine conjuguées devaient sortir et c'était ce moment là que le gamin choisit. Pauvre gosse... Il n'eut aucune réponse à ses questions, juste un flot de douleur supplémentaire. Il compris ce qu'était un Endoloris et Varga l'emmena avec lui sur une mission où, pour la première fois, il vit l'éclair vert qui tuait instantanément. Il avait peur. Peur de ce qui était en train de se passer en lui et devant lui.
La magie noire, ce miel délicieux à l'ingestion qui se transforme en poison à la sortie, coulait dans ses veines et transpirait par tous les pores de sa peau. Son utilisation s'était matérialisée, chez lui, en noircissant d'un coup les veines principales de ses mains et de ses bras. Il avait abusé de cette magie puissante, qu'il utilisait de manière brutale, ordonnant à sa baguette plus qu'en travaillant avec et il avait fallut que ça se retourne contre lui. Il en avait gardé les stigmates pendant plusieurs semaines, comprenant qu'il fallait qu'il arrête de ce servir de ce qui était interdit. Alors il développa son autre magie. La magie classique, qu'il n'utilisait que peu. Pourtant, la nuit, une douce mélodie, une voix onirique et sublime l'appelait, l'incitait à plonger. A replonger, dans les méandres et les maëlstroms de la vilénie créée par les Sorciers au cœur noirs.
A ce titre, il connaissait la piètre histoire de ce raté de Voldemort en long en large et en travers et quand Varga s'occupait de ses protégés il les comparait à la médiocrité de ce soit disant Seigneur des Ténèbres impulsif et idiot. A l'écouter, lui était bien plus malin et insidieux. Si insidieux qu'il avait été plus que prévenant : il n'avait jamais fait identifié Hayden au Ministère et plus encore, il avait placé des sceaux noirs sur lui pour toujours savoir où il était et qu'une potentielle Trace ne le suive jamais.

△△△

La cendre vole sous une légère et soudaine brise et brûle à peine de ses petites braises mon bras nu. Je reste là, à continuer de fumer, sans me lasser du ciel dégagé et plein d'étoiles. Allongé sur la table en bois mitée -plus petite que moi- qui se trouve juste à côté de ma cahute de garde-chasse, je prends le temps de fumer une cigarette salvatrice qui manque par deux fois de m'immoler. Peut-être bien que je le mérite après tout. Je laisse faire et je verrai ce que le sort me réserve.

Maman est à l'abris à Londres, Varga n'a plus besoin d'elle. Mais il a besoin de moi.

J'ai trouvé ce boulot à Poudlard depuis un moment. Cette couverture est devenu en fait bien plus qu'un leurre à mon sens. Ca doit faire presque dix ans que je suis garde-chasse dans cette école haute en couleurs. Ce bâtiment qui enseigne à toutes ces têtes pleines comment bien se servir de la magie. Pas comme moi. Pas comme nous. La journée je porte des gants et des chemises longues. Je cache l'entièreté de mes tatouages trop Moldus et surtout, trop... Japonais. Les phrases de mon père, les poèmes de ma mère, les mantras qui coulent dans mes veines... Tout ça ne regarde personne à par moi. Et puis a quoi cela servirait ? A rien. Comme tout ce que je suis en train de faire. C'est pathétique. Je suis pathétique.

Je jette la cigarette après l'avoir écrasé et je frotte mon visage de mes deux mains. J'ai encore l'impression d'être dans ce cercle vicieux duquel je n'arrive pas à sortir. J'ai beau me démener, je ne sais pas quoi faire pour me tirer de là. L'Organisation a prit une ampleur qui m'a vite dépassé et maintenant, Varga ne fait même plus attention à moi. Sauf quand il a besoin de se défouler mais ça, c'est autre chose. Je suis un agent, comme tout le monde, j'œuvre la nuit plusieurs fois par semaine. Il s'est trouvé d'autres protégés et continue de grandir et d'étendre sa maladive influence. Et je ne sais pas éteindre ce brasier qui prends feu et qui tue un peu plus de monde chaque jour. J'ai l'impression que c'est un miasme, une solution insoluble. Ca brûle en moi et pourtant, rien ne sort. Mes émotions sont bloquées par la barrière de mon corps et de ma tête, et ne traduit de moi qu'une image aphasique d'un homme qui ne fait que passer. Je n'ai pas de perversion, je suis juste un névrosé qui à un besoin autant de tuer que de sauver, mais je ne cours pas après la richesse, le pouvoir, les femmes ou même le temps. Je n'ai pas d'addiction réelle non plus. Et quand j'aligne tout ces éléments, je n'arrive pas à comprendre là où le bat blesse, le levier inaccessible qui fait que je n'arrive pas à me sortir de cette situation. J'ai beau fuir, je n'ai nulle part où aller. Et je ne vais nulle part. Et ce qu'il se passe c'est que mon point de chute est toujours le même : Varga.

GIF pour le Yearbook

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Scarlett Faith Blackmore

feat. Chrissy Costanza

Carte de Sorcier

❯ ASCENDANCE : Sang-pur
❯ DATE DE NAISSANCE : 14 avril 2004
❯ NATIONALITÉ : Anglaise
❯ CLASSE SOCIALE : Riche
❯ TAILLE : 155 cm

Scarlett a tout de l'ingénue naïve par excellence. Un petit corps svelte à peine fini d'être formé, un visage doux comme une fleur, aux yeux en amande plein de joie de vivre. Bien que leur couleur noisette soit particulièrement banale, la petite étincelle qui se distingue donne à ce regard une vie étonnante. De même, ses traits restent pour le moment très poupons, comme si elle n'avait pas encore fini de grandir, de s'assagir. Petite, ne dépassant pas le mètre soixante, elle se voit affublée de mains et pieds très soignés. Des cheveux châtains bien entretenus et souvent coiffés en une tresse, relevée en chignon élégant. Depuis assez jeune, elle use d'un sort pour les rendre rose sur les longueurs, adoucissant encore plus son être déjà éthéré. Ses habits sont malgré tout colorés bien qu'assez pastels, oscillant entre verts, rose et bleu. Les robes et tenues qu'elle porte sont composées de tissus en flanelle, mousseline, soie et autres matériaux nobles.

La jeune femme n'eut pas une vie trépidante. Sa mère l'éleva comme une riche héritière bien que, sans illusion, tout le monde savait que c'était son frère aîné qui reprendrait la tête du domaine et de cette branche de la famille. Pourtant, cette génitrice tint à lui donner une éducation parfaite et ultra rigoureuse. Elle souhaitait éduquer une lady, la forcer dans un moule, pour qu'elle brille en réception. Malheureusement, Scarlett étant trop curieuse et un peu trop fouineuse aux yeux de la famille, elle n'hésite jamais à s'échapper pour franchir les barrières qu'on lui impose. Sa naïveté fait d'elle quelqu'un de crédule et influençable aux premiers abords, et il lui faut du temps pour réfléchir dans certaines situations. La petite est particulièrement impliquée dans ce qu'il lui arrive ainsi que tout ce qu'il pourrait arriver aux autres, peut importe leur race. A son niveau, les clivages ethniques et sociaux n'ont que peu d'ampleur dans sa petite tête. La guerre n'a rien apporté et Scarlett ne s'en ait pas vu plus mûrie. Écartée du front et des horreurs, pour elle, ce fut comme s'il ne s'était rien passé, ses parents l'ayant bien éloignée de tout cela...

Min Jae-Hwa

feat. Woo Do-Hwan

Carte de Sorcier

❯ ASCENDANCE : Né-moldu
❯ DATE DE NAISSANCE : 12 novembre 1994
❯ NATIONALITÉ : Coréenne
❯ CLASSE SOCIALE : Sans abris
❯ TAILLE : 180 cm

--A venir--

Sherilyne C. MacMillan

feat. Nlake Lively

Carte de Sorcier

❯ ASCENDANCE : Sang-pur
❯ DATE DE NAISSANCE : 22 septembre 1993
❯ NATIONALITÉ : Anglaise pure souche
❯ CLASSE SOCIALE : Riche

Le soleil darde les brins d'herbe, d'habitude gras, les asséchant un peu plus chaque heure. Le vent emmène le pollen des fleurs et des arbres, transportant avec lui la maigre fraîcheur de la journée et les fragrances de tout ces parfums naturels. L'odeur de l'acacia est très présente, sa sève coulant de quelques branches rompues, imbibant le sol sec de son suc. Sherilyne, cachée à l'ombre de ce vénérable feuillage, écoute la terre lui parler. Les yeux fermés, allongée sur l'herbe qui a survécu aux ravages de l'astre solaire, elle discute grâce à son corps. Sa respiration est lente et ses oreilles ne captent que les bruits environnants. Si bien, qu'elle finit par distinguer des petits pas, comme un enfant qui s'approche avec discrétion.

Pétal se tenait là, ses oreilles dressées comme un lapin, attendant patiemment que sa maîtresse la remarque. L'adolescente bougea, s'étira puis finit par ouvrir ses paupières sur un monde dont elle adorait chaque aspect. L'odeur de l'été était caractéristique pour elle et jamais elle ne s'en lasserait. Elle tourna alors la tête, enfouissant malgré elle son visage dans le blond de ses cheveux. Dès qu'elle croisa le grand regard jaune de l'elfe, celle-ci se mit à parler. Sa voix était fluette, comme son corps.

« Maitresse est si jolie ! »

Sherilyne sourit et se redressa.

« Regarde ce que je t'ai fait ! »

Pétal s'approcha timidement mais avec un grand sourire, les mains dans le dos. La sorcière, elle, attrapa la couronne de fleurs et de branches d'herbes, la faisant glisser le long des oreilles de la créature pour qu'elle se pose sur sa tête. Un sourire illuminait son visage.

« Et elle est assortie à ta robe fleurie ! Regarde... »

Tirant sa baguette, elle projeta le reflet de la servante pour qu'elle s'admire. Pétal avait du mal à se regarder et à se réjouir de ce dont la maitresse la vêtissait. C'était maitresse qui devait porter des choses comme ça, pas elle. Alors la peau dure de ses joues rosissait un peu et elle la remerciait avec beaucoup de gêne après quelques œillades dans ce miroir magique.

« Monsieur votre père vous fait demander. Il est dans son bureau. »

Sherilyne remercia l'elfe avant de traverser le domaine parental sous ce soleil de plomb. Une fois la porte fenêtre de la terrasse passée, elle sentit la fraîcheur magique de l'intérieur lui procurer un frisson désagréable. Le chemin jusqu'à la pièce ne la réchauffa pas tellement et elle n'avait qu'une hâte, qui était celle de sortir à nouveau.

Doucement elle toqua puis entra lorsqu'elle entendit le signal. Le sourire aux lèvres, le pas dansant, elle vint s'asseoir face à son paternel à la mine un peu plus fermée. Il était perturbé. Dans des termes châtiés et avec un allant diplomatique, il expliqua à sa fille qu'elle était en âge. Mais que signifiait être en âge en réalité ? La sorcière finit par comprendre, en lisant entre les lignes, qu'il fallait qu'elle prospecte pour se trouver un prétendant de choix. Sa famille n'était pas comme toutes les autres, à imposer un prince quelconque et non désiré car on savait tous comme cela finissait. Non, son père lui laissait donc le loisir de se trouver -de préférence un Sang-Pur, tant qu'à faire- avec qui elle se sentirait de bâtir sa vie et sa petite famille. Il avait évidemment des noms si elle manquait de ressources et avait jusqu'à ses vingt ans. Sauf que six ans c'était trop peu pour elle et malgré tout l'amour qu'elle ressentait pour sa famille, ce genre de semi-tradition lui fit perdre toute joie et tout sourire. Cette figure autant paternelle que patriarcale voulait-elle que sa fille s'éteigne ? Quelque chose paraissait impossible.

Sherilyne sortit de là, quelques peu abattue.
Ses pas l'emmenèrent devant le petit salon où sa mère passait le plus clair de son temps. Une grande femme aux cheveux châtains clairs, à la voix chantante et forte, qui se réjouissait de tout. A n'en point douté, Sherilyne avait prit d'elle pour une majorité de son caractère. Emma était à son poste de couture magique où, à coup de baguette et de balance de pied, elle cousait quelques frusques. De la musique retentissait dans un coin de la pièce, entre coupé de nouvelles du monde magique. En effet, le phonographe posté sur une commode allait de son petit commentaire sur ce qu'il se passait pendant cet été en l'an 2007.

« Bonjour ma Sheri, comment vas-tu ? »

L'enfant se laissa tomber sur une méridienne, soupirant de toute son âme. Sa mère se leva en voyant cette attitude, arrivant auprès d'elle, s'apprêtant à la consoler.

« Papa veut que je trouve un sorcier avec qui ça vaut le coup de me marier. Je n'en ai pas trop envie... Je suis bien ici avec toi et Pétal. »

La main maternelle vint caresser les crins de blé, exultant quelques mots non sans se départir de son sourire doux et aimant. Elle conseilla à sa digne fille de se plonger dans les études, de vivre sa vie pendant les six prochaines années. Si elle entame une carrière fulgurante dans un métier passionnant, prenant et que son père estime, il lui fichera la paix sur le potentiel mari. Oh bien sur, il s'inquiètera, mais ses cheveux blancs il se les fera seul et silencieusement.

Sherilyne sauvegarda l'information dans sa tête, c'était sa porte de sortie.

« PÉTAL ! Pétal dis moi que tu vas bien ?! »

Sherilyne se jette au chevet de l'elfe étendue au sol. La créature est gravement blessée et au bord du coma.

« Je vais te soigner ! »
Maitresse ! Atten...

Un sort violent traverse la pièce. Immédiatement, la sorcière se relève et se pare d'un Protego pour les protéger à toutes les deux. De l'ombre sort un individu à la tenue sombre, le visage à moitié caché, un rictus infernal sur le visage.

« MacMillan, enfin... je peux dire que ton esclave t'ai loyale... »

Il a la voix sifflante, traînante, malsaine. Quelque chose en lui dérange Sherilyne qui, pourtant, se tient droite.

« Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? »

Baguette baissée, comme en confiance, le sorcier cruel commence à faire lentement le tour de la pièce, jamais sans tourner le dos cependant.

« Certains de mes trésors sont en ta possession. Et il s'avère qu'une médicomage ne serait pas de trop dans mes rangs. »

La voix de Sherilyne se raffermit.

« Partez d'ici ! Les autorités sont déjà en route, ils vous attraperont comme une souris dans une cage ! »

Le rire de l'homme était répugnant.

« Ne me menace pas idiote... »

Du bruit dans le couloir attire l'attention des deux sorciers alors que le vent vient déranger les cheveux de la laborantine et la longue robe du criminel. Il n'a aucun signe distinctif, elle ne peut mémoriser que sa voix et sa démarche.

« Je reviendrai te chercher. »

Et dans un bruit de tonnerre il disparait.
Trois voisins entrèrent en trombe chez la sorcière dont la porte d'entrée était complètement branlante et entre ouverte. Il s'inquiétèrent d'elle alors que pour sa part, elle se rua sur son elfe. Pétal ne devait pas mourir, pas comme ça ! C'était trop injuste ! Ce sorcier... il était dangereux et il souhaitait quelque chose qu'apparemment elle détenait. Sherilyne n'avait aucune idée de ce que cela pouvait être et elle s'en fichait, elle voulait juste voir son elfe rouvrir les yeux.

Pour l'intérieur, c'était en branle. Il manquait un morceau de mur qui menait sur le vide de la rue en contrebas, les affaires, meubles, bibliothèques, étaient explosés, éclatés partout par terre, les oreillers éventrés avec des plumes gisant au sol auprès d'autres marques qui étaient le sang de Pétal. Les larmes de la blonde venaient nettoyer le visage de la fausse lapine. Les voisins, pour leur part, regardèrent au plus rapide pour essayer de remettre le mur en place. Ce malade était rentré en force et avait mis la maisonnée à sac. Ce cocon cosy était aujourd'hui le lieu d'un crime et d'un cambriolage.

Pétal finit par s'en sortir, non sans quelques séquelles. Sherilyne la renvoya à la demeure familiale, là où elle sera bien plus en sécurité. C'était une mauvaise idée de l'emmener ici avec elle et pourtant...
Elle porta plainte, elle passa des jours à ranger sa maison, le désespoir à l'âme, et à faire quelque cauchemars la nuit. Les journées se rallongeaient alors que ses nuits se raccourcissaient. Et puis elle finit par sombrer.

Il y avait eu cet étranger qu'elle avait croisé une fois. Ils ne s'étaient rien promis, c'était nouveau pour elle et quelque part, ça lui faisait du bien. Sherilyne n'avait pas besoin de se sentir être quelqu'un elle voulait simplement être en sécurité. Et dans ses bras il y avait une forme de sécurité bien qu'elle soit brute et franche. Il ne parlait pas de lui et elle ne parlait que peu d'elle. Ils ne s'échangeaient finalement pas grand chose si ce n'était quelques soupirs avant de se quitter avant le lever du jour. Depuis, il restait toujours plus ou moins dans sa vie. Parfois il s'imposait, parfois il disparaissait. Il ne lui manquait pas, elle profitait simplement de l'instant présent et ça lui allait. Etrangement, elle lui devait au moins ça. C'était lui qui la fit se sentir à nouveau en sécurité chez elle. Bien évidemment, la sorcière apprenait de ses erreurs et la demeure ne fit que se faire renforcer de bien des sorts de protection pour être sûre que ce tragique évènement ne se reproduise pas. Jamais même.

Cependant... elle cherchait encore ce qu'étaient ces trésors.

Sainte-Mangouste est en effervescence. Le bruit résonne dans les couloirs alors que d'autre part, des alarmes magiques retentissent pour appeler certains médicomages. Sherilyne se fraye un chemin à travers les premières coursives avant de déboucher sur une petite pièce exigüe. Là, elle enfile rapidement sa tenue de travail, avant de reprendre sa route vers son laboratoire. Au fur et à mesure que ses pas la dirige vers l'aile approprié de l'hôpital, une appréhension lui saisit l'estomac, lui donnant de la difficulté à déglutir. Et si ce n'est pas juste un brouillard ? Et si autre chose se cache derrière ? Aucun autorité n'a pu venir à bout de ce mystère et ce n'est certainement pas eux qui vont dénouer cet imbroglio d'inconnues.
Seul le son de ses pas résonne alors et un sentiment de solitude l'envahit. Vont-ils seulement s'en sortir ? Cette terreur dure depuis le mois de juin et aucune recherche n'a été fructueuse. Elle a accompagné ses collègues, travaillant jour et presque nuit dessus, en vain. Sa torsion nerveuse lui fait avoir la chair de poule et le cri qui retentit dans un couloir annexe la fait anormalement sursauter. Sherilyne est à cran. Son sourire n'est qu'un souvenir et son air détendu également. La ride du lion se creuse sur son front et malgré son optimisme, son moral est au plus bas. Toutes les potions qu'elle a confectionné, toutes les études qu'elle a lu et faite, tous les essaies qu'elle s'est employée de faire fonctionner... rien n'a marché. Son laboratoire qui, d'ordinaire, est son petit cocon de réussite personnelle n'a pas sur, cette fois-ci se montrer à cette hauteur. Ou peut-être est-ce simplement elle ?

Alors qu'elle passait une arche, un homme -du même âge que la sorcière- se flanqua à ses côtés. Ses cheveux courts et grisâtres étaient peignés en arrière, complètement assortis à sa barbe finement taillée. Le tout lui donnait une certaine allure, voir un charisme évident. Il était un peu plus grand que le blonde et savait que son sourire en faisait tomber plus d'une... pour qui y était sensible. Pour Sherilyne, ce n'était qu'un très bon collègue de travail, pas plus. Il était marrant sur certains aspects, mais il n'avait pas l'étincelle qui la faisait sourire à outrance. Nul ne doutait qu'il avait attendu l'arrivée de la blonde pour pouvoir l'intercepter à ce même moment, tout en faisant mine d'aller au même endroit qu'elle pour rendre un dossier.

Frans lui parla du Brouillard et des malades. Elle échangea avec lui en communiquant ses inquiétudes mais rien de probant ne sortit. Non, au contraire, elle se retrouva à devoir réfléchir sur son emploi du temps de demain au soir. Frans a lourdement insisté pour l'inviter au concert d'un pianiste qui serait, apparemment, un vrai prodige. Sherilyne eu beau se débattre en lui disant que ce n'était pas vraiment le moment au vu de la condition actuelle du pays, il lui retorqua qu'il n'y avait pas de honte a vouloir se détendre et passer une bonne soirée. Elle avait haussé les épaules, ne sachant que lui dire si ce n'était qu'elle allait y penser et qu'elle lui donnerait sa réponse demain.
Mademoiselle MacMillan n'avait pas envie de devenir madame Brumberg, qu'il se le tienne pour dit !

Mer 15 Sep 2021 - 11:10

RE Bienvenue ici ! :ptitcoeur:

Han làlà je sens qu'il va donner ce personnage ! J'espère le croiser un jour en rp ! :coeur4:

Mer 15 Sep 2021 - 11:22

Omg il a l’air tellement incroyable

J’ai trop hâte de lire la présentation au complet !

Mer 15 Sep 2021 - 20:13

Bonjour, vous.

Jeu 16 Sep 2021 - 9:30

Waaaah mais dis donc les copains merci à vous pour l'acceuil :crush:

Ven 17 Sep 2021 - 21:19

HOUUUUUUU Miyavi !!!!
J'ai VRAIMENT hâte de rp avec toi **
QUEL DOMMAGE QUE TU SOIS PAS UN ELEVE DAAAAAMN T_T
Bienvenu quand même !
S. Waclaw Hayden Tuszynski 1f343

Ven 17 Sep 2021 - 21:48

Bienvenue avec ce perso beaucoup trop badass olalalala :superyes:

Des bisouuuuuuus :superyes:

Dim 19 Sep 2021 - 16:47

Oof, cette personnalité pour ce vava... mamamiah, j'ai trop hâte de voir ce que tu vas en faire ! Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche Sisi ! :coeur1:

Dim 19 Sep 2021 - 19:26

Sympathique en effet fufu ^^

Lun 20 Sep 2021 - 7:28

(tellement classe ce smiley mais il parle a lui tout seul) Déjà hate de voir ce que tu vas faire avec lui :coeur3:

Lun 20 Sep 2021 - 23:23

Hello hello Waclaw!

Bienvenue parmi nous! J’espère que tu vas t’amuser :)

Mar 21 Sep 2021 - 11:34

Je suis méga motivée grâce à vous les amis, merci à tous pour votre accueil chaleureux je ne pensais pas que Hayden ferait tant d'émules ! Merci beaucoup

Ven 24 Sep 2021 - 9:48

Tu es validé(e) !

Bienvenue chez nous :fire:

Bienvenue @Waclaw H. Tuszynski chez les Professeurs !

Maintenant que tu es validé(e), tu peux visiter et remplir les sections telles que les relations de ton personnage, son journal de RP ou encore son grimoire où il peut déverser toutes ses idées !

Si tu es professeur, n'hésite pas à consulter le registre des étudiants pour t'organiser. Encore une fois, c'est optionnel.

Enfin, n'oublie pas de remplir les champs de ton profil et générer ta fiche de sorcier. Si tu as besoin d'aide, la boîte MP des admins est ouverte ainsi que le Discord du forum.

Nous n'avons plus qu'à te souhaiter un très bon jeu parmi nous o/