Un moment de complicité avec les Croups

Un moment de complicité avec les Croups L’idée de rester fut approuvé , ce qui rempli de bonheur Ghosty . « Merci, Monsieur ! C’est très gentil de votre part. , on va bien s’en occuper », s’exprim a t il en sautant de joie. . le garçon avait eu un bon feeling, avec tous ces charmantes petites boules de poils, notamment celui avec qui il avait fait le parcours celui-ci s’appelait d’ailleurs mélodie, selon les dires de Camille « Mélodie ! J’aime bien » Dit-il en direction de Camille, tout en se rapprochant d’elle . « Bravo, tu as été super convaincante auprès de Monsieur Hasting . » dit-il, sourire jusqu’aux oreilles, main, droite, paume vers le ciel, pour qu’elle lui en tape cinq. « Tu as su trouver les bons mots, j’ai l’impression que vous vous entendez bie n selon toi, c’est plutôt une bonne ou une mauvaise chose d’avoir quelqu’un de sa famille comme professeur ? Le jeune serpentard » imaginez mal recevoir des cours de quelqu’un de sa famille trop de risque qu’il dévoile son petit surnom. « Ghogho » c’était le surnom que lui avait trouvé sa mère, et que les autres membres de la famille avait fini par utiliser eux aussi , au grand désespoir du petit garçon qui voyez une trop forte similarité avec « gogole »Un mot qu utilisait souvent les enfants de son écol e, mais bon, c’est parents n’avait pas l’air d’avoir fait ce rapprochement là. . « Je te demande ça, car moi j’aurais peur qu’il m’appelle par mon surnom , ma mère a tendance à m’appeler « mon petit Ghogho » À la maison, ça va, mais la honte devant tout le monde. » Lui dit-il sur le ton de la confidence « Évite de le répéter À tout le monde s’il te plaît je te fais confiance. » Le premier année entrepris alors de distribuer les bonbons qu’ils avaient reçu en récompense après calcul des friandises, il y en avait quatre pour tous les participants et bonus il en restait deux en trop. « Voilà pour toi, Camille, quatre bonbons », dit-il tout en lui plongeant les friandises dans le creux de la main. Puis il a la voir Elizabeth et Lucas pour qu’il puisse en profiter également. Le premier année lança un coup d’œil autour de lui à la recherche du professeur qu’il ne vit pas. Il alla donc voir Camille. « Camille, il en reste deux dans le paquet est-ce que tu pourrais les donner à ton oncle ? Pour le remercier d’avoir organisé la course ? Je ne le vois plus, il a dû partir. » ? » .