Maze, n'avais aucune envie d'y aller, mais elle n'avait aucune chance que son absence ne se fasse pas remarqué. Elle ne se sentait pas particulièrement enthousiaste a l’idée d'affronter les regards et l'excessive attention que toussa provoquer. Bien que son enfer se terminer, Elle entrait dans une nouvelle phase de problème. Elle avait beaux avoir été entraîner et éduquer à tenir une image publique, cela ne rendait pas plus la tâche facile. Si elle le faisait ça n'était ni pour son image, ni pour celle de l'école, mais pour rendre heureuse sa sœur, qui pour sa part été ravi de cette cérémonie. C'est ainsi que Maze c'était présenté sur l'estrade et avait accepté le prix remis part le professeur Longdubat. Pendant un instant même le fait de marcher avec sa canne semblait insignifiant, quant au milieu de la foule elle vit Mi-young et Toshiro applaudir avec leur plus grands sourires. À aucun moment elle ne prit le risque de se tourner vers la table des professeurs, de peur de croiser un regard qui aurait fait craquer ces dernières défenses. Lorsque la coupe fut dans ses mains, elle fut sans plus de cérémonie, jetez aux dragons. Pratiquement aveugle par les flashes et assourdit par les flots de questions des journalistes, la championne fut heureusement tirée de la par la première ministre de la magie.
Ne sachant trop plus ce qui est arrivé, Maze serrer à présent les mains d’un groupe de gens, quelle ne connaissait en personne que très peu. Hermione Granger-Weasley, Harry Potter, Ronald Weasley, Ginerva Weasley-Potter, Victor Krum, Fleur Delacour-Weasley et plus encore. C'était extrêmement intimidant, même pour elle qui avait grandi entouré d’illustre famille d’Asie. Elle n'était déjà pas bien grande et entouré de ces auras, elle se sentit complètement ridicule. Ils étaient pourtant très amicaux, la félicitant de sa victoire et plaisantant, certainement pour essayer de la détendre, ce qui en réalité ne faisait que la tendre plus. Suivant la célèbre famille, elle dut également serré les mains d’un tas de politiques dont elle connaissait à peine les noms, mais eux, avant même qu’elle ne gagne ce tournoi savait très bien qui elle était. C’était à la fois ennuyeux et inquiétant. Aucun d’eux n’étaient vraiment sincères dans leurs agissement et elle comprenait pourquoi, mais elle n’avait aucune envie de jouée les parfaite fille d’empereur aujourd’hui.

Le banquet commença quand le professeur Longdubat fini son discours et les bannières de la salle changèrent pour celle de sa maison. De façon étrange, Maze regarda le spectacle avec une petite fierté, peut être plus que celle d’avoir gagné ce tournoi. Appartenir à une maison, appartenir a un groupe de gens elle n’avait jamais su ce que c’était avant de venir à Poudlard, c’était nouveau et satisfaisant. Au milieux de conversation mondaine, Monsieur Potter fini par la prendre par l’épaule et l’écarté des adultes avec son sourire bienveillant, à la fois rassurant et très agaçant. « Encore bravo Maze, j’étais contre le retour du Tournoi, mais je suis vraiment heureux que tu t’en soit sortie. » « C’est un jeu stupide, j’ignore toujours pourquoi j’y ai participé. » Le chef des Aurores lui offrit un sourire sans joie, et elle savait exactement ce que cela voulait dire. Quelque part seul les participants au tournoi pouvaient comprendre les vrais enjeux de cette mascarade. Tout n’était que politique, et Mr. Potter en savait autant qu’elle à ce sujet. « Nous n’avons pas toujours le choix, mais tu as su tirer parti de ta situation, et en tant qu’ancien champion j’en tire une petite fierté. » Cette fois son sourire était sincère, et aussi bizarre que cela puisse paraitre Maze s’en sentie boulversé. C’était probablement la première fois dans toute sa vie qu’on lui disait ça. Elle était loin d’avoir un père modèle, et avoir ce moment avec un homme qu’elle admirer était probablement le plus proche qu’elle pourrait avoir d’un moment père-fille. « Merci Monsieur. » « Et je sais le prix que tu as du payé pour y arrivé, il avait était prévu que le tournoi devait changer de règles pour ne plus réitérer les erreurs du passé. Je suis furieux que le département des jeux magique n’est pas tenu parole. » L’héritière ne pu s’empêcher de baisser les jeux sur sa jambe à jamais blesser, elle était également couverte de cicatrices qui prendrais du temps à disparaitre, et elle était loin d’être la seule, les deux autres champions n’étaient pas en reste. Elle comprenait pourquoi Mr. Potter était furieux, lui-même avait vécu un traumatisme physique mais sur tout émotionnel, surement encore plus grand que le sien, alors ça avait dû ravivé de douloureux souvenir. « J’ai entendu dire que puisse que c’était une réussite, le Tournoi continuerais. » Dit-elle, presque avec regret. « Oui, j’en ai bien peur, mais cette fois le département des jeux magique n’organisera rien sans surveillance et vérification. Hermione est furieuse. Que ce soit pour les participant ou les créatures magiques impliqué, tout le monde à du souffrir, ce qui est loin des accords qui ont était signés. »

Rien cas son ton Maze pouvait entendre la colère du sorcier, et elle en fut étrangement satisfaite. Si les organisateurs avaient des problèmes à cause de leur jeu pervers elle se sentirait mieux. C’était cruel, mais l’héritière avait vécu un traumatisme qui l’empêcher de fermer l’œil et marché sans serrer les dents alors elle en avait que faire de la morale. « Bon, je te laisse retrouvé tes amis. Bravo encore votre excellence. » Dit-il en souriant, la moquerie à peine caché. Maze aurait pu le laisser partir, mais elle imagina que ce serait ça seule chance de le faire sans oreilles pour espionner. « Monsieur ? » Le chef des Aurores se retourna, soudain sérieux quand il vit le visage fermer de la jeune Coréenne. « Je t’écoute Maze. » Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ils n’étaient pas étrangers l’un à l’autre, Maze avait souvent accompagné son père a ses rendez-vous et quel honneur c’était de rencontré Harry Potter. La façon dont son père la traité n’avait pas échappé à l’élue, et quand il c’était porté garant de sa sécurité sur le territoire Britannique il n’avait pas menti à l’empereur. Encore une raison pour laquelle il était furieux à l’encontre des départements du Ministères responsablent du Tournoi et des relations diplomatique. « J’ai besoin de vous parlez de quelque chose de… délicat et privé. » « Je vois. Tu vas retourner en Corée j’imagine, tu voudrais me parler maintenant ? » « C’est en partie le problème, je ne pense pas pouvoir rentrer au palais. » « Maze ? Tu si tu es en danger je peut aider. » Il c’était rapproché et maintenant parlé à une voix si basse qu’avec le brouhaha c’était même difficile pour l’un et l’autre de s’entendre. « Avec tout mon respect Monsieur, vous ne pouvez pas me protéger de mon père, mais j’ai besoin de votre aide sur un autre sujet. C’est en rapport avec l’école Dumrstrang, je pense que ça vous intéressera. » L’Aurore avait l’air clairement contrarié alors que la jeune sorcière le fixer le visage blanc de toute émotion. Elle était très forte pour cacher ses émotions, mais si elle lui demandait son aide c’est qu’elle était dos au mur. « Très bien, demain, je ferai une convocation officielle au bureau des Aurores, une qui ne sera pas discutable par l’empire. Nous pourrons discuter. » Bien que son père ne reconnaissait aucune autre autorité que la sienne, il n’oserait pas refuser une convocation d’Harry Potter et laisserait ce délai à sa fille. Maze acquiesça, et c’est avec une tape finale à l’épaule qu’il partit rejoindre sa table alors qu’elle en fit de même.

« Eh bien tu as pris ton temps avec le chef des Aurores, le quel de vous deux à donner un autographe à l’autre ? » Toshiro rit sans honte à la taquinerie de Mi-young aux dépens de sa grande sœur. Maze se contenta de lever les yeux au ciel en se servant dans les grands plats du centre de table. C’était une des rares fois où ils pouvaient mélanger les maisons due à la remise des prix du Tournoi, et c’était satisfaisant de pouvoir être entre amis. Toshiro avait décidé de clairement l’accepté parce que ses deux maitresses ne le reprenaient pas quand il en parlait. Il but une grosse gorgée de jus de citrouille avant de se pencher sur la table un grand sourire aux lèvres. « Année mouvementée hein ? » « M’en parle pas. » A coter de lui Louis Weasley fixer la table des invités avec agacement. C’était peut-être la première fois que Toshiro voyait le Poufsouffle arboré ce visage fermer. Maintenant qu’il devenait plus attentif tous les enfants de héros de la salle semblait dans la même situation. Apparemment avoir ses parents invité à la fête faisait ça. « Ô pauvre de vous Weasley’s, trop de pression d’avoir papa-maman dans la même pièce que vous ? Tu peux pas dragué les filles de Beauxbâton une dernière fois avant qu’elles ne partent c’est ça le souci ? » « Elles sont toutes tes cousines de toute façon, non ? » Rajouta Mi-young, faisant un peu plus ricané Toshiro avant que Roxanne ne la regarde furieuse, certainement défensive envers son cousin. « Par ce que la consanguinité vous dégoute maintenant ? Un peu hypocrite venant d’un peuple qui mari ses frères et sœur entre eux depuis dès millénaires. » Visiblement avoir leur parents dans la même pièces qu’eux rendaient les Weasley encore plus explosif que d’ordinaire. « Hey, ont ce calme, c’était une simple plaisanterie. » Toshiro avait bien envie de faire plus qu’élever la voix pour montrer sa place à Roxanne, mais il vit le regard que Mi-young qui le suppliait de ne pas faire de vague et laissa coulé. Depuis que les gens autour d’eux savaient qui était les sœurs Park ce genre d’attaque devenait courante, fort heureusement la victoire de Maze avait arrangé leurs images, mais venant d’une soi-disant « amie » de la jeune fille c’était choquant.


« Vraiment Rox ? Mimi a raison, la moitié de ces filles me sont affiliés d’une façon ou d’une autre, et attaqué quelqu’un sur des pratiques ancestral de son pays c’est vraiment petit. » Toshiro avait rarement vu Louis sur la défense, mais c’était au moins plaisant de ne pas se sentir seul. Roxanne se renfrogna avant de marmonner quelque chose et quitter la table des Poufsouffle pour aller a celle des Serdaigle. « Il ne faut pas lui en vouloir, elle est à cran. Non seulement notre famille est ici mais en plus les Serdaigle sont en bas du classement de la coupe cette année, et elle le vie très mal. » « Pas une raison pour attaquer mes ancêtres. C’est pas comme si vous n’aviez pas usé de cette pratique vous aussi. » La mine boudeuse de Mi-young était adorable, et Louis ne pu s’empêcher de sourire, tout comme le reste du groupe. Sauf Maze qui avait simplement l’air de trouvé son assiette plus intéressante que le reste du monde. Toshiro était un peu inquiet et curieux de ce qu’elle avait pu dire pendant son entretien avec Harry Potter. Les conversations continuèrent dans un ton plus léger, chacun parlé de ce qu’ils avaient prévu pour les vacances, ou revenais sur leurs moments les plus fort du Tournoi ou de la coupe de Quidditch de cette année.


Toshiro participé à peine à la conversation observant du coin de l’œil les sœurs Park. Il comprenait pourquoi Maze était dans cet états, demain sonnet le retour en Corée et elle n’avait aucune envie d’y retourné. Mi-young contrairement à sa grande sœur le cacher bien mieux, mais après tout vu l’état émotionnel de l’ainée c’était plutôt normal qu’elle se fiche qu’on la vois broyez du noir. Il fallait que Toshiro remédie à ça, c’était son travail après stout de prendre soin de son altesse. « Bon ! » s’exclama-t-il en tapant de la main sur la table, absorbant l’attention de tous et même de ceux au-delà de leur groupe d’amis. « Après ce soir je ne serai officiellement plu étudiant à Poudlard et je compte bien profité de ma dernière nuit comme il ce doit. Ni famille pour me juger, ni journaliste pour scruter mes moindres mouvements. » Levant les sourcils dans un mouvement plus que suggestif il sortit de table sous les rires et moqueries des autres, pour ce dirigé vers une autre table. Autant profité de sa dernière soirée avant de retourner aux portes des enfers. Il savait que sa maitresse le regardé et attendez qu’il se rende ridicule, cela lui occuperait l’esprit et le devoir de Toshiro serait accompli.

Le dos bien droit, le nez levé vers l’estrade centrale, Arwin écoutait attentivement le discours de Londubat. Il n’avait pas vraiment prêté attention à la dernière épreuve et bien que les choses avaient tourné en faveur de l’héritière Park, le Serdaigle gardait à l’esprit que quelqu’un avait oeuvré dans l’ombre pour attenter à la vie de la jeune sorcière. Impuissant et passablement relégué au rang de spectateur, Arwin avait dû se résigner à observer, sans possibilités d’intervenir; Qu’aurait-il pu faire de toute manière?
Les choses étaient ce qu’elles étaient et il était devenu de plus en plus dur de ne pas se heurter aux limites que lui imposait son statut de simple étudiant. Cette conclusion, imposée durement au cours de l’année, avait eu le mérite de provoquer certaines rencontres qui s’étaient avérées tout aussi surprenantes que prometteuses.

Tout en applaudissant à l’unisson la fin du discours avec l’assemblée de sorciers, Arwin avait porté naturellement son regard vers la table des professeurs. Parmi le corps professoral, Miss Perigrine semblait l’observer elle aussi, armée de son immuable et énigmatique petit sourire en coin qui lui donnait des airs faussement malicieux. Il n’y avait pourtant pas plus réfléchi que cette femme, Arwin l’avait appris à ses dépens. Amusé par son clin d’oeil, il baissa son regard brièvement avant de la dévisager à son tour. Elle ne se cachait même plus pour lui faire passer des messages subliminaux. Cette prise d’initiative plus que hasardeuse, finit par mettre mal à l’aise le sorcier qui reporta bien vite son attention sur un camarade face à lui. Si sa nouvelle guide assumait leur collaboration au grand jour, lui craignait encore ce statut de favoris. Les passe-droits, les arrivistes trainant dans les sillons des professeurs, il avait toujours trouvé cela révoltant, alors passer pour l’un d’eux, c’était tout simplement inacceptable. Dans un bref échange de sourires de politesse avec son camarade de classe, il s’empressa d’entamer le repas qui venait d’apparaitre sous son nez; Mieux valait faire profil bas et ce malgré le fait que personne n’avait remarqué l’échange de regards entre les tables.

« Comme si ça ne suffisait pas de la victoire de Park, il faut encore que ce soit les Serpentard qui raflent la coupe des maisons… » Non loin de lui, une septième année avait craché son venin dans une véhémente tirade débordant d’orgueil. Alors qu’il s’apprêtait à prendre la parole, quelqu’un le coupa dans son élan, dans ce qui s’annonçait comme un long couplet moralisateur. Les Serdaigle et leurs discours pouvaient s’avérer fatale pour tous ceux qui ne partageaient pas de passion pour l’art de la rhétorique. Qu’importait le débat, Arwin n’était déjà plus dans la conversation, son attention était ailleurs, vers une table en particulier, une fille plus précisément; Sianyde Llansawel.
Les sourcils froncé, le sorcier assistait à une scène qui n’était pas sans lui évoquer quelques souvenirs. Dire que cela ne lui avait pas arraché un semblant de frustration aurait été un odieux mensonge. Sianyde avait été plus proche de lui qu’aucun autre élève cette année… Et la voir avec Barnes, réitérer cette petite scène du liquide renversé sur les cuisses… C’était… C’était…
Interrompu soudainement dans le cheminement de ses pensées, il se détourna non sans amertume de cette vision presque abjecte, pour faire face à la silhouette qui venait de s’affaler presque sur lui « Abernathy » avait soufflé sa voix rieuse. Avant même qu’il n’ait le temps d’apercevoir son visage, la sorcière avait déjà passé sa main dans la tignasse emmêlée du Serdaigle. « Scarlett ? » s’empressa-t-il d’interrompre cette séance de maternage en levant son coude. Dans cette manoeuvre qui visait à éloigner l’audacieuse blonde, Arwin espérait qu’elle comprenne que ce n’était ni le lieu ni le moment pour de telles familiarités, lorsqu’elle s’imposa de nouveau dans une petite moue boudeuse. « Tu avais dit, de ne pas te déranger pendant les examens… Ils sont terminés » trancha-t-elle finalement avec amertume, avant qu’Arwin ne reprenne un sourire en coin. « J’ai surtout dit pas… » « Ici ».

Elle avait terminé la phrase du sorcier en faisant presque claquer sa langue sur son palais, mettant ainsi une sorte de ponctuation presque injurieuse dans cet aparté de bout de table. Plus qu’étonné de cette prise de position de la part de la revancharde aux sourcils hirsutes, Arwin s’arrêta de manger en la fixant à son tour. « Qu’est-ce qu'il y a?» « Le grand Abernathy manquerait-il finalement de perspicacité? » « De pers pi… Quoi? Je ne vois pas de quoi tu parles. Tu t’exprimes en énigmes, c’est agaçant!» Insista-t-il tout en roulant des yeux. « Et bien comme ça au moins, tu vois ce que ça fait! » Visiblement excédée, la petite blonde s’était empressée d’enlever une poussière imaginaire de l’épaule du Serdaigle tout en lui faisant de gros yeux. « J’ai fait quelque chose de mal? Tu as l’air de m’en vouloir…» « Parce que tu ne comprends pas… Tu le fais exprès! Tu m’énerves » Arwin s’était accoudé à la table, dans un froncement de sourcils qui ne pouvait que traduire son manque de patience. « Je t’assure que je ne vois absolument pas de quoi tu parles… » Loin de comprendre l’insistance de la sorcière, Arwin la regarda finalement se lever du banc alors qu’elle regagnait la table des Gryffondor, sans une once d’explications. Le sorcier n’avait pas compris ses sous-entendus et encore moins son attitude, du moins par dans l'ensemble; le sexe opposé avait une façon de faire bien particulière, qui le laissait légèrement désabusé. « C’est la fille d’Oliver Wood? Il a combattu ici pas vrai, lors du… » « Oui, oui! »

Interrogé par son voisin de table, Arwin avait préféré faire court. Scarlett n’était pas inintéressante en soi, elle était juste un peu trop "envahissante". Le mot était lâché et il résumait parfaitement le ressenti du sorcier. « Et… Tu es avec elle? » Le Serdaigle manqua de faire tomber sa fourchette. Il se retourna vers son voisin de table et le détailla d’un air suffisant. « Non… Bien sur que non. » « Tu pourrais… Je crois que vos parents se connaissent en plus… » « Justement! » Trancha Arwin en pointant le visage surpris de son interlocuteur. « C’est trop attendu… Je déteste ce qui est attendu. Il n’y a pas de place pour la spontanéité dans ce qui est attendu! C’est… Déprimant! » « Et bien moi je déprimerai bien avec elle Abernathy! Tu pourrais lui en toucher deux mots! ». Le sorcier donna un coup de coude amical à Arwin qui se contenta de répondre dans un sourire de politesse. « Certes. Je suis certain qu’elle sera très flattée… »