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Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Mer 14 Fév 2024 - 16:59
Hildegarde Thorvald
En manque d'inspiration
Hildegarde Thorvald
The Present [Pv Hildegarde Thorvald] - Page 2 R4vv

Année d'étude : Sixième année
Singularité : Sorcier / Sorcière
Orientation : Boiz&Girlz
Statut civil : Célibataire
Activités : Quidditch, Acrobatie et spectacles.

DC : Daisy Wellington

Carte du sorcier
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Baguette:
Et aussi:
Certains de mes commentaires sur les personnages moldus étonnent Sebastian et j'en ressens une certaine fierté. Je côtoie le monde non magique depuis longtemps et je suis assez attentive en étude des Moldus. Sans me rendre compte que je vais accompagner ma remarque d'une faute d'anglais innommable, j'ai un sourire fier et lui fais remarquer avec un peu de suffisance.

- Tu pensais que je étais pas culturée du tout ?

La question aurait été drôle si la faute avait été prononcée au second degré. Ce qui n'est malheureusement pas le cas. Je finis de m'enfoncer quand dans la minute qui suit en demandant.

- Mais du coups, le vrai James Bond ressemblait auquel des acteurs ... ?

Oui. Je n'ai pas compris que James Bond et Jack Sparrow sont des personnages imaginaires. Je dis d'ailleurs à propos de Jack.

- C'est le pirate le plus connu chez les moldus ! Je ai vu beaucoup de gens se déguiser en lui.  Il est aussi fameux que Glanmore Peakes chez nous.

La petite mise au point que me fera sans doutes Sebastian à ce sujet ne sera pas superflue et me laissera pensive. Toutes mes certitudes risquent de s'effondrer si j'apprend suite à ça que Sherlock Holmes, Napoléon et Jack l'éventreur ne sont que des personnages de fiction !

Mais je ne suis pas au bout de mes découvertes. Sebastian me confie la télécommande et je répond avec une certaine fierté.

- Oui je connais le principe, je le ai vu en cours de étude des moldus !

Ca ne me dispense pas d'écouter un rappel des consignes et c'est sous sa supervision que je parviens à appliquer ses consignes. Ne m'étant trompé que deux fois, je peux considérer que l'opération a été plutôt un succès !

On s'installe donc pour regarder le film qui commence. J'ai mauvaise conscience quand je vois le grand père de Sebastian s'installer sur une chaise alors que nous sommes sur le canapé.

- Vous ne voulez pas une place dans le canapé, Oscar ?

Mon offre se voit déclinée. Elle le sera tout autant par Louise un peu plus tard. Nous avons été élevées dans l'idée que les enfants et les jeunes sont bien assez souples pour se poser par terre alors que les sièges sont naturellement réservés aux plus anciens. La préséance s'applique plutôt dans le cadre de la place au coin du feu chez nous, mais elle resterait tout à fait applicable dans le cadre d'un spectacle télévisuel !

Le film commence ... et immédiatement je suis happée ! La première scène montre un capitaine Jack Sparrow accostant à bord d'un navire en train de couler et qui immédiatement vole les officiels et se joue de la garde. Ce héros voleur fripon complètement barré me plait au premier regard et je me surprend à rester hypnotisée par le spectacle, pouffant lorsque un gag apparait à l'écran. Mais le plus étrange pour les gens avec qui je regarde le film sont probablement les moments où emportée par l'action, je frappe joyeusement dans mes mains pour saluer une acrobatie réussie ou une cascade particulièrement spectaculaire.  Je ne vois pas le mal sur le moment car c'est ainsi que j'ai toujours fait lors des spectacles vivants : On applaudit lorsqu'on trouve une performance spectaculaire. Ca fait plaisir aux acteurs et même si je sais que ceux du film moldu n'interrompront pas leur scène pour me faire un signe de remerciement (contrairement aux tableaux ou photographies sorcières où les personnages se montrent reconnaissants), je ne songe même pas à me retenir. Ce n'est que bien tard dans le film et après un énième témoignage d'appréciation que je surprend le regard que toute la famille de Sebastian tourne tous vers moi.  

Le rouge me monte un instant aux joues et je murmure à Sebastian, me sentant emplie d'une soudaine gêne en me rendant compte que je suis bel et bien la seule à agir ainsi.

- Arf .. je devais pas le faire ... ?

Etant donné le fossé culturel qui nous sépare, je suis certaine qu'ils ne m'en tiendront pas rigueur. Ca ne m'empêche pas de me sentir bête sur le moment ...  Cet incident mis à part, le début du film se passe plutôt bien. Je suis heureuse de partager ce moment avec Sebastian. Que nous soyons dans les bras l'un de l'autre pour le vivre est encore mieux. Je n'ai pas souvenir de m'être sentie aussi bien depuis longtemps. Sebastian me caresse par moment et va jusqu'à déposer un baiser dans mon (un endroit qu'il sait être "magique" pour moi) mais il peine à concurrencer le spectacle auquel je reste définitivement accroché. Ce n'est que lorsque l'image se fige que je suis brutalement happée de nouveau dans la réalité et que je m'aperçois que les deux filles sont sur le départ.

La tête encore à moitié dans les caraïbes, je souris aux deux filles (oui, même à Crystal) et les salue chaleureusement.

- Bonne soirée à vous, au revoir !

Je n'avais pas réagi quand tout à l'heure Solomia avait mentionné quelque chose sur le fait d'aimer se faire écraser. Mon manque de familiarité avec l'anglais et ma (relative) innocence en ce qui concerne les pratiques sexuelles font que j'étais passée à côté de la référence. Mais maintenant que l'allusion est explicite et directe, je ne peux pas faire autrement que de comprendre et rougir. Piquant un fard soudain, je bafouille alors que j'essaye de me rattraper aux branches de la conversation.

- Oh heuh ... Oui très heureuse aussi. Amusez vous bien.

Ca y est, je me fais des films dans ma tête. Pourquoi a t'elle dit ça ? Elle sait que je n'ai jamais eu d'expérience malgrès mon âge et ma relation passée ? Qui a bien pu lui dire ? Je ne suis pas sûre de l'avoir dit explicitement à Sebastian devant qui j'essaye de me la jouer à l'aise et détendue sur le sujet ! Se moquer de ça n'est pas très charitable, surtout que beaucoup disent que 17 ans c'est le bon âge ...  Je suis troublée et ca se voit comme le nez au milieu de la figure. Alors que le film se est remis après leur départ, je trouve refuge à la fois sous les couvertures et dans les bras de Sebastian. J'enfouis mon nez dans son cou, trouvant du réconfort à sentir sa peau chaude contre ma joue et être entourée par son odeur rassurante. Ce qu'il me murmure à l'oreille me fait frissonner et lever un regard brillant vers lui. Il a vraiment très envie que nous deux on ... ? C'est vrai qu'il n'y aurait pas de meilleur jour pour ça. Et en toute franchise, malgrès mes appréhensions, j'avais bien imaginé que ca pourrait arriver ... Avec un sourire je viens déposer un bisou sur sa joue. Une réponse qui fait office de promesse à mes yeux alors que je me réinstalle en sécurité contre lui et que je m'apprête à profiter de la fin du film.

Alors que le spectacle reprend, je lui répond à voix basse, à la phrase qu'il a dite tout haut.

- Je suis sûre que ce sera entre Elizabeth et Jack ...

Je parle de la scène osée bien sûr ! Même une fille riche et sophistiquée ne pourra résister au charme du beau gitan des mers ? Pas un instant je n'envisage William comme un candidat sérieux malgré l'amourette gnangnan qu'ils mettent en place entre les deux ...


The Present [Pv Hildegarde Thorvald] - Page 2 Signat11

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Dim 18 Fév 2024 - 11:09
Sebastian Kennedy
Médicomagie
I - Aide-soignant
Sebastian Kennedy
Année d'étude : Septième année
Singularité : Sorcier / Sorcière
Orientation : Boiz&Girlz
Statut civil : Fréquente Hildegarde Thorvald
Activités : -Natation
-Escalade en solo intégral

© : sweeney entertainment
The Present
Pv Hildegarde
21 Décembre 2023 – Vers 20h30


Alors qu'elle passe en revue Casino Royale, la jolie blonde te pose une question qui te laisse perplexe, à savoir lequel des acteurs ayant joué le rôle de James Bond ressemblait réellement à l'espion. Ajouté à son commentaire concernant Jack Sparrow comme étant le pirate le plus connu du monde non-maj, tu ne peux t'empêcher d'avoir cette étrange impression que la jeune femme n'a pas bien compris qui étaient ces deux personnages, et tu essaie de dissiper tout malentendu avec la demoiselle :

-Hey bien, James Bond étant un personnage issu d'une série de Roman, c'est difficile de dire quel acteur ressemblait le plus à la vision qu'avait l'auteur. Il faudrait voir si l'auteur a participé au casting des premiers films, par exemple; je ne sais pas trop vers quelles années il a vécu. C'est un peu la même chose pour Jack Sparrow hein, il n'est pas issu d'un roman celui-là, mais il n'est pas issu de la réalité non plus. Il paraît que tout le film est basé sur un manège qu'on retrouve à Disney World, mais je sais pas si ça a été confirmé en vrai. Si t'as vu beaucoup de gens habillés en Jack Sparrow, c'est simplement parce que le film a été suuuuper populaire, ajoutas-tu avec enthousiasme.

Ton choix s'arrêtes d'ailleurs sur ce dernier film, persuadé qu'il va plaire à la bleu et bronze, qui semblait déjà excitée de voir cette œuvre avant même de savoir qu'elle était aussi populaire dans le monde non-maj. Lorsque le temps est venu d'activer le téléviseur et le lecteur DVD, l'allemande t'apprend que c'est quelque chose qu'elle a vu en cours d'étude des non-maj, un cours durant lequel, tu l'avouais volontier, tu ne portais que très peu attention. Tu es agréablement surpris de la maîtrise de la jeune femme de la télécommande, et lui fait savoir d'une moue approbatrice ainsi que d'un "bien joué!" lorsque le titre du film apparaît finalement à l'écran.

Après que tout le monde soit bien installé et que les lumières aient été fermées pour la plupart, le long-métrage commence enfin, et les cascades des pirates commencent à se succéder rapidement. À la grande surprise de tous, la blondinette se donne comme mission d'applaudir les performances acrobatiques des acteurs lorsque celles-ci ont lieu. Heureusement que vous avez déjà vu ce film, parce que sinon ça deviendrait drôlement difficile de suivre l'action avec ces bruits incessants. Tu laisses la demoiselle continuer pendant un temps, espérant qu'elle réalise que personne ne la suivait dans son délire. Éventuellement, la jeune femme fini par se rendre compte de la situation, et se retourne vers toi pour te demander à voix basse si elle ne devrait pas se retenir d'applaudir plutôt. Tu essaie d'être le plus diplomatique possible lors de ta réponse, que tu lui chuchote :

-Bah, les acteurs ne peuvent pas nous entendre en fait, ce ne sont que des enregistrements de performances qu'ils ont livrés il y a très longtemps de ça; ils n'ont absolument aucune vie, en gros. Du coup, d'applaudir comme ça, c'est pas une pratique recommandée, comme ça peut nuire à l'attention des gens qui essaient de regarder le film. Maiiis t'en fais pas, personne ne va t'en vouloir, on a tous déjà vu ce film, tu ne savais pas alors et c'est normal.

Entre les coups de canons, les histoires de pirates au trésor maudit, les vols de bateaux et les pourparlers, l'oeuvre cinématographique se poursuit bon train, jusqu'à atteindre une scène où William Turner et Jack Sparrow sont seuls à bord d'un navire qu'ils viennent de voler à la marine britannique ; l'Interceptor. Alors que les deux comparses voguent en direction de Tortuga en quête d'un nouvel équipage, Jack apprend à Will que son père était en réalité un pirate, ce qui choque grandement le protagoniste du film, qui refuse de croire le pirate gitan. C'est à ce moment que tu te rends compte que ta mère s'est endormie, à l'autre extrémité du canapé. Tu te dis que dans le pire des cas, vous pourrez toujours la réveiller une fois le film terminé pour qu'elle ne passe pas la nuit sur le divan. De toute façon, tu est beaucoup trop bien, coller à ta douce, à la caresser lentement, pour mettre le film sur pause, hors de question.

Le film se poursuit, Jack et William recrutent finalement leur équipage afin de naviguer sur l'Interceptor à plein régime, et c'est une fois sur le navire que Gibbs, le second de Jack, raconte la légende de ce dernier. Vous apprenez ainsi que Jack a en fait été trahi par son équipage par le passé, et qu'il a été laissé pour mourir sur une île déserte avec un pistolet et une unique balle. Loin de se décourager, Jack a alors dû attendre 3 jours et 3 nuits en eau peu profonde afin de capturer plusieurs tortues de mer et de les attacher pour d'en faire un radeau, lui permettant de se sauver de cette île déserte. Connaissant la nature mensongère de cette légende, tu tente de rester de marbre lors de ce passage, peu désireux de révéler qu'il y a anguille sous roche à ta petite amie, au cas où elle regarderait dans ta direction à cet instant.

C'est précisément à ce moment que des bruits de ronflement se font entendre non loin de vous, c'est ta mère qui semble désormais dans un profond sommeil. Alerté par ce fait, Oscar annonce qu'ils vont aller mettre Diana au lit et suivre son exemple en allant eux-même rejoindre leur couchette. En te tournant vers ton grand-père, tu te rends compte que Louise semblait également somnoler sur sa chaise, te confirmant qu'il était grand temps qu'ils aillent rejoindre les bras de morphée, et qu'ils ne faisaient pas ça simplement pour vous laisser un peu d'intimité.

Tu décides de pauser le DVD à l'aide de la télécommande, t'excusant à la petite blonde d'interrompre une fois de plus son visionnement. Pendant qu'Oscar se charge de ta mère, la réveillant tout doucement avant de l'aider à se lever, ta grand-mère se donne comme mission de lentement remmettre les chaises à leur place, dans la salle à manger. Tout ce beau petit monde monte éventuellement à l'étage, Diana la première, Oscar sur ses talons. Ce dernier vous souhaite d’ailleurs une bonne nuit à toi et Hildegarde, souhait que tu lui rends, un sourire au lèvre, avant qu'il ne disparaisse de votre vue. Louise tarde un peu plus à les rejoindre, et reste avec vous le temps de s'adresser à Hildegarde, sur un ton encore quelque peu endormi :
-Tu’es la bienvenue si’tu veux passer la nuit ici, chérie; tu’es ici chez toi. Sebastian, tu’voudras bien aller lui chercher un oreiller et des couvertures si elle en a besoin? Et elle peut avoir un des pyjamas qu'on a achetés pour Crystal l'année dernière, on le lavera demain avant qu'elle revienne. D’toute façon, elle ne l'a jamais porté, j’crois pas qu'elle l'aime beaucoup. Allez, dormez bien vous deux.
-T'inquiète pas grand'ma, je vais bien veiller sur elle, avais-tu ajouté, envoyant un regard quelque peu coquin en direction de la blondinette. Bonne nuit !

Quelques secondes supplémentaires, et la sexagénère allait rejoindre son mari à l'étage, te laissant toi et Hildegarde seuls au rez-de-chaussé.

Tu t'étais retourné vers la jeune femme, plantant tes opales dans les siens avant de lui souffler : "Féllicitations, t'as survécue à une soirée dans ma famille, ça mérite bien une récompense" et d'agrémenter ces derniers mots d'un tendre baiser à la durée un peu plus longue que tu ne l'avais prévu. Il fallait dire que tu devais fortement te retenir en cet instant pour ne pas balancer le film aux oubliettes et passer le reste de la soirée à embrasser langoureusement la Nomade, vos deux corps enlacés frottants l’un contre l’autre.

-Comment as-tu trouvé ça?

Une petite discussion en avait suivie sur les retours qu'avaient la demoiselle en ce qui concernait ta famille, et vous aviez éventuellement remis le long-métrage en marche, avant de vous retrouver une nouvelle fois dans les bras l'un de l'autre, sous un plaid plus que confortable.

Tu ne tardes pas à reprendre le jeu de tes caresses. Encouragé par l'idée que vous ne serez probablement plus interrompu pendant au moins un bon moment, tu te fais davantage aventureux du bout des doigts.

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Dim 18 Fév 2024 - 13:10
Hildegarde Thorvald
En manque d'inspiration
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The Present [Pv Hildegarde Thorvald] - Page 2 R4vv

Année d'étude : Sixième année
Singularité : Sorcier / Sorcière
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Activités : Quidditch, Acrobatie et spectacles.

DC : Daisy Wellington

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- Ah ... je pensais que ils étaient réels ...

Avais-je dit quand Sebastian m'avait expliqué le pot aux roses concernant les deux personnages fictionnels. C'est à des petits détails comme ça qu'on peut mesurer le fossé qui existe malgrès moi entre le monde magique et le monde moldu.

La différence culturelle est tout aussi manifeste avec cette histoire d'applaudissement. J'écoute les explications avec stoicisme et réplique d'un ton boudeur.

- Les gens applaudissent les sportifs à la télévision, ils peuvent pas entendre non plus ...

Je le sais bien. On voit ce spectacle chaque été, dans chaque pays. Les gens se réunissent sur les terrasses de café et font un bruit du tonnerre pour leurs équipes. La fête déborde même parfois dans la rue et dure une partie de la nuit une fois le match terminé quand l'équipe locale finit par l'emporter. Quoi qu'il en soit, cette histoire m'aura un peu refroidie. Je me serre contre Sebastian avec l'intention de cacher ma honte dans ses bras et reprendre le visionnage du film. Avec calme cette fois. Le récit capte bien vite mon attention et me fait rapidement oublier les velléités de bouderies qui avaient commencer à germer en moi.

Bienheureuse dans ma petite bulle, entre la chaleur du corps de Sebastian contre moi et les aventures de Jack Sparrow qui emmènent mon esprit dans les chaudes caraïbes, je ne remarque pas qu'autour de moi les adultes commencent à sombrer (voire à ronfler pour certains) et je ne retourne à la réalité que quand soudainement l'image se fige. Je me redresse et tourne un regard étonné vers le reste des protagonistes avant de sourire. Ils s'apprêtent tous à aller se coucher et Louise me propose avec gentillesse de rester dormir.

- Oh ? Ca est très gentil madame Louise. Merci.

Ca tombe bien, c'est exactement ce que j'avais l'intention de faire dès le départ : m'imposer ici d'une façon ou d'une autre. L'idée de porter le pyjama de Crystal me branche assez peu mais c'est un détail inutile à relever. Je volerai plutôt le t-shirt de Sebastian.

Je me relève quand même pour saluer leur départ. J'essaye de mettre autant de chaleur et de sincérité que je peux dans ma voix.

- Merci beaucoup pour votre accueil. Je ai été très contente de vous rencontrer !

Et je n 'ai aucun doute sur le fait que Sebastian a plus que l'intention de "prendre soin de moi", oui ... Je lui retourne un sourire plein de connivence lorsque nos regards se croisent. Seuls sans parents et avec la promesse d'avoir la paix pour la nuit sans la présence de sa soeur, je ne doute pas de ce qui se trame dans sa tête.

Le départ des adultes est l'occasion pour nous de débriefer ensuite sur la soirée. Au calme, posés de nouveau dans le canapé.

- Ils sont très gentils et accueillants.

Si on omet Crystal bien sûr, mais je préfère ne pas la mentionner.

- Tu as une jolie famille. Ca est drôle de voir comment vous vivez. La vie de famille dans des murs.

Oui, plus que la vie moldue, c'est la vie sédentaire que je me plais à découvrir. Ce sont des rituels, des rythmes de vie familiaux que je ne connais pas. L'accès à la technologie moldue n'est qu'une cerise sur le gâteau. Nous finissons par reprendre le visionnage du film. Lovée dans les bras de mon amoureux, je me sens prête à être happée de nouveau dans l'aventure. Et puis soudain, par une association de pensée que vous pouvez imaginer, sentir les caresses plus osées de Sebastian me font soudainement penser.

- Ton cadeau ! Je dois te le donner ! Mets en pause encore !

Mieux vaut s'interrompre une seule fois après tout, non ... ? Je m'extirpe de la chaleur du canapé pour filer jusqu'à l'entrée, récupérer non pas un mais deux paquets identiques. Moins gros que des livres de poche, de formes vaguement carrées et plates. Je les rapporte tous les deux jusqu'au canapé et me love dans les couvertures avant de les poser entre nous deux.

- Un pour toi, un pour moi. Ils sont identiques. Ouvres le tiens !

Sachant pertinament ce que Sebastian va en dire, je me contente de sourire et reste sur ma ligne de défense.

- Ca est une cadeau pour moi aussi, tu vas voir. Ouvres, tu verras.

J'espère bien qu'il finira par ouvrir. Et découvrir à l'intérieur ce qui ressemble à un petit boitier à clapet recouvert de cuir.  Celui ci peut s'ouvrir et révéler dans une des moitié du couvercle  une surface polie usée et ternie à l'extrême. Comme beaucoup d'objets enchantés, il ne paye pas de mine et on peut même l'imaginer bon pour la poubelle.

Le temps que mon petit ami découvre l'objet, j'ouvre le mien et le pose à côté avant d'expliquer.

- Ca est des miroirs magiques. Ils sont reliés pour pouvoir se voir et se parler. Et plus facilement se retrouver après les cours ...

Une magie rustique et fiable qui n'a rien à envier à la technologie moldue. L'idéal pour un jeune couple qui a du mal à supporter les nuits passées l'un de l'autre sans pouvoir se parler autrement que par des lettres ...

- Ils sont un peu vieux ...

Forcément, je n'allais pas pouvoir nous offrir des neufs. Et même si je l'avais pu Sebastian aurait râlé deux fois plus à propos de leur prix.

- .. mais la image est bonne quand ils sont en marche.


The Present [Pv Hildegarde Thorvald] - Page 2 Signat11

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Mer 28 Fév 2024 - 11:48
Sebastian Kennedy
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Sebastian Kennedy
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Pv Hildegarde
21 Décembre 2023 – Fin de soirée


Suite à ton intervention chuchoté à la Nomade, lui expliquant qu'il était contre-indiqué d'applaudir pendant le visionnement d'un film, son moral semble s'être grandement aplati. Tu te sens un peu coupable de l'avoir arrêté dans son délire et tu écoutes ses arguments attentivement. La blondinette marque un bon point lorsqu'elle mentionne les rencontres sportives télévisées qui alimentent toutes sortes de réactions de la part de ceux devant l'écran. Tu comprends un peu mieux désormais comment, d'un point de vue externe, le contenu télévisé où il est permis de réagir bruyamment ou non peut paraître complètement arbitraire, alors tu penses bon d'expliquer la raison derrière cette différence culturelle :

-T'as raison, mais c'est rare que les gens manquent quoi que ce soit d'une partie même s'ils n'arrivent plus à entendre la télévision, alors que durant un film, on risque de manquer une partie de l'histoire si on entend pas bien ce qui se dit. Mais si on se refait ça juste nous deux, tu pourras applaudir autant que tu veux, d'accord?

Tu espérais un peu te racheter en lui donnant ainsi la permission de ruiner ta compréhension de tous les futurs films que vous alliez regarder en tête-à-tête.

Toujours est-il que l'humeur abattue de la bleu et bronze ne l'empêche pas de te serrer contre elle afin de continuer à regarder le film, ce qui te rassures beaucoup, et tu la serres d'autant plus fort contre toi lorsque tu réalises qu'elle ne t'en veut pas assez pour complètement te bouder.

Le film se poursuit pendant un petit moment jusqu'à ce que les ronflements de ta mère poussent le reste des adultes à rejoindre leurs lits, à l'étage, vous laissant ainsi le salon à vous tout seul.

À ton questionnement sur ses impressions concernant le déroulement de la soirée, tu es surpris d'entendre la blondinette te répondre que tu as une jolie famille. Tu te demandes comment ça peut bien être, dans sa famille, si elle a une aussi bonne opinion de ton joyeux petit monde dysfonctionnel, mais tu t'abstiens de commentaire, préférant attendre d'être introduit à ses parents avant de porter des jugements hâtifs. Ton esprit s'égare et tu en viens à te demander si Antonia agit toujours de la même manière en présence d'une autorité parentale, ou si elle revêt un costume de brebis toute sage? Tu reviens rapidement à la réalité au contact de ta douce.

-Ahui c'est vrai que tu n'es pas non plus habitué à la vie sédentaire. J'ai bien hâte de voir à quoi ça peut ressembler, une soirée chez les Thorvald.

Tu accompagnes ses dernières paroles d'un sourire tendre suivi d'un baiser que tu viens déposer sur le front de la demoiselle. Tu te doutes que tu viens probablement de la gêner un tantinet en invoquant la possibilité qu'elle te présente à sa famille, et ce bisou est ta tentative de ramener la jeune femme sur terre et de la rassurer à ta manière. Après-tout, tu n'allais pas t'imposer dans sa famille du jour au lendemain; tu comptes bien attendre que la petite poursuiveuse soit prête mentalement à franchir cet étape pour la vivre avec elle.

Vous reprenez éventuellement le visionnement du Pirate des Caraïbes et vous devenez témoins d'un Barbossa tentant d'accomplir un rituel de sang avec Elizabeth Swann, cette dernière ayant menti sur son identité en se faisant passer pour une Turner. S'ensuit de nombreuses scènes cocasses pendant lesquelles tu te remets progressivement à profiter de cette si rare intimité qui vous a été donnée à toi et la blonde demoiselle. Tes caresses de moins en moins sages essaient de suivre le niveau d'action du film, alors que tu essaie lentement mais surement de faire perdre la tête à la jeune femme, sans pour autant lui faire manquer la fin du récit don vous étiez témoins.

Alors que tes mains commencent à se faufiler sous l'étoffe de la Thorvald, celle-ci exclame quelque chose au sujet de ton cadeau, et te demande de mettre en pause. Tu dois avouer que sa réaction te surprend beaucoup; entre ce qui se passait sous la couverte et ce qui se passait à l'écran, tu avais du mal à imaginer d'où cette soudaine pensée pour ton cadeau d'anniversaire pouvait bien surgir. Elle avait bien dit que son cadeau était de nature matériel, non? Elle n'avait quand même pas acheté un...

Tu regardes un peu hébété la petite blonde revenir vers toi, deux paquets à la main, et les poser entre vous.

-Deux?!? es tout ce que ton cerveau ~un peu sur une autre planète en ce moment~ arrive à formuler.

Puis, la demoiselle précise qu'une des deux boîtes est pour elle, et que leur contenu est identique. Plus confus que jamais, tu déballes ton dernier cadeau d'anniversaire, pour y découvrir ce qui ressemble à un porte-billet rétro, ou un miroir portable pour se refaire une beauté en pleine soirée, peut-être. Tu observes l'objet, pendant un petit moment, et l'ouvre pour y découvrir qu'il s'agit en effet d'un miroir portatif pour les porteurs de maquillage de ce monde. Le miroir semble avoir connu la guerre, pas parce qu'il est brisé, mais le revêtement argenté réfléchissant semble avoir commencé à se décoller, tellement il est vieux. Tu dois avouer que ça lui donne un certain charme "antique", plus que s'il aurait été neuf. Par contre, tu sais bien que tout ce qui est assez vieux pour être qualifié d'antique n'est généralement pas donné.

-T'as dépensé combien pour ça? Et puis... s'il y en a un qui est pour toi, je devrais pas en payer une partie, pour que ce soit égal?

Il ne fallait pas chercher la logique de ton argument, tu avais simplement balancé la première idée qui t'étais venue à la tête pour justifier que tu rembourses une partie de ton cadeau, qui avait très certainement coûté trop cher à l'étudiante.

-Et, c'est quoi exactement, au fait? Avais-tu ajouté avant de recevoir d'avantages d'explications de l'Allemande.

Comme ça il s'agissait de miroirs de communication instantané?

-Oh, mais c'est trop cool! Ça marche partout? Tu crois que de Londres à Poudlard ça fonctionne encore, ou il faut être pas trop loin l'un de l'autre?

Tu avais laissé la jeune femme répondre à tes questions avant de conclure :

-C'est trop un beau cadeau !!! Merci ma chérie ! Maintenant je vais pouvoir te déranger tout le temps ahaha ! Puis tu avais embrassé l'étudiante, la laissant elle aussi profiter de ce sentiment d'amour grandissant qu'elle faisait naître en toi.

-Il faudra que tu me montres exactement comment l'activer, à moins que ce soit toujours actif, et que si je parle à travers le miens, tu vas m'entendre au creux de ta poche si le tiens est rangé?

Vous aviez passé plusieurs minutes ainsi à apprendre le fonctionnement des miroirs à double sens, les testant alors que vous n'étiez qu'à quelques centimètres l'un de l'autre afin de vous assurez de pouvoir vous contacter sans aucun souci dès que vous alliez être séparé l'un de l'autre. Tu rêvais déjà de tous les instants où vous alliez pouvoir être l'un avec l'autre désormais; entre deux cours, lors d'un instant volé au travail, avant une de ses représentations, tard le soir alors que vous n'arrivez pas à dormir séparé. Quelque part en toi venait de mourir la toute dernière inquiétude concernant l'impact de la distance sur votre relation, tu éprouvais désormais de la béatitude.

Tu t'étais demandé si tu devais profiter de cette intermission manuelle pour, toi aussi, donner son cadeau à l'élue de ton cœur. C'était une décision difficile comme il s'agissait de son cadeau de noël. Sachant très bien que vous alliez passer cette journée chacun dans votre famille, tu avais prévu le coup, et comptais lui donner son présent juste avant qu'elle ne rentre chez elle, histoire de vous quitter sur une note positive, et d'être le plus près de noël possible par la même occasion. Maintenant qu'elle t'avais donné un si beau présent par contre, tu avais toute la misère du monde à ne pas lui rendre la pareille.

Après un long combat interne, tu avais réussi à te convaincre que de suivre ton plan initial était la meilleure chose à faire, et vous aviez recommencé le visionnement de votre film d'aventure, après vous être installé de nouveau confortablement sous le plaid, l'Allemande au creux de tes bras une fois de plus.

Il ne t'avais fallu que très peu de temps pour recommencer tes témoignages d'affection enver l'étudiante, la cadeau que la Nomade venait de t'offrir ayant fortement vivifié la flamme de ton amour pour la jeune femme. Plus qu'un jeu désormais, tes émotions débordaient de ton être et cherchaient à se manifester à travers les baisers que tu laissais au creux du cou de l'Allemande et des sillons que tes doigts parcouraient sur le corps de cette dernière. La seule chose t'empêchant d'aller jusqu'au bout à cet instant était de savoir à quel point Hildegarde allait être triste de ne pas connaître le dénouement de l'aventure si tu la déconcentrais suffisamment pour qu'elle en perdre le fil.

Tu avais tâché de taire tes envies de glisser des mots pleins de tentations aux creux des oreilles de la demoiselle, afin qu'elle puisse porter sa pleine concentration vers la télévision, mais tu avais toi-même complètement cessé de te soucier du film que vous aviez choisi. Toute ton attention était désormais sur la blonde, sur la texture de sa peau au contact de la tienne, sur sa respiration, sur sa capacité à garder les yeux rivés sur le téléviseur. Tu te faisais explorateur et aventurier, amenant la température de votre cocon amoureux à ébullition. Tu transformais le visionnement d'un film culte en une torture; une torture que tu voulais être extrêmement agréable et débordante d'amour. En cet instant, tu étais persuadé que tu allais passer ta vie auprès de la blondinette; tu ne t'imaginais pas ailleurs qu'avec elle, et tu voulais qu'elle le sache, tu voulais lui montrer à quel point tu l'aimais et considérait votre relation comme étant la plus sérieuse du monde.

Étant complètement absorbé par le corps et les réactions de la jeune femme, tu met un certain temps avant de réaliser que le générique défile à l'écran. T'ayant retenu toute la soirée, tu considères la fin du film comme étant ton signal d'envoie, et tu intensifies davantage tes actes de tendresse et de passion. Bientôt, tu oses glisser le bout d'un doigt par delà toutes les étoffes, alors que tu assailles la jugulaire de la jeune femme de baisers longs et chauds. Tu n'existes plus que pour procurer une sensation de plaisir absolue à celle que ton coeur a choisi, mais bientôt tu réalises que vous êtes toujours dans le salon de tes grand-parents, et qu'il suffisait qu'une seule personne descende les marches pour vous surprendre dans une situation qui gênerait probablement beaucoup l'allemande. Si d'ordinateur le risque de se faire coincer est une pensée qui éveille en toi de nouvelles pulsions, dans le cas ici-présent, où il s'agit de ta famille qui vous tomberait dessus, c'est plutôt l'inverse qui se produit.

Aussi, après un petit moment de ces profondes caresses, tu calme ta cadence, sans pour autant t'arrêter, et tu chuchotes à l'oreille de ta douce Allemande :

-Mon amour, t'as pas idée d'à quel point j'ai envie de toi en ce moment, mais on devrait peut-être déménager dans ma chambre, non? Il y a des sortilèges... avais-tu dis avant d'accélérer drastiquement l'intensité de tes caresses ...pour que personne n'entende, avais-tu conclus avant de donner un nouveau baiser derrière l'oreille de la demoiselle, et de lui donner un bref moment de répit afin de la laisser répondre.

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Mer 28 Fév 2024 - 14:08
Hildegarde Thorvald
En manque d'inspiration
Hildegarde Thorvald
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Année d'étude : Sixième année
Singularité : Sorcier / Sorcière
Orientation : Boiz&Girlz
Statut civil : Célibataire
Activités : Quidditch, Acrobatie et spectacles.

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Mon cadeau lui a plu ! Je n'imaginais pas qu'il en serait autrement. Ses protestations me font sourire car je vois bien qu'il est aussi enthousiaste que moi à l'idée de pouvoir rester en communication avec moi. C'est une promesse qu'on se fait de rester un peu plus proches l'un de l'autre malgré la distance.

Parlant de distance, il évoque d'ailleurs l'idée d'un jour découvrir à quoi peut ressembler une soirée du côté Thorvald de la nuit. Un fin sourire étire le coin de mes lèvres quand il pose cette question et je répond d'un ton vague.

- Moins de télévision et plus de feu de camp. Papa te ferait sans doutes boire pour jauger ce que tu as dans les tripes. Et puis il ferait beaucoup de blagues douteuses avant de passer sa soirée à raconter des histoires extraordinaires. Une ou deux serait vraie au milieu, le jeu sera de deviner laquelle c'est.

Il faut être le roi des bonimenteurs pour réussir à pousser deux femmes à partager sa vie et les convaincre par la suite de rester, non ?

C'est avec le coeur léger et la conscience tranquillement que je me réinstalle dans ses bras, prête à terminer le visionnage du film à ses côtés. Assise confortablement sur le canapé du salon, je me laisse de nouveau emporter par le récit épique qui se déroule sous mes yeux sur l'écran du téléviseur. Les aventures captivantes du Capitaine Jack Sparrow et de son équipage de pirates me tiennent en haleine, chaque rebondissement m'arrachant des exclamations admiratives. Je me garde de tout nouvel éclat et applaudissement et ca ne m'empêche pas de profiter de chaque scène d'action à fond, comme si j'étais un des acteurs / cascadeur à l'écran à qui on demandait de faire de pareilles pirouettes devant l'écran.

Pourtant, malgré l'intensité du film, une autre source de distraction se trouve à mes côtés. Sebastian ne semble pas décidé du tout à laisser mon attention être happée par l'écran.  Je sens ses mains glisser sur moi et s'aventurer toujours un petit peu plus loin. Il profite de notre solitude pour faire fi de la barrière de mes vêtements et oser toutes les aventures. Je le laisse faire, bien sûr. Ca serait de la triche sinon. Je savais que tôt ou tard Sebastian se vengerait de ce que je lui ai fait tout à l'heure, quand ca famille était là. J'essaye de me concentrer sur la fin du film mais c'est difficile.

La combinaison de ses caresses et des baisers placés aux endroits magique me font frissonner et troublent mes pensées. Je sens mon cœur battre la chamade et le sang me monter au visage.  Chaque contact de sa peau contre la mienne me fait vibrer davantage et accélérer ma respiration. Je me laisse emporter par le tourbillon de sensations contradictoires, partagée entre le désir de me perdre dans le film et celui d'explorer les profondeurs de l'intimité physique qui brûle entre nous.

Lorsque enfin le générique de fin apparaît à l'écran, je suis ramenée à la réalité. Je ne suis même pas certaine d'avoir compris la fin du film mais à ce moment là, je ne m'en préoccupe guère. J'avais fini de complètement basculer sur le dos, dans une position qui n'avait plus rien d'adaptée au visionnage d'un film. Essoufflée, le visage rougi par l'émotion, je lève vers Sebastian un regard brillant. Je saisis son visage entre mes mains et colle mes lèvres aux siennes. Je l'embrasse avec fièvre et passion, dévorant ses lèvres avec un appétit que je ne me suis jamais connu. J'en oublie que nous sommes là, au milieu du salon de ses parents dans une tenue qui n'a plus rien de décente. Pull et jupe ont été relevés, mes collants descendus jusqu'à mi cuisse et je ne parle pas de mes sous-vêtements qui ont été écartés dans l'émotion du moment sans être tout à fait défaits.

Et c'est à ce moment, alors que commence à me dire que la situation manque un peu d'équité et que je commence moi même à faufiler mes mains sous le tissu qui recouvre le garçon que les mots de Sebastian me font reprendre conscience avec la réalité.

Je hoche la tête vivement alors que je me redresse sur les coudes. Je lève machinalement les mains pour toucher mes cheveux et constate que de mon chignon, il ne reste qu'un lointain souvenir.

- Oui, oui allons-y !

Je ne songe même pas sur le moment à lui reprocher de ne pas avoir vu la fin du film. Je n'ai qu'une chose en tête : lui et lui seul. Et du besoin ardent que je ressens de ne faire qu'un avec lui. Je rajuste mes habits à la hâte. Quiconque me croiserait maintenant saurait exactement ce qui est en train de se passer et à choisir je préfèrerais qu'on évite de croiser quiconque ! Je me relève, sans cesser de rester collée à lui ou de chercher à embrasser son cou.

Invitée dans cette maison, je laisse Sebastian nous mener, à travers les escaliers, puis le couloir sombre. Mais avant que nous passions le seuil de la chambre, je l'arrête. Je l'interpelle à voix basse, tout en serrant fort sa main entre les miennes.

- Häschen* ...

J'attend d'avoir son attention et le rassure immédiatement d'un sourire étrangement timide.

- Tu sais, je ... je ne suis pas sûre de te l'avoir dit. Mais tu sais que je n'ai jamais ... ?

Mon murmure meurt avant que je n'ai terminé ma phrase. Je n'ai jamais trouvé de moment pour lui dire. Il faut dire que le sujet n'est jamais vraiment tombé sur le tapis. Je sais que lui a eu une copine avant moi. J'ai supposé (et continue de le croire au vu de son assurance) que ca a été suffisamment sérieux pour qu'il ait expérimenté ce que nous nous appretions à faire ensemble ce soir ...




* Häschen : Petit lapin / Lapinou, Un terme affectueux courant en Allemagne.


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Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Mer 6 Mar 2024 - 9:43
Sebastian Kennedy
Médicomagie
I - Aide-soignant
Sebastian Kennedy
Année d'étude : Septième année
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Orientation : Boiz&Girlz
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Activités : -Natation
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The Present
Pv Hildegarde
21 Décembre 2023 – Nuit


Les marches étaient à peine derrière vous que la belle blonde t'avait interpellé à voix basse, te chuchotant qu'elle n'avait jamais fait "ÇA". Tu trouvais sa timidité et son incertitude particulièrement mignonne, mais pour toute réponse immédiate tu vint déposer ton index sur les lèvres de la jeune femme, avant de venir joindre tes lèvres aux siennes, dans un baiser plus tendre que ceux qu'elle t'arrachait ces dernières minutes sur le canapé. Tes doigts déjà entrelacés des siens, tu intima l'aigle inexpérimentée de te suivre alors que tu franchissais le seuil de la porte de votre chambre.

Une fois la porte refermée derrière vous, tu avais rapidement saisi ta baguette magique et avait hâtivement réalisé un sortilège d'impassibilité à l'entrée de la pièce, rendant cette dernière complètement isolée sonoriquement. Les murs et la fenêtre, c'était une idée de Solomia et de ta soeur, il ne restait plus que la porte, qui avait été épargnée pour que vous puissiez toujours entendre lorsqu'un adulte vous interpellait de l'extérieur de la chambre; il ne restait plus qu'à isoler la porte de manière temporaire lorsqu'on en avait besoin, et le tour était joué. C'était une vrai idée de génie, mais en ce moment tu n'avais pas vraiment envie d'attarder tes pensées sur autre chose que la bleu et bronze qui t'avait suivie jusque dans ton Antre.

Malgré ton assurance que vous pouviez désormais parler aussi fort qu'il vous en prenait l'envie sans risque de réveiller vos voisins de chambre, tu t'étais tout de même adressé à la Thorvald dans un chuchotement audible. Il y avait quelque chose d'éthéré dans ce que vous viviez à cet instant, et tu ne faisais que suivre la vague en continuant vos chuchotements.

-Il n'y a pas de soucis à se faire ma chérie, on a tous déjà été inexpérimenté; parfois on a la chance d'avoir un guide, et parfois on découvre à tâtons ensemble. Cette nuit, c'est ton plaisir qui est important, et je veux que tu ne penses à rien d'autre. Si tu ne veux pas aller jusqu'au bout, on s'arrête où tu veux, et je vais toujours t'aimer aussi passionnément quoi qu'il arrive.

Tu avais conclu cette première réponse en mariant de nouveau des lèvres aux siennes, d'abord doucement, puis de plus en plus goulûment. Avant que la chaleur ne vous emporte, tu t'étais séparé de son emprise l'histoire de quelques souffles, ajoutant entre plusieurs baisers :

-C'est Important que. Tu me dises. Quand tu aimes. Et quand. Tu n'aimes pas.

Tu l'avais alors attiré vers toi, reculant petit à petit au fil de vos chapelets de bisous, jusqu'à ce que tes jambes se frappent au matela de ton lit, après quoi tu avais saisi la taille de ta douce, et avais inversé vos positions sans jamais lui donner de répit de tes lèvres, et tu l'avais finalement poussé lentement et progressivement, afin qu'elle se retrouve peu à peu en position assise, puis tu avais entamé ton ascension, jusqu'à ce que la blonde demoiselle ne rejoigne complètement ton lit pour la première fois de l'histoire de votre couple.

Il vous avait fallu explorer le corps l'un de l'autre de manière extensive, de la pointe des lèvres, avant de finalement perdre les vêtements vous empêchant de profiter de maximum du corps l'un de l'autre. Il faisait nuit, et hormis les quelques rayons de lune qui pénétraient la fenêtre de ta chambre, vous ne pouviez vous voir l'un l'autre, mais de tes caresses qui n'épargnaient aucun pouce de celle qui faisait battre ton coeur la chamade, tu arrivais à distinguer toutes les formes de l'étudiante, et tu la trouvais absolument parfaite. Tu ne manquais pas de lui chuchoter tout ce qu'elle faisait naître en toi, qu'il soit question d'une émotion, ou d'un profond désir charnel.

Le manège que tu avais commencé pendant votre précédent visionnement se poursuivit; tu étais déterminé à attendre que la jeune femme se sente assez prête pour qu'elle demande d'elle même votre union, étanchant tes pulsions à travers les innombrables carresses, qui se faisaient toujours plus osées, plus chaudes.

Tu ne saurais dire combien de minutes ou d'heures elle s'était fait attendre, ayant perdu toute notion de temps, mais le moment culminant de ces derniers mois de relation arriva finalement; elle était aussi prête qu'elle allait l'être, et toi de même. L'esprit dévoré par la luxure et la tentation, tu avais passé à un cheveu d'oublier ton dernier cadeau; un cadeau qui t'avait été révélé dans un chuchotement par ton aîné : un petit emballage de plastique qui avait été déposé dans ton tiroir. En réalité, tu fut surpris de découvrir qu'il n'y avait pas qu'un seul de ces emballages, mais qu'il y avait de quoi faire rougir la blondinette, si jamais elle venait qu'à découvrir la cache de préservatif. T'arracher à elle, brisant le moment d'intimité que vous viviez, t'avait demandé un effort titanesque; même si tu savais parfaitement que c'était la chose à faire, c'était tellement tentant de simplement envoyer au diable la bonne conduite et se perdre l'un dans l'autre... Mais ta conscience t'avait rattrapé, peu désireux d'offrir le cadeau de la maternité à ta copine aussi tôt dans votre relation.

Tu avais donc rapproché quelques-uns de ses fourreaux à usage unique, avant de commencer à te vêtir d'un d'entre-eux. Au milieu de ton mouvement, tu t'étais arrêté, et avait invité ta douce à participer à ce rituel de protection, afin de lui apprendre, car oui tu étais professeur cette nuit, et tu prenais ton travail relativement au sérieux; particulièrement lorsqu'il était question de rendre l'étudiante plus à l'aise, et d'être absolument certaine que vous étiez protégé devait forcément contribué à calmer ses esprits. Puis, tu devais avouer que de jouer aux enseignants comme ça te plaisait beaucoup, il y avait quelque chose de très sexy dans le passage de cette connaissance, aussi malhabile que la blonde puisse être à ses débuts.

Votre union s'était fait lentement, alors que tu rassurais la jeune femme, de tes mots autant que de ton toucher, qui se voulait tendre et affectueux. Tu avais beau l'avoir préparé, tu te doutais que le premier instant allait être moins plaisant pour ta chérie que pour toi-même, et tu avais laissé les choses se faire au rythme qui convenait à la jeune femme, écoutant ses plaintes lorsqu'il y en avait, mais aussi et surtout son corps, ses crispations comme ses chairs de poule. Tu naviguais cette première fois tel un capitaine de navire menant son vaisseau à travers les récifs et les bancs de sable : doucement et avec beaucoup d'amour.

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Mer 6 Mar 2024 - 18:50
Hildegarde Thorvald
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Hildegarde Thorvald
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Sebastian n'a pas semblé surpris quand je lui ai avoué mon inexpérience. D'une façon ou d'une autre il le savait déjà. L'avait t'il deviné ? S'était il renseigné auprès de la seule personne bien intentionnée qui aurait accepté de lui dire ? Peu importe, je me sens soulagée d'avoir su lui dire, même si cela semble bien tardif.

Mon aveu a pourtant un effet inattendu. Celui de l'inquiéter, de lui faire proposer de retarder les choses alors que je sais ô combien il attend ce moment. Mais je suis en mesure de le rassurer sur ce point.

- Non, je en ai envie

Lui dis-je, pressant ensuite mes lèvres contre les siennes pour prouver que l'envie dépasse de beaucoup les mots. Plus que jamais je me sens prête. Plus que jamais je me sens en confiance et suis heureuse de partager cette chance avec Lui. Il a fait preuve de patience et de douceur depuis les tout premiers instants que je l'ai rencontré.

Dans l'obscurité complice de la chambre, je me laisse aller entre les bras de Sebastian. Je le laisse me mener, m'emmener vers des territoires que je n'ai jamais encore exploré. Nos explorations et nos jeux nous amènent à trouver le chemin de son lit et bientôt plus aucun vêtement ne fait obstacle à nos corps. Chaque battement de son cœur résonne comme une douce mélodie dans le silence de la nuit alors que nos mains se cherchent dans l'obscurité et s'entrelacent avec tendresse. La chaleur de son corps m'entoure, elle me procure un sentiment de sécurité et de réconfort que je n'avais jamais connu auparavant.

Dans cette intimité partagée, je me sens enfin libre d'être moi-même, sans artifice ni masque. Sebastian m'aime. Il m'accepte pour ce que suis. Je laisse mes barrières s'effondrer.

Le courage qu'il me transmet me pousse en avant. Je me montre entreprenante malgrès ma maladresse, avide de découverte malgrès mon inexpérience. Et plus qu'à n'importe qui, je montre à Sebastian le côté joueur qu'il a déjà commencé à entrevoir en me fréquentant ...

Alors qu'il se déploie des luxe de précautions pour me mettre à l'aise et y aller doucement, je le taquine.

- Tu as peur de me casser ... ?

Lui dis-je à l'oreille avant de lui mordiller le lobe ainsi offert. Et je rajoute dans un murmure espiègle.

- Tu devrais te méfier

J'effleure son cou d'une bouche carnassière. Un cou qu'il serait bien inspiré de retirer s'il ne veut pas hériter de marques qu'il faudra bien qu'il justifie auprès de ses connaissances par la suite ...

Quand plus tard approche le moment ultime, je suis surprise de la voir s'éloigner de moi et comprend bien vite ce qui se trame. Joueuse, je viens m'étendre à ses côtés et viens avec une bien vilaine curiosité assister au spectacle, sans imaginer un seul instant que ca pourrait être source d'un quelconque embarras.  Je le taquine gentiment en lui faisant remarquer.

- Tu avais prévu ton coups on dirait.

Mais ce n'est définitivement pas un reproche. Je suis heureuse qu'il l'ait fait. Savoir que je peux compter sur lui me fait chaud au coeur. Je me glisse entre ses bras, le couvre de baisers et de caresses. A l'écoute de nos corps et de ses conseils, je le laisse nous guider jusqu'à ce que notre union se concrétise.

Malgré toutes mes appréhensions, la douleur redoutée ne survient pas. Pour ma chance (ou pour mon malheur ?) il en est parfois ainsi des filles qui ont passé leur vie à pratiquer le sport.  J'échappe aux tracas d'une première union pour n'en retirer immédiatement que le meilleur.

Mes paupières crispées se rouvrent et mon regard trouve celui de Sebastian, aimant et attentif. Je lui souris et le rassure d'un regard. Aggripée à lui, je me laisse me perdre dans ces sensations nouvelles, exprimant par mes soupirs et mes gestes à quel point je me sens comblée, connectée à lui d'une manière que je n'ai jamais ressentie avant.

Nos corps s'enlacent dans un ballet harmonieux, ils se mélangent dans une étreinte passionnée et tendre à la fois. Chacun de ses mouvements, chacune de ses caresses laisse en moi une marque enflammée dont la chaleur ne fait que monter sans jamais pouvoir redescendre. Lorsque enfin nos deux âmes se rejoignent dans un ultime élan de passion, je ressens une explosion de bonheur qui envahit tout mon être. C'est comme si toutes les émotions que j'ai pu ressentir jusqu'à présent se condensaient en un seul instant de pur bonheur.

Les sommets atteints, nous nous laissons ensuite aller dans les bras l'un de l'autre, hors d'haleine et l'esprit encore perdu quelque part à mi chemin de ce monde, je m'agrippe à lui et enfouis mon nez au creux de son cou.  Je me sens heureuse et en sécurité ainsi, incapable d'imaginer endroit où je préfèrerai être à cette heure ...


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Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Lun 11 Mar 2024 - 10:30
Sebastian Kennedy
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The Present
Pv Hildegarde
21 Décembre 2023 – Nuit


Vous l'aviez finalement fait, vous aviez passé à l'étape supérieure dans votre relation. La vie n'avait pas soudainement changé pour toi, mais tu ressentais plus d'amour pour la jeune femme que jamais auparavant. Alors que vous restiez dans les bras l'un de l'autre, tu ne pouvais que constater à quel point tu étais chanceux d'avoir fait la rencontre d'Hildegarde, et qu'elle ait ressenti pour toi ce que tu ressentais pour elle.

Tes mains s'aventurèrent dans les cheveux de la demoiselle, quelque peu humide de sueur, et tu te mis à jouer avec ceux-ci, doucement, tendrement. Si tu aurais pu arrêter le temps à tout jamais, c'est sur cet instant que tu l'aurais fait, cet instant de pur félicité. Tes problèmes et incertitudes n'existaient plus, il n'y avait que vous deux, et ta certitude que dans vingt ans encore vous seriez toujours ensemble, plus vieux mais pas moins amoureux.

-Je t'aime, Hildegarde, avais-tu chuchoté au creux de l'oreille de la bleu et bronze. Ces mots, tu les avaient dit, d'une manière ou d'une autre, à plusieurs reprises tout au long de cette nuit, mais ils semblaient bien incapable de transmettre adéquatement toute ta charge émotive. Tu voulais lui dire plus, lui montrer ce soleil qui grondait dans ta poitrine en ce moment, mais les mots adéquats n'existaient pas; malgré toute les subtilités de la langue de Shakespeare, celle-ci était bien impuissante face à la grandeur de ce que tu ressentais. Il aurait fallu que l'Allemande soit une Legilimens, et peut-être alors seulement à ce moment elle aurait pu comprendre.

-J'espère que c'était pas trop mal comme première fois.

Tu avais ajouté ces mots après que vous ayez passé un long moment à simplement profiter de la présence l'un de l'autre. C'était ta première fois également, après tout : La première fois que tu étais dans ce rôle d'enseignant, et tu te doutais qu'une mauvaise première expérience ne devait pas être si rare, particulièrement pour les filles.

Tu avais écouté les retours de ta copine sur votre première vraie nuit passée ensemble. De fil en aiguille, vous vous étiez retrouvé l'un face à l'autre, allongé sur un lit qui avait connu des jours meilleurs, à échanger à voix basse.

Quelque chose en toi te dit que ce moment était le bon pour donner son cadeau à la demoiselle. Ce n'était certes pas la scène que tu avais imaginé dans ton esprit, mais l'instant présent était emprunt d'une signification tellement plus grande que le moment où la Nomade allait retourner auprès de sa famille pour célébrer Noël.

-Attends, j'ai quelque chose pour toi, avais-tu dis afin que la jeune femme ne se pose pas trop de questions en te voyant quitter votre petit nid.

Tu t'étais relevé, retrouvant la fraîcheur de la pièce sur ta peau qui commençait à peine à sécher; il y avait une odeur particulière qui imprégnait la pièce, une odeur qui aurait facilement révélé à quiconque ouvrant la porte que vous veniez de vous donner un ultime présent; un présent qui n'avait rien de matériel, mais qui t'avait apporté plus de bonheur que tous les autres de la soirée réunis.

Profitant de ta mobilité, tu t'étais débarrassé de l'enveloppe de plastique usée, te faisant une note mentale de changer la poubelle de la chambre avant que Crystal ne tombe dessus afin d'éviter qu'elle ne s'en plaigne à toute la maisonnée. À tâtons, tu avais réussi à retrouver ta baguette, qui avait précédemment rejoint le plancher avec le reste de vos vêtements. Tu t'étais servi du bout de Sapin afin d'éclairer la pièce d'un faible rayon de lumière, prenant soin de prévenir la blondinette afin qu'elle puisse se couvrir si celle-ci n'était pas toujours à l'aise avec l'idée de te montrer son corps complètement nue.

Peu pudique, surtout pas en présence de celle qui faisait ronronner ton cœur, tu n'avais pas pris soin de te couvrir, alors que tu allais chercher une petite boîte qui avait été enfouie sous une montagne de préservatifs, dans le tiroir de ta table de chevet. Il ne t'avait fallu que quelques secondes pour rejoindre ta copine, toujours confortablement installée dans ton lit, et de lui tendre la boîte bleu en question.

-Comme on ne se verra pas pour Noël, je veux te le donner maintenant. Joyeux Noël mon amour.

C'était le geste qui allait sceller cette soirée si spéciale, et tu espérais que ton cadeau allait garder cette empreinte avec lui, et vous rappeler à tous les deux cette première nuit, lorsque la jeune femme allait le porter. En effet, la petite boîte renfermait une chainette en argent plaqué or supportant un pendentif de Marguerite, une fleur souvent associée à l'amour qui t'avais semblé être parfaite pour la blonde. En effet, c'était une fleur de laquelle semblait émaner tendresse et bonheur, une fleur qui, en toute simplicité, était inoubliable et intemporelle.

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Mer 13 Mar 2024 - 16:46
Hildegarde Thorvald
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Je suis lovée dans ses bras et enveloppée par sa chaleur. Mon cœur bat au rythme tranquille de la nuit calme qui nous entoure et de la tendresse qui nous unit.  Je pourrais difficilement me sentir mieux qu'en ce moment même. J'imagine sans peine qu'il ressent la même chose car il me murmure des mots tendres. Dont la formule magique à la fois incroyable et dangereuse qu'il invoque sans sourciller un seul instant : Je t'aime, Hildegarde. Trois petits mots qui me font retenir mon souffle à chaque fois.

La première fois qu'il les avait prononcés, un instant de panique avait suivi sa déclaration. Soumise à un tourbillon d'émotions et de pensées incontrôlables, je ne savais pas su quoi répondre. Comment pouvait il se sentir prêt à dire des choses pareilles alors que nous ne nous connaissions que depuis quelques mois ? Et il s'attend sûrement à ce que je lui réponde la même chose.  

Est-ce que je suis prête à lui dire ? Je ne sais pas ! Ces mots sont chargés d'un sens si lourd. Je n'ai pas anticipé que ca pourrait arriver. Je m'interroge, laissant les doutes emplir mon esprit déjà tumultueux. Je sais que je tiens à lui. Que je pense à lui chaque jour, presque chaque heure. La chaleur de son sourire et de sa voix me manquent quand nous sommes séparés. Je suis attachée à lui, je veux son bonheur et envisage difficilement le miens sans lui à mes côtés. Mais est-ce suffisant ?? Mes pensées s'égarent dans un flot d'incertitudes. C'est sans doutes mon plus gros défaut, mon besoin irrépressible de tout analyser, de tout comprendre et de systématiquement penser beaucoup plus loin qu'il ne le faut.

Je ne m'imagine pas lui répondre sans avoir le fait le point et être certaine d'être absolument et définitivement sincère avec moi même. Une telle question mérite d'avoir réfléchi de fond en comble aux questions existentielles telles que "C'est quoi l'amour ?" "qu'est ce que ca implique ?" "c'est quoi le bonheur ?" et me perdre loin, loin dans des débats philosophiques avec moi même.

Mais je sens bien que mes silences ne conviennent pas. Sebastian ressent le besoin que d'une façon ou d'une autre j'apaise l'attente palpable qui règne dans l'air après chacune de ses déclarations.

Estimant qu'un geste vaut plus que tous les discours je finis par lui sourire, lui caresser la joue avec une douceur qui dit plus que les mots que je n'ose prononcer.  Et je dépose un baiser sur son torse, précisément là où je sais que se cache le petit cœur qui bat pour moi. Cela lui suffira t'il ? Je l'espère. Je m'en voudrais tant de le blesser, surtout en journée pareille.

Une autre fois par la suite, c'est plutôt avec humour que je répond.

- Je suis sûre que tu dis ça parce que tu espères que on recommence après.

Il commence à connaître mon côté joueur et espiègle. Il sait que pareille suggestion n'est absolument pas le reflet de ce que je pense. Mais tout de même ... ca ne m'empêche pas de lui mordre le lobe de l'oreille, voire de le titiller plus bas en voyant si je peux parvenir à refaire sortir le diable de sa boite.

Mais comme s'il se souvenait soudain d'un détail important, il quitte le lit pour chercher quelque chose. Un cadeau pour moi affirme t'il. Il allume la lumière et c'est pour moi l'occasion de le voir déambuler dans le plus simple appareil. C'est un plaisir que je ne boude pas. Je me repositionne même sur son lit pour mieux pouvoir profiter de la vue. Quant à moi ? Non je n'éprouve aucune pudeur particulière. Bien au contraire. Je me souviens bien que c'est parce que je me suis montrée nue devant lui un jour que nous en sommes arrivés là. Je m'étire comme un chat alangui, l'oeil brillant de plaisir alors que Sebastian revient avec son paquet et tombe sur le spectacle de ma nudité dévoilée. Je lui souris. Avec une lenteur calculée, je me pousse de manière infime pour lui laisser de la place sur ce petit lit prévu pour qu'un seul dormeur s'y étale. Je referme mes bras autour de lui quand il me rejoint et me love sans honte contre lui.

Sebastian me fait donc un cadeau. Le geste me touche bien plus que ce qu'il pourrait imaginer. C'est vrai que c'est Noël, on pourrait croire que c'est normal qu'il le fasse. Mais vous le savez, la personne avec qui j'étais en relation avant lui était tout sauf prévenante avec moi. Ni Saint Valentin, ni Noël, ni même mon anniversaire ne m'ont jamais valu la moindre petite attention. Quel que soit ce que pourrait renfermer cette petite boite, le simple fait qu'il m'offre quelque chose est déjà quelque chose de si beau ...

Je déballe avec précaution le présent, savourant cet instant le coeur battant. L'écrin s'ouvre et révèle un pendentif en forme de petite marguerite. Un petit bijou coloré simple et coloré. Sa vue emplit mes yeux de larmes d'émotions qui ne manquent pas d'attirer son étonnement.

- C'est .. si beau ...

Dis-je en deux reniflements que je n'arrive pas à contenir. Je suis la première surprise par ma réaction. Je ne pensais pas être si émotive ... ou du moins je pensais parvenir à garder bien mieux mes sentiments pour moi. Je le serre contre moi, longuement, laissant les sentiments déborder de mon cœur. Je ne veux pas qu'il s'inquiète de ces larmes, je cherche à lui expliquer.

- Excuses moi, je ... il me plait beaucoup. Je ne me y attendais pas.

J'essuie mes yeux d'un revers de la paume et tend vers lui le pendentif, un sourire aux lèvres.

- Tu veux bien me le mettre ... ?

Ca compte à mes yeux que ce soit lui qui me le passe au cou. J'aime déjà ce bijou. Je sais que le quitter à chaque entrainement ou à chaque spectacle me coûtera. Alors que je lui tourne le dos et relève mes cheveux pour lui laisser libre accès à ma nuque, je l'informe.

- Gänseblümchen ...

Non ce n'est pas un juron. Je sais, c'est difficile à l'imaginer des fois quand on entend parler allemand.

- Ca est le nom de la fleur dans la langue de ma mère.

Je lui souris par dessus mon épaule.

- Dans la langue de mon père, ca est pareil que en anglais ... "Daisy".


The Present [Pv Hildegarde Thorvald] - Page 2 Signat11

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Dim 17 Mar 2024 - 11:13
Sebastian Kennedy
Médicomagie
I - Aide-soignant
Sebastian Kennedy
Année d'étude : Septième année
Singularité : Sorcier / Sorcière
Orientation : Boiz&Girlz
Statut civil : Fréquente Hildegarde Thorvald
Activités : -Natation
-Escalade en solo intégral

© : sweeney entertainment
The Present
Pv Hildegarde
21 Décembre 2023 – Nuit


Tu voyais bien que la demoiselle était légèrement mal à l'aise lorsque tu lui témoignait verbalement de ton amour; tu trouvais ça particulier, sachant à quel point vous étiez attacher l'un à l'autre, et surtout considérant cette nuit que vous partagiez, mais tu ne doutais en aucun point de l'amour que la blondinette éprouvait à ton égard, alors tu n'en faisait pas vraiment de cas. Peut-être voyait-elle ces trois petits mots comme un grand engagement plus qu'une expression verbale de ce que son cœur ressentait. Dans tous les cas, les actions avaient une plus grande importance que les mots, et l'allemande t'avait prouvé à d'innombrables reprises qu'elle t'aimait, et ça te suffisait amplement.

Tu fut surpris de voir que la poursuiveuse semblait en redemander, se révélant taquine, tentant de motiver votre ami en commun à continuer le combat. Votre première fois ayant attendue plusieurs mois, tu ne t'attendais pas à découvrir dès la première occasion que ta copine était en fait gourmande au lit, mais tu devais bien avouer que l'idée t'excitait énormément.

Une nouvelle surprise te fut servie lorsque tu avais éclairé la pièce de ta baguette, et que tu avais découvert une Hildegarde complètement nue, qui ne semblait éprouver aucune gêne à te présenter ainsi son corps parfait. Il fallait dire que tu avais du mal à ne pas lui sauter dessus, en la voyant ainsi dans toute sa splendeur. Vous étiez bien loin du moment où tu avais fait irruption dans la petite fête organisée sur le bord du lac noir, où la blonde demoiselle faisait tout pour cacher ses atouts !

Bien déterminé à donner son cadeau de Noël avant que la nuit ne se poursuive, tu avais su résister à la tentation que la bleu et bronze faisait naître en toi, et lui avait apporté le petit paquet, bien au garde-à-vous.

Tu avais retrouvé le confort de sa proximité pour assister au déballage du pendentif, attendant avec excitation la réaction de l'étudiante.

Ton sourire s'était rapidement effacé lorsque l'allemande s'était mise à pleurer, à la vue de la marguerite. Avais-tu commis une grave erreur? La fleur lui rappelait-elle un souvenir particulièrement douloureux? Tu étais tellement idiot, tu aurais dû choisir une fleur de tournesol, comme la vendeuse t'avais conseillée !

Avant que tu ne puisses fondre en excuse, la blonde t'avait immédiatement rassurée lorsqu'elle avait révélé trouver le pendentif très beau. OUF! La catastrophe était évitée : il s'agissait de lame de joie ~pas vrai?~. Tu lui avais offert un sourire particulièrement tendre, alors qu'elle s'excusait de sa réaction.

-Il n'y a pas de raison d'être désolée, je suis touché que tu l'aimes à ce point-là; il me faisait penser à toi, qui met toujours du soleil dans mes journées, mais de la plus douce des manières possible. Et puis, c'est une fleur qui rappelle l'amour, et comme ça, tu pourras toujours te rappeler le mien, lorsque tu l'auras avec toi. Tu avais agrémenté ces derniers mots d'un délicat baiser sur la joue de la nomade, bien incapable de contenir tout l'amour que tu ressentais pour la jeune femme en ce moment.

Puis était venue sa demande pour que tu l'aide à mettre le pendentif à son cou. Tu retint une blague salace sur le fait que tu venais tout juste de "lui mettre", considérant que le moment n'était pas bien choisi pour pareille plaisanterie.

-Ça va me faire plaisir, répondis-tu, avant de te saisir de la chaînette dorée.

La nuque ainsi dévoilée de ta chérie se révéla simplement trop irrésistible, et tu alla planter un doux baiser au creux de celle-ci, avant de t'exécuter, et passer le pendentif au cou de l'allemande, portant une attention particulière à la chevelure de cette dernière, afin de ne pas lui tirer par mégarde une mèche rebelle.

Une fois au cou, tu avais déposée une main entre les omoplates de la jeune femme, et t'étais avancé le visage afin d'avoir une vue de la marguerite reposant sur le thorax dénudé de ta copine. Tu avais l'impression d'être dans le Titanic, à voir ainsi la plus belle femme du monde porté un précieux pendantif ne faisant que complimenter d'avantage son corps sublime.

Hildegarde t'informa de la traduction de la marguerite en Allemand; un langage dans lequel tu avais toujours du mal à trouver la beauté, même lorsqu'il était prononcé par la délicieuse voix de la blondinette.

-Je crois que je préfère la version de ton père, mais c'est intéressant que le mot soit le même qu'en Anglais... Mais en ce moment, je n'ai pas vraiment envie de penser à ta famille, avais-tu dis, alors que tu avais recommencé à t'attaquer au cou de la Nomade de tes baisers.

Tu n'avais pas oublié que la demoiselle avait tenté d'obtenir un encore quelques minutes plus tôt, et tu étais bien décidé à lui donner jusqu'à ce qu'elle soit pleinement rassasié que ça prenne toute la nuit ou non. De plus, tu te doutais que tu allait pouvoir tenir le coup bien plus longtemps avant ta prochaine pause, compte tenu qu'il s'agirait de votre deuxième fois en si peu de temps.

Malgré tout, tu décidas de commencer doucement, avec un chapelet de baiser partant des lèvres de la jeune femme, pour s'aventurer toujours de plus en plus bas, prenant ton temps pour apprécier chaque recoin du corps de la blonde demoiselle. Tu te demandais comment celle-ci allait réagir lorsque tes lèvres allaient arriver à leur ultime destination, désireuses depuis longtemps de goûter l'étudiante, prêtes à travailler de concert avec ta langue jusqu'à ce que leur prodigieuse soif soit pleinement étanchée.

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Dim 17 Mar 2024 - 16:09
Hildegarde Thorvald
En manque d'inspiration
Hildegarde Thorvald
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Année d'étude : Sixième année
Singularité : Sorcier / Sorcière
Orientation : Boiz&Girlz
Statut civil : Célibataire
Activités : Quidditch, Acrobatie et spectacles.

DC : Daisy Wellington

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Malle à Objets:
Baguette:
Et aussi:
Oui, il l'avait compris. C'est bien de bonheur si les larmes me sont montées aux yeux. Elles sont bien vite essuyées et ne laissent place qu'à un sourire radieux et à l'envie viscerale de me perdre de nouveau dans ses bras.

Nous parlons un peu et un rire joyeux quand il me fait remarquer que ce n'est pas à ma famille qu'il a envie de penser sur le moment. Amusée, je demande d'un ton faussement surprise.

- Ah vraiment ?

Avant que nos corps ne s'abandonnent de nouveau l'un à l'autre, un chemin de pensée tortueux de ma tête me fait prendre conscience qu'il y a une chose que je n'ai jamais dite à Sebastian et qui a importance capitale. Le fait que l'idée me vienne soudain doit se voir sur ma tête car immédiatement, je porte la main au collier que je porte.

- Häschen ... ? Tu sais ... Il y a quelque chose que je te ai jamais dit.

Probablement parce que je ne pensais pas qu'un jour il irait jusqu'à m'offrir un bijou. Mais puisque visiblement ca entre dans le domaine des possibles, je dois l'avertir.

- Les bagues ... il faut surtout pas que tu me en offres. Ca est assez mal vu chez moi ...

Ca peut paraître bête dit ainsi mais c'est au contraire très important. Depuis toute jeune, j'ai grandi avec l'idée très arrêtée qu'une bague est l'équivalent d'un collier qu'on passe au cou d'un chien pour en marquer la propriété. L'idée vient bien sûr de notre famille élargie et nous a été transmise par nos parents. Je sais que mon père est le genre d'homme à accueillir à bras ouvert Sebastian si je lui présent, qu'il serait prêt à accepter toutes les choses les plus absolues ou absurdes de sa part tant qu'il me rend heureuse. Mais je crois très sérieusement qu'il serait prêt à utiliser mon petit ami comme cible pour le lancer de couteau s'il lui prenait la lubie d'essayer de me passer une bague au doigt. Pas seulement LA bague officielle et honnie. Je ne connais pas le sentiment de mes mères à ce sujet mais j'imagine sans peine qu'elles ne verraient pas ça d'un bon oeil du tout. J'ai un sourire un peu contrit et sentant que le mood n'est plus vraiment aux discussions sérieuses, je laisse le sujet être remisé à plus tard.

- On en reparlera. Je te expliquerai.

Lui dis-je avec un sourire que j'espère rassurant. C'était important que je le lui dise mais pas si urgent dans le fond. Nos corps de nouveau réunis, c'est assez naturellement que nos mains et nos lèvres retrouvent le chemin l'un de l'autre. Je sens bien que la situation est en train de glisser. J'ai bien envie de m'abandonner de nouveau à ce plaisir là mais je suis surprise de soudain le sentir glisser hors de ma portée. D'abord surprise, je comprend vite quelles sont ses intentions. Je me redresse un instant ses mes avant bras, cherchant avec incertitude son regard.

- Tu es sûr ?

Oh oui il semble l'être. Par son sourire, son regard et les mots qu'il saura trouver, il me rassure et fait taire le sentiment de culpabilité qui me prend à être celle qui ne fera que recevoir le plaisir cette fois. Je laisse mes épaules retrouver le contact des draps mais conserve une de ses main prisonnière des miennes. J'embrasse ses doigts, ferme les yeux au contact de ses phalanges et accompagne son geste lorsque plus tard il descend sa paume jusqu'à mon coeur.

Aventurière novice, je laisse en toute confiance l'explorateur chevronné me guider vers ces contrées de l'Amour que je ne connais pas.


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Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Ven 22 Mar 2024 - 8:38
Sebastian Kennedy
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21 Décembre 2023 – Nuit


L'expression de la blonde demoiselle change subitement après avoir caressé le pendentif que tu viens de lui offrir, tu es confus, considérant à quel point elle semblait l'apprécier il y a une trentaine de secondes de ça. L'étudiante t'affirme qu'il y a quelque chose qu'elle ne t'as jamais dit; ce n'est pas le genre de phrases qui sont douces aux oreilles, habituellement, mais dans ce cas-ci tu ne voit pas vraiment ce qu'elle pourrait te révéler de si terrible après tout ces mois; la connaissant, tu imagines une révélation particulièrement bénigne qu'elle a sur-analysée au point de voir une montagne là où il n'y a qu'une petite butte.

-Qu'est-ce qui te tracasse? Dis-tu, avant que la réponse ne te soit fournie.

Tu apprends que tu ne dois pas lui offrir de bagues, car c'est mal vu dans sa famille. Ça tombe bien, ce n'était pas vraiment dans tes plans! C'est tout calvers, d'offrir une bague en surprise à quelqu'un, comme il faut connaître assez précisément leur tour de doigts, à défaut de vouloir retourner chez le bijoutier une fois le cadeau fait. Puis, c'est bien plus personnel, selon toi, une bague; c'est un bijou qui va sans cesse être dans le champ de vision de son propriétaire, contrairement à la plupart des autres bijoux. Nan, c'est vraiment mieux d'éviter les bagues, à moins d'être prêt à ruiner la surprise et d'amener sa copine directement magasiner l'alliance avec nous.

-Ça tombe bien, j'avais pas l'intention de demander ta main avant l'année prochaine, t'exclames-tu d'un ton particulièrement joueur.

Devant la réaction de la blondinette, tu lui embrasses délicatement le front, avant de lui murmurer de façon rassurante :

-T'en fais pas, je compte pas briser vos traditions.

En temps normal, tu aurais été particulièrement curieux de connaître la raison de cette horreur des bagues. À vrai dire, la question allait probablement te turlupiner quelque peu, te poussant à initier cette discussion dans un futur davantage rapproché qu'éloigné, mais à l'instant présent, tu étais beaucoup trop allumé par la vue du corps dénudé de la Poursuiveuse pour t'étirer davantage sur le sujet. Tu retournes donc à tes caresses de la jeune femme, mêlant ta langue à la siennes, alors que vos mains se rejoignaient pour une ènième fois, avant que tes lèvres ne partent à l'aventures pour explorer les zones les plus érogènes de la blonde.

Alors que tu t'apprêtes à plonger tête première au creux des cuisses de ta douce, celle-ci semble prise d'une panique passagère, se redressant d'un coup et te demandant si tu es bien certain de souhaiter goûter ainsi à la demoiselle. Tu lui souris, quelque peu amusé par sa réaction.

-Oh que oui, c'est quelque chose que je veux faire depuis un petit moment déjà. T'inquiètes pas pour moi, et si ça ne fait rien pour toi, on passera simplement à autre chose, d'accord? Tu avais ajouté une moue attendrissante à ces dernières paroles, essayant une fois de plus de dissiper les peurs de la jeune femme. C'était attachant de la voir s'inquiéter ainsi, mais tu espérais vraiment pouvoir lui faire prendre son pied ainsi, et ainsi lui montrer qu'essayer de nouvelles choses pouvait être aussi plaisant au lit que dans la vie de tous les jours.

Voyant la jeune femme se décontrater, un sourire particulièrement excité était apparu sur ton visage, avant que tu n'approche se dernier de l'antre du plaisir de la demoiselle. Tu t'étais assuré de te faire désirer, tournant un bon moment autour du pot, avant de t'attaquer au plat de résistance.

Enfin, tu pouvais goûter au nectar de plaisir de la plus belle allemande que le monde ait connu. Tu devais avouer que la saveur ainsi découverte était assez loin de celle dont tu avais le souvenir lointain. Il fallait dire que la blondinette faisait beaucoup plus attention à son alimentation, et que ça devait forcément jouer un peu.

Tu avais encouragé la bleu et bronze à refermer son emprise autour de ta tête, n'appréciant que trop cette impression d'envie viscérale d'en vouloir toujours davantage, au point de ne plus te soucier de ton propre bien-être. Tu étais bien déterminé à donner à la jeune femme une nuit dont elle n'était pas prêt d'oublier, même si celà signifait que vos heures de sommeils allaient être réduite à un minimum. Seule l'endurance de ta langue allait jouer contre toi à cet instant, mais tu n'hésiterais pas à utiliser tes doigts afin de lui donner un bref moment de répis, ou simplement pour mener l'attaque sur deux fronts de manière simultanée. Même si tu avais précédemment eu beaucoup de mal à résister à la tentation de t'unir pleinement et sans barrière avec la Nomade, tu devais avouer à cet instant que tu étais bien heureux d'avoir utilisé une protection, car ce goût et cette sensation t'auraient très certainement manqué.

Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

Jeu 28 Mar 2024 - 14:55
Hildegarde Thorvald
En manque d'inspiration
Hildegarde Thorvald
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Baguette:
Et aussi:
Et c'est ainsi que je me laisse porter par les tendres attentions de Sebastian. Mise en confiance par sa douceur et son assurance, je me laisse entrainer à sa suite vers ce nouveau territoire inconnu. Guide patient et virtuose, il m'amène au bout du chemin sans empressement mais avec résolution jusqu'à l'inéluctable conclusion. Accrochée à ses cheveux, je me surprend à être mettre à l'épreuve les sortilèges d'isolation que le sorcier avait placés peu de temps avant. Ce n'est que bien des secondes plus tard que mon dos trempé de sueur retombe sur la fraicheur des draps. Je reste quelques instants ainsi, immobile, regard perdu dans les étoiles avant de murmurer.

- Ca était .. woaw.

Ne trouvant pas plus de mots pour exprimer ce que je ressens, je viens me lover entre ses bras et me serrer fort contre lui. Echevelée et encore essoufléee par ce qui vient de se passer, je prend vite conscience que j'ai cette fois été la seule à profiter de ce moment. Un sourire malicieux étire mes lèvres alors que change subtilement de position et que mes mains reprennent une exploration d'abord sages du corps athlétique de mon petit ami.

- Et toi, maintenant  ... ?

Son cou et le lobe de son oreille sont à portée de ma bouche. Je ne me prive pas de planter un croc gentiment vorace dans l'un puis dans l'autre alors qu'une de mes main caresse son ventre et même un peu plus bas. On m'avait prévenue que la vigueur masculine avait tendance à s'estomper mais il faut croire que Sebastian n'était pas encore tout à fait prêt à baisser les armes.

- As tu envie de ... ?

Je le laisse le soin de deviner la fin de la phrase selon sa convenance voire d'y comprendre exactement ce qu'il aura envie. Pour la toute première fois depuis le début de notre relation, la nuit qui se présente s'annonce entièrement à nous. Nous avons encore beaucoup de temps devant nous pour tester les limites de nos deux corps jeunes et avides de continuer à se découvrir ...


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Sexe (consentit ou non) Re: The Present [Pv Hildegarde Thorvald]

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