❯ ASCENDANCE : Sang-pur
❯ DATE DE NAISSANCE : 02.12.2003
❯ NATIONALITÉ : Coréenne
❯ CLASSE SOCIALE : Riche

❝Corée du Sud, 02.12.2003 ▬ Un silence glacial pesait cette nuit-là. Seul un bruit d’ongles grattant frénétiquement l’accoudoir d’un fauteuil, déchirait ce fragile voile. Une riche odeur de tabac et d’hydromel habiter l’immense bureau, unique compagnie du sorcier assit là. Attendant, les yeux plongeaient dans son verre vide, plus agacer qu’impatient. Soudains après une longue, très long attente, les doubles portes du bureau s’ouvrir sur un homme suivi d'un chétif elfe de maison, tout deux vêtus de noir. De ses yeux absents, le maître questionna ses serviteurs, bien qu’incliner respectueusement, ils répondirent à sa question silencieuse par se qu’il voulait entendre. Son aînée venait de naître. En santé, sa mère également. Un certain soulagement envahit le maître. D’un seul coup de main, il remercia ses domestiques. La porte se refermant de nouveau sur sa solitude, l’homme leva les yeux sur le massif tableau au-dessus de sa cheminer éteinte. Les regards dans le portrait de sa fière et ancestrale famille le toisant avec moins de poids maintenant. Il lui avait été si difficile d’avoir un enfant que même si son ainée était une fille cela serait amplement suffisant pour assurer sa succession sans avoir à faire aux vautours.

❝Corée du Sud, 07.28.2004 ▬ Comme un miracle, l'années suivant la naissance de leur ainée. Le maître du clan Park vu naitre sa seconde fille. Comme l’ironie du sort le voulait, c’est lorsqu'il abandonna l’espoir d’avoir des fils, que son épouse pue engendrer, sans complication aucune, des filles. Comme une malédiction sur leur descendance. Cela l’importunait peu aujourd’hui, il avait fait la paix avec le sort. Avec le sort oui, mais cela ne changeait aucunement ses obligations envers son clan et ses ancêtres. Ses filles seraient les dignes successeurs de leur empire.

❝Japon, 06.15.2008 ▬ Dans ses premières années, la vie de Migung fut des plus enrichis. Entourée de grands sorciers et sorcières de la sociétés Coréenne, Chinoise, Japonaise et plus encore, de par les nombreuses relations d’affaires de sa famille. Baignant dans la richesse, le luxe et le raffinement. Instruite par toutes sortes de précepteurs dès qu’elle sut marcher et parlé. L'éveil magique, celons les anciennes traditions se faisant dès le plus jeune âge pour augmenter les capacités et possibilité des jeunes sang-purs, Migung en tant qu’ainée faisait office d'une attention spéciale. Miyoung, sa petite sœur, aurait certainement la chance d’être moins sollicité. De fortes attentes et espérances reposées sur les fragiles épaules de Migung. À cinq ans il était pour autant difficile pour elle de l’assimiler. Son père souhaité en faire sa digne héritière, et n’avait que peu de scrupule quant à savoir si elle était trop jeune pour être formé à la grandeur. Contrairement à lui, sa mère, particulièrement sensible aux besoins de ses deux filles et de leurs épanouissements ne l’entendait pas de cette façon.

La majorité du temps Migung lui était retirée pour ses activités d’éveil avancer à la magie. Si elle pouvait faire valoir que Miyoung n’avait pas besoin d’autant d’attention que sa sœur, sur tout à son âge, il lui était très difficile de retirer Migung des griffes de ses précepteurs et de son père. Ne voulant pas se battre contre son époux, ni aller à l’encontre des volontés de leurs clans, elle fit valoir une simple requête. Laisser aux filles la possibilité de voyagé avec elle à travers le monde magique une fois par an. Si elle réussit à le faire valoir comme étant pour leurs apporter plus de connaissances et de culture, en réalité elle avait trouvé ici une porte de sortie. L’opportunité, pour quelques jours dans l’année de sauver Migung et Miyoung de l’épuisement prématuré d’enfant en bas âge.

C’est ainsi que Migung, accompagna sa petite sœur et sa mère pour son premier voyage au Japon. Sa mère désirant les couper totalement du monde magique et de sa pression choisit une petite maison perdue dans la montagne, près d’un village moldu. Ce fut sa première rencontre avec le monde non magique. Cela dit sa mère ne désirait pas pour autant se mélanger avec les moldus, elle en rester le plus loin possible. Elle avait assez d’argent pour privatiser le onsen entier du village seulement pour éviter la présence des moldus. Avec l’aide d’un de leurs elfes de maison, elle passe ses journées à faire en sorte que ses filles connaissent la joie qu’un enfant doit connaître. La seule chose qui lui manquer c’était socialiser ses enfants. Sur tout Migung qui passer son temps entouré d'adulte froid et distant. La seule chaleur qu’elle pouvait trouver était celle de sa mère, de sa sœur et de quelques-uns de leurs plus vaillants domestiques.

C’est ainsi qu’un après-midi, par un pur hasard, elle vit cette femme quitter le onsen juste avant que vienne le début de leur réservation. Une moldu tout à fait banale, celons la sorcière, mais ce qui l’intéressa ce ne fut pas elle, mais la petite fille qu’elle tenait dans ses bras. Une enfant qui avait tout à fait l’air d’être dans les âges de sa fille ainée. Elle fit alors l’impensable invitant cette femme et sa fille à prendre le thé. Bien sûr elle ne les invita pas à entrer dans sa demeure, même provisoire un moldu ne rentrerait jamais dans sa maison. C’est ainsi que très flatté la femme accepta de prendre le thé avec la mystérieuse et richissime nouvelle arrivante et ses deux charmantes petites. Ce fut la première fois que Migung rencontra Choi Haru. Elle ne se souvient pas exactement de ce moment, mais ce fut à cet exact moment que sans le savoir sa mère venait de faire basculer sa vie.

❝Japon, 09.02.2011 ▬ Les voyages à travers le monde. Migung en fit avec sa mère, c’est vrai, mais au final cela finissait toujours dans cette petite maison perdue au fond du Japon. Sa mère avait fait un souhait auprès de la moldu Madame Choi, rencontré à leur première venue, un souhait rémunéré. Madame Choi et sa fille Haru devait revenir chaque année prendre leurs vacances au même moment qu’elle et ses filles pour que leurs enfants puissent passer du temps ensemble. La femme moldu avait accepté tous les termes de cet accord. Notamment le fait de ne partager à personne, même à sa fille ou son mari la raison de ses « vacances sur mesure » ni des apports conséquents à leur compte bancaire chaque année. La famille Choi avait été la meilleure option pour Dame Park. C’était des moldus, qui par pur hasard était coréen, de classe très moyenne, qui avait une fille unique de l’âge de sa fille ainée. Ils ne poser pas plus de questions que ça et n’étaient pas plus vénaux que d’autres. Rapidement Migung et Haru furent laisser sans surveillance. Passant chaque année ensemble il était simple de voir à quel point elles étaient différentes mais apprécier la compagnie de l’autre. Haru était lumineuse, là où Migung était sombre. La petite moldu riait sans arrêt, tandis que Migung offrait rarement un sourire. Habituer à l’austérité et la dureté de son père toute l’année, Haru était devenu le seul souffle de fraicheur que Migung pouvait trouver.

Il n’y avait pas que Migung qui adorait Haru, Miyoung l’aimer comme une seconde grande-sœur et Migung en étaient ravis. Malgré son très jeune âge, elle commençait à comprendre certaines choses, notamment quel était son destin et ce que cela impliquait. Miyoung n’avait pas à subir la même chose qu’elle. Miyoung pouvait être un enfant normal. Haru n’avait aucune conscience de ce qu’elles étaient, c’était un rayon de soleil dans leur univers, mais elle n’était qu’une distraction. Un jouet acheté par sa mère pour lui donner une enfance.

❝Corée du Sud, 02.23.2013 ▬ L’année avant ses onze ans tous s’accéléra pour Migung. Plus de précepteurs, des éveils de plus en plus avancer, elle assister même à certaines rencontres de son père avec d’autre seigneurs de clans ou réunion d’affaires. Elle avait de moins en moins de temps libre pour elle-même, pour sa sœur ou même sa mère. Coutumes, histoire, éthiques, bienséance, son père voulait qu’elles sachent tout avant de rentrée à l’école des sorciers. Il lui était primordial qu’elle parle couramment plusieurs langues, qu’elles connaissent son rang et ses devoirs. Une telle masse d’informations difficile à canaliser pour une enfant de dix ans, mais c’était égal pour le Seigneur du clan Park. Sa fille devait être parfaite, elle devait atteindre tous ses espoirs, au prix de tout le reste et même si c’était impossible, il ferait en sorte que ça le soit.

❝Japon, 09.06.2014 ▬ Comme chaque sorcier et sorcière du monde magique, une fois venue l’année de ses onze ans, Migung fis sont entrés à l’école de magie de sa région magique. Mahoutokoro, celle-ci se trouve sur l'île volcanique Minami-Iwo Jima. Inconnue des moldus elle ce situ géographiquement entre le Japon, la Corée et la Chine, mais appartient aux Japon. Mélangent trois nations, qui si dans leur monde non magique ne sont pas toujours en bonne entente, dans le monde magique cela reste légèrement différent. En effet les choses diffèrent à plusieurs égards. Si ce ne sont pas les nationalités qui pause conflit, ce sont les rivalités entre clans de sang-pur. Cela remonte aussi loin que le monde magique peut s’en souvenir. De chaque clan découlent plusieurs familles de sorciers aux sangs-pur, toute se battant pour le pouvoir sur l’Asie de l’Est. Il existe pour chaque nation un représentant, un seigneur ou une Dame à la tête d’un clan qui gouverne d'autres clan. Pour Migung elle était la fille du Seigneur du clan Park, le clan descendant de l’empire gouvernant une partie de l’Asie pendant plusieurs siècles. Sous la gouvernance de ce clan existait d’autre Clan, les Kim, les Choi, les Lee et d’autres sous clan encore. Enfaite la hiérarchie était un peu compliquée, tout comme celles des autres grands clans de chaque nation.

Cela dit en entrant dans cette école en tant que la fille ainée de la famille de sang-pur la plus puissante de sa nation, Migung faisait partie de l’élite. Elle le savait, tout le monde le savait, notamment la directrice amie de longue date de son père. À onze ans, en première année, elle avait les plus hauts privilèges donner aux sangs les plus pur. Elle avait à son service un elfe de maison ainsi que tous ceux des clans faisant partie de son empire. Qu’il soit plus âgé ou même professeur, ils lui devaient obéissance et respect. Migung avait appris dès qu’elle eux conscience des choses, du pouvoir qu’elle avait, de son rang et de ses responsabilités. Elle n’en abuser pas, mais son père lui avait inculqué de ne jamais laisser personne la sous-estimer où oublier qui elle était.

Dans cette école, les choses y sont bien différentes qu’à Poudlard. Bien que le Seigneur des ténèbres ne soit plus depuis longtemps, si les choses ont changé en Occident ça n’était pas tout à fait le cas ailleurs et particulièrement ici. Calquer sur la hiérarchie stricte des clans et de la pureté de leur sang, les sorciers de l’Asie de l’Est accepté très mal les changements fait en Europe et Amérique du Nord. Si les sangs-mêlés pouvaient être tolérés, ça n’était pas le cas pour un née-moldu. Bien qu’accepté à l’école et accédant à la même éducation, leur vie était tout en bas de l’échelle. Si la vie était douce pour un sang-pur, elle pouvait rapidement se transformer en enfer pour un née-moldu s’il devenait la cible d’un seigneur héritier de clan.

Lors de sa première année Migung pensait la passer simplement, en gérant ses affaires, en travaillant pour devenir la version d’elle-même parfaite que son père voulût qu’elle soit. Sans obstacle, juste quelques querelles juvéniles avec d’autres héritiers, rien de bien méchant. Honnêtement, elle avait espéré que ses années d’études seraient moins épuisantes que celles en compagnie de ses précepteurs. Toutes ses attentes furent réduites en cendres la première semaine même d’école. Migung, dès les premiers jours avait décidé de ne pas s’intéresser à ce qui semblait être un bizutage gratuit envers les née-moldus de premières années, voire même des années suivantes. C’était comme choisir une cible et continuer continuellement de la torturer jusqu’à la fin de ses études, une sorte de sport que les héritiers de clan aimer particulièrement. Seulement Migung avait autre chose à faire et avait bien fait savoir à son propre clan qu’ils pouvaient s’amuser, mais sans elle. Elle désirait ce concentré sur bien plus important que quelques misérables insectes.

C’était le cas jusqu’à ce qu’elle voit un acte de trop. Une née-moldu, qu’elle avait déjà croisé. Au milieu d’un couloir, suspendu la tête en bas, se faire déshabiller, vêtement par vêtement, par un groupe d’étudiant d'années différentes. Son sang ne fit qu’un tour, elle ne sait toujours pas aujourd’hui d’où lui est venu le courage, a onze ans, mais elle fonça directement vers le groupe, furieuse. Aucun n’était de son clan, mais elle n’hésita pas à faire comprendre que si ils ne la laisser pas tranquille ils auraient des ennuis. De façon assez fascinante le groupe se dissipa rapidement, laissant littéralement leur proie tomber. Une fois à l’infirmerie tout fu plus claire pour les deux étudiante. La née-mordu compris bien vite que Migung n’en ferait pas plus pour elle mais c’était déjà plus qu’assez pour avoir un moment de répit.

La première année fut difficile pour Migung. Bien qu’elle ait souhaité ne pas faire partie des conflits existant dans l’école, ou du moins passer le plus possible à travers, elle se retrouva avec plus d’ennemies que d’ami à la fin de l’année. Intervenant plus qu’elle n’aurait du a la défense des soufre douleurs. Elle fut très claire pour ce qui était des attaques par ses clans vassaux, les humiliations devaient avoir leur limite. Contrairement à ce que voulait faire croire les clans rivaux de sa famille, elle était très clair sur le sujet : en aucun cas elle ne faisait partie de ses faibles traitres à leur sang. Une chose qu’elle arrivait extraordinairement bien à faire c’était cacher sa vraie nature.

❝Corée du Sud, 12.12.2017 ▬ Peut-être le pire anniversaire de sa vie. Quoiqu'il y eux quelque bonne concurrence, celle-ci fut la pire de toute. Ses premières années à l’école de magie furent plus difficiles que prévus, mais elle avait réussi à trouver un équilibre entre son devoir en vers son clan et ses études, ayant que très peut d’amusement. Le secret de sa mère était toujours en sécurité, et elle maitriser de mieux en mieux son rôle de chef de file de son clan au sein de l’école, apprenez de mieux en mieux les subtilités que son père voulait lui inculquer. Parfois elle avait même la sensation que son père était fier d’elle, mais ça n’était qu’une illusion elle le savait. Tout aller assez bien pour elle, jusqu’à sa troisième année. Quand Miyoung rentra à son tour à l’école. Migung avait complètement oublié que sa précieuse petite sœur n’avait aucune idée du mode qui l’attendais.

Miyoung exciter d’avoir rejoin sa soeur a l’école révéla tout a leur mère. Il y avait de nombreuses rumeurs comme quoi l’ainée Park protéger des née-moldus à l’école, mais ses parents n’y ont jamais prêté plus attention qu’un ragot quelconque. Seulement tout devin clair pour Dame Park qui paniqua. Avait-elle corrompu sa fille ? Malgré les risques elle avoua tout à son époux. Il devint furieux comme personne ne l’avait jamais vu. S’il punit sa femme ce soir-là ce fut que peut par rapport à ce qu’il envisagea pour Migung. L’unique fois qu’elle connus un tel sort. Une souffrance qu’aujourd’hui peu de sorciers peuvent attester avoir connu.

Ce ne fut pas la seule chose que son père fit. Pour s’assurer que sa fille retienne la leçon, il fit supprimer la moldu Haru ainsi que sa famille. Ce fut non seulement un brise coeur pour elle, mais une dévastation pour sa petite soeur. C’était la dernière barrière que son père brisa en elle. Elle lui appartiendrait, pour toujours.

Si Migung pensait que la rentrée allait être compliqué, elle n’eut pas idée de la réalité. Elle avait cru que le plus dur serait d’empêcher Miyoung de sombré dans le chagrin, mais le pire c’était son propre coeur qu’elle n’arrivait pas a recoller.

❝Corée du Sud, 01.29.2018 ▬ À l'époque il était encore rare pour un étudiant d’être transféré d’une école à une autre durant ses études. Exceptionnel mais nécessaire.
Migung connut une nouvelle année pleine de secret, de frustration et de colère. Étrangement ce ne fut pas la pire des années qu’elle connut. Enfaite-elle se déroula plutôt bien, jusqu’à ce que quelqu’un découvre qu’elle était proche plus que de raison d’un professeur. Pas n’importe quel professeur, une sang de bourbe, et pas simplement juste une amie. Comme par ironie du sort se fut le fils du clan rival de sa famille à qui sa main était promise pour rallier leurs pouvoirs qui les découvrit s’embrasser.

Non seulement elle était encore mineur, mais en plus rien n’était en sa faveur. Une femme, un professeur, une sang de bourbe, qui enseigné sur les non-mages. A croire que Migung cherchait le plus de problème possible. Cette fois quand elle fus convoquer dans le bureau de la directrice, son père n’osa pas la punir directement, mais sa fureur était bien égale à la première fois où un tel scandale avait éclaté. Migung n’essaya même pas de plaider sa cause. Elle savait que c’était perdu. Kim Sunhee, la professeur en question, était terrifié connaissant le Seigneur Park de renommé et sachant les pouvoirs qu’il avait. Elle aller perdre son travail c’était certain, mais elle pouvait perdre bien plus si il le souhaité. Maintenant un scandale bien plus grand venait d’exploser. L’héritière de sa maison avait non seulement passer ses premières années à protégé des sang de bourbe, mais maintenant elle s’en amouraché. Que ce soit un professeur ou une étudiante, importé peut au final pour l’empereur. Si ce jour-là, la directrice n’avait pas été présente, Migung était sûr que Sunhee ne serait purement et simplement plus de son monde.

C’est après une longue, une très longue discutions entre son père, la directrice et les suppliques de sa mère, qu’il fu décider que Migung et Miyoung seraient envoyés dans une autre école loin des scandales provoquer, et loin de Sunhee. Nouvellement persuadé que cela aiderait à faire taire le scandale, son père accepta. Parmi toutes les écoles possibles, il en était une réputer pour son éducation exceptionnelle. Malgré sa mauvaise fréquentation Poudlard rester la meilleure école de magie dans le monde, et après ses avertissements le Seigneur Park savait que Migung se tiendrait à carreau.

❝Angleterre, 10.08.2019 ▬ Les choses furent bien différentes en Angleterre. Plu de hiérarchie, plu de domestiques, plu de court la suivant en permanence. Peut de personne à Poudlard avait conscience de ce qu'elle et sa sœur représentaient dans leur pays, bien que les gens connaissaient leurs rangs dynastique. Sincèrement ce fut une bonne chose pour Migung. Entrant à Serpentard elle choisit de changer son nom par sa signification anglaise Maze pour faciliter à tout le monde sa prononciation. Bien que quelques étudiants veuillent faire mis ami avec elle, Maze choisit de rester la plus solitaire possible. C’était pour elle la meilleure option pour respecter la demande de son père et ce concentré entièrement à son devoir en tant qu’héritière de son clan.

Sa culture lui manquait souvent, certaines coutumes, mais principalement la nourriture. Heureusement elle avait sa sœur avec elle, un chat qu’elles avaient adopté ensemble et un hibou que ses parents lui avaient donné pour garder contact, même s’il servait surtout à son père pour l’informé sur les nouvelles affaires familiales. Ce qui lui manquer le plus, elle pensait ne jamais le revoir. Sa vie à Poudlard était assez sombre et froide et elle n’imaginer pas que cela change.

❝Angleterre, 2020 ▬ Maze participa au tournoi des trois sorcier, et après avoir vécu l'enfer; le gagna. Non sans blessures qui l'handicaperont pour le reste de sa vie. Une jambe droite abimer au delà de toute réparation magique. La forcent à marché a l'aide d'une canne ou d'une attelle, et la condamnant à supporté une douleur perpétuel.

❯ ASCENDANCE : Sang-mêlé (supposé).
❯ DATE DE NAISSANCE : 10.04.2002.
❯ NATIONALITÉ : Coréenne.
❯ CLASSE SOCIALE : Pauvre.

Shin est orphelin. D’un père inconnu, d’une mère sorcière. On soupçonne sa mère d’avoir enfanté d’un moldu, gardé sa grossesse secrète, puis avoir abandonné son nouveau-née à l’orphelinat, avant de se donner la mort. Lee Bora n’était pas une sorcière méconnue, elle faisait partie du clan inférieur Lee, reconnu pour leur talant en métamorphose, elle-même métamorphomage. Si le clan Lee refusa de reconnaitre l’enfant comme légitime, il fut rapidement récupéré par l’empereur et envoyé a l’école des shinobi au Japon, dans l’espoir qu’il ai les même pouvoir que sa mère et puisse être utilisé pour l'espionnage. Si pour les moldus, les shinobi on disparu du fait qu’ils n’aient plu d’utilisé dans une société à la technologie trop avancée, les shinobi sorcier ont continué de subsister et d’améliorer leur technique de discretion. Une école particulière existe encore au Japon. On y envois des enfants sans attaches, ni familles et leur inculque une discipline particulière d’obéissance et de servitude pour leur maitres. Ils y apprennent l’art des shinobi, la discrétion, l'espionnage, mais sur tout l’auto défense et la fuite. Ceux qui sauvent la culture des shinobi dans le monde magique c’est leur pouvoir de métamorphose, notamment celle en animagus. Tous les enfants n’arrive pas à atteindre ce stade, ceux-là sont, ou abandonner, ou éliminer dans le pire des cas, et selon le souhait du « commanditaire ». Cette éducation n’est en effet pas gratuite, si l’école secrète des shinobi n’est pas influencé par la politique, et fourni des shinobi aux trois empires, sans distinction, c’est par ce qu’elle coute très chère. Un enfant qui ne prouve pas sa valeur assez tôt est une perte d’argent considérable pour un état, et certain n’aime pas laisser une trace d’un échec dans la nature.

On lui donna le nom de Shintake et il commença son éducation. Si Shin ne fus pas gracié des spécialités de sa mère, il fit cependant preuve d’une inclinaison suffisante à la métamorphose pour que son éducation soit aboutie. La vie à l’école des shinobi n’as rien à voir avec une école classique. Les petits sorciers et sorcières qui y grandissent doivent concentrer leur magie sur la métamorphose et les sortilèges de discrétion, au détriment de beaucoup d’autre matière, telle que les potions ou les runes. Ils ne doivent pas ressentir d’émotions, pas avoir d’intérêt pour la politique ou l’argent. Un shinobi n’as pas besoin d’être intelligent, il a besoin d’être efficace, et pour ça Shin se montrait très bon. Plus il grandissait, plus il développé un réel talant dans la métamorphose et les techniques de discrétion, jusqu’à pouvoir même surprendre ses propres professeur. À 14 ans, moyen d’âge où les étudiants de l’école réussissait leur transformation, Shin réussit également le sien. Un chat noir, un bombay, une sorte de petite panthère, légère, petite mais puissante. C’est à cette époque qu’il eu ses premières missions. Envoyé au près de la famille royale Park. Il devait surveiller les filles et la femme de l’empereur, pour lui, quand il n’était pas là. C’est à cette époque qu’on lui donna le second nom de Toshiro, c’est la seconde fille de l’empereur qui le nomma ainsi. Il devint Toshi, le chat des héritières Park.

Au début la mission ne semblait pas difficile, même pour un si jeune shinobi. Seulement ça ne fut pas une partie de plaisir. Peut-être était-ce son coeur encore jeune, ou bien par ce qu’en passant autant de temps avec elles, il ce pris d’affection pour les soeurs Park. Malgré son éducation qui le forcé à enfouir ses sentiments, il ne pouvait pas rester insensible aux pleur et détresses des deux petites. De plus, il ne lui fallut pas longtemps pour qu’il comprenne qu’il était l’arme de destruction personnel de l’empereur. Chaque chose qu’il lui révélé était utilisé pour écraser un peu plus sa fille aîné, Migung. Un shinobi ne devait pas avoir de sentiments particulier dans une mission, et pendant longtemps il se fit violence pour refoulé ses pensés néfaste, mais si à l’école on lui avait martelé que son empereur était un homme honorable, qu’il aurait gloire a servire, il avait de plus en plus de mal à en resté persuadé. Une année passa, jusqu’à ce qu’il ne puisse plu le supporté. Il fit la plus terrible des fautes et se révéla au soeurs. D’abord à la seconde, puis à l’ainée. Contrairement à ce qu’il aurait crue, Migung ne paru ni choqué, ni déçu, comme si quelque part elle s’y attendait. Si jeune et déjà vide d’espoir, à 15 ans Toshiro décida de trahir son empereur et jura une nouvelle fidélité au deux filles. Si sur le moment ni l’une ni l’autre ne compris réellement la profondeur de ce lien, Toshi savait qu’il venait peut-être de signé son arrêt de mort, mais la cause en valais la peine.

Les années passèrent, entre ses entrainement et éducation spécifique, ainsi que ses missions au près des sœurs, il ne les vit pas s'écoulai. De plus en plus grand et fort, habile avec son animagus, capable de ce transformé sans baguette, et plus intime avec les soeurs. Il était même probablement la seule personne à n’avoir jamais était aussi proche. Les considérant comme sa propre famille, il fut partiellement détruit quand il entendit la nouvelle de l’exile en grande Bretagne de Migung, puis totalement anéanti lors ce qu’il compris que Miyoung la suivrait. Ça destiné lui échapper. Jamais il ne ce dit qu’il avait fait le mauvais choix, mais il connu pour la première fois la peur. Beaucoup de secret furent dévoilés durant cette année-là des secrets qu’il c’était efforcé de protéger et qui aurait bien pu détruire Migung, et lui couté la tête.

Toshiro se questionna beaucoup sur ce qui aller advenir de lui. Sa formation a l’école était fini, il était aujourd’hui un shinobi secret au service officiel de la famille Park. Comme une réponse du destin, il fut convoqué par l’empereur. Celui-ci croyant dur comme fer son allégeance totale lui offrit d’aller a Poudlard. Comme un cadeau pour ses filles, il envoyé leur chat Toshiro, une bonne blague. Il voulait également qu’il y soit étudiant, pour aussi gardé un œil sur le reste de l’école, car d’autres étrangers venez d’Asie, et l’empereur était un homme cupide de toute sorte d’informations. Il lui offrit une identité, le gracia du nom de son clan Lee, et l’opportunité d’être un vrai étudiant dans une école de sorcellerie. Le garçon y vus une opportunité de s’émancipé des risques que l’empereur et son gouvernement ne comprenne son double jeu et accepta l’offre sans réfléchir. C’est ainsi qu’il entre a Poudlard en 2019 au même moment que ses deux maitresses.

Un grand gars baraqué, tatoué, à la coiffure brune hirsute et aux yeux en amande, marron. La première chose que l'on aperçois sur sa bouille ronde c'est son sourire. Toshiro à toujours l'air contant, pure joie de vivre ou forme d'idiotie, c'est comme on le souhaite, mais on ne peut pas lui enlever l'air heureux qu'il porte sans embarras. Au grand souci de ses professeurs et des gens qui l'entour il est très souvent débraillé, par fois même perd des vêtements qu'il porté à peine quelques minutes plus tôt. Mystère ou simple farce de la part du garçon, ce qu'on peut en retirer c'est qu'il n'aime pas beaucoup être couvert de bout de tissu.

L'esprit de Toshiro renferme bien des mystères. Son éducation rude et exigeante lui a inculqué une discipline particulière. En tant que shinobi il connait sa place et porte un respect particulier à ceux qu'il sert. C'est un honneur pour lui de servir. Sa fidélité en vers ses maîtres n'as pour limite que sa propre vie. Cependant contrairement a ses collègues, il sait suivre son cœur, et s’il se bat sous la bannière de l'empereur Park, c'est as ses filles qu'il a offerts sa pleine dévotion.

D'apparence c'est un garçon souriant, toujours de bonne humeur, il est en effet difficile de le déstabilisé, ou bien de le fâché. Son contrôle sur son humeur est presque total. Son vrai défaut serait son manque de discernement pour le danger. Toshiro n'as pas peur de grand-chose et aimes amuser des risques qui l'entour. Capable d'une discrétion hors norme, il se souvient très bien des enseignements qu'il a reçus et sait les mettre en pratique quand cela est utile pour ses missions. S’il peut se laisser guider par son cœur, il est aussi capable de le fermer quand cela lui est utile, ce qui en fait un très bon shinobi. Il ne se mettra jamais en avant par orgueil, il y a toujours un but caché dans ses actions, car sa première mission est celle de servir. Tel est ça destiné.

Son animagus n'as rien de particulier, bien au contraire, c'est un chat noir, des yeux jaune. Assez commun, du moins pour un bombay. C'est un chat calme, il aime chasser les crapauds au bord du lac, mais n'aime pas ce mouillé. Il dort la plupart du temps au soleil, dans les cours intérieur du château. Très affectueux, il ronronne très vite au contact de ceux dont il a confiance. Ce qui l'amuse beaucoup c'est s'allonger sur les livres de ses maitresses ou de se coller à leur jambe quand elles marchent.