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[Chambre] A cause d'un hibou [pv] Empty [Chambre] A cause d'un hibou [pv]

Lun 4 Mar 2024 - 7:23
Hélios D. Ellis
Spécialiste
I - Élève
Hélios D. Ellis
Année d'étude : Première année
Singularité : Animagus non déclaré
Orientation : Boiz&Girlz
Statut civil : Helios : se complait des plumes d'un aiglon / Elhiya : en couple avec le prof d'EDM
Activités : Membre de la meute bancale de la forêt interdite, assassin de sucreries, anciennement batteur aux Quidditch à Durm, ancien poufsouffle

Pa Elhiya

DC : Léto P. Carrow, Declan Wildford

Carte du sorcier
Malle à Objets:
Baguette:
Et aussi:
PA - Elhiya D.Ellis- A cause d'un hibou


Il n’avait rien dit, juste suivi, comme si c’était elle qui avait initié cette entrevue dans un endroit non approprié, comme si c’était elle qui avait à discuter, comme si…. Pas de si ! Les mèches d’or se secouaient de gauche à droite pour éviter d’extrapoler une fois de plus la raison de leur présence en ces lieux. La clé glissant entre les deux verres à pied sur le plateau doré confié tintait joyeusement contre les contenants échappant des cœurs roses. Même l’aspect graphique qui accompagnait la montée des escaliers semblait non naturelle. Tout semblait une grotesque mise en scène où elle était là pour jouer les figurants impatients. Dur de faire croire que les talons claquaient sereinement, ou que les mirettes pétillaient de malice en scrutant la porte au lourd bois gravé comportant le numéro identique à celui de la clé.

Inspirant profondément, cherchant à imaginer quel lieu serait plus amène à une discussion sereine avec le jeune enseignant, Elhiya marqua un arrêt de quelque seconde. Tout ce qu’il voulait c’était parler et vu le temps employé dans la lettre lui demandant d’oublier ce qu’ils avaient pu vivre ensemble, un endroit neutre et aseptisé ne pouvait être que conseiller. L’image de la salle d’attente de sainte Mangouste se dessinait à son esprit, dans bien trop de détail pour éviter l’odeur des détergents qui s’échappait de sous la porte. Le petit nez frétillait de réprobation, c’était trop, et clairement représentant un cocon personnel où elle seule pouvait évoluer avec confiance. Les patients n’aimaient que rarement, et Teddy n’était pas un patient.

Soupirant doucement, et abdiqua, ne pouvait faire face aux images du passé lui rappelant les fois où ils avaient pris le temps de papoter joyeusement au coin du canapé ou au bord d’une rivière. Malgré l’affliction mémorielle de la potion de régénération loupé, tout ce qui avait été créé avec Teddy était parfaitement intact, nullement entaché par la moindre migraine. Capricieuse psyché bien incapable d’occulté que ce simple mois l’avait bien plus émerveillée que les dernières années en compagnie de son époux encore disparu. Le cœur lourd, s’étouffant de tout ce qu’elle n’avait jamais accepté d’avouer, les petits doigts finir par mettre la clé dans la serrure et la tournait lentement déclenchant le loquet.  

La porte s’ouvrant sur une lumière chaleureuse tamisée et dansante. Un feu de cheminée ronflait tranquillement dans un âtre généreux faisant face à un vieux canapé aux contour de bois et l’assise moelleuse couverte d’une épaisse laine confectionnée de plusieurs petits carrés colorés cousus ensemble. Sans un mot Elhiya pénétra dans la pièce, petit sourire figé sur une de ses joues et inspiration profonde tachant de faire partir cette pointe au cœur. « Au final on a pas pris le temps d’aller au chalet d’hiver, alors… » Le choix n’était peut-être pas le meilleur, mais quitte à s’entendre dire que ce qu’ils avaient partagé était depuis le début une profonde erreur, autant que ce soit fait dans le cadre où les mots auraient dû être glissé. Leur rupture, si elle avait été faite correctement aurait dû se passer lors des de leur week end sous les flocons d’hiver. Autant rattraper le temps, ne serait-ce que pour ce détail.

Planté au milieu de la pièce qui n’en était qu’une seule et unique, les Lapis observaient silencieusement, ce à quoi aurait pu ressembler ces deux jours bercés par le silence de la poudreuse. Par les fenêtre en bois de gros flocon tombaient lourdement étouffant les cris des enfants, dans la cuisine ouverte une grosse cuillère en bois touillait ce qui semblait être un chocolat chaud à l’ancienne et le four faisait crépiter ce qui devait être des biscuits qui gonflaient doucement. C’était mignon, non dénué d’un certain charme, même cette fausse fourrure blanche jette sur les fauteuils épais invitaient à se lover dans les bras d’une des assises avec un livre. La bibliothèque d’angle coincée contre le mur regorgeait d’ouvrage de toute sorte, machinalement ses pas l’avait guidé vers les étagères pour laisser ses doigts parcourir et s’arrêter sur un appareil photo sorcier. Son esprit avait refait en détail tout ce qu’elle avait dans les brochures publicitaires de l’escapade amoureuse sauf la chambre et la salle de bain. Omission volontaire, Ils étaient ici pour discuter rien d’autre qu’importait ses petits doigts qui avaient voulu reprendre le cours de leur caresse à l’intérieur de la paume de sa main, peu importer les battements de cœur ratés quand il l’avait étreinte.

« Je t’écoute ? Que voulais tu me dire ? » Retour à ce qui les amenait ici très abrupte, se retournant vers lui, Lapis gelés posées sur ses cheveux plus longs et sa barbe non entretenue, lui donnant un air plus mature, en apparence… Inconsciemment la courbe des pétales de roses s’adoucissaient, trouvant que ce style lui allait particulièrement bien. Un peu trop même… Mais ce n’était point le moment de penser à ce genre de futilité, secouant la tête rapidement Elhiya se ressaisissait, croisant les bras.

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[Chambre] A cause d'un hibou [pv] Empty Re: [Chambre] A cause d'un hibou [pv]

Dim 10 Mar 2024 - 0:48
Teddy T. Lupin
Enseignement
IV - Directeur de la maison Poufsouffle
Teddy T. Lupin
[Chambre] A cause d'un hibou [pv] Jelsa-elsa-and-jack

Singularité : Métamorphomage
Orientation : Girlz
Statut civil : En couple...Avec une parent d'élève rajeunie et mariée et... Bref, c'est compliqué, mais le coeur tambourine beaucoup.
DC : Keith, Jordanaya & et Géronimo

Carte du sorcier
Malle à Objets:
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Et aussi:
A cause d'un hibou || ft Elhiya  :coeur2:   

Amer retour en arrière. Pas lorsque les deux âmes s’étaient retrouvées à égalité sur un plan physique et sentimental. Le voyage temporel l’emporta plus loin encore. Plutôt lorsque les mentalités se cantonnaient au classique schéma reliant généralement deux personnes de leurs âges respectifs. Quand sa timidité ne pouvait que faire pouffer la Ellis. Quand le silence n’était qu’un aveu mignon et acceptable de gène. Lorsque danger, adrénaline, aventure et entretien proche avec la mort n’avaient pas encore fait mûrir le professeur et son amourette d’adolescent en un jeune homme désireux de vivre plus que jamais sans jamais plus se brider, accompagné d’un amour devenu flamboyant.

À ce jour, à ce soir, à cet instant-la, Teddy venait de régresser. Les mots qui se perdaient, qui se répétaient dans des bégaiements dans la salle. Suivis dans les escaliers des silences qui s’installaient sous la gêne, face au cœur battant beaucoup trop fort sous une situation aussi intimidante qu’incroyable à revivre, en ressentant à nouveau les consœurs de ses doigts se serrer entre eux, avec toutes les sensations allant avec. Revoir Elhiya après tant de temps à l’avoir tenue loin de lui paralysait ses méninges, court-circuitant bien des choses. Le contexte n’aidait pas, les quiproquos dont il comprenait à peine l’existence non plus. Ce qu’il savait par contre, était qu’il ne souhaitait pas revenir tant que ça dans le passé. Il voulait juste reculer d’un pas, d’un an, oublier les douze derniers mois pour poursuivre ce que les deux anciens amants avaient entamé. Ce qu’il avait détruit en un rien de temps. Mais ça coinçait. D’avantage alors que l’image d’un foyer chaleureux à la montagne leur ouvrait les bras.

Une promesse périmée remontait à la surface, message subliminal de la belle, semblant de reproche sentimental à peine masqué à propos d’escapade qui avait conquis leurs cœurs et dont le projet s’était à peine dessiné avant d’être décimé. Un « c’est vrai » à la fois coupable et nostalgique s’échappait d’entre ses lèvres tandis qu’il pénétrait cette nouvelle chance. Observant d’abord la belle se perdre dans la pièce avant de s’y perdre à son tour, laissant les longs rideaux rouges retomber sur son passage et cacher la seule issue de pièce. L’intimité était la, loin du bruit, comme s’il n’existait plus. Teddy appréciait cette solution pour s’éloigner du mauvais choix qu’il avait fait. Elhiya sauvait les meubles, préférant les effleurer d’ailleurs que garder le dernier lien physique permis entre eux. Les longs doigts se refermèrent bientôt dans le vide pour palier la soudaine absence. Bref instant du passé ayant encore réveillé quelques douceurs d’antan. Bien vite disparu certes, mais l’instant qui suivait lui reoffrait finalement ce qui avait été le plus important, enivrant et envoûtant à ses yeux : le regard d’El’ sur Lui. Saupoudré d’un certain air, de commissures douces avec lequel il adorait être observé. Dommage qu’il était rappelé à la raison par la même occasion. Celle pour laquelle il doutait désormais depuis la lettre reçue il y avait peu.

Retour à la réalité, les pieds à nouveau sur terre, dans le présent, devant assumer leur présence ici, alors qu’il aurait bien fuit encore quelques temps. Le chocolat chaud lui chatouillait le nez, l’envie de s’emmitoufler devant le feu avec la couverture également, avec Elhiya à serrer tout contre lui. Mais pour ça, il fallait parler. Au minimum. Si un tel retour en arrière était possible. S’il n’avait pas gâché absolument tout.

« Je… » Pris au dépourvu comme un idiot dans le déni. Perdu dans ses pensées auto-critiques, Teddy tenta de se reconnecter au moment, perturbé par la beauté d’Elhiya qui lui retournait le ventre comme avant -ou bien plus maintenant, avec ses traits de vie retrouvés, avec ses traits sous lesquels il était tombé sous le charme. « On peut s’installer au moins ? On sera mieux..? » La main montrait le canapé, qu’il contourna bientôt pour s’asseoir dans un coin. Chaussures débarrassées à l’entrée, les jambes aux pieds libres se replièrent contre son torse sur le canapé, les entourant aussi bien pour les maintenir que pour se donner de la force. Les iris suivaient la belle du regard, attendant le moment propice, qu’elle s’installe ou non, sur le canapé ou pas, peut être sur l’un des autres fauteuils de la petite pièce. En attendant, les doigts tripotaient les plis de son pantalon, patientant avant de tenter de se lancer.

« Je t’avoue que… je ne sais pas ce qu’il se passe depuis quelques temps avec toi. Enfin, avec nous. Alors que c’était… de base… clos. » Les lèvres se pinçaient souvent entre diverses recherches de mots justes. « Et… autant j’ai cherché à t’éviter ces derniers mois… enfin, toute cette dernière année, pour t’oublier et essayer d’atténuer ce que je ressentais pour toi pour arriver à avancer, autant… ta lettre de décembre… » La voix douce, la diction lente, en pleine réflexion. Les perles bicolores n’osaient se poser sur elle, préférant suivre le propre jeu de ses doigts sur son pantalon. « M’a décontenancé. » La seconde également, allant dans le sens tout contraire. « Peut-être que j’ai lu entre les lignes des choses qui n’existaient que dans ma tête. Mais… je voulais en parler avec toi. Autrement qu’à travers des lettres que j’ai à peine le temps de lire. » C’était de sa faute après tout, c’était lui et lui seul qui chargeait son emploi du temps à ne quasiment plus trouver de moment pour faire autre chose que dormir. « Et auxquelles j’ai à peine le temps de penser ou de répondre. » Les astres se relevaient finalement, voulant voir ses réactions à elle, pour y déceler il ne saurait quoi. Ou peut être juste pour pouvoir avoir le luxe de l’observer après tant de mois sans la voir autre part que dans ses songes. Reenregistrer le plus de micro-détails. Avant de moins. Avant la fin? La dernière lettre lui restait sur l’estomac quand la première avait allégé son cœur. Il ne comprenait pas le jeu qui se tramait. Les deux lettres étaient contradictoires. Tout comme Teddy, d’une façon.

« J’ai envie de comprendre. Que… l’on gère vraiment ce chapitre de notre vie une bonne fois pour toute. Je sais que je dis ça alors que c’est moi qui avais mis fin à tout. Et dans la précipitation. » Fatigué quelque part, Teddy soupira et laissa sa tempe se poser sur le tissus du canapé, sans plus lâcher Elhiya. « C’est… pour ça que je t’ai proposé de se voir… malgré ta seconde lettre qui était étrange. Et qui m’a fait douter de tout ça… » Une grimace plus tard, il ajouta plus bas « Même si j’ai fais un peu n’importe quoi pour l’endroit. C’était pas très… adapté. Je le concois… »

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Yuhi (2ème)  &  Jasmin (Civil)  &  Wyatt (2ème)

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[Chambre] A cause d'un hibou [pv] Empty Re: [Chambre] A cause d'un hibou [pv]

Dim 17 Mar 2024 - 22:17
Hélios D. Ellis
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I - Élève
Hélios D. Ellis
Année d'étude : Première année
Singularité : Animagus non déclaré
Orientation : Boiz&Girlz
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Pa Elhiya

DC : Léto P. Carrow, Declan Wildford

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PA - Elhiya D.Ellis- A cause d'un hibou




Les effluves de crème et chocolat berçaient les pensées de ce qui aurait pu être, ce qui avait été et ce qui ne devait plus être. Le ronronnement des flammes dans la cheminée envoyait doucereusement des images vibrant que dans l’imagination nostalgique et la neige ne cessait de couvrir les vitres embuées. Ce week-end promettait de se confondre en douceur, relayant la vérité à une pure invention. Tout semblait si calme, si doux, si tendre, que le cœur se gonflait de ces heures volées au profit des bonnes conventions sociales. Un époux, un enfant, tout ce qui avait été arraché à sa mémoire avait imposé un revirement complet de situation mettant fin à leur amourette d’adolescent.  Emoi brulant encore au fond de l’esprit incompréhensiblement.

Le cœur serré, la Volonté serrait les dents, ne devant fléchir sous le timbre de sa voix brisée, ou ses requêtes hésitantes, acquiesçant juste à la proposition de s’assoir, de se blottir contre lui, de flanquer son nez dans son cou pour le chatouiller, de poser des baiser à sa peau coincée contre la chemise, de… prendre place sur le sofa, afin de ne malmener ses pieds dans ces si délicats souliers et… et inspirer profondément en le voyant prendre une position dite de réconfort. L’incompréhension rageait, lui seul était le responsable de cette ambiance malaisante, lui seul lui avait dit d’aller paitre au loin et l’effacer de sa mémoire, lui seul rendait les choses compliqués ce soir. Et pourtant l’arythmie dans le myocarde hurlait au supplice, demandant de le prendre dans les bras, de le serrer tout contre elle, de glisser ses doigts dans ses mèches foncées en lui chuchotant que tout irait bien, qu’importait ce qu’il y’avait.

Le regard brouillé d’un voile luisant fuyait, scrutant la danse hypnotique du feu, attention perturbée tachant de se concentrer pour écouter. Depuis quand était-il devenu si complexe d’entendre ce qu’il avait à dire, tout avait toujours été si facile, si évident, à quel moment échanger était devenu aussi étouffant ? Depuis quand ne savait-il plus exprimer ce qu’il désirait ? Les Lapis écarquillaient se retournaient brutalement, se heurtant à un visage baissé. Quelque chose clochait. Les sourcils dansaient, tachant de trouver la source du problème, laissant la bouche s’ouvrir et se refermer sans libérer la moindre parole. Etait-il en train de lui reprocher ses hiboux et de lui prendre son précieux temps occupé à atténuer des sentiments ? Etait-il vraiment en train de lui dire qu’elle gaspillait son énergie et le tout en scrutant les plis de son pantalon comme un mome incapable d’assumer ses propos ?

L’estomac se retournait désagréablement, tordant les entrailles dans cette douleur qui n’avait rien de doucereuse, offusquée et outrée d’avoir été appelée pour se faire houspiller comme une enfant. Le dernier hibou suffisait, pourquoi insister ? Inspirant d’un coup pour prendre la parole, les opales croisaient les mirettes à la lueur si particulière. Elles avaient l’air troublées, déroutant d’autant plus celles leur faisant face. « Le masque.. » C’était le masque qui gênait, qui rendait les choses irréelles, cette explication était la seule plausible. Elhiya retirait le sien, le posant délicatement sur le rebord du sofa redressant le bout du nez sur un Teddy confus. Ses mots n’avaient pas de sens, revenir sur la dernière missive envoyée, parler de la boite de nuit plus que tendancieuse, où cherchait-il à aller ? Rien n’avait de sens, ni l’invitation, ni ses baragouinements. « Ma lettre était étrange ? » Après quelques secondes de silence Elhiya esquissait une moue pour tenter de saisir ce qu’il avait essayé de lui dire.

Aussi loin qu’elle pouvait se souvenir il lui avait tout simplement fait comprendre qu’elle ne devait rien attendre de lui, peut-être s’était-elle juste trop vexée rapidement et avait mal interpréter ce que l’encre avait couché sur le parchemin. «  J’ai peut-être over-réagit à ta missive qui indiquait que tu n’avais pas le temps de répondre,  et que toute façon tu n’en avait pas à consacrer à aller boire un chocolat. » Fronçant des sourcils et inclinant la tête sur le côté, la courbes de ses lèvres dessinait un rictus en coin. « Tu as signé avec un amicalement, j’ai estimé que tu voulais juste que nous restions chacun de notre côté et tu… tu peux retirer ton masque s’il te plait ? Ce filtre qui brouille l’identité reste perturbant... » Un début de migraine menaçait de venir se joindre à la discussion à force de le regarder avec cet accessoire, une douleur de plus dont elle préférait se passer.

L’arête du nez pincée enfin libéré, le sang irriguait correctement, et le mal de tête était chassé de mèches d’or secouées vivement.  Aucun étourdissement, juste les idées remises en place, engluées dans le doute et l’incompréhension. Un petit soupir lui échappa même alors qu’elle s’appuyait contre le dossier du canapé, laissant sa tête partir en arrière avant de se remettre correctement. « Je dois avouer que je ne comprends pas ce que tu attends de moi, tout est fini… non ? » N’était-ce pas ce qu’ils avaient estimé le mieux à faire ? Lui pour sa carrière et pour ses amis. Elle pour sa famille et le qu’en dira-t‘on ? N’était-ce pas ce qui était le plus logique à faire ? N’était-ce pas déjà ce qui avait été fait dans ces rêves étrangement vivants où la situation était plus ou moins semblable ? Elle jeune adulte de 17ans et ce lui, enseignant de métamorphose de 32ans ? Même dans ces songes éveillés, nourris de la création de quelques potions nécessaires en psychomagie, le choix avait toujours été de mettre fin à la relation pour que la société valide.

« Tss » Machinalement la langue avait claqué de réprobation, depuis quand les bienpensants dirigeait ce qu’elle devait penser et dire ? Depuis quand c’était elle laissé aller à rentrer dans le moule comme tout le monde alors que pendant ce mois avec Lui, elle s’en contre fichait royalement. Que lui avait apporté de suivre sagement la belle route blanche tracée pour tout un chacun ? Un vide faisant semblant de n’avoir besoin que de son fils et son mari. Des avancées médicales ralentis. La sécurité et plus aucune mission offerte par un seigneur des ténèbres disparues. Et pourtant, rien de toute cette sureté n’avait jamais été aussi pétillante et ardente que les jours et les nuits à compter les étoiles à ses côtés. Pourtant… elle avait respecté ce qu’il avait voulu, elle avait repris sa vie d’avant, attendant chaque soir un conjoint qui ne rentrait, cochant chaque nuit d’une croix rouge la dangerosité avec laquelle son autre Elle cherchait à revenir. Et maintenant, que désirait-il réellement ?  

Nouveau soupir, nouveau battement de cœur raté en le regardant et petit sourire douloureux. «  Peux-tu me dire maintenant ce qu’il en est ? S’il en est quelque chose ? » Au milieu du décor du chalet sous la neige, le genre de discussion semblait parfaitement improbable, comme si le temps suspendait son écoulement pour que le faux raccord soit enfin retiré. Etrangement, c’était toujours le talent des salles sur demande avec elle. Depuis toujours Elhiya se retrouvait à ne jamais faire ce pourquoi elle poussait ces portes magiques. Le souvenir soudain tordait délicatement les viscères en piqure de rappel, pourquoi tout semblait si naturel quand elle lui avait pris la main ? Pourquoi ici, devant cette cheminée tout était si compliqué ? Les yeux roulaient d’agacement contre elle-même, tergiverser ne servait à rien, déblatérer non plus, agir pour savoir ce qu’il était avait toujours eu ses préférances.. Le bout de nez se pencha en direction du jeune homme, s’appuyant d’une main planté dans le sofa pour rester à bonne hauteur alors que la seconde se posait délicatement sur sa joue pour l’attirer à elle et approcher sa bouche de la sienne. Le souffle chaud caressait la chaire molle de la source de ses baisers au gout depuis si longtemps oublié, marquant une pause refreinant l’affolement du palpitant. « Dis moi ce que tu veux de moi.. » Un petit bout de langue humidifiant ses deux pétales de roses frémissant, ils s’entaient l’envie de se saisir des autres, de s’y nourrir comme avant, de s’y perdre et s’y complaire. « Teddy… »

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[Chambre] A cause d'un hibou [pv] Empty Re: [Chambre] A cause d'un hibou [pv]

Ven 29 Mar 2024 - 0:35
Teddy T. Lupin
Enseignement
IV - Directeur de la maison Poufsouffle
Teddy T. Lupin
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Elh' était si belle. Ce fut le constat qui frappa à la figure du professeur, plusieurs secondes après la fin de son... discours ? Pourquoi cette pensée lui venait-elle maintenant ? Il la connaissait, cette pensée, cette sensation, cette beauté, pourquoi lui sautait-elle désormais aux yeux comme une relance ? Etait-ce à trop vouloir graver les traits qui avaient fait chavirer son coeur après seulement 5 minutes à échanger autour d'une table il y a de cela quelques années ? Etait-ce face à la voie que le Destin voulait lui faire prendre, celle sans Elle ? Ou bien tout simplement...

Les iris descendirent sur un masque enlevé, nu de magie. Tout comme le visage d'Elhiya désormais qu'il n'avait quitté qu'un court instant des yeux. C'était ça. Ce qui avait empêché Teddy de se perdre trop profondément alors qu'il avait besoin d'expulser ce que le coeur retenait. Après l'avoir si longtemps caché à soi-même, à travers une absence de temps libre, en trouvant tout juste pour respirer avant de retourner dans sa vie professionnelle et de reprendre son apnée solitaire.

Les aimants colorés retrouvaient leur chemin, intrésèquement attirées par la paire qui leur faisait face. Teddy était perdu, ne se sentant plus de s'exprimer autant face à ce qui continuait de lui couper le souffle. Après avoir passé des heures à les observer, des heures à les rêver, des heures à les embrasser, à les caresser, même après les avoir repoussé, le charme de ses traits faisaient toujours effet, d'avantage maintenant qu'ils étaient revenus à leur naturel. Fichu masque qui lui avait fait penser le contraire, fichue magie lui ayant donné une force aussitôt effondrée une fois l'artefact enlevé. Ça tombait de haut, donnant presque des vertiges au professeur qui entendait enfin à nouveau la voix d'Elhiya s'élever. Dommage qu'il n'arrivait pas à s'y raccrocher, tant ce qu'elle dévoilait était hors de propos.

La barrière sourcillère s'affaissait, ne reconnaissant pas sa plume à travers les lèvres de la sorcière lui ayant volé la raison puis le coeur. L'envie de la couper était là, pour aussitôt mettre fin à ce qui n'avait jamais été ses mots mais le respect qu'elle avait eu en ne le coupant pas se voulait similaire. Silence de sa part affublé en plus par la demande qui sortit le métamorphomage de l'hypnose dont il était victime. Le masque. Il l'avait oublié. Un "Oh, excuse-moi" était offert, dans la même intimité que chacun de ses Je t'aime du passé, tout juste soufflé, alors qu'il s'exécutait et rendait à son visage toute sa vérité. Où en étaient-ils ? Dans cette discussion ? Dans cette relation ? Les pensées emmêlées essayaient de se remettre en ordre tandis que le regard non assorti se reposait sur Elhiya, prêt à boire à ses lèvres pour retrouver le sens de tout ça. Seulement pour ça. Alors quel était ce battement raté, naissant tout juste après le non interrogatif ? Ça n'était à plus rien y comprendre. Peut-être car les deux victimes d'amour se basaient sur les éléments du passé, s'interdisant de s'appuyer sur le présent ? Sur ce qui était sous leurs yeux. Devant eux. Jusqu'à ce que.

L'ambiance était chaleureuse, l'odeur de fleur d'oranger semblait apaiser le professeur, mais le coeur ne savait s'il devait dégeler. Lui rendre sa liberté de mouvement faisait mal, il le sentait déjà faire des siennes alors qu'il était censé être bloqué. Compliqué de se glisser dans l'ambiance, compliqué de se laisser aller quand rien de tout ce qui avait été dit n'était vrai. Il n'y avait jamais eu d'amicalement, si ça n'était lorsqu'il cachait le crush adolescent. Il n'y avait jamais eu ce refus d'aller se délecter de ce qui les attendait dans le chaudron de la pièce, ça n'avait été qu'une confirmation nécessitant de trouver du temps pour elle. Ce même temps qu'il partageait à cet instant et qu'ils gaspillaient pourtant. Alors... Ce qu'il en était désormais ? S'il en était quelque chose ?

L'envie trop forte de battre pour elle tabassait la barrière érigée durant l'année passée. L'organe vital voulait crier à plein amis-poumons tout ce qui le tracassait. Lui quémandant d'arrêter de mentir sur ses intensions à lui, sur ses intensions à elles. Il voulait juste battre pour eux comme il l'avait fait dans cette misérable poignée de semaines, se perdre dans son rythme encore et encore, offrir des soubresauts au sorcier idiot qui utilisait si mal le cerveau. Le rappeler à l'ordre, remettre ses mirettes abimées en face des trous. Pourquoi se montrer si aveugle ? Pourquoi refuser tout ce qui s'offrait, ce que l'amour méritait ? Ce qu'ils avaient battis ? Badum. Une partie du sofa s'enfonçant. Badum. Caresse du passé s'imposant, toujours si délicieuse et dérangeante. Badum. Le courant d'air chaud s'échappant sur des lèvres envieuses, n'offrant qu'un court passage à son souffle, désormais coupé. Les plus jeunes des miroir d'âme sentirent toute sa peine à vouloir lutter dans cette situation. Le poil s'hérissant, se ravissant dans l'envie qui se partageait, de retrouver ce qu'il avait perdu, de retrouver ce qu'il avait anéanti lui-même. Teddy n'avait à franchir que quelques millimètres pour bacler ce qui avait été fait dans le passé. Pour retourner dans ce qu'il désirait du plus profond de l'âme pure, bercé par la fleur d'oranger qui...

"Stop."

La main s'était plantée entre leurs deux torses, planquée au dessus de la poitrine hypnotisante, sur la peau chaude qu'il avait par dessus tout adoré sentir contre la sienne. Sous ses doigts. Contre son buste à lui, dans le plus simple appareil.

"Tu as bu de l'amortensia ?"

Le cerveau se réactivait, gagnant la bataille contre le coeur dégagé, faisant se redresser le professeur pour échapper à la délicieuse tentation qu'avait fait naitre l'Ellis en un rapprochement, en une caresse, en un regard. Surplombant la blonde, Teddy l'observait, mi-inquiet mi-sévère alors que la main repoussait avec toute la douceur possible dans la situation au final le corps stoppé pour ensuite observer le plateau qu'elle avait mené jusqu'ici avec eux. Le nez jouait son rôle, humant de son emplacement dans la direction des cocktails puis celle d'Elhiya. La fleur n'était n'était pas son parfum, même si celui-ci rodait quand bien même dans la pièce, courant aussi bien sur l'épiderme de la Belle que dans les souvenirs d'amoureux, aillant fait son nid dans la mémoire olfactive du sorcier, ayant fait sa place parmi ses senteurs préférées, surplombant le dernier parfum que dictait l'amortensia.

"C'est pas possible..." murmura le Lupin, sentant une pointe d'agacement contre lui-même. Quel idiot il avait été de la faire venir ici. Ils auraient du fuir à toute jambe dès lors qu'ils s'étaient retrouvés, dès lors qu'il avait senti les dérangeantes odeurs qui lui ravissaient pourtant son for intérieur. Quel idiot il faisait. Teddy se frotta les yeux, perturbé avant de parvenir à oser regarder à nouveau celle qu'il avait encore repoussé. Il aurait dû s'en douter. Seule la potion devait raviver ainsi la prédation d'Elhiya. Certainement pas le ridicule petit professeur qu'il était et qui avait osé rejeter l'une des rares belles choses que Merlin avait décidé de mettre sur son chemin trop strict de vie. Pointe de déception dans le regard et au fond de sa poitrine, dans une zone déjà bien sinistrée, les excuses ne pouvaient que naitre dans cette fichue situation qu'il avait lui-même engendré. "Je suis désolé, je n'ai pas envie de... t'avoir comme ça." T'avoir ? "J-je veux dire... Non, je... par Merlin, ça recommence..." Il fallait se reprendre. Relancé le cerveau qui avait dijoncté, calmer les battements incessants qui allaient bien trop vite, faisant chauffer les joues alors qu'au final, il n'y avait pas de quoi. "Est-ce que... on peut parler comme des adultes, s'il te plait ?" Fin espoir se plaçant dans un regard semblant pourtant perdant. "Je veux dire... Je veux qu'on éclaircisse la situation et toi, tu ... C'est pas comme ça qu'on peut parvenir à quoi que ce soit. On est censés parler et... je suis incapable de savoir si c'est l'amortensia qui te fait agir comme ça ou si c'est vraiment toi. Et... Je ne sais même pas quel scénario je préfère. On partait sur une discussion puis tu préfères l'arrêter pour..." Le ton essayait de ne pas se faire sévère, ni déçu, mais les deux étaient compliqués, surtout dans la recherche de ses mots qui lui firent finalement conclure, sans une once d'hésitation dans l'affirmation qu'il préférait rappeler. "Je ne suis pas un jouet Elhiya."

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Mar 9 Avr 2024 - 11:00
Hélios D. Ellis
Spécialiste
I - Élève
Hélios D. Ellis
Année d'étude : Première année
Singularité : Animagus non déclaré
Orientation : Boiz&Girlz
Statut civil : Helios : se complait des plumes d'un aiglon / Elhiya : en couple avec le prof d'EDM
Activités : Membre de la meute bancale de la forêt interdite, assassin de sucreries, anciennement batteur aux Quidditch à Durm, ancien poufsouffle

Pa Elhiya

DC : Léto P. Carrow, Declan Wildford

Carte du sorcier
Malle à Objets:
Baguette:
Et aussi:
PA - Elhiya D.Ellis- A cause d'un hibou




Magie troublant l’identité et les sens abandonnée sur un coin de canapé, le cœur se pinçait. Garder les idées limpides, directes et érigées derrière la barrière du bon sens était bien plus aisé avec le masque trompeur. Les sourcils s’étaient froncés une fraction de seconde, se refusant à se laisser amadouer, à replonger instantanément dans cette vague de chaleur qu’un simple de ses sourires pouvait lui infliger. Douce torture que de revoir s’imposer à l’esprit son sourire, l’éclat de ses yeux, les moues touchantes qu’il arborait facilement. Tendre supplice que de le laisser les souvenirs doucereux remonter pleinement à la surface. D’une profonde inspiration, la concentration retournait à cette missive tellement douloureuse.

Les explications étaient nécessaires, la compréhension était indispensable, la volonté devait tenir bon, elle devait se montrer forte, elle devait ne pas baisser les bras et se laisser envouter encore une fois. Pourtant, au fond d’elle, quelque chose voulait retourner à lui, à ses bras, à son rire, à la lueur de ses prunelles, à ses mèches dorées, à sa douceur… Impossible de laisser éternellement ce fossé entre eux, impossible de laisser les briques de ce mur si haut continuer à s’ériger, impossible de mentir, de se mentir. Elle voulait l’embrasser, vérifier ce qu’il en était, sans les mots, avec les gestes, avec la vérité nue de l’instinct du corps. Mais un mouvement de recul fleurit soudainement entre eux. Machinalement, comme un enfant bien élevé –qu’elle n’avait jamais été- le minois reprenait place sur le canapé, laissant à nouveau la distance de sécurité, faisant danser les sourcils de confusion.

C’était clair et limpide. Elle s’était faite des idées, elle s’était trompée, qu’elle avait été stupide de croire que le choix de cette soirée précise était pour revenir sur leur décision de mettre fin à leur folle histoire. Les cils battaient plusieurs fois, mutisme esquissant une moue en coin interdite. La honte de l’erreur aurait dû l’envahir, mais seule la déception d’elle-même l’accablait. Un soupir lui échappait, douleur pernicieuse que de devoir affronter cette réalité, et obligation que de ne rien laisser transparaitre. « Quoi ? » Mais le questionnement balaya soudainement la vague d’auto flagellation pour jongler avec la stupeur. « Non pourquoi ? » L’idée était parfaitement saugrenue,  nul besoin d’un filtre d’amour pour savoir ce qu’elle éprouvait depuis plus d’un an. Nul besoin d’un subterfuge pour raviver ce sentiment de bienêtre qu’il l’avait bercé à ses côtés. « Mais…. » Impuissante, les iris le suivaient s’agite, reniflant les verres, s’agaçant brusquement, ternissant des couleurs et son humeur.

C’était étrange d’observer sa tignasse se parer de tant de nuances différentes, lui qui arborait tant de lumière quand ils étaient ensemble. Pourtant, son trouble était compréhensible, et quelque part touchant. L’inquiétude s’envolait lentement, à chacun des mots de plus prononcés, saisissant l’ambiguïté qui avait pris place dans ce salon bien trop agréable pour se perdre ce genre de bêtises. Un petit pouffement lui échappa, portant sa main à sa bouche, faisant redresser ses opales brillantes de malice. « On était déjà en train de parler comme des adultes non ?  J’ai bu qu’un verre, et je doute que le tenant de l’établissement se risquerait à enivrer sa clientèle. Crois moi, je n’ai pas besoin d’amortansia pour…. » Comment nommer cette Envie de se nourrir à nouveau de ses baisers ? Comment définir ce Désir qui ne l’avait quitté malgré leur rupture, malgré la présence de son époux à la maison. Comme lui expliquer que n’importe quel poison ne pouvait tromper la peine ressentie en recevant un hibou trop distant et l’espoir engendré en recevant cette invitation ?

Une moue mutine ourlait les pétales de roses sur la finalité énoncée par le jeune homme. «  Non, tu n’es pas un objet.. » Contrairement à d’autres dans son jeune âge. IL avait toujours été un des rare que l’Autre Elle-même n’avait jamais pu toucher, ni utilisé, le masque en avait même certainement eu peur, se taisant quand il était là « tu ne l’as jamais été » C’était certainement pour cela que devoir faire ce qui était mieux pour selon la société avait laissé ce gout amer. C’était certainement pour cela que la blessure de la fin de eux à deux était encore béante. C’était certainement pour cela que l’Impatience n’avait que faire des palabres et voulait savoir de suite pourquoi ils étaient là tous les deux. « Je suis désolée pour ce raccourci. Mais je ne pense pas qu’il y’ait besoin de long discours, si ?  »  A quoi bon prendre des chemins détournés et faire exploser le peu de patience disponible ?

« Je ne crois pas avoir manqué une seule fois de sincérité avec toi. Pas même dans la maison avec cette .. harpie de vélane.. Aucun de mes baisers n’ont été joué… » Même chez Valériane, a aucun moment la blonde n’avait caché qui il était ni ce à quoi elle tenait. Elle avait été elle-même, qu’ importait les sortilèges de confusion, sa vraie nature avait toujours pu parler, d’où les cauchemars, sa réaction impulsive avec la femme, le bois-ami bavard et …. Ce baiser gourmand pour rendre au jeune enseignant ses esprits. « Rompre, n’était pas une bonne idée à mon avis. » Les lapis, d’un sérieux impénétrable s’étaient plongé dans les mirettes vairons  d’un enseignant qui semblait étonnant avoir gagné en confiance et maturité. Ce qui était loin de déplaire

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I wouldn't change a thing about it This is the best feeling Innocence is brilliant

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