• ◊ Mensurations : 1m80, 80kg
• ◊ Morphologie : Sportif, il fait en sorte de ne pas prendre trop de poids
• ◊ Démarche et attitude : Démarche assurée, la tête droite
• ◊ Droitier ou gaucher : Gaucher
• ◊ Manie : Observer avec attention les détails de tout ce qu'il entoure
◊ Couleur des cheveux : Brun
• ◊ Longueur et type des cheveux : Plutôt courts, lisses ou bouclés
• ◊ Couleur des yeux : Bleu-gris
• ◊ Forme du nez : Droit
• ◊ Voix : Grave, imposante, calme et posée
• ◊ Particularité : Une barbe de deux ou trois jours selon le temps accordé devant son miroir

Enfance et éducation

L’héritage est un poids incommensurable. Le 21 décembre 1990, Zéphyr né de l’union de deux grandes familles sorcières. Son père descend d’une branche de l’illustre famille Lestrange dont la renommée n’est plus à faire. Grand diplomate au sein du Département de la coopération magique internationale, il s’absente fréquemment à l’étranger durant l’enfance de Zéphyr, le laissant souvent seul avec lui-même dans le manoir familial. Sa mère, quant à elle, est une descendante Fantomhive, une autre lignée sorcière française plus mineure certes, ayant peu d’héritiers, mais reconnue à l’internationale comme portant des grands noms dans les domaines de la recherche et du commerce. Tous deux fortement occupés durant les premières année de la vie de Zéphyr, le petit garçon s’occupe comme il le peut, notamment en dévorant avec intérêt petit à petit tous les livres de la bibliothèque familiale pour s’instruire, fortement encouragé par sa gouvernante qui voit en lui un intellectuel en devenir. C’est elle qui, tous les soirs, l’aide à s’endormir, bercé par de nombreux contes notamment ceux de Beedle le Barde qu’il affectionne tout particulièrement. Cette affection devient alors une véritable passion lorsqu’il apprend la vérité sur le Conte des Trois Frères, les Reliques de la Mort et sur la Mort elle-même qui, dès lors, conditionnera le reste de sa vie.

Pendant l’année de ses neuf ans, c’est en Égypte que Zéphyr et sa famille déménagent dans le but de resserrer les liens diplomatiques entre les Ministères de la Magie britannique et égyptien. Le temps passe et Zéphyr est finalement invité à débuter son cursus dans une école de magie. Mais ce n’est pas Poudlard qu’il rejoint mais bien Uagadou en Ouganda, la plus grande école de magie du monde. Il y apprend les rudiments de la magie pendant plusieurs années et complète sa formation en manumagie et en animagie, non sans difficulté. C’est en panthère au pelage noir et aux yeux aussi bleus que les siens qu’il peut désormais se métamorphoser à volonté. À Uagadou, Zéphyr découvre également ce qui deviendra sa deuxième passion : l’alchimie. On lui enseigne entre autres les grands noms de la discipline et l’histoire de la pierre philosophale. Cette pierre qui peut vaincre la mort comme dans le compte des Trois Frères qu’il affectionne tant. Une fois diplômé, c’est tout naturellement que Zéphyr oriente la suite de sa formation vers l’alchimie, plus que jamais avide de nouvelles connaissances dans ce domaine.

Zéphyr et l’alchimie

Zéphyr rejoint alors le prestigieux Centre égyptien d'études alchimiques au sein duquel il perfectionne ses compétences. Finalement reconnu par ses pairs pour la portée innovante de ses recherches concernant  l’élixir de longue vie, il est rapidement repéré par le Ministère de la Magie britannique qui souhaite récupérer un aussi brillant élément au nom si évocateur dans ses rangs. Sa réputation faite en Égypte, Zéphyr accepte l’offre du Ministère et quitte l’Afrique pour l’Angleterre. Il est alors promu Langue-de-Plomb du Département des Mystères et découvre la Salle de la Mort et tous ses secrets, lui permettant, grâce aux expérience parfois sordides qu’il y mène de pouvoir voir les sombrals. Ses capacités en manumagie ayant vite atteint leur limite, Zéphyr décide de se procurer par le biais des connaissance de sa famille une baguette pour mieux canaliser ses pouvoirs et se forme en parallèle à son utilisation aussi bien en alchimie que dans les autres domaines de la magie. Il profite également pour adopter un fléreur femelle, Stelmaria, qui ne le lâchera plus. Gardien de secrets incroyables, il se forme finalement à l’occlumancie, spécialité dans laquelle il finit par exceller a contrario de la legilimencie qu’il se résout à abandonner tant il trouve son propre niveau pathétique.

Rumeurs et opportunités

Plus secret et imperturbable que jamais sur sa vie et son emploi, les rumeurs vont bon train sur les études menées par Zéphyr au sein du Ministère. Certains osent penser qu’il aurait sa propre pierre philosophale ou qu’il aurait rencontré la Mort elle-même et que c’est elle qui lui aurait donné sa baguette aux éléments semblables à celle du célèbre conte qu’il aimait tant enfant. D’autres pensent qu’en tant qu’héritier des Lestrange, il l’utilise pour pratiquer la magie noire et invoquer toute sortes de créatures des ténèbres, sans savoir qu’il descend d’une branche parallèle à celle des anciens Mangemorts. À cela, Zéphyr n’y répond rien. D’abord parce que les Langues-de-Plombs sont tenus au silence et puis parce que ça ne l’intéresse pas. Que les autres parlent si ça leur fait du bien. Ses exploits finiront par être révélés lorsque le monde sera prêt. Sa réputation professionnelle dans son domaine – et non les rumeurs qu’on alimente sur son nom – finit d’ailleurs par remonter jusqu’aux oreilles du personnel de Poudlard durant l’année de ses 31 ans. Zéphyr se voit alors proposer le poste d’enseignant en alchimie, l’actuel étant sur le départ. Puisque l’alchimie y est enseignée comme option et seulement en fin de cursus, Zéphyr accepte l’offre tout en maintenant son poste de Langue-de-plomb au sein du Ministère. Il fera les aller-retours entre Londres et Poudlard durant l’année avec la ferme intention de continuer à mener ses recherches et exercer sa passion, en s’efforçant de la communiquer à ses élèves et peut-être en faire naître une chez eux, à son tour. Qui sait ? C’est une nouvelle aventure qui lui tend les bras et après tout ce qu’il a déjà vu et traversé, il faudra plus que quelques étudiant pour l’effrayer.